1983, l’été de mes 18 ans. 18 ans ok mais il faut dire que je faisais bien plus jeune que mon âge. L’on me demandait encore ma carte d’identité au cinéma pour les films interdit aux moins de 16 ans. Un corps fin, quasiment imberbe, y compris au niveau de sexe.
J’avais passé la journée au club de tennis. Après ma dernière partie – perdue d’ailleurs – je prends une rapide douche avant de rentrer à la maison. D’autres hommes sont là, tous bien plus âgés que moi. J’en profite pour les mater discrètement tout en me caressant sous la douche. Je suis excité et j’ai envie de sexe. Je ne suis pas novice en ce domaine et j’apprécie plus particulièrement les hommes plus âgés que moi.
Dans ma ville, les transports en commun le dimanche, ce n’était vraiment pas au point. Comme d’habitude donc, je me mets à l’arrêt du bus et fait du stop. Je me faisais souvent rapidement prendre. Qui craindrait un jeune ado maigrelet ? Et je rappelle que nous sommes en 1983, une heureuse et paisible période.
Un homme me prend rapidement. Il roulait dans une petite camionnette de jardinier. Je lui indique ma direction. Il me dit qu’il peut m’en rapprocher. Je grimpe donc et m’installe. L’homme devait avoir une petite cinquantaine, portait un short, un tee-shirt et était pieds nus dans ses baskets. Assez poilu et un look viril. Je remarquai immédiatement qu’il y avait un magazine porno sur le tableau de bord.
Moi : Merci de m’avoir pris Monsieur, ce n’est pas évident les transports en commun le dimanche.
Lui : Pas de problème jeune homme. Il faut s’entraider et si je peux faire plaisir… Tu as quel âge ?
Moi (mentant effrontément) : Je vais avoir 16 ans – et tout en avançant la main vers le magazine porno – je peux regarder ?
Lui : Oui si tu veux.
Je commençais à feuilleter le magazine qui avait visiblement déjà été « lu » de nombreuses fois.
Lui : Tu aimes cela ?
Moi : Oui beaucoup.
« Moi aussi » répondit-il tout en se caressant doucement l’entre-jambe. Il se penchant un peu en avant, ouvrit la boite à gants et sortit un second magazine qu’il me tendit. « J’aime beaucoup celui-là » aussi me dit-il. Il s’agissait cette fois d’un magazine remplit de beaux jeunes hommes fort dénudés.
Lui : Ils sont beaux, tu ne trouves pas ?
« Oui très beaux » répondis-je tout en me caressant doucement le sexe au travers de mon short. Je sens alors qu’il pose doucement sa main sur ma cuisse. Je tourne la tête pour le regarder et m’aperçoit qu’il a déboutonné son short et qu’il ne porte rien en dessous. Sa toison est bien visible ainsi que son gland déjà bien décalotté. Je ne bouge pas, fait comme si de rien n’était et lui demande si je peux fumer une cigarette. Sans me regarder vu qu’il conduit, il me répond par l’affirmative et s’en allume d’ailleurs une aussi. J’allume donc ma clope, remet mon briquet en poche et pose ma main sur la sienne, toujours délicatement posée sur ma cuisse. Je commence à faire des petits mouvements de caresse sur ses doigts.
Lui : Cela a l’air de t’exciter on dirait.
Moi : Oui.
Lui : Tu as déjà touché un homme ?
Je savais qu’il avait envie d’aller plus loin et moi aussi. Pensant que le fait de m’affirmer puceau à ce sujet l’exciterai encore plus.
Moi : Non jamais.
Lui : Tu veux essayer ? Ne crains rien, c’est l’avantage d’être en camionnette, on est plus haut que les autres voitures et personne ne peut nous voir.
Faisant mine d’hésiter, j’avançais doucement ma main gauche vers sa queue et l’enserra. Je lui caressais le gland déjà bien humide de méat et commençais les vas-et-viens. Elle était de bonne taille et surtout bien dure. Ses petits gémissements étaient le signe qu’il appréciait. Sa main était remontée de ma cuisse vers mon sexe qu’il pressait doucement.
Nous traversions à ce moment un bois. Il s’arrêta sur le bas-côté afin d’être plus à l’aise dit-il. Je me réjouissais de son initiative. Nous avons dégrafé nos ceintures de sécurité. Il s’est approché de moi et m’a embrassé sur la bouche. Nos langues se mélangeaient. J’adore embrasser un homme et nous nous roulons une pelle magistrale. J’ai toujours sa queue entre mes doigts. Mon autre main s’était glissée sous son tee-shirt et caressait son torse bien poilu en s’attardant plus longuement sur ses tétons. Quant à lui, sa main s’était glissée dans mon short que j’avais préalablement déboutonné et me caressait les fesses et la raie. Je me suis volontairement avancé et baissé pour lui laisser toute la place et le loisir de me titiller la rose. Ce faisant, mon visage s’était rapproché de sa queue.
« Tu veux essayer de me sucer » me demanda-t-il. Il eu pour toute réponse mon visage s’approchant de sa verge et ma bouche happant son membre. Je le suçais avec délectation, ne perdant pas une goute de son méat. Je sentais en même temps un doigt me pénétrer très doucement, ce qui m’excitait encore plus.
« Tu m’excites jeune homme, tu vas me faire jouir ». Il ne m’en fallu pas plus pour continuer et accélérer les mouvements de ma bouche et de ma langue. Il va jouir. Je m’attendais à ce qu’il pose sa main sur mon crane pour m’empêcher de me retirer mais il n’en fit rien. « Attention » me dit-il, « je vais jouir ». Je senti alors 4 ou 5 spasmes et ma bouche se remplir de sa jouissance. Je n’en perdis aucun atome et me délecta en goutant et avalant son plaisir. Je pris le temps de bien laver son membre.
Lui : Et bien jeune homme, tu es surprenant.
Moi (mentant effrontément) : Je pense à cela depuis quelques temps en me masturbant et je m’imagine à la place de la femme dans les vidéos pornos que j’ai pu voir.
Lui : Tu as bien appris.
Moi : Merci Monsieur.
Lui : Appelle-moi Yves. Donc tu t’imagines à la place de la femme. Tu as aussi envie d’essayer de te faire pénétrer.
Moi : Oui beaucoup (s’il savait que mon cul avait déjà accueilli une belle quantité de bites). Je me masturbe en m’enfonçant dans bougies dans le cul et je trouve cela très bon.
Lui : Tu aurais envie que je t’initie ?
Moi : Oui beaucoup Mons…, Yves.
Lui : Tes parents t’attendent à la Maison ?
Moi : Non, ce n’était pas prévu que je rentre aujourd’hui. Je devais en principe dormir chez mon cousin.
Lui : Cela te tente de venir manger un bout chez moi et qui sait, on verra pour la suite.
Moi : Avec plaisir Yves. C’est loin ?
Lui (ayant remis la camionnette en route) : Non, à peine 10 minutes.
Et 10 minutes plus tard, j’entre dans sa petite maison pour, ce que j’espère, me faire « dépuceler » une énième fois.
…
J’ai adoré, merci, ça me rappelle ma jeunesse