J’étais un habitué de ce bar situé à deux pas de chez moi. Il arrivait qu’on y croise de parfaits inconnus, selon les jours. Mais là, il s’agissait d’un soir, aux alentours de 21 heures. Un jeudi, pour être exact.
C’était à la fin de l’automne.
J’avais remarqué cette fille. Je lui avais donné 20 ans, à première vue, et j’apprendrais plus tard dans la soirée que je ne m’étais pas trompé de beaucoup. Elle en avait 22. J’en avais vingt de plus. Je venais souvent ici le soir, pour boire quelques verres et avaler un croque-monsieur ou un sandwich, puis je rentrais chez moi pour me remettre à écrire.
C’est mon métier.
Elle était un peu ivre, ça se voyait. Elle était assez mince, brune avec un chignon et une robe courte, mauve à petites fleurs roses et jaunes. Elle était au comptoir, tandis que j’étais installé à une table dans la salle.
Je la suivais des yeux.
Elle parlait fort avec le serveur que je connaissais bien.
Elle avait un très joli cul.
J’ai fini de manger et je me suis levé pour m’approcher du comptoir. La fille s’y trouvait toujours. J’ai commandé un demi, puis je me suis tourné vers elle pour lui demander si elle buvait quelque chose. Elle m’a regardé comme si je venais d’une autre planète, puis elle a dit :
« Merci, c’est cool. »
Ses yeux partaient de travers. Les miens aussi, sans doute.
Je me suis approché d’elle et on nous a servi. Elle s’appelait Nelly. Elle avait de longs cils et des petits seins. Je compris rapidement que son copain conduisait un camion et qu’il était bloqué par la neige, à 200 kilomètres de là. Nelly n’avait pas la clé de son appartement.
On a bavardé.
Et pris un autre verre.
Un autre encore, puis j’ai dû accompagner Nelly aux toilettes. Je lui ai tenu la porte et on est revenu au comptoir. On a bu un dernier verre, puis elle m’a remercié d’accepter de l’accueillir chez moi pour la nuit, le temps que le camion de son copain sorte de la neige.
J’ai réglé l’addition.
Nelly a passé un manteau en fausse fourrure sur son dos, puis on a gagné la rue.
Elle ne marchait pas très droit, je la tenais par le bras.
Il avait gelé, ça glissait.
Elle riait.
Je crus comprendre qu’elle était avec son copain depuis trois mois et qu’il voulait se marier avec elle et lui faire un enfant, ou bien l’inverse.
Je m’en fichais.
J’avais bu deux bières avant de sortir de chez moi, puis quatre au bar. Et j’en avais au frais chez moi.
Au cours des cents derniers mètres, j’ai tenu Nelly par la taille. Elle avait une culotte. Dans l’escalier, je lui ai effleuré le cul, mais sans insister. On est entré chez moi et j’ai fermé la porte à clé.
J’ai sorti deux bières, puis Nelly s’est mise à me raconter sa vie.
On s’était installé à la table basse de mon salon, et je voyais sa culotte.
Elle avait interrompu ses études, provisoirement, parce que « ça n’allait pas », selon ses termes. Son mec avait un bon salaire, c’était cool, et il voulait se marier avec elle.
OK.
Et faire un enfant.
Elle pleurait un peu, et moi j’essayais de la réconforter en lui caressant le dos. Un peu les fesses.
J’ai sorti deux autres bières.
Elle s’est arrêtée de pleurer et m’a remercié au moins dix fois d’accepter de l’héberger pour la nuit.
Pas de soucis.
Ensuite, je l’ai escortée jusqu’à la salle de bains. Elle titubait. Moi aussi. Je l’ai aidée à se déshabiller et j’ai enfin vu ses petits seins. Je l’ai aidée à baisser sa culotte, puis à enjamber ma baignoire. Elle avait la chatte lisse. J’ai ouvert le robinet d’eau et, le temps que ça chauffe, je lui ai touché le cul. Puis je l’ai laissée tranquille.
A sa sortie de la salle de bains, elle était à poil. Je l’ai accompagnée vers ma chambre et j’ai brièvement touché ses seins avant de la couvrir d’un drap et d’une couverture. Ensuite, j’ai pris la douche la plus rapide de ma vie, puis j’ai rejoint Nelly dans mon lit.
Elle dormait.
On était tous les deux à poil et je me suis mis à la toucher.
Ses seins.
Sa chatte.
Un peu son anus.
Ensuite, elle s’est tournée et je me suis mis à caresser ses fesses, sous les draps, tout en me masturbant. J’ai attendu pour la pénétrer. J’ai attendu d’être certain qu’elle ne dormait pas complètement, mais qu’elle n’avait pas plus non plus toute sa tête.
Je lui ai pénétré la chatte.
Elle était un peu mouillée, mais sans plus.
J’ai fait dix va-et-vient, puis j’ai mouillé son cul avec ma salive. Je l’ai léchée longuement, sous les draps et elle n’a pas vraiment réagi. J’ai fini par baver sur son anus, puis je l’ai enculée, doucement, tout en tripotant tantôt ses petits nichons, tantôt sa petite moule.
Ensuite, je l’ai faite pivoter et j’ai écarté ses cuisses pour la prendre par devant. Elle dormait vaguement, tandis que je lui bourrais la chatte. Et je me souviens avoir mis un temps fou à éjaculer. De longues minutes pendant lesquelles j’ai tripoté Nelly : ses hanches, ses petits seins, sa moule et la base de son superbe cul.
De temps à autre, à la lueur de ma lampe de chevet, je regardais mon gland qui sortait de cette petite chatte lisse, puis qui s’enfouissait de nouveau dedans. Il avait le volume d’un abricot. Gonflé à bloc.
La première giclée est allée au fond de la chatte de Nelly.
La deuxième sur ses lèvres.
Mon sperme était laiteux, épais, et la troisième giclée se réduisit à trois gouttes qui restèrent pendues à mon gland.
J’avais râlé dans la nuit.
Nelly dormait profondément.
Le lendemain matin, je fus réveillé par sa voix. Elle était debout au milieu de mon salon, au téléphone, à poil. D’où j’étais, je voyais les contours de son cul, à contre-jour, et ceux de ses lèvres. Apparemment, la neige avait libéré le camion de son copain.
Elle a raccroché, puis elle est venue vers moi.
Elle m’a dit :
« C’est vraiment cool de m’avoir hébergée. Merci. »
Elle m’a embrassé sur la joue, puis elle a filé sous la douche.
J’avais un mal de crâne du tonnerre.
Je me suis rendormi.
A mon réveil, l’appartement était silencieux.
C’était il y a un an et demi.
Dernièrement, j’ai recroisé Nelly, dans la foule, dans une rue du centre-ville. Elle ne m’a pas vu. Je me suis dit qu’elle ne m’aurait sans doute pas reconnu. Elle était aux côtés d’un mec de son âge, assez grand et costaud. Il la tenait par l’épaule et elle riait. C’était elle, j’en suis sûr. J’ai une parfaite mémoire des visages. Elle avait l’air heureuse.
Quant à la petite fille dans la poussette, devant eux, elle avait mes yeux et mon nez. J’en mettrais ma main au feu.
:::
Ajouter un commentaire