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Enfin, je la baise

Enfin, je la baise



« Je la regarde se branler sans retenue pendant que je vais et viens dans son cul….. »

Dimanche 7 septembre 2014,
Première journée de notre périple à moto de quinze jours. Robert et moi avons pris une journée complète à parcourir les petites routes du Quercy et du Périgord pour rejoindre Ambazac, un petit patelin près de Limoges. Nous y avons rendez-vous avec nos femmes, Murielle et Anne, qui reviennent de quelques jours de congé en Belgique, en visite à la famille.
Nous nous sommes répartis les chambres, Murielle et moi au rez-de-chaussée, Anne et Robert au troisième. Pour éviter qu’ils aient à trimbaler leurs affaires dans les escaliers, nous nous sommes mis d’accord pour que celles-ci soient entreposées dans notre chambre.
Les femmes nous rejoignent vers 23 heures, éreintées.
Le lendemain, lever tôt. Nous comptons rejoindre un patelin entre Bergerac et Cahors en passant par Saint Junien où nous passerons quelques heures avec une amie d’enfance.
Comme d’habitude je suis le dernier levé. Murielle et Robert sont habillés pour accompagner notre hôte dans sa visite journalière de son cheptel de vaches laitières. Anne s’affaire dans la cuisine et nous prépare du café – Murielle et Robert boivent du thé. Anne porte sur elle une chemise de nuit qui lui arrive à mi-cuisses, couleur blanc cassé avec des motifs de fraises rouges éparpillés partout. Je devine ses petits seins sous le tissu et évidemment j’en reçois un petit coup de poing dans le bas ventre.
Nous déjeunons ensemble et bavardons de tout et de rien. Quand Murielle, Robert et notre hôte décident de partir, j’informe Anne que je vais lire un peu dans ma chambre.
Quelques minutes plus tard, après avoir frappé à la porte, Anne pointe son nez me demandant si cela ne me dérange pas si elle fouille leurs bagages à la recherche de papiers qu’elle doit consulter. Bien sûr j’accepte.
Je reprends ma lecture mais ne peux m’empêcher de me sentir de plus en plus nerveux, jetant régulièrement un œil par dessus mon livre. Il n’y a rien à faire, cette femme ne me laisse pas indifférent. Et je ne comprends pas ; je suis certain que je ne suis pas amoureux d’elle, c’est une vieille copine que je connais de longue date et c’est la meilleure amie de Murielle, mais son corps me donne des envies. Peut-être parce qu’elle est tellement différente de Murielle? ()
J’observe Anne qui s’affaire sur leurs bagages, fouillant l’un puis l’autre, passant de l’un à l’autre en maugréant. A chaque fois qu’elle se penche, les jambes bien raides (cela m’a toujours étonné de voir la capacité des femmes à se pencher ainsi), sa chemise de nuit remonte bien haut ou son décolleté bée largement; avec régal je mate ses fesses nues et fonction de l’angle de l’éclairage, je peux voir ses poils pubiens apparaître entre ses cuisses, voire même apercevoir les lèvres de son minou. Déjà que mon sexe réagit quand je la vois, la je me mets à bander sec et je me sens très mal à l’aise. Après quelques minutes, alors que je m’apprête à me branler, je me glisse au pied du lit et après quelques instants assis au bord, je m’approche d’Anne qui me tourne le dos, concentrée qu’elle est dans sa recherche. C’est lorsque je suis presque contre elle qu’elle réalise que je suis la. Elle tourne la tête pour me regarder, mais je poursuis mon mouvement. Mes mains se glissent sous ses bras et je me mets à lui caresser les seins, ces petits seins si délicieux. Je la sens se raidir et je me dis que je vais recevoir la gifle de ma vie, mais elle ne bouge pas. Je m’appuie contre elle, lui faisant sentir mon sexe durci dans son dos, et lui caresse le cou avec mes lèvres, titillant le bout de ses oreilles avec ma langue. Je me laisse aller complètement, sans plus de retenue et mes mains parcourent tout son corps, seins, ventre, pubis. Je la touche à travers le tissu, je relève sa chemise pour la caresser directement à même la peau, alternant les caresses sur et sous sa chemise et enfin je la sens se relâcher. Ses soupirs et l’appuie de ses fesses sur mon bas ventre confirment qu’elle aussi se laisse aller. Tout en promenant ma bouche dans son cou, je titille d’une main ses seins prenant un plaisir fou à faire durcir ses tétons ; de l’autre je lui caresse le haut de son sexe, à la recherche de son bouton magique. Son sexe est doux, moite et contrairement à moi elle commence à peine à mouiller. Agrippant ses hanches de deux mains, je l’attire vers le lit où je m’assoie ; je la retourne et relevant le bas de sa chemise, j’enfouis mon visage dans son ventre, dans son sexe. Comme un bébé à la recherche de la tétine, ma bouche cherche son clitoris, ma langue parcours son sexe traçant un sillon entre ses lèvres. Ma salive se mélange avec le peu de cyprine qui mouille son sexe et je la lape. Mes lèvres essaient de capturer son bouton que je sens à peine, ma langue vient en renfort pour faire sortir la perle de sa cachette. Mes mains sont agrippées à ses fesses, des fesses bien dures, et alors qu’Anne a appuyé une joue sur ma tête, je les malaxe avec délicatesse, tantôt doucement, tantôt avec rudesse. C’est curieux, moi qui d’habitude est doux, j’ai envie la d’être rude, sans patience. Anne gémit maintenant sans retenue et alors que ses jambes se sont écartées, ma bouche continue à s’activer le long de son sexe, s’attardant sur son bouton que j’essaie d’avaler, le prenant entre mes lèvres. Je suis excité comme un fou. Je délaisse une fesse et glisse un doigt dans sa vulve qui maintenant est inondée et sans tarder un instant j’en glisse un deuxième dans son cul. Anne tressaille légèrement mais elle me laisse faire. Les résultats ne se font par attendre : Anne plie les genoux et se met à onduler du bassin tout en poussant des soupirs sonores. Son mouvement est tel que je n’ai ni à bouger la main ni à bouger la tête pour que les caresses se fassent, mes doigts se caressant à travers les muqueuses, ma bouche pleine de son sexe. Et c’est dans un cri qu’Anne me plaque la figure contre elle alors qu’elle se met à trembler de tout son corps. Doucement elle relâche son étreinte à mon grand soulagement et je l’invite doucement à s’allonger sur le lit. Alors qu’elle se calme doucement, moi je suis prêt à exploser, ma queue fièrement dressée, le gland bien mouillé. Je n’ai pas l’intention d’en rester là. Je me lève et délicatement, tout en les écartant, je remonte ses genoux vers sa poitrine.
Couchée sur le dos, les yeux fermées elle ne peut capter mon regard qui avidement détaille son sexe et son anus qui sont la exposés devant moi. Je suis fasciné, car si mes yeux se régalent, mon nez envahi de ses odeurs de sexe, de mouille et d’autres parties de son corps décuple encore mon excitation. Je mouille encore plus mon gland avec de la salive et je frotte mon dard sur son sexe. Je fais quelques va-et-vient entre ses lèvres pour ensuite malicieusement pointer ma queue vers son anus que j’éclate d’un coup sec de mon bassin. Anne réagit instantanément par un cri de douleur ; elle redresse la tête et me regarde avec de grands yeux ronds ; je vois la colère ; elle tente de me repousser des mains appuyées sur ma poitrine mais je tiens bon, pas question de lâcher. Je ne bouge pas mais je maintiens ma queue en elle et alors que j’ai agrippé ses mains fermement et qu’elle dit non de la tête j’appuie mon sexe pour qu’il pénètre son cul plus profondément. J’entends un « Salaud » rauque. Je me doute bien qu’elle ait mal, je ne l’ai pas du tout préparée et malgré le lubrifiant naturel de ma salive sur mon gland, je peux imaginer qu’elle ait mal. Mais je m’en fous, je ne pense qu’à moi, qu’à mon plaisir. Je me mets à bouger doucement et je sens Anne se relâcher. Ce n’est qu’après quelques minutes alors que je la besogne lentement, très lentement, que je perçois un changement chez elle me faisant comprendre qu’elle reprend du plaisir. Encouragé, je caresse son sexe avec la main, essayant de titiller son clitoris d’un doigt. Mais je ne suis pas dans une position confortable pour m’y prendre correctement et alors que je commence avec irritation à douter de l’efficacité de mes caresses, une main d’Anne me repousse et elle se met à se caresser. Je la regarde se branler sans retenue pendant que je vais et viens dans son cul, ce qui accroit inutilement mon plaisir. Elle s’attarde beaucoup sur son clitoris sur lequel elle fait de grands mouvements circulaires de plus en plus rapide. Elle s’arrête brusquement pour reprendre ses caresses, mais le long de ses lèvres pour ensuite revenir sur son clitoris et ainsi de suite, accroissant progressivement son plaisir qu’elle exprime par des petits jappements sonores. Et lorsque je sens un doigt caresser ma queue à travers la paroi de sa vulve parce qu’elle y a enfoncé un doigt, voire deux, je me retire en un éclaire prêt à éjaculer. Ma queue bat follement par à-coups. Je la sens vibrer de folie. Je regarde le plafond, je me mets à faire du calcul mental pour éviter d’éjaculer et quand enfin je reprends le contrôle de mon plaisir, c’est pour constater qu’Anne a pris son pied, seule. Je suis vexé, peut-être n’aurai-je pas dû me retirer de son cul, nous aurions joui ensemble. Anne est couchée, de nouveau les yeux fermés, sa respiration se calme, sa main couvre son sexe. Je la regarde et me dis : « Ce n’est pas fini ma cocotte, ne te fais pas d’illusions ». Je veux la retourner sur le ventre mais elle s’y oppose. Elle me dit qu’elle a son compte, qu’elle aimerait se reposer un peu. Mais il m’est impossible de l’entendre. Je ne me reconnais pas, moi toujours si attentionné, si doux, la je l’att**** par un bras et une jambe et je la retourne comme une crêpe. Elle fait mine de vouloir se relever mais j’appuie sur son dos pour l’immobiliser. Elle n’oppose que peu de résistance lorsque je lui relève les fesses et lui écarte les jambes. Et c’est les deux mains agrippées aux hanches que j’enfonce ma queue en elle ; curieusement, elle est bien moins mouillée que je ne m’y attendais mais peu importe, j’enfonce et retire ma queue en elle avec de longs mouvements et ondulations du bassin, et je joue, je joue, je joue. Les sensations sont bien meilleures que quand j’étais dans son cul. Mon excitation est telle qu’il ne me faut pas longtemps pour qu’une nouvelle fois, je sens mon éjaculation toute proche et cette fois je continue tout en ralentissant la cadence. C’est dans un mouvement quasi imperceptible que j’éclate profondément en elle avec un cri qui a du avoir été entendu à des kilomètres à la ronde. Je reste en elle pour reprendre mon souffle et quand ma queue, ce pieu que j’ai vu fièrement dressé vers le ciel, s’enfuit complètement dégonflée de la place qu’elle a si hardiment conquise, je me couche sur le dos près d’Anne. Après avoir repris mes esprits, je réalise enfin combien j’ai été égoïste et brutal et avec une certaine angoisse je me dis que je peux faire une croix sur notre relation amicale.
Anne bouge, je devine qu’elle lève la tête, je m’attends à me faire jeter en bas du lit comme un mal propre. Pourtant elle se rapproche de moi et les lèvres collées à mon oreille, elle me dit doucement, tendrement même : « C’était bon, si bon. Qu’est-ce que je suis heureuse ». Elle pose sa tête sur ma poitrine et nous nous laissons aller.
Quelques minutes plus tard, elle se lève et me secoue : « Faut pas rester comme ça. Je vais prendre une douche, tu ferais bien de faire pareille après. On a encore pleines de choses à faire avant de prendre la route ».
A peine ai-je entendu la porte de la salle de bain se fermer que j’entends Robert et Murielle nous appeler depuis la cuisine.

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