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Mon désir de devenir une femme.

Mon désir de devenir une femme.



Conte imaginaire :
Mon désir de devenir une femme.

Je suis allongé nu sur une table médicale, immobilisé par des sangles et les pieds attachés dans les étriers.
Natacha, superbe dominatrice, grande et élancée, se tient devant moi. Elle est très féminine bien que ses cheveux tirés en arrière lui durcissent le visage. Une guêpière en vinyle noir comprime ses seins volumineux et lourds. Elle est perchée sur ses cuissardes d’où jaillissent ses cuisses fuselées gainées de nylon. La ficelle de son string très ajusté lui rentre dans la chatte en lui excitant l’anus.

Comme à chacune de mes visites, elle me maquille en me faisant porter: perruques, guêpières, nuisettes, bas résille, talons aiguilles avant de me faire vivre de nombreux jeux de rôles de bondage et de domination. Ensuite, elle m’empale longuement avec son gode ceinture pour stimuler mon point G avec précision en me vidant les bourses plusieurs fois de suite.
– Je suis très excitée d’être la femme qui te fait jouir pour la dernière fois, me dit-t-elle en faisant jaillir une ultime fois ma sève sur ma guêpière. A ces mots, je comprends qu’elle a enfin décidé de répondre à ma demande.
– Comme tu le souhaites, je vais maintenant te castrer pour stopper ta production d’hormones. J’ai beaucoup d’expérience dans ce domaine car je réalise une trentaine d’opérations par an. Aux USA, les demandeurs sont légion car là-bas, c’est devenu un véritable phénomène de société. Très nombreuses sont les dominatrices qui pratiquent comme moi ces actes dans la clandestinité.
Après t’avoir coupé les testicules, je te laisserai quelques mois de réflexion avant de t’enlever le reste. Je trancherai alors ta queue bien à sa racine pour qu’il ne reste rien, me dit-t-elle.

En joignant le geste à la parole, elle soulève mes bourses d’une main en appuyant le dos de sa lame de couteau à la base de ma verge. J’ai des frissons en sentant le contact froid de l’acier sur ma chair.
– Certains hommes préfèrent conserver leur pénis pour avoir encore quelques érections alors que d’autres comme toi souhaitent qu’on leur retire tout pour se sentir plus femme. Dans un instant, je vais t’enlever ta source de vie en supprimant ta production d’hormone. Après, quand tu feras l’amour, tu connaîtras un plaisir anal plus intense qui ne sera plus parasité par ta queue. Maintenant, je vais te faire une injection de xylocaïne pour que tu ne souffres pas, rajoute-t-elle d’une voix douce en se plaçant entre mes cuisses, une seringue à la main.

L’aiguille est si fine que je la sens à peine s’enfoncer dans mes bourses.
Natacha multiplie les points d’injections dans mon sexe pour que le produit anesthésiant diffuse mieux. Elle attend quelques minutes qu’il fasse effet en me caressant une dernière fois les valseuses.
Une peur panique s’empare de moi quand je la vois prendre son scalpel.
D’une main sûre, elle incise mes bourses sur deux centimètres en pressant doucement mes testicules avec ses doigts pour les faire sortir de leurs logements. Lorsqu’ils pendent dans le vide, suspendus à leurs cordons, elle serre un fil en nylon à leur base pour éviter que le sang coule avant de les couper.
Puis, d’un geste précis, elle les tranche, l’un après l’autre avec son scalpel sans que je ressente la moindre douleur. Elle me les montre dans sa paume de main avant de les déposer dans une coupelle.
– J’en ferai mon repas ce soir en pensant à toi, me dit-t-elle avec sadisme en recousant mes bourses avec du fil et une aiguille.
– C’est terminé ma belle, bienvenue dans ta nouvelle vie !

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