Le lendemain, assoupis, j’entendis la clef de la porte puis des talons que je commençais à connaitre…et à craindre !
Je fus heureux de l’entendre en espérant la fin de mon calvaire et j’étais aussi très inquiet…
Elle ouvrit la porte et alluma.
‘Bonjour mon mignon ! Oh j’ai pensé à toi cette nuit: mon mari m’a trouvée très excitée, grâce à toi et m’a fait l’amour comme il y avait longtemps. Il faut dire que je l’ai sucé comme une déesse !’
Elle ouvrit le sac plastique et me libéra mes poignets
Ouf ! je respirai, ouvrit les yeux.
Je dégoulinais de sueur, mes cheveux trempés, plaqués, je baignais dans une mare de pisse, heureusement dans mon malheur elle m’avait mis complétement nu et avait récupéré mes affaires.
Je ramenai mes bras devant doucement et essayai de me mettre dans une position assise. Mon sexe était difforme (ce que j’en voyais). ‘Pitoyable’ pensais-je.
Elle prit une chaise et vint s’assoir à quelques centimètres de moi. Je ne l’avais pas encore regardé de honte, moi à ses pieds en laisse enchainé au radiateur, nu et elle superbe : des escarpins rouges à talon aiguille, une jupe en cuir noir lui arrivant au dessus des genoux, des bas sublimes. Il me fallait lever la tête pour voir son visage : elle me regardait et appréciait ce moment entre ‘la belle et la bête’. Une veste en velours rouge assortie à ses escarpins, un pull noir avec un décolleté en V qui moulait ses seins provocants.
Un fantasme !
Je n’arrivais pas à la haïr, mon sexe recommençait à essayer de bander avec son fil de jus dégoulinant. Le toutou en rut devant sa maitresse.
‘Allez assez rigolé, au travail !’
‘Bon jeune homme, je t’ai préparé un contrat de travail qu’il faut que tu me signes…enfin si tu es d’accord pour qu’on travaille ensemble. Après ça tu pourras prendre une douche chez toi et te refaire une beauté.
Elle me tendit un feuillet : ‘contrat de mission : agent de propreté.’
Elle n’avait pas menti.
Je lus incrédule : 35h/semaine mon salarie, etc. et une entreprise avec son adresse où me rendre.
En dernière ligne : ‘l’entreprise pourra proposer des compléments d’activités avec l’accord de Mme XXX agence de travail intérimaire. L’employé s’engage à accepter pleinement ces compléments de main d’œuvre avec courtoisie. La pleine satisfaction du client doit être son but.’
Elle attendait. Le contrat était maintenant posé sur sa jupe. Elle me tendait un stylo.
Avais je le choix ?
Je ne voulais plus subir ces punitions et je pouvais au moins travailler une semaine, récolter ma paie et me tirer. Je ne désespérais et pourrais peut être même me la faire cette beauté sadique avec le temps !!La prendre à 4 pattes et la faire souffrir comme ce qu’elle m’avait fait, la bourrer à mort !!
Je signai
Elle se leva, me détacha ma chaine du radiateur et mon collier. Je me levai tout ankylosé. Je suis plus grand qu’elle mais je baisse les yeux devant cette femme sublime et… dangereuse.
‘Et le reste ?’ dis je en montrant mon sexe torturé.
‘Ah oui ! On verra ça plus tard, je suis encore vraiment déçu par ton côté branleur obsédé. Nettoie bien ta pisse et ta bave du sol, tes affaires t’attendent sur la chaise derrière la porte, j’ai du en remplacer certaines, dans mon excitation devant ton sexe en érection, j’en ai déchirés…’
Et elle éclata de rire en claquant la porte derrière, mon regard ne pu se détacher de cette croupe en cuir qui s’éloignait en se balançant de droite à gauche.
Je nettoyai et m’essuyai avec des chiffons. Je me rhabillai pressé de rentrer chez moi faire le point. Mon slip avait disparu et était remplacé par une culotte montante en satin mauve, je tentai de faire tenir mon paquet de couilles et mon sexe sans trop souffrir. La culotte était large et mon paquet de chaines et sexe tint à l’intérieur, mais en plus d’être ridicule, on avait l’impression que je bandais en permanence !!
Mon tee shirt avait été remplacé par un chemisier satin de même couleur !!
Remettre mon jean fut très douloureux quand j’arrivais à l’entrejambe, mon ‘paquet’ prenait trop de place et m’arrachait des pincements de douleurs. Je descendis mon jean au maximum pour le fermer : une bosse obscène dépassait du côté gauche !!
Heureusement mon blouson pouvait cacher ce chemisier et cette culotte ! Mais pas cette bosse !
Je ne fis aucun commentaire et me dirigeais vers la porte de l’agence, heureusement il était tôt et personne n’était là.
Elle était à son bureau et semblait travailler, elle guettait mon passage !
Je passais doucement devant son bureau, chaque pas m’écrasait les couilles et mon gland plaqué sous mon anus. J’avais honte de mon aspect.
Elle leva la tête et pris un air joyeux ‘Ouh ce chemisier couleur prune te va à ravir ! Et cette culotte, pas trop grande pour si peu à mettre dedans ?’
‘Bon voilà mes instructions…’ Alors elle prenait manifestement le temps de m’expliquer comment je devais me rendre à ce travail et tous les papiers que je devais remplir, ma tenue, ma politesse, etc..
Elle prenait plaisir à me voir attendre devant elle et regardais cette bosse de temps en temps.
Heureusement personne n’entra.
‘Bon je te laisse travailler, à ce soir !’
‘Mais madame je ne peux pas travailler avec ça’ (je montrais cette bosse)
‘Ah il ne fallait pas jouer au branleur, suivre une innocente femme comme moi jusqu’ici !’
Je rougissais et je craignais qu’elle s’énerve et me prépare un martyr …
Je baissais la tête et ouvrit la porte
‘Allez jeune homme, j’ai pensé à tout et je me suis permis quelques adaptations dans ta garde robe pour couvrir ce vilain sexe baveux !Ne me remercie pas c’est normal’
Devant mon regard incrédule elle éclata de son rire si cruel
‘Oui mon mignon hier soir juste avant le resto, j’avais pris tes clefs pour voir comment vivait un pervers comme toi !!’
Un nouveau éclat de rire !
Je m’enfuis et rasais les murs jusque chez moi, essayant de cacher avec mes mains cette bosse de pervers comme elle me l’avait dit.
Je croisai une femme, elle me regarda d’un air dégouté et s’écarta un maximum pour me croiser sur le trottoir. J’étais vert de honte et ne voyait pas de solution pour aller remplir ma mission.
Je redoutais de ce que j’allais trouver dans mon appartement…
A SUIVRE
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