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Viol de Noël

Viol de Noël



Il avait neigé toute la journée. La féérie de noël c’est bien gentil, mais lorsqu’il faut circuler dans les rues bondées, bonjour ! Et puis tous ces abrutis qui sont perdus avec quelques centimètres de poudreuse, quelle horreur ! Mais il fallait bien faire les derniers achats. Les produits frais, passer prendre la commande de gâteau et deux ou trois détails oubliés.
Marika rentra la voiture au garage, elle allait y rester tout le week-end. Il serait bien assez tôt lundi de retourner au boulot. Une fois la porte coulissante refermée, elle déchargea ses achats, rangea les bouteilles d’eau dans le cellier et mit le champagne au frais. Le reste dans la cuisine, elle allait en avoir besoin pour préparer son petit repas de réveillon de noël.
Elle se réjouissait à l’avance. Exceptionnellement les filles étaient chez leurs grands parents. Au début l’idée lui avait fortement déplu. Mais elles avaient tant insisté qu’elle avait fini par céder. Il faut bien dire aussi que chez papi et mamie elles pouvaient faire du ski. Alors entre une soirée avec les parents au coin du feu ou du ski avec les amis, le choix était vite fait. Et puis finalement, elle se dit que pour une fois une petite soirée en tête à tête avec son chéri, ce n’était pas mal non plus. Il pourrait faire quelques galipettes sur le tapis devant la cheminée sans risquer que l’une ou l’autre des filles débarque à l’improviste.
Marika s’affaira dans sa cuisine pendant un bon moment. Il fallait le gâter ce pauvre petit mari qui devait quand même travailler tard. Fatigué ou pas, elle avait quelques projets pour lui et pour ce qu’il avait entre les jambes surtout. Elle arrangea le salon, quelques bougies savamment placées, un peu de décorations, elle dressa la table amoureusement, un chandelier pour unique éclairage et fila se glisser dans le bain. Un peu de détente avant les hostilités ne lui ferait pas de mal non plus se dit-elle.
Elle redescendit de l’étage toute pimpante et fraiche. Elle avait passé une robe longue rouge, sans rien dessous, il aime tant ça ce cochon, je peux bien lui faire plaisir pensa-t-elle. Un léger maquillage soulignait des traits fins et harmonieux, quelques bijoux pour rehausser son éclat naturel et une coiffure simple, il n’aimait pas que ce soit trop sophistiqué.
Bizarre se dit-elle, il devrait déjà être rentré. Il est vrai qu’avec ce temps épouvantable, la neige n’avait pas cessé de tomber, il ne devait pas être aisé de circuler. Elle se dirigea vers la cuisine, vérifia qu’elle n’avait rien oublié, alluma le four et déboucha la bouteille de bourgogne. Elle entendit un petit bruit sourd dans le salon lui sembla-t-il, puis plus rien. C’est curieux pensa-t-elle, si c’est lui je devrai l’entendre. Mais elle se dit qu’il avait sans doute une surprise pour elle et qu’il se faisait discret. Elle ne voulut pas lui gâcher son effet et continua son activité. Ensuite elle pris le vase rempli de fleur et se dirigea vers le salon. Sa place était sur le petit guéridon.
Cela fait, Marika voulut aller voir dans l’entrée si le manteau de son petit mari était accroché à la patère, signe de sa présence. Elle n’en eut pas le loisir. En passant la porte du salon, une main implacable se posa sur sa bouche, un bras lui barra la poitrine avec force et elle fut littéralement soulevée de terre. L’homme la ramena dans le salon. D’un coup de pied il poussa la table basse et il jeta sa proie sur le tapis épais qui amorti un peu le choc. Alors qu’il la tenait plaquée au sol avec un pied sur son dos, Marika l’entendait retirer ses vêtements. Elle tenta de se débattre mais la pression se fit plus forte sur ses reins. Elle cria autant que lui permettait sa position inconfortable mais il lui claqua les fesses en lui signifiant de la fermer. Salope ! Se crut-il obligé d’ajouter. Pour retirer totalement son pantalon et son caleçon il dût pourtant relâcher la pression mais il lui recommanda de ne pas bouger si elle ne voulait pas souffrir. De toute façon, que pouvait-elle faire ? Il aurait tôt fait de la replaquer au sol, le nez dans le tapis. Elle aurait peut-être une meilleure opportunité plus tard pensa-t-elle.
Maintenant, avec un genou sur son dos, l’homme s’employait à remonter la robe longue. Il tirait sur le tissu satiné avec une main et de l’autre, il caressait la peau nue qui apparaissait au fur et à mesure. Marika serrait les cuisses autant qu’elle le pouvait. Elle ignorait si elle allait pouvoir lui échapper, mais en tous cas elle n’allait pas lui faciliter le travail. Ce salaud n’allait pas profiter d’elle comme ça. Mais putain que fait mon mari ???? Il devrait être là depuis un moment. Si ça se trouve c’est ce type qui a fait en sorte de le retarder pour avoir tout son temps. C’est ça, c’est prémédité ! Mon Dieu, mais qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi moi ?!
Marika avait le cerveau en ébullition et la robe remontait, inexorablement. Maintenant l’homme caressait l’arrière de ses cuisses. Un peu vers l’intérieur. Là où c’est bien tendre. Puis il redescendait dans le creux des genoux et remontait sa main jusqu’à la naissance des fesses. Il devait trouver ça à son goût parce qu’il insistait sur ces parties. Il finit quand même par remonter la robe au dessus des fesses.
– Mais tu n’as pas de culotte ma salope !!!! Tu m’attendais c’est ça hein ? Tu m’attendais !
– Naon meuchieu.
– Hein ? Qu’est ce que tu dis petite pute ?
– Non monsieur je ne vous attendais pas.
– Ben pourtant on dirait bien.
L’homme se déplaça. Il posa un genou sur les fesses de Marika et continua de remonter le tissu aussi haut qu’il pouvait. Insatisfait, il décida de se relever.
– Debout petite pute et enlève ta robe en vitesse !!!
– Mais laissez moi ! Que me voulez-vous ? Pourquoi moi ? C’est de l’argent que vous voulez ? Je vous en donne si vous voulez ! Mon mari va arriver d’une minute à l’autre, il va vous tuer !
– C’est ça, c’est ça, arrête tu me fais peur.
– S’il vous plait monsieur ???!
– Ta gueule salope ! A poil et c’est tout !
Marika, désespérée, dût se plier aux ordres et retira sa robe qu’elle jeta négligemment sur le canapé. Elle restait les bras ballants, effrayée, la tête basse, devant cet homme imposant, musclé et bien trop fort pour pouvoir lutter.
– Et bien voilà, tu vois quand tu veux. Mets toi à genoux morue ! Tu vas me sucer et si tu prends une initiative malheureuse je te prie de croire que tu vas le regretter.
L’homme la força à exécuter son ordre en appuyant sur son épaule. Elle n’eut pas d’autre choix que de plier. A genou, les yeux fermés, Marika attendait. Lui, il se délectait de voir cette belle femme à sa merci. Il allait en profiter, une belle bourgeoise comme ça, ça ne se refuse pas.
– Alors ma chienne en chaleur, tu attends quoi ?!
Marika, toujours les yeux fermés, ouvrit timidement la bouche. Beurk ! Se dit-elle, quel goût va avoir sa bite à celui la ? Je n’ai même pas fait attention si elle est grosse ou pas. L’homme s’avança. Sa queue presque raide effleurait à peine les lèvres de Marika. Lorsqu’elle sentit qu’il la frôlait, elle ouvrit davantage les mâchoires et tendit le cou un peu plus.
– Attends ma salope ! Te voilà bien pressée tout d’un coup. T’aimes ça la bite hein ?!! Dis le moi que tu aimes la bite petite pute !!
– Oui j’aime ça.
– Hein ?! Quoi ?! Je n’entends rien et dis le poliment !
– Oui monsieur, j’aime la bite.
– Et laquelle que tu aimes ma salope ?
– La vôtre monsieur.
– C’est bien ça. Tu vois, je le savais bien que tu aimais ma bite.
L’homme avait saisit son engin qu’il avait au demeurant de belle taille sans être énorme, et caressait le visage de Marika qui plissait ses yeux, toujours fermés. Il tapotait son gland devenu gonflé de sang sur les joues, le nez, le front de sa prisonnière.
– Ouvre tes yeux maintenant ma petite pute ! Je veux que tu regardes ! Allez ! Regarde ce que tu vas enfourner dans ta bouche de salope suceuse !
Et joignant le geste à la parole, il mit une main derrière la tête de Marika et enfonça sa queue au fond de sa gorge. Aussitôt elle eut des hauts le cœur et des larmes perlèrent aux coins de ses yeux. Il se retira. Elle put déglutir, reprendre son souffle et essuyer ses pleurs. Oh ! Pas longtemps. Il appuya de nouveau sur sa nuque et força sa bouche. Marika réussit néanmoins à imposer son rythme et finalement il la laissa faire. Cette petite pute est efficace finalement se dit-il. Mais il exigea quand même qu’elle lui caresse les couilles en même temps. Ce qu’elle fit plutôt rapidement pour une suppliciée.
L’homme avait maintenant la queue bien raide. Il se dit qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Il repoussa Marika qui faillit tomber à la renverse.
– Dis donc ma salope, tu es bien gourmande ! Tu croyais peut-être que tu allais me faire jouir en me suçant et voilà, le tour est joué ! Qu’est ce que tu crois ? Que ton cul va échapper à mon pieu ? Mets toi à quatre pattes comme la truie lubrique que tu es ! Pose ta tête par terre et écarte tes fesses avec les mains, je veux voir ton trou du cul de salope !
Bien malgré elle, Marika finit par s’exécuter. Elle se retourna, posa sa tête sur le tapis et même une épaule et tendit ses bras vers l’arrière afin de saisir ses deux globes fessiers. Stimulée par une claque, elle consentît à écarter ses fesses, donnant un accès sans limite à son intimité. L’homme se positionna derrière elle et lui prit les hanches. Mais, bien que sa bite effleurait les grandes lèvres, il ne la pénétrait pas. Il lui caressa le dos, passa ses mains sous elle et lui empauma ses nichons qui pendaient, les pointes durcies par une excitation qu’elle ne pouvait pas nier. Il n’en dit rien et continua son exploration. Revenu sur son dos il laissa une de ses main courir jusqu’à son cou qu’il serra, juste ce qu’il faut pour aider à comprendre qui était le maître. L’autre main revint sur la croupe. Elle épousa l’arrondi soyeux puis glissa dans la raie. Marika eut un mouvement de recule involontaire lorsqu’un doigt toucha son étoile brune. Une autre claque sur la fesse la rappela à l’ordre. Puis la main repris son périple. D’abord un retour sur la rondelle où un doigt fit un petit mouvement circulaire quelques secondes. Puis la main poursuivit son chemin en descendant.
– Non de Dieu ! Mais tu es trempée ma petite pute !!! Ta chatte ruisselle ! Et tu vas me dire que je te force ???!!! Hein ?! Regarde moi cette chatte gonflée de désir ! Ces lèvres ouvertes ! Ce vagin accueillant ! Luisant de ta mouille de chienne en chaleur ! Dis le que tu ne veux pas de ma bite ! Dis le pour voir ! Allez !!
– Si je la veux !!!! Baisez moi bordel !
– Tes désirs sont des ordres ma salope !
Et l’homme enfonça sa tige turgescente dans les entrailles de Marika qui poussa un cri sauvage lorsque le gland toucha le fond de son ventre. Puis il se mit à la pistonner comme un forcené. Il ahanait, elle criait. Il soufflait, elle gémissait. Il lui tenait les hanches pour mieux s’enfoncer, elle se cambrait pour mieux sentir son pieu. Le rythme effréné ne semblait plus vouloir s’arrêter lorsque pourtant, il stoppa.
– Maintenant je vais t’enculer ma grosse truie !
– Oh non mon Dieu !!! Pas ça je vous en supplie !!!
– Ta gueule ma petite pute ! Tu n’as pas le choix. Et ne me dis pas qu’une bite n’est jamais passée par là ! Hein ?!
– …
– Hein ?!! Je n’ai pas entendu !
– Si … Mais …
– Mais quoi salope ?!
– Vous je ne veux pas.
– Ouais c’est ça ! Mais je ne te demande pas ton avis. Tu es ma chienne et ma chienne elle fait ce que je veux !
Et l’homme sortit sa queue toute gluante de cyprine pour la présenter à l’entrée du trou du cul de Marika. Il força à peine et le gland disparu, comme aspiré. De son côté Marika plissait les yeux. Elle la sentait passer quand même. Il lui demanda de se cambrer encore plus. De bien faire ressortir son joli petit cul de salope. Ce qu’elle fit jusqu’à sentir les couilles de l’homme battre sa chatte. Toujours ses hanches à la main, il se mit à défoncer ce cul de la beauté du diable. Il reprit un rythme effréné et ponctua chaque coup de bite d’une claque retentissante sur l’une ou l’autre fesse. La chevauchée infernale était à son paroxysme. Les cris des deux bêtes de sexe emplissaient le salon. Leur corps luisait de sueur. Des gouttes tombaient du front de l’homme sur les fesses de Marika qui poussa un cri rauque et continu venu du fond de son être. Elle avait un orgasme ! Elle devinait le torrent de mouille qui coulait de sa chatte alors que l’homme lui dévastait toujours l’anus. Puis ce fut lui qui s’arrêta.
– Tourne toi ma salope ! Ouvre la bouche !
Marika, encore un peu secouée par l’orgasme qui l’avait traversée, se remis d’aplomb tant bien que mal et tourna son visage vers la queue tendue. L’homme se branla, le gland à deux centimètres de sa langue. Mais quand l’orgasme le rattrapa, Il ne contrôlait plus aussi bien ses mouvements et il arrosa autant son visage que ses cheveux, ses seins et pas une gouttes ne pénétra sa bouche. Une fois apaisé, il tomba lui même à genoux face à une Marika comblée. Elle étalait le foutre sur sa peau luisante et cherchait de sa langue, les dernières gouttes qu’elle avait autour de la bouche.
L’homme l’enlaça tendrement. Il la serra fort contre son torse puis lui pris la bouche dans un long baiser torride.
– Alors mon amour, ton petit cadeau de noël t’a plu ?

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