J’ai connu Emma grâce à une voisine qui était au courant de la phase difficile que je traversais. Mon compagnon m’agaçait de plus en plus au bout de huit ans de vie commune. Mon boulot était difficile et l’ambiance à la boite était mauvaise. Et j’avais souvent mal au dos. Bref la catastrophe n’était pas loin. Pourtant j’étais une jeune femme de 35 ans plutôt sympa et jolie selon mon entourage. Ma voisine me conseilla de me faire masser pour me détendre des muscles du dos et m’indiqua un salon qu’elle avait déjà utilisé. Tu verras me dit-elle c’est une femme qui te masse et elle est sympa.
Après avoir hésité je finis par prendre rendez-vous. C’était dans une maison de ville à un seul étage dans un quartier accessible en tram. Sur la sonnette une seule inscription « Emmasseuse ». Je sonnai à l’heure exacte du rendez-vous et la porte s’ouvrit rapidement sur une jeune femme rousse aux yeux pers, souriante qui m’accueillit avec élégance : « je suis Emma votre masseuse veuillez-vous installer au salon nous allons faire connaissance. »
Elle m’installa sur un sofa, s’assit à mes côtés et me questionna doucement sur les motivations de ma visite. Elle m’expliqua ensuite qu’elle proposait plusieurs prestations toutes d’une durée d’environ une heure allant de la décontraction musculaire par massage vigoureux jusqu’au massage plus sensuel dans les limites fixées par la cliente. Ayant le dos contracté j’optais pour le premier massage qui fût un vrai délice.
Emma m’a massé sur table, elle-même était vêtue d’une combinaison de travail blanche. Elle m’avait demandé de garder ma culotte. Ses mains et ses bras musclés ont longuement pétri mon corps des épaules au bout des doigts et de la nuque au bout des pieds. L’huile qu’elle utilisait sentait la lavande et une douce musique de chants d’oiseau très reposante complétait le plaisir. J’avais gardé les yeux fermés presque tout le temps mais j’avais pu voir qu’Emma était une très belle masseuse sportive qui devait entretenir soigneusement son corps. Elle finit la séance par des caresses douces qui faillirent m’endormir. J’eu du mal à aller jusqu’à la douche où elle me savonna l’ensemble du corps avant de me proposer un peignoir et une grande serviette chaude. Avant de repartir elle me questionna sur mon ressenti puis m’invita à revenir pour essayer d’autres prestations puis elle m’embrassa d’un baiser furtif au coin des lèvres. Je repartis chez moi sur un petit nuage. Il y avait longtemps que je n’avais pas été aussi bien.
Dans les jours suivants la proposition d’Emma me trotta dans la tête. J’avais envie d’en savoir plus et j’avais aussi peur d’aller plus loin avec une femme car j’étais vierge en ce concerne les relations lesbiennes. Le temps passa mais l’idée fit son chemin et un jour où je me sentais seule je pris le téléphone pour ce second rendez-vous. Pour y aller je me fis très belle et choisis des sous-vêtements affriolants dont un string ficelle acheté pour cette occasion. C’est dire si j’en avais envie.
Comme la première fois Emma m’accueillit avec classe et comprit instantanément pourquoi je venais cette fois ci. Elle me déshabilla entièrement et me fit entre dans une chambre où il n’y avait qu’un grand futon au sol. Puis elle me rejoignit également complètement nue. Elle avait un corps très halé avec de beaux petits seins haut perché, un sexe épilé et de longues cuisses musclées. Elle était mince. Elle était un peu plus grande que moi. Elle me prit dans ses bras, m’embrassa doucement en passant sa langue entre mes lèvres puis me dit : « vient ma belle, on va s’amuser ».
Elle me fit allonger sur le dos se positionna sur moi et me couvrit de tendres baisers parfois humides sur mes lèvres, mes oreilles, mon cou, mes aisselles épilées, mes seins. Elle suça mes tétons puis les mordilla pour qu’ils s’érigent. Elle descendit en léchant mon nombril puis mon ventre. Et elle plongeât entre mes cuisses pour se régaler de mon sexe déjà humide. Elle me fit l’amour longtemps avec sa langue et ses doigts en n’oubliant aucun recoin de mon intimité la plus secrète. Je jouis plusieurs fois, avec une intensité qui m’était inconnue lorsqu’elle suça mon clitoris tout en massant mon vagin avec une main et en insérant un pouce dans mon anus.
Lorsqu’elle me savonna de nouveau sous la douche j’étais épuisée. Elle m’offrit une tisane pour me permettre de reprendre pied. Je suis retournée la voir souvent. Maintenant quelques années ont passé. Je vis avec une jeune femme à qui j’ai à mon tour appris beaucoup sur son corps et la façon d’en jouer.
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