Récit d’une petite aventure plutôt inattendue qui m’est arrivé ce weekend.
Je vous remets dans le contexte. J’ai fait un extra (barmaid) ce weekend dans une boite dans le Tarn, je suis habillé en jupe (exigence de la direction), petit haut bien décolleté et talons compensé, sexy mais sans être vulgaire.
Au cours de la soirée, un groupes d’ hommes, dont la carrure me fait dire que ce sont des rugbyman, se sont présentés à mon bar, étant toute seule ce soir là à faire le service ils ont donc du s’adresser obligatoirement à moi. Dans le lot j’en repère 1 qui est plutôt mignon. Ayant du travail je ne peux malheureusement pas rester bloqué sur lui et je passe aux autres clients une fois le groupe servi.
Mais durant la soirée, je sens bien le regard soutenu de mon inconnu, il me dévisage entièrement très souvent, il a l’air d’apprécier la marchandise et je dois dire que ça me fait de l’effet. Je décide donc de rentrer dans son jeu, je lui lance moi aussi des regards aguicheurs, je porte mon regard assez souvent sur sa bite en me mordant la lèvre et en lui faisant comprendre que j’aimerais bien savoir ce qui ce cache sous son jean. Ces regards échangés m’excitent durant toute la soirée et je me demande s’il osera aller plus loin.
Au moment de partir, il me laisse un papier avec écrit dessus une adresse, et un petit mot « je t’y attend après ton service ». Pas de numéro de téléphone, juste une adresse. Il me reste 1h avant de finir mon travail, et pendant toute cette heure je tergiverse, est-ce que j’y vais ? Après tout c’est peut être un malade mental, je ne le connais pas. Mais ça me titille quand même énormément, j’ai toujours aimé ce genre de situation, ça a le don de bien m’exciter. Je décide après mure réflexion d’y aller, après tout pourquoi ne pas s’éclater un peu.
Je me dépêche de ranger mon bar une fois les clients fini, je sors entre dans ma voiture et ni une ni deux je prends la direction de l’adresse qu’il m’a donné. Je me souviens alors que j’ai toujours mon petit gode dans mon sac et je décide de me préparer un peu tout en conduisant, pour être bien mouillé et bien dilaté lorsque j’arriverais chez lui. Le stress monte en moi, et je remarque que plus le stresse plus je mouille, je me fourre mon gode bien profond dans la chatte, pour me faire monter en tension.
Me voilà devant sa porte, je tremble légèrement, je toque quelques petits coup, j’entend des pas qui arrivent et j’essaye de réguler ma respiration, et contrôler mon stress. Il m’ouvre la porte avec un grand sourire, me prend la main et sans un mot m’amène dans son salon où à ma grande stupeur, l’un des hommes qui faisait partit du groupe nous attend, assis sur le canapé.
Il n’était pas prévu qu’il y ai un autre homme qui se joigne à nous, plusieurs sentiments s’immiscent en moi, la peur dans un premier temps car ils sont 2, ensuite la colère car j’aurais aimé qu’il me prévienne et qu’il ne me mette pas devant le fait accompli, la résignation, maintenant que je suis là, il est hors de question que je fasse demi tour et ensuite l’excitation fait son apparition , je ne me suis jamais retrouvée dans ce genre de situation, j’ai déjà pratiqué un gang bang mais c’était dans un sauna libertin et c’était les hommes qui venais à moi, là c’est totalement différent, c’est moi qui vais devoir en quelque sorte prendre les reines.
Je commence alors a enlevé mon trench, je m’approche lentement de Xavier (l’homme qui m’a invité), je déboutonne son pantalon tout en l’embrassant, je caresse sa bite à travers son pantalon et je la sens qui gonfle entre mes doigts. je descends son pantalon et son caleçon en même temps. Avant que je m’accroupisse pour le sucer il me retire mon haut et mon soutient gorge et me caresse délicatement les seins, pendant ce temps je vois du coin de l’oeil, Sébastien, qui a sorti sa bite de son pantalon et qui se caresse en nous observant.
Je m’accroupie devant la bite à Xavier et commence par lécher son gland et remonte ma langue vers ses couilles que je lèche tout en le branlant, je l’entend gémir, preuve qu’il apprécie la caresse. je le prend alors délicatement en bouche et amène son gland au fond de ma gorge pour me faire baver, j’entreprend ensuite des va et vient avec ma bouche chaude autour de lui, je fais tourner ma langue en même temps sur sa bite, ma bave commence a dégouliner sur mes seins, je me les caresses pour les badigeonner de salive tout en continuant de le sucer.
« oui vas-y suce salope » gémit Xavier » t’aime ça sucer des bites hein »
« oui j’adore ça, n’importe quelle bite »
Je me tourne ensuite vers Sébastien qui est toujours assis sur le canapé et entreprend de lui sucer la bite à lui aussi , mais cette fois, je lui prend les mains les dépose sur ma tête et lui demande de me défoncer la bouche. Il enfonce sa bite à grand coup au fond de ma gorge, je crache ma salive sur ses couilles pour ne pas m’étouffer.
« crache sur ma bite, lubrifie moi avec ta salive pendant que je te fourre la bouche » dit Sébastien tout en me pilonnant la bouche.
Derrière moi je sens Xavier qui s’accroupie et qui commence à me caresser les seins, pendant que je continue à sucer Sébastien, il fait descendre sa main de mes seins vers ma chatte
« elle est déjà toute mouillée, et bien dilaté dis donc, il te tarde qu’on te baise c’est ça »
Etant dans l’impossibilité de répondre à cause d’une bite dans ma bouche, je fais oui de la tête.
Xavier me relève alors, me position en levrette en travers du canapé, il se positionne derrière moi et Sébastien devant moi qui me représente sa bite pour que je la prenne dans ma bouche. j’entend Xavier mettre un préservatif et il présente son gland au bord de ma chatte, il le fait coulisser de bas en haut pour badigeonner toute ma chatte de ma mouille et puis enfonce doucement sa bite jusqu’à buter au fond de ma chatte. Je gémis sous la sensation avec la bite de Sébastien encore dans la bouche.
Xavier entame un lent vas et vient, mais ça ne me convient pas, je suis ici pour me faire défoncer. Alors je retire la bite de Sébastien de ma bouche et dit à Xavier
» Défonce moi, agrippe toi a mon cul et bourre moi avec ta bite, je suis qu’une salope nymphomane qui aime se faire baiser brutalement, alors vas y n’ai pas peur »
Il fait ce que je lui dit, il agrippe mon cul avec ses grandes mains, et d’un grand coup de reins enfonce sa bite bien profond, il commence à ma pilonner littéralement, à chaque coup de butoir, la bite de Sébastien s’enfonce au fond de ma gorge.
Après quelques minutes ils échangent leur position, Sébastien décide d’agripper mes cheveux plutôt que mon cul, et ça m’excite encore plus, je prend la bite a Xavier en bouche et je sens le goût de ma chatte sur le préservatif.
Sébastien n’arrête pas de gémir, il me pilonne sans ménagement
« qu’est ce que c’est bon de te baiser, t’encaisse bien hein »
« tu peux me claquer le cul si tu en as envie, aussi fort que tu le veux, je n’ai pas peur de la douleur au contraire »
C’est Xavier qui se penche alors, il m’écarte les fesses pour que Sébastien s’enfonce plus profondement, et il me claque le cul, à plusieurs reprises, je sens que mon cul chauffe mais ça me fait mouiller d’avantage.
Je les sens qui s’acharne de plus en plus sur moi, signe qu’il sont tout les 2 pret de la jouissance, il rechange leur position, les coups de rein de Xavier sont encore plus violent de même que ceux de Sébastien dans ma bouche, les sentant proche, je décide de me caresser le clitoris pour venir en même temps qu’eux, je sens ma chatte qui se contracte.
« ouais tu serres ma bite salope avec ta chatte, vas y fait toi jouir »
Je me caresse de plus en plus fort le clitoris, je sens leur 2 glands qui gonfle chacun dans leur trou, et c’est ce qui me fait exploser, je jouis me contractant autour de la bite a Xavier avec ma chatte et autour de celle de Sébastien avec ma bouche.
Et tout les deux jouissent en presque en même temps, en poussant des râles roques, ont est tout les 3 tremblants.
Ils se retirent tout les deux de moi, filent dans la salle de bain retirer leur capotes, pendant ce temps je me rhabille les jambes encore tremblantes.
Lorsqu’ils reviennent je les embrasses délicatement sur la bouche et sans un mot passe le pas de la porte sans me retourner.
Mon seul regret : que mon homme n’ai pas assister à ça
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