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Marilyn, ma jolie nièce

Marilyn, ma jolie nièce



Chapitre 2 : rêve érotique.

Je glisse hors du lit pour descendre au rez-de-chaussée et boire un verre d’eau. Les nuits d’été sont chaudes et j’ai la gorge sèche.
Dans le couloir qui mène aux escaliers, tout au bout, se trouve la chambre où ma jolie nièce Marilyn dort. Cette poupée si mignonne qui m’a complètement chamboulé et retourné les sens. Au lieu d’aller directement dans la cuisine, mes pas me conduisent devant sa chambre, je remarque que la porte est entrouverte et je donne un coup d’œil à l’intérieur.

Grâce à la pleine lune qui diffuse sa lumière par le biais de la porte-fenêtre, je vois que ma nièce a repoussé la couverture et le drap sur ses jambes. Marilyn dort toute nue sur le côté. Elle a un très beau galbe de fesses et sa belle poitrine me fait des clins d’œil. C’est Marilyn au pays des Merveilles !
Et moi je viens de tomber dans ce pays magique et j’ai le bonheur de voir la reine de ce pays imaginaire.

Non, non, et non, me dis-je en moi-même, je rêve ! Sauve-toi ! Même en rêve, ne franchit pas les portes de l’interdit.
Après un long regard je me dirige vers la cuisine pour me désaltérer car j’ai la bouche encore plus sèche qu’avant.
Je bois lentement mon verre d’eau avec dans ma tête cette image d’Eve au paradis. Je comprends pourquoi Adam n’a pu résister devant tant de beauté et de sensualité
.
Il est temps de remonter me coucher et de ne pas retourner devant la chambre de Marilyn. Mais j’échoue lamentablement et je me retrouve de nouveau dans sa chambre.
Marilyn n’est plus sur le côté, elle est maintenant sur le dos, ses mains sur les hanches et entièrement éclairée de cette utile pleine lune.

En silence je vais sur le côté du lit, et me voilà encore une fois, à regarder cette jeune fille si délicieuse. Couchée sur le dos, la poitrine de Marilyn est moins en valeur, mais ses petits mamelons pointent fièrement comme si elle faisait un rêve érotique.
Une nouvelle fois, mes yeux se portent vers cette vallée qui est, peut-être, encore inexplorée.
Elle est vraiment de toute beauté.
Les jambes un peu écartées, j’admire sa jeune vulve rose. Sans réfléchir, ma main plonge à l’intérieur de mon pyjama pour serrer mon sexe qui se redresse.
Dans son sommeil, Marilyn relève ses genoux et écarte encore plus ses jambes, m’offrant une vue idéale sur la petite touffe de poils blonds qui garde sa grotte des plaisirs et de félicités. Je n’aurais pu avoir de meilleure vue si Marilyn l’avait fait exprès, mais ses yeux sont fermés et sa respiration est calme.

J’ai l’intention de quitter la chambre mais Marilyn plie ses jambes complètement et laisse tomber ses genoux de chaque côté. Je vois que ses cours de danse l’on vraiment assouplie !
Le seul bruit dans la chambre est le bruit de ma respiration, qui me semble aussi fort qu’un train de marchandises remontant une pente. Je ne peux me soustraire à cette provocation involontaire de mon Ange.
Au lieu de quitter cette chambre, je m’approche du bord du lit et je rampe entre les jambes de ma nièce jusqu’à ce que ma tête se place entre ses cuisses. Ma tête s’incline lentement et sa chatte est si proche que je peux sentir le doux parfum qui émane d’elle. Une effluence chaude semble sortir de cette rose aux pétales délicatement ourlées. Je respire lentement mais longuement, pour remplir mes poumons de ce fumet que j’aime tant.

Mes joues frôlent l’intérieur de ses cuisses et mes lèvres caressent la douceur des poils pubiens d’un ange. De vrais fils de soie. Du bout de ma langue, je caresse cette toison d’or.

Marilyn laisse échapper un petit soupir. Je recule et je reste figé de peur qu’elle se réveille. Je sais pertinemment qu’elle ne pourra pas rester endormie si je n’arrête pas mes bêtises (pour rester poli) et je dois me reprendre immédiatement. Dans mon esprit égaré par le désir que cette minette déclenche dans mon corps, j’imagine qu’elle ne fait pas semblant de dormir depuis que je suis entré dans sa chambre.

Peu m’importe, car lorsque j’inhale l’arôme de la chatte de ma nièce, une combinaison d’un vague parfum floral avec une nuance légèrement musquée, je suis à l’arrêt comme un chien de chasse qui vient de sentir sa future proie. Je me rapproche de nouveau vers ce fruit défendu et ma langue, comme le serpent de la Genèse, se glisse à l’intérieur de cette fente qui s’entrouvre quelque peu.
J’ai maintenant le privilège de goûter à cet abricot fendu et ma langue dans le sexe de Marilyn s’affaire de haut en bas, pour en extraire toutes les saveurs subtiles. Elle s’égare même brièvement sur le trou étoilé qui se trouve plus bas. Mon dieu qu’elle est douce cette peau de jeune fille ! Depuis combien de temps je n’ai goûté une chair aussi jeune, aussi douce et fine que celle de Marilyn ?

Ma bouche a trouvé la timide perle de son clitoris qui restait caché au début mais qui pointe maintenant hors de sa coquille et c’est assez rare qu’une jeune fille a un clitoris aussi érectile. Son clitoris est tendu comme un petit sexe de bébé. Je le prends dans ma bouche, je le suce, je l’aspire entre mes lèvres et ma langue en explore tous les recoins. Mes lèvres redescendent, je rentre ma langue dans la fente mouillée et goûte les sécrétions mielleuses de ma jeune nièce.
C’est qu’elle a bon goût, en plus ! Je me régale de son jus, glissant ma langue le plus loin possible, parcourant les parois de son vagin.
Elle pose ses mains sur ma tête pour guider mes mouvements, et je suis son désir avec ma langue suivant les pressions de ses mains. La bouche ouverte, elle geint doucement, les seins tendus et le ventre contracté. Mon Dieu qu’elle est belle, quand elle est excitée ! Mes lèvres remontent le long de sa fente, atteignent son clitoris rose que je reprends dans ma bouche
.
À nouveau, je le suce et le lèche, ma langue s’enroule autour de lui. Marilyn geint et râle en continu, elle ne contrôle plus les mouvements de son ventre qui de déplace à la recherche de son plaisir total.
Doucement, je mordille son clitoris. Marilyn se cambre violemment, s’arc-boute, ma langue tourne rageusement autour de son clito et ne me retenant plus, je prends à pleine mains le petit cul de ma nièce pour écraser sa chatte contre ma bouche et forcer le plus loin possible l’introduction de ma langue dans son tunnel maintenant très humide.

Marilyn commence à trembler et à se tortiller sous moi en gémissant plus fortement Je presse ses fesses et un de mes doigts appuis sur sa rosette pendant que je me goinfre de sa chatte et de son jus qui coule.
Elle jouit d’un coup, la respiration coupée, tendue comme un arc.
Dès qu’elle a commencé à jouir, ma bouche est arrosée d’un nectar mi- acide mi- sucré, et ma langue att**** tout ce qui sort de son sexe et ses cuisses enserrent ma tête tout au long de son orgasme.

Enfin, les cuisses de Marilyn desserrent ma tête, et s’écartent comme à regret. Je me mets sur mes genoux et regarde Marilyn, dont les yeux sont toujours fermés comme si de rien n’était, mais sa poitrine est tendue et tremble sous sa respiration saccadée.
Sans un mot, je recule au pied du lit, et je sors sans bruit, comme un voleur, de la chambre de ma nièce pour aller me branler dans mon lit.

Mais ce n’était qu’un rêve érotique car je me réveille dans mon lit, ma bite dans ma main et mon ventre poisseux

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