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Ma copine la prostituée

Ma copine la prostituée



Je savais que ma copine Léna se prostituait pour payer ses études. Elle me l’avait avoué un soir où nous avions bu. J’avais été très étonnée, mais pas vraiment choquée. J’ai même été curieuse de savoir comment elle le vivait et si elle en tirait du plaisir. Elle m’a raconté.
Nous étions dans la même promo à la fac, en première année de lettres modernes, et je mentirais en disant que l’idée de me prostituer aussi ne m’a pas traversé l’esprit par la suite. Léna gagnait très bien sa vie et se payait les fringues qu’elle voulait, des restos et d’autres luxes qui m’étaient interdits. Ceci dit, elle m’en faisait profiter. On était assez proches et, comme moi, son mec suivait ses études dans une autre ville, ce qui permettait à Léna de se prostituer sans qu’il le sache.
Elle se faisait plus ou moins cinq clients par semaine, en soirée ou en pleine journée. Elle était jolie, bien foutue et très ouverte d’esprit, ce qui lui permettait d’exiger des tarifs élevés. Je me souviens d’un paquet d’anecdotes croustillantes qu’elle m’a livrées au cours de soirées bien arrosées. Des trucs que des hommes lui demandaient et qu’elle acceptait. Mais elle faisait aussi les couples, à l’occasion. Il lui est même arrivé de se rendre chez une femme seule, d’une cinquantaine d’années. Une assez belle femme, par ailleurs, qui lui avait demandé si elle était d’accord pour jouer le rôle de sa fille adoptive pendant toute une soirée. Léna avait accepté.
Un couple lui avait également proposé ce genre de jeu, à deux reprises. Mais Léna avait dû jouer d’autres rôles encore, pour satisfaire les envies de certains clients. Elle était parfois une nièce ou une élève de lycée, voire même de collège. Léna acceptait tout, du moment que le tarif était à la hauteur.
Ses récits m’amusaient, mais je ne cache pas que quelques-uns m’ont excitée aussi. Il m’est souvent arrivé de me masturber à mon retour chez moi, à la suite d’une soirée passée avec Léna, en me racontant des histoires un peu inavouables qui m’étonnaient moi-même.
Jusqu’au jour où Léna m’a dit qu’elle avait un service à me demander. C’était lors d’une soirée dans un bar, en compagnie d’autres étudiants de notre promo. Elle m’a entraînée à l’écart et m’a dit :
« J’ai un client qui aimerait faire un truc un peu tordu. »
« Allons bon… ai-je dit. »
« Et j’ai pensé à toi, a ajouté Léna. Ce sera payé rubis sur l’ongle. J’ai déjà baisé deux fois avec ce mec. Il est clean. »
« Et c’est quoi ce truc tordu ? »
Léna s’est assurée que personne ne nous écoutait, puis elle a dit :
« Je serais sa petite-fille et tu serais ma meilleure copine. On serait des lycéennes. On serait en vacances chez lui et, en pleine journée, il nous surprendrait en train de nous gouiner dans ma chambre. »
« De nous gouiner ? dis-je en ouvrant grand les yeux. »
« Oui. Tu t’es déjà gouinée ? »
J’ai ravalé ma salive et regardé autour de nous, puis j’ai répondu :
« Oui, mais ça fait longtemps et… »
« Et on n’a pas ce genre de relation, toi et moi, je sais, dit Léna. Mais si ça te pose un souci, je peux demander à une autre fille. Je ne t’en voudrais pas, ne t’en fais pas pour ça. »
J’ai soupiré et baissé les yeux.
Léna a ajouté :
« Le mec est plein aux as. Il nous filera cinq-cents euros chacune pour la soirée, sans compter le champagne à volonté. »
« Cinq-cents pour une soirée ? Mais c’est ce que je gagne en un mois en faisant la plonge dans un resto de merde ! »
« Je sais. »
« Et quel âge il a, ce mec ? »
« Dans les soixante-dix ans. »
« C’est vieux… dis-je. »
« C’est toi qui vois. Je te laisse réfléchir, mais il me faut une réponse demain à midi. »
Je souriais nerveusement en regardant ailleurs.
Cinq-cents euros, ce n’était pas rien.
Cinq-cents euros pour me gouiner avec ma pote Léna devant un vieux…
J’ai relevé les yeux et dit :
« Mais lui, il nous pénètrera ensuite ? »
« Oui, bien sûr, dit Léna. Il nous surprend, il nous fâche et il menace de répéter à nos parents qu’on baise ensemble. Mais nous, on ne veut surtout pas que nos parents apprennent ce genre de chose, alors on le supplie de ne rien dire. Il pose ses conditions, tu vois le topo… »
Je fis oui de la tête et me mit à me ronger un ongle en réfléchissant.
Puis Léna me demanda :
« A quelle occasion tu t’es gouinée ? »
J’ai répondu sans la regarder :
« C’était pendant des vacances sur la côte atlantique. J’avais douze ans. C’était avec une fille qui en avait seize. Elle aimait les nanas, et moi j’étais jeune et naïve… »
« Tu as regretté de l’avoir fait ? »
« Non, c’était plutôt agréable. »
« Et tu ne l’as jamais refait depuis ? »
« Non. »
« Ça ne changerait rien à notre relation, précisa Léna. On le ferait une fois, pour le fric, c’est tout. »
J’ai remué la tête pour lui dire que je comprenais bien. Des images me revenaient en mémoire : la chatte de cette fille sur la côte atlantique, en pleine forêt. Je l’avais léchée et ce n’était pas désagréable du tout, d’autant que sa langue à elle, logée entre mes fesses, m’avait fait un bien fou. Puis les deux doigts qu’elle m’avait enfoncés dans la fente, ensuite.
« Je te laisse réfléchir ? dit Léna. »

A mon retour chez moi, je me suis mise à poil, puis à quatre pattes au milieu de ma chambre d’étudiante. Je me suis mouillée un doigt avec ma salive, abondamment, et j’ai fait comme si c’était une langue qui me suçait le clito, les lèvres, puis l’anus.
D’abord la langue de cette fille quand j’avais douze ans, puis celle de Léna. J’ignorais comment elle était : lisse, épilée, très poilue.
J’ai opté pour lisse.
J’ai joui quatre fois de suite, très rapprochées.
Puis j’ai envoyé un SMS à Léna. Il était quatre heures du matin. Elle m’a répondu presque aussitôt : « Cool ma belle. »

Le lendemain, à mon réveil, j’ai cru que j’avais rêvé. Avant de me lever, je me suis masturbée, puis j’ai douté. Mais je m’étais engagée auprès de Léna et je ne voulais pas la décevoir. De plus, j’avais joui en imaginant qu’elle me bouffait le cul. C’était un signe, non ?
Quatre jours plus tard, en début de soirée, l’homme nous accueillit chez lui. Il était assez grand, la tête un peu dégarnie, grisonnant, des lunettes. Très poli et délicat. Il n’avait pas exigé qu’on mettre de vêtements particuliers, contrairement à beaucoup de clients de Léna. Nos tenues importaient peu, puisque le jeu consistait à se faire surprendre à poil sur un lit.
Mais nous avons bu un peu de champagne auparavant. Et nous avons discuté, car l’homme, dans le trip qu’il projetait, était censé m’avoir déjà vue et savoir deux ou trois choses de moi.
Son appartement respirait le fric, effectivement. Beaucoup de tableaux, de meubles et d’objets d’antiquité. Le champagne était délicieux et ma tête tournait un peu quand nous nous sommes dirigées vers la chambre, Léna et moi. Celle que son grand-père lui avait dédiée pour les vacances. L’homme ne nous a bien sûr pas suivies. Nous sommes entrées dans la pièce et avons refermé la porte. Nous disposions d’un quart d’heure pour nous mettre en place, avant de nous faire surprendre.
On s’est regardées en souriant et Léna m’a dit :
« Ça va ? »
« Oui, ai-je répondu. »
« Tu n’es pas trop tendue ? »
« Non, ça va aller. »
« On se déshabille alors ? »
J’ai fait oui de la tête et Léna s’est assise au bord du lit pour défaire ses chaussures. Je l’ai imitée et elle m’a dit :
« Comment tu le trouves ? »
« Ben… Un peu vieux. »
Elle a pouffé discrètement, puis éloigné ses chaussures. Ensuite, elle s’est levée et a déboutonné sa chemise, sans hâte. J’ai fait la même chose et je n’ai pas pu m’empêcher de lorgner vers elle lorsqu’elle a baissé dans un même geste son jean moulant et sa culotte. Sa chatte était poilue, mais coupée très court et épilée au maillot. La mienne était réduite à un petit trait de poils, très courts également. En me voyant à poil, Léna m’a dit :
« Tu as un superbe corps. J’adore tes seins. »
J’adorais les siens aussi. Ils étaient en forme de poire et tombaient un peu sur sa poitrine. Et on est restées là, debout l’une en face de l’autre, pendant un petit moment, en souriant bêtement.
Puis elle a dit :
« J’ai une idée. »
Je lui ai retourné un regard d’étonnement et répondu :
« Dis-moi… »
Elle a souri et dit :
« Ça te dirait qu’on se gouine ? »
J’ai éclaté de rire, puis me suis jetée sur le lit où mon corps a rebondi. Puis Léna est venue se coucher sur moi et m’a dit à l’oreille :
« Il doit nous rester cinq minutes. Et on est censées être en soixante-neuf quand le vieux va ouvrir la porte. Est-ce que ça t’ennuie si auparavant on s’embrasse avec la langue ? »
Ce fut divin.
Je n’en revenais pas.
On s’est embrassées amoureusement, et on a même pris le temps de se toucher les seins et de se doigter un peu. Mais ce fut rapide, car le temps filait et la porte n’allait plus tarder à s’ouvrir. Alors on s’est mises en soixante-neuf et on s’est bouffées la chatte, énergiquement. J’étais dessous, Léna dessus. Son anus avait goût de café au lait sans sucre.
C’était étourdissant tellement c’était bon. J’ai même cru que j’allais jouir sur la langue de Léna avant que la porte s’ouvre, mais je n’ai pas eu le temps : elle s’est ouverte et on a sursauté, comme convenu.
« Mais qu’est-ce que vous fabriquez ? a dit le vieux. »
« Pardon, papi… a fait Léna. »
« Petites salopes… Je tourne le dos et vous en profitez pour vous bouffer le minou ? Quand je vais dire ça à vos parents, je vous garantie que ça chauffer pour vous ! »
« Non, s’il te plait, papi ! a dit Léna en se décollant de mon ventre. Si mon père apprend ça, il va me tuer. »
« Ce n’est pas mon problème, petite salope ! Je vous croyais en train de regarder un film, et au lieu de ça, vous vous sucez le cul. J’ai deux coups de fil à passer, vous allez le regretter ! »
« Attends, papi, a dit Léna en s’asseyant au bord du lit, face à lui. On doit bien pouvoir se faire pardonner, non ? »
« Je ne vois vraiment pas comment ! a crié le vieux. »
Léna s’est levée du lit et s’est approchée de lui. Elle l’a enlacé et dit :
« Fais-moi un câlin, papi. »
Le vieux me regardait par-dessus l’épaule de Léna. J’étais en appui sur mes coudes et je n’avais envie que d’une chose : continuer à bouffer le cul de Léna, d’autant qu’elle me tournait le dos et que j’adorais ses fesses.
Mais au lieu de ça, j’ai fait glisser ma main sur mon ventre, vers ma chatte, et, sans quitter le vieux des yeux, je me suis mise à me caresser.
Il a alors murmuré :
« Vous êtes deux petites garces. Et vous avez intérêt à faire ce que je vous dis, sinon je répète tout dans la minute qui suit. C’est compris ? »
« Oui, a dit Léna. On fera tout ce que tu veux. »
« Dans ce cas, va te mettre à quatre pattes au pied du lit et enfouie ta tête entre les cuisses de ta copine, dit-il à Léna. Lèche bien sa petite chatte et ouvre tes fesses. Montre-moi ton petit croupion de salope. »
Elle a aussitôt obéi. Elle a pris la position demandée et j’ai ouvert grand mes cuisses pour qu’elle se remette à me lécher. Et le vieux a ôté ses habits, dans des gestes patients, sans nous quitter des yeux. Il avait une assez belle bite. Elle était raide et je l’ai vu l’ajuster entre les fesses de ma copine. Il me regardait toujours et je me pinçais les tétons en grimaçant de plaisir. Léna bouffait superbement les chattes, décidément.
Puis il l’a pénétrée, sans préservatif.
Il aimait que Léna lui dise « mon papi ».
Et il adora que sa copine le suce, un peu plus tard. Il adora me toucher les seins et m’embrasser avec la langue, tout en m’enfilant, tandis que Léna effleurait la pénétration du bout des doigts.
Il m’a soufflé dans l’oreille :
« Quel âge tu as ? »
La première fois, je lui ai dit mon vrai âge, mais il a fait non de la tête et rapproché sa bouche de mon oreille pour répéter :
« Quel âge tu as ? »
J’ai répondu :
« Seize ans. »
Et là, il a accéléré les va-et-vient de sa bite dans ma chatte.
Il m’a dit :
« Et tu te gouines avec tes copines de classe, petite pute ? »
« Oui. »
« Dis-le-moi. »
« Je me gouine avec mes copines de classe. »
Il a gémi et ajouté :
« Tu enlèves ta culotte et tu te gouines à poil ? »
« Oui. »
« Tu aimes ça, montrer ta petite touffe ? »
« Oui. »
« Aux hommes aussi, tu la montres ? »
« Oui. »
« Souvent ? »
« Oui, assez souvent. »
Léna continuait d’effleurer la pénétration, tout en couvrant mes seins de baisers sensuels.
Puis l’homme m’a dit :
« Tu accepterais de montrer ta touffe à un ami à moi ? »

Voilà comment tout a commencé. Ce soir-là, je suis rentrée chez moi avec cinq-cents euros en poche et un rendez-vous fixé au samedi soir suivant, avec Léna, ce vieux et un ami à lui qui avait le même âge.
Et on se fit sept-cents euros chacune, cette fois-ci.
Ensuite, le deuxième vieux m’a invitée au restaurant, puis on a été chez lui. Il m’a demandé de l’appeler tonton.
Le lendemain, avec le premier vieux, ce fut papa.
Entre temps, je m’étais gouinée deux fois avec Léna, chez moi. On s’était offert un champagne hors de prix.
J’ai rapidement cessé de faire la plonge dans un resto de merde. J’ai aussi enrichi ma garde-robe et pris un appartement beaucoup plus grand. Je me suis fait un réseau de clients, d’âges variés, mais j’avoue avoir eu rapidement un faible pour les vieux.
Je m’amusais bien.
Je ne me suis d’ailleurs pas arrêtée.
Je viens de décrocher ma licence de lettres. Léna aussi.
Notre trajectoire dans la vie dépend parfois d’un oui ou d’un non. Il faut bien réfléchir avant de répondre. Il ne faut pas s’emballer. Il faut fermer les yeux et faire le point sur le présent.
La vie dépend d’un oui ou d’un non, et des fesses d’une jolie fille, aussi. Je raffole toujours autant de celles de Léna.

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