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Chroniques d’Xhamster – Marie (5)

Chroniques d’Xhamster – Marie (5)



Partie #5

-« Tu es prêt ? »
-« Oui. »
-« Alors, on y va ! »

La scène ? 23h15. Mon entrée d’appart. Totalement nu. Sarah aussi. A genou, devant moi. Quelques secondes auparavant : mon sexe au fond de sa gorge. Maintenant : sexe tendu, raide comme un piquet. Elle se relève tout en continuant à me masturber de la main. Elle me lance un clin d’œil complice. Son sourire ne ment pas. Elle s’amuse. Et la partie ne fait que commencer. J’agrippe la poignée de ma porte d’entrée. Elle est maintenant grande ouverte. Le couloir est dans l’obscurité la plus totale. Sarah s’élance et s’accroche à mes épaules. Ses jambes s’enroulent autour de ma taille. Ma queue frotte contre son sexe. Ses bras se resserrent autour de mon cou. Je prend son cul à pleines mains et le relève avec fermeté. Ma bite s’enfonce alors avec une insolente facilité dans sa chatte inondée d’excitation. Un râle de plaisir. Puis mes mains se dirigent vers ses hanches. Fermes. Puissantes. Elle appuie sur l’interrupteur de mon entrée. Fondu au noir. On ne voit plus rien. Je recule. Mes pieds sur la moquette du couloir. Je recule encore. Contact. Mes fesses sont stoppées par la porte de le voisine d’en face. On y est. On passe la seconde maintenant. Je me retourne et maintenant c’est Sarah qui est contre la porte de ma NMILF (Neighbor Mother I’d Like to Fuck). Un grand coup de rein et BAM ! Son p’tit cul se cogne contre la paroi avec force. Un deuxième. BAAM ! Plus bruyant celui là. Mon excitation est à son comble. Notre plan va t’il marcher ? Ce serait trop beau. Trop gros.

BAM ! BAM ! BAM ! La porte tremble. On n’y voit rien. Mais les sensations sont décuplées. BAM ! Mes mouvement se font de plus en plus intenses. Si on continue comme ça, la porte va finir par sortir de ses gonds (… okay, j’exagère peut être un peu…) Puis un trait de lumière apparaît sous la porte…. BAM ! Une clé s’enfonce dans la serrure… BAM ! Un nouveau grand coup entre les cuisses de Sarah… la sensation de basculer. La lumière qui s’engouffre dans le couloir. La porte se dérobe derrière nous. Sarah pousse un cri de stupeur et tant bien que mal j’essaye de pivoter de façon à ce que je n’atterrisse pas de tout mon poids sur elle. BOUM ! Nous voilà sur le sol. Sur le seuil de ma voisine. Sarah fait un roulé-boulé et se recroqueville dans un coin. Son visage est rouge pivoine. Moi, je suis lamentablement allongé, ma bite au garde à vous… Au dessus de ma tête : Karine, ma voisine, en pyjama (celui en pilou gris de la dernière fois), les yeux écarquillés, la bouche entre ouverte, ses cheveux roux en bataille. Par réflexe, mes deux mains se ruent sur mon entrejambe pour tenter de cacher mon intimité, mais ce n’est pas suffisant pour tout dissimuler (… et cette fois, je n’exagère pas !) Tout à coup, Sarah éclate de rire et du même coup, brise le silence, très gênant, qui commençait à s’éterniser.

– « C’est un petit peu gênant. » Poursuit-elle, en s’adressant à Karine. « On est vraiment désolé. On s’est un peu laissé emporté par l’excitation. »
– « Je sais pas où me mettre… » Ajouté-je en bégayant à moitié.
Karine nous fixe tour à tour puis fini par sortir du mutisme dans lequel on l’a plongé il y a quelques secondes en faisant interruption dans son appartement. Elle prend un longue inspiration et :
– « Ça m’ennuie de vous avoir interrompu en pleine… action,  » elle hésite quelques secondes, son regard se porte sur mon sexe, encore tendu malgré la situation plus qu’insolite, et continue , « Si vous voulez, vous pouvez continuez… »

Sarah me lance un regard complice puis s’adressant à Karine :
– « Ici ? »
– « Oui… Et moi je vous regarde. « 
– « Ça t’excite ? « , lui lance t’elle.
– « Oui, beaucoup… »
Je prend alors la parole et tout en me relevant :
–  » Karine, tu es sûre. On a un peu perdu le contrôle de la … »
Elle me coupe brutalement.
– « Me prend pas pour une quiche. C’était votre intention dès le départ, non ? Faire interruption chez moi. Vous exhiber. Déjà l’autre jour, je vous ai vu. A travers mon judas. Cette jeune fille…
– « Sarah. »
– « Voilà, Sarah qui te suçait dans le couloir, à la vue de tous. Rappelle toi, tu t’es même retrouvé coincé dehors. Ce soir, votre délire, c’était que je vous surprenne. Et bien ça y est. Vous avez réussi votre coup…
– « Karine, c’est pas ce que … »
– « Laisse moi finir. Je sais que j’ai raison. N’est ce pas Sarah ? »
– « Elle nous a percé à jour, mec… »
– « Je ne vous en veux pas », rajoute Karine en déboutonnant son haut de pyjama, révélant ainsi une splendide paire de sein… Un peau diaphane, des tétons légèrement tendus, des mamelons très clairs, quelques taches de rousseur de ci de là. « Bien au contraire. Je ne peux pas dire que ma vie sexuelle soit au top en ce moment », poursuit-elle en faisant glisser tout doucement son pantalon, dévoilant son sexe totalement épilé, puis ses cuisses au galbe impeccable… « C’est une bouffée d’air frais que vous m’offrez ce soir », totalement nue, elle enjambe son pyjama qui gît à même le sol, s’éloigne quelques instant vers son salon et revient une chaise à la main. « Alors, je vous en prie, continuez. Ne vous faite pas prier. » conclue t’elle en s’essayant face à nous.

Karine écarte alors ses cuisses et commence à se caresser doucement du bout de deux doigts tendus de sa main gauche. Elle alterne insertions et caresses. Doigtés et frottements. Je sens mon sexe qui se tend à nouveau. Sarah vient se placer entre elle et moi, à genoux, tournant le dos à Karine et entame une pipe dont elle a le secret, tout en se doigtant. Ma voisine me fixe intensément. Elle mordille sa lèvre inférieure frénétiquement. Je sens mon gland s’enfoncer avec délectation dans la gorge de Sarah.

Dans ma tête, le pensées se bousculent. De façon très étrange, mais finalement très à propos, une tirade fameuse de la série TV, « L’agence tout risque », me vient alors à l’esprit : « J’aime quand un plan se déroule sans accroc ». Notre plan n’avait en effet rien à envier à ceux d’Hannibal, Futé et compagnie. Je n’avais plus qu’une journée pour réussir mon défi. Le défi insensé de Marie : 72h pour participer à un trio avec deux femmes et, là, ça se corse, pouvoir lui fournir une preuve que la mission a bel et bien été accomplie. Pour le moment Karine, n’a pas franchi le pas… mais Sarah a de la ressource. « Si le début de notre plan fonctionne. Si on arrive à rentrer chez elle. Qu’on est tous les deux à poil. Je te promet qu’en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, ta voisine sera dans tes bras. J’ai plus d’un tour dans mon sac ! ». A toi de jouer. Ma queue est à nouveau au garde à vous. Sarah se relève, se retourne, se penche en avant et s’adressant à Karine :
-« Je peux poser mes mains sur tes cuisses ? »
– « Bien sûr. » Lui répond-elle.
Pas besoin de vous faire un dessin, la scène est divine. Mes coups de reins puissants, mes mains qui se resserrent sur sa poitrine, les cris de plaisir de Sarah, ses ongles qui s’enfoncent dans les cuisses de Karine. Leurs visages se font face et plus je la pénètre plus Sarah se penche vers Karine. Quelques centimètres séparent leurs bouches. Ma voisine est hypnotisée par le regard de Sarah. Ma complice lui vole alors un baiser. Un nouveau coup de rein. Un second baiser, cette fois plus long, plus sensuel. Plus sexe. Les mains de Karine se tendent vers la poitrine de Sarah, qu’elle frôle… puis caresse… Leurs baisers se font de plus en plus intenses… Leurs bouches se rejoignent, leurs langues se mêlent. Puis soudainement, Sarah écarte les genoux de Karine et plonge la tête la première entre ses cuisses. Elle la laisse faire, posant même ses deux mains au dessus de sa tête… Karine se met à gémir fortement… la langue de Sarah fait des merveilles. Puis elle se retire de mon étreinte pour s’agenouiller et lui offrir le plus beau des cunnilingus… Beau est un mot trop faible. Je suis au première loge et le spectacle qui m’est offert est tout simplement exceptionnel… Karine semble prendre un pied monumental… et entre deux halètement me lance :
– « Caresse-toi… branles toi pour nous… »
Sarah, relève la tête et jette un regard complice à sa proie…
Je ne me fait pas prier et je commence à me masturber énergiquement. Karine a du mal à retenir son plaisir… et les coups de langue sur son clitoris semblent la rendre dingue… au bout de quelques instants elle saisit la tête de Sarah, lui faisant ainsi signe de s’arrêter… Elle se relève alors et tout en enfonçant ses doigts dans la fente de ma voisine, lui demande :
– « Il peut venir jouer avec toi, lui aussi ? »
La réflexion fut brève… « Je n’attend que ça », répondit-elle.

A ses mots, Sarah vient se coller contre mon dos. Son visage est logé entre mes omoplates. Elle commence à me lécher entre les épaules puis soudainement, elle passe sa main droite par devant et agrippe ma queue avec fermeté. De bas en haut, elle me branle avec vigueur. Puis tout en me masturbant, me pousse vers Karine, qui me fixe du regard. Quelques pas et je me retrouve à une trentaine de centimètre de ma voisine. Son visage fait face à ma queue, en offrande. Mon gland disparaît puis réapparaît au rythme des mouvements de Sarah. Ses coups de langue font place à des coups de dents. Elle me mord le dos. Je sens ses dents s’enfoncer dans ma chair. Puis sans prévenir, elle saisit de sa main gauche la chevelure de Karine et rapproche son visage de ma queue qu’elle continue de branler avec son autre main. Ma voisine se laisse faire… Sarah poursuit et frotte ma queue sur la joue de Karine, puis autour de sa bouche, comme si mon sexe était un rouge à lèvre. Karine, entrouvre sa bouche… et engloutie ma queue… Le plaisir est intense… Sarah lâche prise et lui laisse la main (comme cette expression est bien adaptée ce soir). Des baisers langoureux dans le dos, une fellation divine… Un petit aperçu du Paradis…

Ma complice est maintenant voyeuse… elle vient se placer derrière la chaise de Karine et commence à embrasser son cou, ses épaules… Quel spectacle ! Puis, elle vient coller ses lèvres contre son oreille droite et lui susurre ces mots : « Je reviens tout de suite. » Sarah s’éloigne, ouvre la porte et retourne dans mon appartement… elle revient quelques secondes plus tard mon téléphone à la main. « Pour immortaliser cette divine rencontre. » Dit-elle en dirigeant l’objectif vers nous. Karine semble hésiter… puis lui répond, la bouche pleine : « Je te …donnerai… mon adresse… mail… », puis elle lui jette un clin d’œil complice. Sarah, tu es vraiment la meilleure. La suite ? Et bien tout est allé à 200 à l’heure. Je me suis retrouvé à nouveau allongé sur le sol, téléphone en main, deux femmes se relayant pour me lécher, me sucer, me pomper… Le kif ultime quand, simultanément leur deux langues se sont posées sur mon gland, leurs yeux coquins fixant l’appareil que je pointais vers elle… l’image tremble, il m’est très difficile de me contrôler… à ce stade, je sens la sève remonter inexorablement le long de ma queue… Contrôle-toi. « Laisse toi aller », me dit Karine… « la soirée ne fait que commencer. » Leur deux bouches se collent de par et d’autres de mon urètre… Et un jet puissant jaillit alors de ma bite, les arrosant toutes les deux abondement. Je pousse un râle de plaisir, rauque, puissant… Mon sperme s’écoule alors le long de leurs joues, de la commissure de leurs lèvres jusqu’à leurs mentons. « Putain ! Quel pied ! » M’exclamai-je alors. « Putain ! C’était trop bon ! » Karine et Sarah se lèvent alors et ma voisine, tel un gladiateur toisant sa victime, vient poser son pied nu sur ma queue encore tremblotante :  » C’est la fin du premier Round. On t’a bien amoché, mais à la fin du match, c’est toutes les deux que tu vas mettre K.O., on est d’accord ?  » Me lance t’elle avec un regard de défi. Je ne peux qu’acquiescer. La nuit va être agitée. Très agitée. Sarah sourit. « Bien, poursuit Karine, on s’ouvre une petite bouteille de rouge en attendant que notre étalon se remette ? »

Le lendemain matin. Mal à la tête. Je referme la porte de mon appartement. Nu comme un ver. Sarah est à mes cotés… nue elle aussi. Des petits yeux. Des marques de griffures dans le dos. Les ongles de Karine ne l’ont pas épargnée. Les fesses rouges. Amatrice de fessées, j’ai découvert ça cette nuit. Ma queue me lance. Il va me falloir un bon moment pour m’en remettre. On se laisse tout les deux tomber dans mon canapé.
-« Mission accomplie », dit alors Sarah. « Et à plusieurs reprises. Ça va te rapporter des points bonus, j’espère. »
Un rire m’échappe. Mes côtes me lancent, elles aussi. Je suis mort. Mais je suis victorieux. Le défi a été relevé. Dans les temps. Et j’ai sans doute passé l’une des soirée les plus HOT de ma vie. Une des plus intenses. Une constatation cette nuit : ma voisine est une nympho. Tout simplement. Sa soif de sexe fut inétanchable. Cette rousse volcanique m’a fatalisée. Sarah s’empare de ses vêtements, qui gisaient sur mon tapis et me claque la bise sur la joue droite.
-« Je commence dans une heure, faut que je te laisse. Tu me tiens au courant de ton prochain défi ? A bientôt. »
Je n’ai même pas le temps d’articuler un « salut » qu’elle a déjà filé. Sur ma petite table : mon téléphone. La mémoire saturée. Plus de 2 heures de vidéos de cul et quelques dizaines de photos pour se remémorer cette nuit … comment dire… fantasmatique. C’est le mot. Soudain, il se met à vibrer. Un SMS d’un numéro inconnu.

« iL TE ReStE 24 H PoUR RéuSSiR ToN DéFI »

Je pianote à mon tour.

« Prépare toi à m’appeler Maître, Marie » Emoji sourire coquin. Emoji smiley à lunette de soleil.

[A suivre]

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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