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Sollicitation Gérontologue

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Passant une entrevue pour travailler en entretien ménager dans un foyer pour personnes âgés. Karine directrice de la résidences me recevant en tant que neuvième et dernier candidat. Me rappelant une semaine plus tard me disant que j’avais finalement eu l’emploi. Voulant tout d’abord discuter au point de vu du salaire et des tâches à accomplirent. Me donnant rendez vous dans la journée à son bureau. Fait à noter que la dame paraissait super bien. Dans la mi-quarantaine dans une forme resplendissante. Très sportive Karine avait des cuisses particulièrement musclées.

Un salaire situé à quinze dollars de l’heure sauf si je devais prendre la seule chambre disponible du lieu. Réduisant celui ci à 11 dollars le loyer devenant gratuit. Neuf résidentes âgées entre 49 à 75 ans peuplant l’endroit sur deux étages. Une cuisine, deux salles de bains avec douches communes cloisonnées (???), une salle de lavage, le bureau de la directrice, dix chambres et un grand salon. Les chambres de grosseurs très moyennes proposant un lit, une commode, un petit bureau, un évier, un garde-robe et un petit garde-manger muni d’un réfrigérateur. Choisissant de loger à l’endroit n’y voyant que des avantages. Un peu songeur à propos de la douche commune me sachant le seul homme vivant à cet endroit.

Un foyer à la base ouvert seulement aux femmes. La dame faisant les ménages auparavant partie à la retraite. Logeuse de l’endroit aussi les douches communes se faisant avec cordialités et respects. Une paire de seins et de fesses vus par ci par là étant coutume. La venu d’un jeune homme de 25 ans pouvant un peu corser les choses à ce niveau. Aucune femme ne se présentant à l’entrevue. Une première personne masculine pouvant alors y loger en près de 20 ans. C’est à dire depuis le tout début de sa création.

Une semaine déjà passée me liant d’amitié avec Flavie ma voisine du premier étage. Une femme de 66 ans au cheveux châtains et aux yeux bruns portant des lunettes. Très gentille et un peu grosse avec de gros seins tombant. Une sympathique madame aimant discuter. Notant le salon, la cuisine et une salle de bains à mon étage. Marie-Paule 63 ans, Céline 61 ans et Andrée 53 ans dans les autres chambres. Je devais faire le nettoyage complet de tout le bâtiment à chaque semaine. Discutant un peu brièvement avec toutes les dames des deux étages. M’indiquant toutes les règles à suivre ainsi que toutes ses commodités à ma disponibilité.

Observant les douches prises de façon aléatoires par mes quatres comparses du premier étage. Elles le faisaient souvent en duo. Ne sachant trop de quel façon elles le faisaient une fois la porte fermée. Mais elles discutaient beaucoup les entendant parler. Prenant mes douches seuls depuis le jour un. Comprenant deux habitacles cloisonnées d’un muret de bois. Un rideau devant le bas laissant voir nos pieds et la base de nos mollets. Une toilette située tout près. Un grand miroir à la sortie de la douche puis deux lavabos. La possibilité de se rhabiller à même la douche munie d’un banc de bois, devant le miroir ou bien à la toilette. Aucune serrure ne pouvant barrer les portes de cette salle de bain libre de tout vas et viens. Cette restriction prise à cause de l’âge des résidentes en cas de malaises urgents.

Vint le jour où elle fut alors prise avec une autre dame. Pas sûre de la personne à mes côtés au début. Réalisant un peu plus tard que c’était Céline. Une brunette mince aux yeux noirs. Une femme avec une petite poitrine et peu de formes. Le genre de personne que j’aimerais fréquenter 40 ans plus jeune physiquement parlant. Très très gentille fredonnant une chanson sans paroles se douchant. Une serviette blanche apposée sur le dessus du muret. Tout près de la mienne celle ci de couleur verte. Sa brassière et sa petite culotte rose pâle déposées sur le sol. Elle savait ma présence et semblait s’en foutre éperdument. Voyant ses coudes et ensuite ses mains se levées. Pas trop dérangée d’être en compagnie d’un jeune homme de plus de la moitié de son âge tout près. Faisant comme si elle était complètement seule se lavant. J’avais une érection juste à l’entendre chanter. La madame toujours d’un magnétisme attirant malgré ses 61 ans.

Me rhabillant à même l’habitacle pour recommencer mon boulot habituel. Discutant avec quelques dames à l’heure du dîner d’un peu n’importe quoi. Le sujet des douches venant sur la table leurs demandant comment elles le faisaient en duo. Marie-Paule m’indiquant de façon normale. Mais qu’elles discutaient souvent seins nues une serviette à la taille devant le miroir. Ou bien portant une brassière ou bien avec une serviette au torse. En petite culotte etc etc etc. Selon l’inspiration du moment. Céline m’avouant qu’elle s’était aperçu de ma présence il y a deux jours passés. Me suggérant de faire çà rapide si celà se reproduisait. Mais qu’elle avait qu’en même appréciée ce moment tout à fait inhabituel.

Deuxième douche prise deux jours plus tard en duo. Flavie apparaissant cette fois ci dans la salle de bain. Une petite culotte et une brassière noires tombant sur le sol. La madame semblait se caresser le corps tout doucement sous le jet d’eau. Son souffle s’accélérant l’entendant se caresser l’entrejambe. Appuyant sa main gauche sur le mur devant. Elle semblait se masturber sans en être sûre à cent pour cent. Me rappelant que la madame m’avait avouée qu’elle n’avait pas baisée depuis 10 ans déjà. Fort probable qu’elle m’exprimait son manque de cette façon. Ma présence la motivant vers des idées perverses. Trouvant la situation très très érotique et inappropriée. Ma tige à nouveau dressée envers une vieille de plus de soixante ans. J’étais sur le point de me masturber moi aussi. Résistant par contre à la tentation.

Mettant un terme à mes illusions en terminant mon nettoyage rapidement et en me rhabillant. Reprenant mon travail je sentais que plus les jours avançaient. Que plus les femmes du bâtiment semblaient vouloir discuter avec moi. Celles du deuxième étage compris. Me citant souvent Flavie dans leurs conversations. Voulant fort probablement la mettre en évidence en vu d’un possible rapprochement.

Discutant avec cette même dame un dimanche après-midi dans sa chambre. La sentant particulièrement séductrice en ce jour pluvieux. Mais j’étais beaucoup trop jeune pour elle. Refusant alors de collaborer à ses intentions. Son odeur par contre très enivrante la madame portant un parfum très doux et odorant. Me rappelant qu’elle n’avait pas eu d’amant depuis longtemps. Et que cet aspect de la vie lui manquait énormément. Buvant quelques bières et quelques coupes de vin mousseux avec elle. Semblant vouloir me saouler mais quand même assez lucide de cette tactique. Avant que l’effet de l’alcool ne devienne trop forte. Retournant intelligemment à mon logis vers 23 heures en jugeant cette décision la plus appropriée.

Un vendredi soir cinq femmes du bâtiment regroupées ensemble au salon. Paule (57 ans) et Lise (49 ans) du deuxième se joignant à Céline, Andrée et Marie-Paule. Me proposant de regarder un film avec elles me citant Le Grand Hôtel Budapest que je n’avais pas vu. Leurs disant peut-être Lise me suggérant de seulement voir les vingts premières minutes. Acceptant sans trop de convictions. M’assoyant sur une chaise tout près du grand divan. Les cinq dames attentives une odeur de femmes en chaleurs se propageant dans toute la pièce. Trouvant alors le début de ce film assez intrigant…

– Elles devaient être vieilles, mal dans leur peau, vaniteuses, superficielles, en manque d’affections…
– Quand on est jeune. Tout est dans le steak de filet. Mais plus le temps passe. Plus on se rabat sur les bas morceaux…
– Elle s’épanouira comme une fleur. Le pinceau du peintre toucha le bout de ses poils légers avec vigueur…

Revenant vers mon logis. Une note déposée sur mon bureau accompagnée d’un cinq dollars. Fourres en une. Et elles te solliciteront toutes. Réalisant une Flavie très très très entreprenante aux jours suivant. Les autres plutôt passives et je dirais même assez absentes. La troisième moins belle et la deuxième plus vieille du groupe. Voici barème qui m’était offert vis à vis toutes les autres. Flavie qui me semblait cochonne. N’ayant pas eu beaucoup d’expériences avec les filles aussi. Flairant fort probablement mon inexpérience. Déjà quand ne mesurant que 5 pieds 6. Même en paraissant bien avec ma carrure athlétique. Ma tige n’était que de grosseur moyenne.

Trois soirs consécutifs l’entendant gémir. La madame se masturbant dans la chambre à côté. Décidant d’emboîter le pas avec elle. Allant alors cogner à sa porte.

Allez…entre…

Flavie flambant nue dans son lit se masturbant d’un godemiché de bois les deux jambes grandes ouvertes. Laissant l’objet de côté. Me faisant signe d’approcher en me regardant droit dans les yeux dans la pénombre.

Viens voir tante Flavie que je t’apprennes comment on fait l’amour…

Mettant un disque de Charles Aznavour dans son stéréo pour ne pas nous faire entendre. Me déshabillant la tige bien dressée prête à l’introduire. J’étais entrain de piner cette vieille de 66 ans dans son lit. Comme une chienne en chaleur s’agrippant de mon fessier. Ouiiiiii…Ouiiiiii…c’esstttttt bonnnnnnn…Ouiiiiiiii…Déjà bien lubrifiée jouissant à gorge déployée. Une vulve bien juteuse trempant mon pinceau dans son trou béant. Fourrant la madame en faisant grincer le lit fortement. M’introduisant à l’entré de son pubis gris poilu avec vigueur et détermination. Touchant ses gros seins tombant, flasques et mous portant bien leurs âges. Me retirant pour venir lécher sa vieille chatte grise. Très goûteuse son odeur étant particulièrement forte. Avec de grosses lèvres vaginales grises et l’intérieur du vagin rosé. Léchant son clitoris érigé. Flavie semblait réagir agréablement à toutes mes intentions. Caressant mes cheveux châtains en gémissant. Son corps gras et peu ferme laissant à désiré. Appréciant l’expérience de cette femme mature finalement assouvie.

Baisant ensuite la madame en levrette qui ne semblait plus suivre le rythme. Ne faisant que subir mes assauts répétés en me suppliant de la terminer. 10 minutes très intense me retirant pour éjaculer sur la couverture de son lit. Se relevant pour venir me sucer la queue et la faire redressée de nouveau. Une fellation visiblement pour me refaire éjaculer mais dans sa bouche cette fois ci. Au stade final de ses vas et viens buccaux. Aspirant mes semences comme une vrai tigresse affamée. Flavie savait comment satisfaire son homme. La madame se retirant le regard intense du devoir accompli.

Découvrant la gérontologie d’une première femme mature. Flavie fut ma première instigatrice dans ce foyer pour personnes âgées.

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