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Premier jour de vacances (Episode V)

Premier jour de vacances (Episode V)



… une impression diffuse, comme une caresse infinie. Une fragrance entêtante mêlée à une sensation humide. Une odeur reconnaissable entre mille. Bien que j’évolue dans une obscurité insondable, je perçois néanmoins ce qui m’entoure via mes sens en alerte. J’ai conscience de ta présence bienfaisante tout autour de moi, d’une fleur qui déploie ses pétales sur ma bouche entrouverte et de l’agréable goût qui se répand sur ma langue et envahit tout mon être. En réponse, mon corps s’arc-boute, chacune de mes extrémités acquérant une sensibilité accrue. Je ne suis que désir, je suis à ta merci. Je ressens des contacts multiples sur tout mon corps sans que j’arrive vraiment à les dissocier. Un téton titillé, un gland mordillé, une langue enfouie au fond de ton vagin, un sexe s’immisçant entre tes lèvres moites, un doigt caressant ton petit trou, un nez humant le délicat parfum de ton entrejambe, des lèvres collées à ta bouche, toutes ces sensations se mélangent et je tressaille sous l’effet d’un si puissant cocktail de plaisir. A la faveur d’une lueur, il me semble t’apercevoir tout autour de mon corps, en de multiples exemplaires, perchée sur mon sexe, assise sur mon visage, accroupie sur chacune de mes mains, penchée sur mon torse… Et quand je jouis, c’est tout mon corps qui explose et fusionne avec le tien pour ne former plus qu’un entité… Une goutte, et ma perception est troublée. Deux, trois gouttes et ce rêve étrange me glisse entre les doigts. Je sors alors de ma torpeur…

Hum… Combien de temps ai-je dormi? Aucune idée. Par contre, je sais ce qui m’a réveillé. J’entrouvre un œil en grommelant. Tu es debout devant moi, trempe de la tête aux pieds, un large sourire aux lèvres. Tu tiens tes cheveux mouillés dans les mains que, manifestement, tu as pressés au-dessus de moi, étant donné que mon torse est constellé de gouttes d’eau. « J’avais trop envie d’y retourner, je n’ai pas voulu te réveiller, tu avais l’air de si bien dormir. » Là, forcément, pour le coup, je ne dors plus. Perchée sur tes deux jambes, tu parais très fière de toi. Tes seins semblent me narguer, tout comme ton sexe que je devine en transparence dans les plis de ton bas de maillot. A ce qu’on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid. Je ne compte pas attendre si longtemps. Comme si tu lisais dans mes pensées, ton regard se porte sur la bosse apparente à l’intérieur de mon maillot. « Oh, on dirait que quelqu’un était en train de faire un rêve cochon… », t’amuses-tu. Après tout, c’est fort possible, mais la seule vue de ton corps suffit généralement à me mettre dans cet état. Tu t’agenouilles devant moi, non sans jeter un œil aux alentours, et défais délicatement le lacet du maillot. « Qu’est-ce que nous avons là? », demandes-tu, un sourire en coin.

Ta main s’immisce sous le tissu et s’empare de la base de ma verge. Je lis dans tes yeux que, quelques heures auparavant, tu aurais préféré avoir ça au fond de toi à la place de ton jouet. Alors que tu semblais tout d’abord plus disposée à me masturber dans mon maillot, à coup sûr pour mieux me faire languir, je décide de le retirer sans cérémonie, exhibant ainsi ma queue bien droite et déjà gonflée de désir. « Suce-moi. » Le simple fait de te donner cet ordre semble t’émoustiller. Tu poses ta bouche sur mon sexe, gobant d’un coup mon gland rougeâtre, puis tu avales toute ma bite jusqu’au fond de ta gorge. Et tu entames des allers-retours sur ma tige de chair, m’arrachant plusieurs râles de bien-être. Tes doigts viennent caresser mes tétons, ne faisant qu’augmenter mon excitation. Je sens mon gland frotter contre ton palais, ainsi que ta salive descendre le long de mon sexe. Gourmande, tu dévores ma bite comme s’il s’agissait d’un bâtonnet de glace. Une de tes mains quitte mon torse pour se réfugier dans ton bas de maillot, à la rencontre de ta chatte probablement déjà bien mouillée. Je me redresse, puis te fais allonger à ton tour sur la serviette.

Je remarque une tâche sombre sur ton maillot, juste à l’endroit où ton minou secrète son jus. Je pousse du doigt le tissu pour dévoiler ton sexe. Tes lèvres sont déjà très écartées, et l’intérieur de ta chatte est tout rose. Une fine bande d’écume s’est déposée sur le contour de ton sexe, comme une collerette soyeuse. Je la ramasse du bout du doigt pour la porter à mes lèvres. Alors que j’approche ma bouche pour venir butiner ton nid d’amour, tu appuies sur mes épaules pour couper mon élan. Intrigué, je lève les yeux vers toi. « C’est ta bite que je veux », intimes-tu avec détermination. « Fourre-moi avec ton engin. » Pas besoin de me le dire deux fois. Ma queue tendue comme un arc ne demande que ça. J’enlève ton maillot, je positionne mon gland à l’entrée de ton vagin et, d’un coup viril, je pénètre enfin dans ton sanctuaire. Je suis comme transi par une montée de désir irrésistible. Il me tardait tellement de me sentir au chaud dans ton ventre que j’en savoure chaque instant. Le fait que je m’éternise ainsi, immobile entre tes cuisses, n’est pas à ton goût, aussi je sens ton corps se cambrer pour réclamer un peu plus de mouvement. J’y viens, ma chérie, j’y viens. Ne sois pas si impatiente.

Je pose mes mains sur tes seins aux mamelons élargis par le désir et j’entame une série de va-et-vient dans ta chatte naturellement lubrifiée. Tu agrippes ta serviette des deux mains et te contorsionnes sous les coups de rein que je t’assène. « Oh oui, vas-y plus fort, c’est trop bon! », t’exclames-tu. J’accélère la cadence et l’amplitude de mes mouvements au fond de toi, tes gémissements de plus en plus prononcés m’indiquent que je suis sur la bonne voie. Dans une seconde de lucidité, je prends conscience de ce qui nous arrive: nous voilà en train de faire l’amour sur une plage déserte, coupée de toute civilisation, uniquement à l’écoute de nos corps accouplés et débordants de désir. Ce qui, jusqu’à présent, relevait du simple fantasme est devenu notre réalité la plus immédiate. Galvanisé par ce moment, je redouble de vigueur entre tes cuisses, t’arrachant de petits cris de plaisir qui se mêlent au clapotis de nos sexes joints. Tu jouis bientôt, plantant tes ongles dans mon dos tout en hurlant ton plaisir. Je me retire pour regarder ta chatte palpiter sous l’effet de ton orgasme, tu en profites pour te retourner et te mettre directement à quatre pattes devant moi. Tu empoignes ma verge et l’insères en toi avec une facilité déconcertante. « A ton tour de jouir », m’encourages-tu. C’est bien mon intention.

A suivre…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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