Le soir venu, nous nous passâmes de la crème après soleil avant de préparer le repas. Orky s’était réveillé. Sa vigueur semblait revenue et un petit bout de sexe rouge dépassait de sa gaine pelvienne. Toujours nues comme à notre habitude, nous nous regardâmes avec maman d’un sourire complice. Nous étalâmes une grande serviette sur la terrasse et nous allongeâmes. Nous commençâmes un doux 69 moi dessus. Orky nous avait suivies et passait d’une chatte à l’autre en remuant la queue. Il passait un grand coup de langue à chaque fois, ne semblant pas vouloir s’attarder sur une plutôt que sur l’autre.
Nous nous arrêtâmes pour nous occuper de lui. C’est maman qui prit les choses en main. Elle le fit venir vers elle et commença à caresser son sexe à travers la gaine. Celui-ci sortait. Il était encore fin et de petits jets de liquide sortaient par intermittence. Maman me demanda de le tenir un peu et se glissa sous lui pour prendre le sexe dans sa bouche. Elle le suça pendant quelques minutes. Il devenait très gros et le nœud à la base était turgescent. Elle avalait les jets de liquide. Elle me fit signe de prendre sa place. J’eus un moment d’hésitation, mais j’étais trop excitée pour résister. Nous échangeâmes nos places. Délicatement, je pris le sexe d’Orky entre mes doigts pour le diriger entre mes lèvres. Après un léger haut-le-cœur, je réussis à le lécher et le sucer.
J’avais un peu de mal avec le liquide qui sortait par le petit bout pointu pas saccades. Je le recrachais systématiquement. Je le suçais jusqu’à ce qu’il devienne très gros dans ma bouche. Le léger dégoût du début, se transforma en plaisir avec l’excitation qui montait. Il ne bougeait pas, se laissant faire. Il prenait goût à cette caresse buccale autant que j’en prenais à lui faire. Maman me caressait le clitoris en même temps ce qui décuplait mon plaisir. Au bout d’un moment j’arrêtais de le sucer et proposais à maman de me faire prendre comme elle plus tôt dans l’après-midi. Elle accepta sans hésiter. Je me mis à quatre pattes. Elle guida Orky sur moi, prenant son sexe pour le diriger vers le mien. Avec un peu d’appréhension, j’essayais de m’ouvrir pour cette pénétration d’un genre nouveau pour moi. Je sentis le bout de son sexe à l’entrée de mon vagin. D’un seul coup, il entra en moi. Je poussai un grand cri en me sentant prise sauvagement ainsi. J’avais un peu mal car il ne faisait preuve d’aucune douceur. Le bout de son sexe touchait sans ménagement l’entrée du col de l’utérus, ce qui n’était pas vraiment agréable.
Rapidement cependant, je sentis le plaisir monter en moi. Je sentais son sexe gonfler en moi et les petits jets de liquide s’écouler à l’intérieur lubrifiant bien ma chatte déjà trempée. Je tournais la tête et vis maman se caresser en nous regardant. Je lui souris. Elle se rapprocha et m’embrassa à pleine bouche. Je cambrais les reins pour me sentir pénétrée à fond. A un moment, je le sentis bloqué en moi par la nœud à la base de son sexe. Je ne bougeais plus non plus, profitant de me sentir remplie complètement. Il éjaculait maintenant en moi et je sentais son sperme au plus profond. Il resta coincé en moi une bonne dizaine de minutes. Quand enfin il put s’extraire, une grande quantité de sperme s’écoula. Orky partit dans un coin se lécher les parties intimes. Maman, vint lécher ma chatte et le sperme qui coulait encore. Elle me fit jouir une nouvelle fois ainsi. Nous nous retrouvâmes rapidement en 69 pour notre plus grand plaisir. Finalement, repues de bonheur, nous nous décidâmes de dîner.
Après le repas, je pris une douche car je me sentais poisseuse du sperme d’Orky. Quand je redescendis, maman avait fini la vaisselle. Nous nous assîmes dans le canapé en rotin sur la terrasse pour parler de nous. Elle me demanda comment j’avais trouvé cette pénétration. Je lui répondis que c’était vraiment spécial mais que le plaisir final effaçait la douleur initiale. Nous nous promîmes d’emmener Orky en balade dans la nature et que nous continuerions à le laisser nous prendre autant que nous en aurions envie. Nous retournâmes dans la chambre car les moustiques commençaient à nous attaquer avec la tombée de la nuit. Une fois allongées, nos langues se trouvèrent dans un long baiser. Nos mains caressaient le corps de l’autre comme au premier jour. J’aimais la douceur de sa peau et ses mains me faisaient frissonner. Je sortis le gode-ceinture du tiroir et m’en harnacha. J’attrapais les hanches de maman qui était à quatre pattes. Lentement je poussais le gode lentement en elle. Elle gémissait de plaisir, s’ouvrant pour que je la pénètre au plus profond. Je me baissais pour caresser ses seins en même temps. Nous étions en parfaite symbiose, sachant ce que l’autre aimait et ce qu’elle avait envie sans parler.
Je la fis jouir de cette façon. Je retirai le gode-ceinture et nous nous enlaçâmes tendrement. Encore une fois, nous nous mîmes tête-bêche. Je dégustais la liqueur qui dégoulinait de la chatte de maman. Mon clito entre ses lèvres était comme aspiré. Elle savait trop bien me lécher et me faire jouir ainsi. Nous étions parfaitement complémentaires. Je connaissais parfaitement son corps et toutes les choses qu’elle aimait. Elle me doigtait pendant que je la léchais. Je la suppliais de me remplir avec sa main. Doigt après doigt, je sentais sa main me pénétrer lentement. Lorsque son pouce fut au creux de sa main, elle replia les doigts. Elle poussa un peu plus pour que sa main soit en moi jusqu’au poignet. Je soupirais de plaisir, m’écartant un peu plus pour bien la sentir en moi. Elle faisait entrer et sortir sa main doucement et me caresser le clitoris de son autre main. Je ne tardai pas à jouir très fort dans un gémissement qui ravit maman. Nous finîmes par nous endormir dans les bras l’une de l’autre, repues d’amour et de plaisir.
A suivre…
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