« Ça, ce n’était qu’un avant-goût. »
Cette phrase prononcée par Valérie, une femme mariée que j’ai rencontré lors de mon séjour en Tunisie, me laisse présager une aventure idyllique. Je suis tombé sous son charme et un peu naïf, j’espère pouvoir passer du temps avec elle. Mais il n’en sera rien, les jours suivants, je ne l’aperçois qu’en coups de vent, la plupart du temps accompagnée de son mari.
Comme cette journée où nous nous retrouvons dans la même excursion à dos de dromadaires.
Déambulant sur ce quadripède puant, je ne cesse de l’observer. Elle est si belle, si souriante. Elle semble heureuse. Elle ne me prête aucune attention. Mise à part une fois où nos regards se sont croisés. Elle m’a sourit brièvement.
J’ai très vite arrêté de me prendre la tête, pensant que ce qui c’était passé au hammam n’était qu’une pulsion passagère.
Mais en milieu de semaine, nous allons nous recroiser un peu par hasard.
Le mercredi soir, après avoir dîner avec mes parents, mon frère et Mylène ayant décidé de s’accorder un resto en ville en amoureux, j’ai eu envie de me faire un hammam en nocturne car l’animation proposée ce soir-là ne m’intéressait pas. L’endroit ferme ses portes à 22h.
Il est 20h45 lorsque je pénètre dans ce lieu où le souvenir de ma gâterie refait surface. Un couple de retraités est là et se détend au calme. Je me décide à tester le deuxième enclos, celui qui est plus chaud. Il est vide. Parfait, je vais pouvoir me mettre à l’aise. Pendant 10 minutes, je me ressource, je suis apaisé. Ne voyant toujours personne rompre ma solitude, l’envie de me mettre nu, me gagne pour profiter pleinement de cette brume tonifiante. Et hop, plus de short. Je garde tout de même ma serviette à porter de main au cas où un importun se pointe.
Je me sens super bien par cette inhalation de vapeur aux effets bénéfiques.
J’entends des pas, dans le passage qui sépare les deux hammam. J’ai juste le temps de saisir ma serviette pour recouvrir mon anatomie.
C’est Valérie. Surprise de me voir ici, elle me sourit.
– Tient, salut toi.
– Salut ça va?
– Très bien, je pensais être seule, mais ça me fait plaisir que tu sois là.
– Tu as abandonné ton mari?
– Oui, ils sont partis tous les trois en ville jouer au casino.
– Pas toi?
– Non, j’ai horreur des jeux d’argent. J’ai préféré rester seule et profiter pour me reposer.
Elle remarque mon short posé à côté de moi.
– Je vois que tu t’es mis à l’aise.
– Oui, il n’y avait personne et j’ai toujours voulu faire ça.
– Tu n’as pas trouvé une gazelle, comme ils disent ici, pour t’accompagner?
– La seule gazelle qui me plait est assise en face de moi.
Elle me regarde et se lèche les lèvres comme pour me signifier qu’elle a envie de me sucer.
– Tu crois que je pourrais faire pareil?
– C’est toi qui vois, perso ça ne me gêne pas.
C’est alors qu’elle commence son petit manège vicieux.
Elle écarte lentement les cuisses, glisse ses deux indexs sous l’élastique de son maillot au niveau de l’aine. Elle le tire vers le haut, ce qui a pour effet de plaquer le tissu contre son sexe, me dévoilant la forme de ses lèvres.
Mon rythme cardiaque s’accélère, alors que ma complice continue ses prouesses lubriques. Elle baisse ses bretelles et démarre un massage mammaire devant moi. J’observe avec attention ses globes qu’elle pétrit sensuellement. A vue d’œil 85B aux mamelons roses pâles, agrémentés de minuscules tétons. Valérie poursuit son show, elle écarte le bas de son maillot et m’exhibe ses plis humides. Elle fait coulisser son majeur de bas en haut entre ses lèvres, titille son bonbon rose, le fait redescendre dans cette faille qui me fascine et pénètre sa première phalange dans son vagin. Sous mes yeux hagards, elle finit par porter ce doigt à sa bouche qu’elle suce d’un air très coquin.
Mon sang n’irrigue plus qu’un seul membre, ma queue. Mon mat est complètement dressé, ma serviette est comme un parasol que l’on a pas déplié. J’ai la furieuse envie de dévorer sa petite chatte toute lisse.
Valérie retire intégralement son maillot, se rassoie en écartant ses cuisses au maximum, les pieds posés sur l’assise. L’obscénité de cette femme m’excite au plus au point. Je ne peux que la satisfaire en me débarrassant de ma serviette. Seuls au monde, nous nous masturbons mutuellement face à face en nous souriant.
Au bout de quelques minutes, je me précipite à ses pieds. À genoux devant elle, je goûte ses chairs tendres. Ma langue parcourt son puits d’amour en long, en large, en travers. Ellie ronronne en me caressant la tête. Ma bouche se pose sur son clitoris bombé, mes dents l’encerclent. Je le mordille, l’aspire pendant que deux doigts inquisiteurs viennent trifouiller ses entrailles. Je la fais dégoupiller aussi sec. Elle s’arqueboute et gémit pleinement en appuyant sur ma tête.
Puis elle me stoppe, me demande de m’allonger sur le carrelage et vient s’empaler sur mon pieu.
Elle se baise ardemment. Accroupie sur et face à moi, les bras en arrière, en appui de chaque côté de mes genoux, elle prolonge son œuvre orgasmique en faisant des va-et-vient brutaux sur ma tige. Ses fesses claquent et écrasent mes cuisses à chaque assaut. Elle jouit de plus en plus fort et part dans un orgasme foudroyant, pendant que je regarde ma queue dégoulinante de cyprine apparaître et disparaître dans sa grotte.
– Oh oui, oh oui, j’aime ça.
– Moins fort, on va nous entendre.
– Je m’en fous, tant que ce n’est pas mon mari, fais de moi une salope.
– C’est vraiment ça que tu veux?
– Oui, oui, prends-moi comme une chienne.
Cette fois, c’est moi qui l’interrompts, mon côté dominant ressurgit.
– Mets-toi à genoux, je vais te prendre en levrette.
Le temps que je me lève pour prendre les serviettes, afin qu’elle ne se râpe pas les genoux, Valérie est déjà à quatres pattes et écarte ses fesses pour me montrer son anus luisant. Je n’en reviens pas, cette cochonne possède une aptitude extrême à me surexciter.
Je laisse tomber les serviettes, tant pis pour ses rotules.
Sans sommation, je lui fourre tout droit ma bite dans le cul. Son cri strident résonne dans tout le hammam. Je coulisse d’abord lentement en elle, élargissant son anneau rectal. Puis, j’augmente la cadence petit à petit. Mes râles sont de plus en plus sonores, alors que Valérie jubile d’être ainsi soumise, tourmentée.
– Hum oui, c’est trop bon, tu baises mieux que Philippe.
– Ha oui, t’aimes ça salope, tu aimes que je te bourre le cul.
– Oui, continues, défonces-moi, ouh, ouh, ouh…
Elle sait comment me motiver.
Je tape dans le fond de son trou aussi fort que je peux, mes mains serrent ses épaules comme un étau. Sentant l’heure de vérité approchée, j’accélère encore. La bougresse aime ça. Elle jouit encore, ses mains toujours sur ses fesses pour les écarter. Mon sexe se contracte, mes cuisses me brûlent et je déverse mon liquide crémeux au fin fond de son cratère en rugissant.
A bout de force, je me retire, la queue à moitié molle, envoyant avec moi un fil de sperme et m’assoie au sol derrière elle avec pour seule vision son orifice béant, rougit par mes salves sodomites. Cette dépravée pousse sur son sphincter et fait rejaillir le trop plein. J’admire mon jus couler le long de sa raie et finir sa route sur sa fente. Je sais qu’elle veut que je l’avilisse, que je l’humilie. Je me relève, empoigne mon calibre devenu mou et cajole son minou et sa raie pour badigeonner mon membre. Je passe devant elle, lui tend ma sucette au sirop et la goinfre me prend en bouche et me nettoie entièrement.
Après ces ébats salaces et mouvementés, nous nous rhabillons et allons nous baigner dans la piscine intérieure afin de nous rafraîchir. Elle se colle à moi et m’embrasse.
– Tu as envie de remettre ça?
– Là, tout de suite, tu es insatiable, ton époux doit être aux anges avec une coquine comme toi.
– Tu crois vraiment que j’irais voir ailleurs si ça se passait bien à ce niveau.
– Donc je ne suis pas ta première infidélité?
– Non, il y en a eu d’autres avant toi, mais c’est la première fois que je me lâche avec un inconnu.
– Insatisfaite?
– Oui et non. J’aime mon mari, nous faisons toujours l’amour, mais beaucoup moins souvent depuis que j’ai donné la vie à mes enfants. Mais ce n’est pas la fréquence de nos rapports qui m’ennuie. Philippe a toujours été romantique, c’est d’ailleurs ce qui m’a plus. Mais il est vieux jeu, il aime rester dans le classique. Et moi, mes désirs, mes envies ont évolué. J’en ai marre de ses câlins, de sa tendresse, de sa gentillesse et de toutes ses mièvreries. J’ai besoin de virilité, de machisme, de sexe torride et bestial, sans frein, ni tabou. J’ai envie qu’on me soumette, qu’on m’humilie, qu’on m’insulte, qu’on me rabaisse. Par exemple, j’ai adoré comment tu viens de me baiser, sans prendre de gants, comme si tu ne me respectais pas.
– Je comprends, tu as besoin qu’on réveille le démon de luxure qui est en toi, que ton côté salope pleine de vice refasse surface.
– C’est exactement ce que je cherche, tu as vu de quoi je suis capable? Et bien je pourrais être encore plus salope.
– Hum, j’aimerais voir ça, tu m’excites là. Ton mari rentre vers quelle heure?
– Pas avant 23h, ça nous laisse du temps.
– On va dans ma chambre?
Nous avons baisé comme des chiffonniers, multipliant les positions, explorant toutes nos zones érogènes. Cet accouplement charnel s’est terminé par une très belle éjaculation faciale, un exercice technique si bien maîtrisé de ma part qu’il aurait classé n’importe quel hardeur, au rang de simple amateur (humour).
C’est en me regardant à genoux,le visage souillé que Valérie va clôturer notre séance.
– Si un jour, tu passes en Moselle, j’espère que tu viendras me faire un petit coucou…
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