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Cobaye pour ma soeur et ses copines (9)

Cobaye pour ma soeur et ses copines (9)



Maman rentra à la maison. À son arrivée, elle nous raconta ce qu’elle avait vécu avec son père.

— Ça a été de belles retrouvailles. Votre grand-père m’a bien honorée et, vous savez quoi ? Il m’a raconté une très jolie anecdote. Il m’a raconté qu’il avait soumis votre grand-mère et que, depuis, elle dort dans la cave et mange dans une gamelle qu’il lui apporte.
— Whaou ! Ça a dû te faire un choc.
— En effet. Mais bon, je ne peux pas dire que cela me déplaise. À part cela, bonne nouvelle : votre grand-père nous a invités tous les six à venir chez lui demain.

Nous manifestâmes notre joie par des sifflets et des applaudissements. Comme il s’était fait tard, nous décidâmes d’aller nous coucher afin de rêver de la superbe journée qui se profilait pour le lendemain. Cette nuit-là, Morgane, Élodie et Thu Jin dormirent avec moi tandis que mes parents dormaient dans le lit conjugal.

Au lendemain, nous préparâmes nos affaires pour aller rendre visite à mon grand-père. Mon père et moi avions déjà ce qu’il nous fallait. Les femmes, quant à elles, avaient pris la précaution de mettre leurs godes-ceintures dans leurs sacs à main et avaient opté pour des tenues… Très légères.

Lorsque tout le monde fut prêt à partir, nous prîmes la route de la résidence de mon aïeul. Après dix minutes de marche, nous montâmes les escaliers qui menaient au perron et ma mère sonna à la porte. Des bruits de pas se firent entendre et mon grand-père ouvrit la porte.

— Bonjour à vous tous ! Entrez !nous dit-il d’un ton joyeux.

Mon père et moi serrâmes la main de mon aïeul tandis que celui-ci échangeait des baisers avec les femmes.

— Tu leur a raconté l’anecdote, ma chérie ? demanda-t-il à ma mère.
— Oui. Ils ont beaucoup aimé.
— Parfait. Avant que nous ne commencions, j’aimerais que nous nous échauffions un peu. Déshabillez-vous et descendez avec moi à la cave. Les filles, n’oubliez pas de mettre vos godes-ceintures.

Nous nous déshabillâmes donc tous les six, les filles se munissant de leurs godes-ceintures, puis nous descendîmes à la cave.

— Restez derrière le trou. nous ordonna-t-il.

Mon grand-père ouvrit ensuite la porte de la cave et détacha ma grand-mère.

— Pose ton cul contre le trou : mes amis ont envie de te prendre.

Ma grand-mère obéit à l’injonction et mon grand-père nous rejoignit derrière le trou.

— Qui veut commencer ?

Ma mère leva la main et se positionna derrière la soumise. Elle fit lentement entrer son gode dans l’anus de sa mère et se mit à pousser. Ma génitrice accéléra son mouvement, faisant gémir ma grand-mère de douleur.

Après cinq minutes, ma mère se retira et céda à ma soeur. Celle-ci se mit à pilonner mon aïeul dans un puissant mouvement de va-et-vient. Après quelques minutes, Morgane céda sa place à Élodie qui l’imita. Elle fut ensuite suivie par Thu Jin, mon père et moi.

Lorsque j’eus éjaculé à la suite de mon père dans le fondement de mon aïeule, mon grand-père prit la parole.

— Et si nous allions boire un verre pour nous remettre de nos émotions ?

Nous approuvâmes d’un mouvement de tête puis mon grand-père alla rattacher son épouse. Nous montâmes ensuite les escaliers jusqu’à la salle de séjour.

— Bon, après ce petit échauffement, attaquons le plat de résistance.

Morgane, Élodie et Thu Jin retirèrent leurs godes-ceintures et s’agenouillèrent devant mon père et mon grand-père. Les trois filles se mirent ensuite à lécher leurs testicules. Ma mère allait retirer son gode-ceinture lorsque je lui fis signe de le garder.

— Non, pas maintenant. Je veux d’abord sentir ta grosse queue dans mon fondement.

Ma mère sourit et me fis me mettre à quatre pattes sur le canapé. Ma génitrice se positionna derrière moi, me saisit par les hanches puis enfonça son phallus factice entre mes fesses. Lorsqu’elle eut bien enfoncé son gode dans mon anus, ma mère commença à faire des va-et-vient d’abord lents afin que je puisse savourer sa pénétration puis plus puissants.

Depuis la première sodomie qu’elle m’avait faite, j’avais développé une sorte de fétichisme envers elle. À tel point que je ne pouvais faire l’amour avec elle sans qu’elle ne me prenne avec son gode. Le plaisir que je ressentais lorsque ses cuisses frappaient mes fesses était indescriptible tant j’adorais cela.

Ma mère poursuivit ses va-et-vient durant quelques minutes encore puis se retira. Elle ôta son gode-ceinture puis s’allongea sur le divan.

— Viens vénérer le sexe de ta mère, mon enfant.

Je plaçai ma tête entre ses cuisses et commençai à lécher avec application le sexe qui m’avait mis au monde. Ma langue remontait et redescendait le long de ses grandes lèvres en tâtant son clitoris érigé.

Après la jouissance, manifestée par un feulement de plaisir, ma mère se mit à quatre pattes, son fessier orienté vers moi.

— Et maintenant, viens prendre ta mère, mon chéri.

Je me saisis de mon sexe et fis passer mon gland à présent violacé par l’excitation dans l’anus de ma génitrice pour ensuite y faire entrer mon sexe entier. Comme elle l’avait fait avec moi quelques minutes auparavant, je commençai par faire de lents va-et-vient afin de lui procurer plus de plaisir à la pénétration puis accélérai le rythme.

Entendre le bruit du contact entre mes cuisses et le fessier de ma mère fut également très excitant pour moi, tant et si bien qu’au bout de quelques minutes, je me retirai du fondement de ma génitrice et éjaculai sur ses deux globes fessiers.

Lorsque je me fus remis de mes émotions orgasmiques, je fis assoir ma mère à mes côtés et commençai à lui caresser les seins en regardant ce qu’il se passait entre les autres membres de ma famille.

Morgane avait à présent les seins collés à la table et se faisait sodomiser par mon grand-père tandis qu’Élodie et Thu Jin prodiguaient une branlette espagnole à mon père qui faisait gémir celui-ci d’extase.

Ma mère et moi nous caressâmes mutuellement jusqu’à ce que les deux mâles éjaculent sur leurs partenaires respectives.

Lorsque mon père et mon grand-père eurent joui, ma mère alla lécher le fessier de ma soeur tandis qu’Élodie et Thu Jin donnaient leurs poitrines à nettoyer à Morgane. Lorsque les quatre femmes furent propres, le patriarche prit la parole.

— Alors ? Ça vous a plu ? Moi, je ne me suis jamais autant amusé de ma vie.

Tout le monde approuva et nous tombâmes tous d’accord pour remettre cela.

Épilogue : depuis cette partouze familiale, Morgane et moi avons chacun rencontré quelqu’un pour partager nos vies. Élodie et Thu Jin également. Malgré nos mariages, nous avons continué nos jeux i****tueux et nos femmes et maris y ont pris goût à leur tour.

FIN

A propos de l'auteur

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