Gwendoline est lasse, elle aimerait aller se coucher. Il est presque 22 h.
Elle s’est occupée des enfants, a fini de ranger la cuisine. Que fait son cher et tendre ?
Il a dit qu’il devait bosser un peu pour le boulot, qu’il n’avait pas eu le temps de finir de remplir un fichier Excel.
C’est un soir de semaine ordinaire. Ça fait maintenant presque 15 ans que Gwendoline et Franck vivent ensembles.
Ils ont deux enfants de 10 et 7 ans.
Un couple ordinaire, dans une maison ordinaire dans une petite ville de province tout à fait ordinaire aussi.
Franck est dans la pièce qui sert de bureau et de chambre d’amis. Il y a un canapé-lit, une télé et un grand bureau.
Il est toujours devant son écran d’ordinateur.
– Tu as bientôt fini ?
– Heu, pourquoi, il est quelle heure ?
– Dix heures moins le quart… Je suis crevée, j’irais bien me coucher
– Vas-y, monte, je te rejoins, je finis un truc.
Gwendoline sait très bien que les « trucs » peuvent prendre encore des heures. Elle s’apprête à quitter la pièce, hésite.
Elle s’approche de Franck, se place derrière lui et se penche pour l’embrasser dans le cou.
– Tu fais vite ? J’aimerais bien un peu de chaleur humaine ce soir.
– Hum, ma chérie, pas ce soir, j’ai plein de boulot en retard. Monte, je vais venir.
Gwendoline a horreur d’être congédiée comme ça. Ha oui ! Le boulot passe avant sa femme.
Son mari n’aurait certainement pas réagi comme cela au début de leur relation. Mais elle n’a pas dit son dernier mot.
On va voir si le fichier Excel sera rempli ce soir. À nous deux Big Boss, on va voir qui va récupérer mon mari ce soir.
Gwendol masse doucement les épaules de Franck, sa nuque ; Elle lui embrasse le lobe de l’oreille.
– Ma chérie, tu vas me déconcentrer là, je te jure que c’est important et que je me dépêche.
– Je ne veux pas t’importuner, travaille, je te caresse juste un petit peu….
– Hum, hum, je te connais.
– Mais non, pas du tout, travaille, je vais prendre un bouquin et me mettre sur le canapé à coté de toi.
Gwendol va chercher son bouquin de nouvelles érotiques, celui qu’elle a commandé par curiosité.
Elle voulait voir ce qu’il y avait vraiment dedans.
La première histoire est classique : une femme d’une cinquantaine d’années qui se fait draguer par un jeune jardinier et qui l’initie aux plaisirs… rien de nouveau sous le soleil. Mais cette histoire l’a quand même un peu émoustillée.
Elle regarde la nuque de son mari, ses larges épaules, ses doigts assez longs.
Gwendol adore les doigts de son mari.
Elle les connait par cœur, connait le rebondi de son pouce quand elle le suce.
Elle aime aussi quand il glisse un doigt puis deux entre ses cuisses… Elle commence à avoir un peu chaud.
Gwendol tente une nouvelle approche, se lève, passe ses mains autour de la poitrine de son mari, lui caresse le torse,
à travers sa chemise, se serre contre lui pour qu’il sente ses seins dans son dos.
– Gwen, enfin. Qu’est-ce que tu as ce soir ? Tu ne vas pas me sauter dessus ?!
– Je ne sais pas, j’y réfléchis.
– Chérie, je suis vraiment désolé, mais j’ai du boulot.
– Est ce que je peux juste te caresser un peu ? Tu fais comme si je n’étais pas là. Je ne te demande pas de réagir, juste de me laisser profiter un peu de ton corps.
– T’exagères… Qu’est-ce que tu veux que je te réponde ? Bien sûr que tu peux me caresser, mais je t’assure qu’il faut que je reste concentrer.
– Ok patron, je serai discrète, promis.
La jolie blonde s’assoit sur l’accoudoir du canapé. Elle touche presque son mari dans cette position.
Elle commence donc par mettre sa main gauche sur sa cuisse droite.
Caresse lentement son genou, remonte encore plus lentement, en touchant à peine le tissu du pantalon.
Elle pousse un petit soupir et se cambre un peu plus. Son mari jette un regard en coin. C’est sur la bonne voie.
Gwen se lève, se met à genoux derrière la chaise de Franck.
Elle a ainsi chacune de ses mains sur ses cuisses à lui. Il ne peut pas la voir.
Elle appuie plus fortement maintenant, elle monte et descend de ses genoux à ses cuisses
en prenant bien soin d’effleurer à chaque fois son entre jambe, sans y toucher.
Franck soupire. Un soupire d’aise, pas d’agacement.
Gwen remonte jusqu’au nombril de son mari.
– Je vais desserrer un peu ta ceinture, mon chéri, tu seras plus à l’aise.
– Gwen, Gwen, Gwen. Tu es infernale, comment veux-tu que je remplisse ce fichu fichier ?
– Fais comme si je n’étais pas là…
Gwen a ouvert la ceinture de Franck. Elle soulève également sa chemise, pour pouvoir être en contact avec sa peau.
Elle adore le bas du ventre de son mari, l’endroit où le duvet rencontre ses poils pubiens.
Elle caresse maintenant ce bas du ventre et sent le sexe de son mari durcir.
Elle retire ses mains et les replace sur les cuisses de son homme.
La douce coquine continue de le caresser, mais cette fois-ci, elle laisse ses mains s’attarder en haut des cuisses.
Elle cherche la bosse qui enfle sous ses caresses.
Elle déboutonne maintenant son pantalon. Son érection prend toute la place. Elle caresse cette verge à travers le slip.
– Gwen, je ne peux pas faire comme si tu n’étais pas là, tu vois bien, tu me fais de l’effet…
– Tant mieux, l’inverse m’aurait vraiment vexée. Mais continue de bosser, je t’en prie…
Gwen se glisse sous la table, elle est maintenant face à son mari, mais cachée par la table. Elle lui écarte les genoux, embrasse l’intérieur de ses cuisses à travers le pantalon, glisse sa tête entre ses jambes.
Franck recule sa chaise, Gwen a plus de place maintenant. Elle peut être à hauteur du sexe de son mari.
Elle continue à embrasser l’intérieur des cuisses, puis son sexe dur, à travers le tissu.
Lèche aussi, doucement, du bas vers le haut.
– Gwen, j’adore quand tu me fais ça ; il lui met ses mains dans les cheveux et serre sa tête.
Gwen sort du slip la queue de son mari. Elle la tient dans une main et approche sa bouche.
Elle va d’abord le branler un peu, doucement. Elle serre son sexe, et commence le mouvement de va-et-vient.
Resserre sa main à mesure qu’elle sent grossir le sexe de Franck.
Sert de plus en plus fort et le branle plus vivement maintenant.
La chaudasse sait ce qu’il aime, alors elle va le faire soupirer d’aise.
Elle le masturbe encore et place sa deuxième main juste en dessous de son gland et pratique aussi un mouvement de va et vient.
Franck pousse un râle de plaisir :
– Oh, c’est bon ça, continue s’il te plait…
Gwen s’exécute avec plaisir. Voir son homme avoir du plaisir la fait mouiller.
Elle suce maintenant son gland avec sa langue, y dépose de la salive et lèche, lèche tout autour. Ses mains continuent à maintenir sa queue bien dressée et offerte.
Gwen prend tout le sexe de son mari dans sa bouche.
Avec sa main droite, elle le masturbe et avec sa main gauche, elle lui caresse les testicules.
Sa langue lèche, ses lèvres serrent, ses mains caresses…
Franck guide sa femme en lui maintenant la tête.
Il commence à faire bouger son bassin, il voudrait que sa femme enfonce sa bite jusqu’au fond de sa gorge,
alors il donne des coups de reins plus insistants, plus secs.
– C’est bon, ma petite cochonne, continue, j’adore.
Il passe sa main sous son pull pour pouvoir toucher sa poitrine.
Elle, s’interrompt et retire son pull, son top, mais garde son soutien-gorge.
Gwen reprend le sexe de son mari dans sa main, elle lèche sa verge, salive sur son gland et regarde son mari.
Il aime la regarder le sucer. Elle joue avec sa langue, elle lèche son sexe lentement, de bas en haut puis de haut en bas,
elle en fait le tour et elle mordille gentiment son gland, puis elle souffle dessus.
– Humm, petite salope, tu aimes ça être à genoux devant moi.
Franck lui chope le sein droit et le sort du soutient gorge. Il le malaxe tout en tenant la tête de sa femme.
Elle avale sa queue toute gorgée de plaisir dans sa bouche et suce, suce de plus en plus fort. Son mari râle et râle encore.
Gwen se redresse, défait son pantalon, le laisse glisser jusqu’en bas de ses jambes.
Son mari la soulève et l’assoit sur le rebord du bureau. Il pousse son ordinateur, pour pouvoir lui laisser plus de place.
Franck s’agenouille maintenant devant sa femme et pose sa bouche sur sa culotte.
Il sent l’humidité de sa femme, elle est chaude et mouillée comme il aime.
Alors il lui retire sa culotte, se remet debout.
Il lui écarte les cuisses sans autre sommation et la pénètre profondément.
– Ha, oui, c’est bon. Elle est si dure, si gonflée…
– Chut, malheureuse, si tu continues à parler je vais battre des records de vitesse tellement tu m’as excité.
Franck pose ses mains sur les fesses de Gwen et la rapproche, il la pilonne profondément, elle se cambre, il la retient pour la sentir encore plus. Elle resserre ses jambes autour de sa taille et il se laisse aller, il continue ses vas-et-viens de plus en plus fort, Gwen pousse de petits cris, sa chatte est toute gonflée, elle est sur le point de jouir.
Alors, Franck ne se retient plus et donne un dernier coup de rein plus profond, plus intense.
Il jouit dans sa femme, il sent son sperme se déverser en elle.
Gwen a maintenant des décharges électriques. Elle maintient son mari pour qu’il continue encore un peu.
– Hum, c’était bon, mon chéri
– Oui, c’était très bon
– Tu n’arrives pas encore à faire comme si je n’étais pas là…
– Comment veux-tu que je reste concentrer quand tu me suces ?
– C’est une question de mental mon cher…
Je vais te laisser finir de travailler mon chéri, je suis sûre que tu vas y voir plus claire maintenant dans ton fichier Excel…
Gwen descend du bureau, prend ses vêtements, dépose un petit baiser sur les lèvres de Franck.
– Bonne nuit mon chéri, ne tarde pas trop…
Franck reste debout, à regarder sa femme sortir de la pièce, il a le pantalon et le slip en bas des jambes.
Il se trouve un peu bête, mais vraiment, qu’est-ce qu’il aime sa femme…
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