Une bien belle famille que la mienne. Nous vivons une fantastique histoire sexuelle.
C’est lundi. Mon fils Samuel, tout juste 15 ans, s’accroupit sur moi et son cul engloutit ma queue qui devient vite en feu avec ce mouvement de va-et-vient dont il est le seul à me procurer un plaisir immense. J’admire ce bronzage intégral (nous sommes nudistes depuis des lustres), ses petits tétons, et sa queue circoncise tout à fait dans la moyenne mais large. Je suis étendu sur le dos et le copain de Sam, Mathieu, à quatre pattes par dessus moi lèche la queue de mon fils. Quant à moi je me délecte de la queue de Mathieu et lèche son cul avec avidité. Mathieu vient de la proche campagne, est de l’âge de Sam, a de solides pectoraux et a cette réputation de fourrer sa queue partout où il peut.
Tout à coup une autre queue fait son apparition au-dessus de mon visage et s’engouffre dans ma bouche; je penche la tête vers l’arrière et j’aperçois un autre copain de Sam, Philippe bientôt 16 ans qui, une fois en érection, pénètre doucement le cul du copain Mathieu. Philippe a de larges mamelons et adore lécher et avaler.
Pendant plusieurs minutes nous exprimons toutes sortes de gémissements; Phil explose son jus d’amour dans le cul de Mat, se retire et vient lécher le trou de son copain. Du même coup Sam éjacule puissamment dans la bouche de Mat qui avale le tout. Devant tous ces écoulements j’en suis à mon paroxysme et déverse une quantité inouie de sperme dans ce magnifique cul de mon fils qui se retire alors pour essuyer ma queue avec sa bouche.
Je reprends en bouche la queue de Mathieu et demande à Sam de me lécher le cul afin que Mathieu puisse me pénétrer. Mathieu m’écarte les jambes, les place sur ses épaules et commence à me pilonner l’anus. Durant ce temps, Sam se place derrière Phil et commence à humecter son cul avec sa salive. Sam me donne sa queue à sucer afin que je lui redonne forme. Quand Sam obtient son érection il approche sa queue du cul de Phil afin de le pénétrer pendant que Mat éjacule dans mon cul. Quel délice! Au bout de quelques minutes, Sam se soulage et emplit le cul de son copain. Nous sommes exténués!
Étendu sur le dos, Sam me dit:
— Dis, samedi c’est l’anniversaire de Mathieu et j’aimerais lui offrir un cadeau disons… un peu spécial.
— Ah oui? lequel dis-je.
— Je sais pas si tu as remarqué Étienne, mais il me semble que sa queue a pris du volume ces dernières semaines.
Étienne est mon autre fils âgé de 14 ans et de fait son pénis et ses couilles prennent forme peu à peu bien qu’il n’ait encore aucun poils… et sa peau est d’une douceur indicible à faire bander n’importe qui lorsqu’on le caresse. Sam reprend:
— Je crois qu’il est temps de le faire participer à nos jeux.
— Je pense que je te vois venir…
— Pour l’anniversaire de Mathieu – c’est samedi -, j’ai pensé qu’il pourrait être le premier à l’enculer.
À ces mots la queue de Mathieu s’est mise à grossir et un sourire s’est affiché sur son visage.
— Intéressant.
— Je pourrais le préparer cette semaine tout doucement. Je lui dirai d’avance et aussi que j’aimerais être le premier à être enculé par lui… c’est mon frangin après tout!
Tout cet échange nous a fait bander dur tous les quatres.
— D’accord dis-je. Sam tu le prépares, i.e demain et mercredi tu lui asticotes doucement l’anus, tu l’entraînes à recevoir un, deux puis trois doigts… les siens d’abord, puis les tiens. Jeudi tu lui prépares l’anus avec le gode; il devra le porter une partie de la journée pour habituer ses sphincters (nous sommes toujours nus à la maison). Vendredi on l’invitera à assister à une baise comme aujourd’hui pour qu’il observe. Et samedi Mathieu, tu auras l’honneur, pour tes 15 ans, de faire jouir Étienne. Entre temps Sam, ne vous gênez pas Étienne et toi pour vous sucer et vous masturber. Bien sûr Philippe, tu peux être des nôtres vendredi et samedi.
Nous avons toujours été très libres sexuellement dans la famille. Les garçons ne sont nullement gênés face à la nudité; leur mère (nous sommes divorcés depuis deux ans) et moi les ayant initiés très tôt au nudisme. Il a toujours été naturel de se voir mutuellement la queue en érection et de se soulager dès que Sam à tout le moins fut en âge de le faire. Pour Étienne c’est arrivé il y a quelques mois à peine. Tout le monde s’en est réjoui puisque ça laissait présager beaucoup de plaisirs. Et je crois qu’Étienne attendait ce moment avec impatience.
Je sais que depuis quelque temps Sam aime bien passer du temps avec son frère pour des parties de branlettes. Ils ne sont jamais allés jusqu’à la pénétration mutuelle. Ce ne fut donc pas une surprise que Sam fasse cette proposition. Étienne a un superbe corps bien proportionné, bronzé intégral lui aussi. Alors quand Sam lui a fait sa proposition pour samedi, sa queue s’est redressée et un large sourire est apparu dans son visage. Sam était content de l’attitude de son frère.
— Alors, on commence tout de suite? dit Étienne voyant son frère la queue au garde-à-vous.
— Si tu veux. Étends toi sur le dos.
— Ici sur le tapis du salon?
— Eh oui mon pot. Je vais t’expliquer ce que je vais faire. On va d’abord se caresser, ensuite je vais te lécher partout en particulier ton joli trou de cul imberbe. Tu sais pour te pénétrer sans que ça te fasse mal, il est important que tu sois bien lubrifié. Ma salive pour l’instant fera l’affaire. Il existe des substances comme le KY mais ça on y viendra plus tard lorsqu’on te fera vivre une autre expérience vraiment hot.
— Alors qu’est-ce que tu attends Sam?
Chacun des deux gamins a empoigné la queue de l’autre et ont commencé à se caresser avec grande douceur. Sam a commencé à lécher le visage de son frère; il a mis sa langue dans la bouche d’Étienne et tous les deux se sont mis à se frencher avec passion, leurs langues mélangeant leur salive. Sam a commencé sa descente en embrassant les têtons d’Étienne qui se sont mis à pointer légèrement. Sa langue a ensuite fait de petits cercles autour de son nombril. Il avait toujours la queue de son frère en main; il l’a décalotté et avec le bout de sa langue, très doucement, Sam a humecté le gland d’Étienne pour tout doucement avaler sa hampe et commencer cette divine succion. Petit à petit, Sam écarte les jambes d’Étienne et les soulèvent peu à peu afin d’avoir accès à son cul. Sam a cette particularité de prendre son temps, ce qui décuple l’excitation précédent l’extase. Sam prend le temps de prendre en bouche chacune des couilles de son frère et commence, sous les couilles à lécher le chemin qui conduit à son cul et juste avant de mettre sa langue dans le cul de son frère ìl remonte à la bouche d’Étienne afin d’accumuler dans sa bouche la salive de son frère qui commence à gémir de plaisir. Ensuite Sam recommence le même manège et arrive enfin à lécher le cul d’Étienne qui ouvre grand les yeux et se cambre légèrement devant ce déluge de plaisir. Tout doucement Sam écarte les fesses (petites et rondes) d’Étienne afin que sa langue commence à pénétrer l’anus du frangin.
— Étienne, tu vas me sucer l’index en y mettant beaucoup de ta salive et tout doucement je vais insérer mon doigt dans ton cul afin de t’apprendre à détendre le muscle de ton cul. Ensuite tu me suceras deux puis trois doigts que j’insérerai dans ton trou.
Aussitôt dit aussitôt fait. Sam insère la première phalange de son index dans la rosette de son frère; il tourne délicatement son index et lorsqu’il perçoit qu’Étienne se détend Sam va plus profond et accélère le mouvement.
— C’est bon hein?
— Oh ouuuuuuiiiii! Hummmmmmm!
Sam enlève son index et porte deux doigts à la bouche d’Étienne et observe avec curiosité sa réaction, car son index doit goûter un peu la merde; Étienne submergé par le plaisir ne semble pas s’en être rendu compte et lèche avidement l’index et le majeur de Sam qui reprennent le chemin du cul de son frère afin d’augmenter l’élasticité des sphincters. Il en va ainsi jusqu’à trois doigts. Étienne est aux anges, lui qui est toujours prêt à vivre de nouvelles expériences. Sam comtemple le trou ouvert de son frère et y plonge la langue profondément ce qui a pour effet qu’Étienne ne peut plus se retenir et de son pénis trois jets puissants viennent éclabousser son abdomen jusqu’à son cou. Sam entreprend ensuite de tout lécher, Sam adore le goût du sperme quel qu’il soit. Étienne dit alors:
— Je peux aussi t’explorer le cul Sam?
— Demain tu le feras, aujourd’hui contente toi de me faire jouir et tout de go Sam fourre sa queue dans la bouche de son frère qui avale le jus d’amour de Sam, abondant et salé. Maintenant Étienne, pour te préparer à samedi tu peux toi-même t’insérer les doigts dans le cul. Le truc, c’est apprendre à te détendre les muscles, ça facilitera la pénétration que Mathieu va te faire goûter. Tu verras comme c’est bon.
Comme les garçons sont toujours nus à la maison ils vont ensemble à la douche et continuent leur jeu pour jouir de nouveau. Chacun retourne ensuite à ses activités. Comme nous demeurons un peu à l’extérieur de la ville, notre propriété offre tout le loisir possible pour vivre nus dehors. De hautes haies entourent la propriété qui est gazonnée avec piscine extérieure. Sam adore se baigner alors il plonge dans la piscine pour faire quelques longueurs alors qu’Étienne commence à mettre en pratique les conseils de son frère qui est resté au salon. C’est alors que j’arrive et que je vois mon fils en pleine action ce qui me fait bander.
— Je vois que Sam n’a pas perdu de temps avec toi!
— Ahhhhhh! Oui et il fait bien ça…
— Tu diras à ton frère que pour la deuxième séance il aille avec toi dans la salle réservée.
— Vrai? dit Étienne en portant les doigts à sa bouche, je vais enfin pouvoir voir cette salle où tu joues avec tes amis? Et il reporte son majeur dans son cul.
En effet, j’ai aménagé une pièce dont tout le sol est recouvert d’un seul et immense matelas et dont les murs et le plafond sont fait de miroirs. Un des murs donne sur ma chambre et le miroir me permet de voir ce qui se passe dans la salle des plaisirs sans être vu des participants. J’ai un petit côté voyeur…
Mercredi arrive et bien sûr Étienne a fait le message à Sam pour la salle des plaisirs. Ils entrent tous deux dans cette pièce.
— Wow fait Étienne qui bande déjà à se voir dans tous ces miroirs. C’est ici que vous vous amusez toi, Mat, Phil papa et les autres?
— Oui p’tit frère, bienvenue dans la salle des plaisirs. Aujourd’hui Étienne, on va refaire ce qu’on a fait hier, mais cette fois tu pourras me faire exactement ce que je te fais. Le plaisir sera partagé.
Sam n’est pas très grand, a les cheveux crépus, il est imberbe, seulement quelques poils épars sous les aisselles et les poils de pubis peu abondants et châtains. Absence de poils au cul ce que tous les copains trouvent génial. Une superbe queue comme vous le savez déjà et de belles couilles pleines et juteuses à souhait. Étienne est fort différent, petit et cheveux coupés courts, il a la peau douce et totalement imberbe. Sa queue n’est pas circoncise et est en train de prendre son volume alors que pour ses couilles cela viendra incessamment j’imagine.
Cette fois Étienne se couche sur le dos pour les préliminaires et Sam se place en position 69 afin qu’Étienne puisse avoir accès à son cul plus facilement.
— On va d’abord se faire bander avant de se lécher mutuellement le cul dans un premier temps, ensuite tu pourras venir explorer mon trou et je ferai de même par la suite.
C’est la première fois qu’Étienne pose sa langue sur le cul de quelqu’un. Il mouille bien le cul de Sam, se lèche les doigts et lui entre l’index et le majeur dans le cul.
— C’est chaud à l’intérieur de toi, dit Étienne.
— Tu verras quand tu m’enculeras la sensation de ton pénis bandé dur, tu vas adorer. Bon, on change de position, mets-toi à quatre pattes. Je vais te lécher le cul, y introduire mes doigts comme hier et je vais te branler la queue en même temps. N’oublie pas, il faut se détendre.
Après cet exercice concluant, Sam félicite son frère qui arrive à bien détendre ses muscles.
— Tu verras, quand Mathieu va introduire sa queue dans ton trou, c’est son gland que tu vas percevoir en premier. Ensuite ce sera son mouvement de va-et-vient qui va t’envoyer au septième ciel. Ça fait aussi une drôle de sensation quand quelqu’un éjacule dans ton cul.
Étienne est en train de re-bander. Sam invite Étienne à lui limer le trou avec ses doigts et à lui caresser la hampe afin qu’il puisse jouir à son tour. Tous les deux se lèchent les écoulements spermiques et s’échange le sperme dans leur bouche.
— Sam?
— Oui?
— Samedi, quand Mathieu m’aura fait goûter ce nouveau plaisir, si j’ai bien compris, tu seras le premier que je vais enculer?
— Oui frérot et t’as pas idée comme j’ai hâte que tu m’emplisses le trou du cul avec ta bite.
Ça devenait infernal pour le pauvre Étienne. Mon fils Sam et moi savions qu’attendre, évoquer les situations permettait de décupler le plaisir. Jeudi, Sam retrouve Étienne dehors cette fois. Ils étaient à se faire bronzer lorsque je me présente à eux avec le gode. Je le donne à Sam et je les regarde tous deux s’amuser avec.
— D’abord Étienne, tu vois ce gode?
— Oui!
— Avant de te l’insérer dans le cul, je vais le lubrifier avec du KY. Pas juste le gode, mais aussi mon cul. Ça lui permettra de pénétrer en douceur.
Sam enduit le gode de KY ainsi que son cul et le fait entrer délicatement dans ses entrailles. J’adore la manière dont il s’y prend, tout en douceur. Ma queue durcit et mon gland est rouge vin; ma main commence à caresser mes couilles, mon cul et se place finalement sur ma tige, je n’en peux plus. Sam est à quatre pattes et Étienne regarde l’intérieur du cul de Sam car le gode est transparent.
— Tu vois Étienne, c’est simple. Ça va permettre à tes sphincters un autre genre d’assouplissement et ça donne la sensation du gland d’un pénis qui entre en toi. Mets-toi à quatre pattes et écarte bien les jambes, je vais te mettre du KY en introduisant mes doigts et ensuite je vais t’introduire le gode.
Sam s’appliqua, il introduit le gode dans le cul d’Étienne en le faisant pivoter. Il prend la main de son frère, la place sur le gode et l’invite à l’entrer et sortir de son cul. Lorsque son frère a bien compris le principe, Sam passe sous Étienne afin que celui-ci ait accès à sa queue qui n’en peut plus et qu’il puisse sucer celle de son frère. Ce spectacle me fait décharger sur le dos de mon fils Étienne tout le sperme que mes couilles bien remplies ont produit depuis 24 heures. Lorsque mes deux fils se sont délectés du foutre de l’autre, Étienne est invité à garder dans son cul le gode jusqu’au souper en prenant soin de le lubrifier régulièrement.
Vendredi arrive. Sam a invité ses amis Mathieu et Philippe à souper. Jusqu’à ce jour, Mathieu et Philippe s’ébattaient avec Sam et moi dans la salle des plaisirs. Ils savent que nous sommes nudistes. Cependant, en présence de Mat et Phil nous étions toujours habillés dans la maison comme en présence de tout étranger. Maintenant qu’Étienne se joignait à nous pour nos ébats, j’ai avisé Étienne, Mat et Phil que la règle change à partir de maintenant: Mat et Phil devront se mettre à l’aise dès qu’ils arriveront sur le terrain… ils pourront aller et venir complètement nus n’importe où dans la maison ou sur le terrain. Ce qu’il font dès leur arrivée.
Mathieu vit à la campagne, a 15 ans (demain), son corps est bronzé, il a une bonne musculature; il est plus grand que Sam. Ses poils sont présents sous les aisselles, à son pubis (une belle toison) et un peu dans son cul. Sa queue et ses couilles sont de belle apparence. Quand il est bandé, sa queue s’apparente à la mienne. Sur la ferme, Mathieu a pu entraîner sa queue à pénétrer autre chose que ses copains.
Philippe quant à lui est large d’épaule (il aura bientôt 16 ans), de jolis mamelons larges, sa peau est plutôt blanche. Ses poils sont plus abondants et partent de son nombril pour descendre vers son organe que j’adore regarder se balancer quand il marche. Il est pourvu de deux grosses couilles poilues comme autour de son cul. Ce garçon adore lécher et avaler comme nous le verrons dans un autre épisode.
C’est ainsi qu’en arrivant, Mathieu et Philippe se sont déshabillés complètement avant de sonner à la porte. Ici dans la famille, voir une queue en érection ne nous dérange nullement et est plutôt présage de beaucoup de plaisirs. On a toujours appris à nos garçons à savoir attendre. Quant Étienne est allé ouvrir, il ne s’est pas étonné de voir les amis de Sam à poils et leur queue légèrement durcie.
Le souper se passa bien. Nous passâmes au salon. Pour se mettre en… appétit, j’ai demandé à Sam de nous raconter avec force de détails l’entraînement d’Étienne en invitant tout le monde à ne pas se toucher le bas-ventre et que nous y verrions dans la salle des plaisirs. Après le récit de Sam il devint évident que nous n’en pouvions plus à voir les méats urinaires qui laissaient déjà passer quelques gouttes de lubrifiant. J’invite tout le monde à passer dans la salle des plaisirs.
— Alors voici ce que nous allons faire Étienne. Tu vas nous voir, et on va t’inviter à regarder de près, nous pénétrer mutuellement. On fait toujours ça avec douceur; il ne s’agit pas de se faire mal, mais de se faire plaisir. Tu prends un plaisir avec quelqu’un, tu lui permets de prendre plaisir avec toi. Ça doit se faire dans un accord mutuel, il faut toujours que tu prennes soin de respecter ça. Je vais d’abord enculer ton frère et ensuite je lui engloutirai sa bite avec mon cul. Ensuite, s’ils le veulent, Mathieu et Philippe le feront (un signe de tête de leur part et surtout leur sourire m’indique leur accord) pour que tu puisses voir tout le plaisir qu’ils ont.
— P’pa, demain tu vas mettre ta grosse queue dans mon cul après celle de Mathieu?
— On verra, un jour à la fois fils. Quand tu nous auras bien observés, on ira à tour de rôle visiter ton trou avec notre langue et nos doigts et ensuite tu pourras venir voir nos jolis boutons de rose. Par la suite, eh bien on s’amusera à se sucer, à se lécher, à se caresser. Ça te va?
À voir l’érection d’Étienne, ça nous intimait l’ordre de passer à l’action. J’explique à Étienne qu’il y a plusieurs positions possibles pour enfouir sa queue dans le cul d’un mec ou d’une nana. Pour permettre à Étienne de bien voir, j’ai demandé à Sam de se mettre à quatre pattes en écartant bien les jambes. Étienne pourra ainsi voir ma queue entrer et sortir du cul de mon aîné; il pourra aussi, en se couchant sous nous, voir mes couilles claquer sur celles de Sam.
Je demande à Mathieu de lubrifier le cul de son ami Sam et à Phil de m’humecter le pénis. Quand tout cela fut prêt, Étienne se plaça à côté de moi pour voir ma bite s’approcher du trou béant que m’offrait Samuel.
— Tu vois Étienne, je place mon gland dans l’orifice et je pousse légèrement afin de permettre aux sphincters de Sam de s’étirer. Comme ton frère est habitué à se faire visiter par nous trois et d’autres, son cul est très élastique.
— C’est comme ça que tu vas faire Mathieu? dit Étienne.
— Oui et… j’ai hâte.
— Tu vois Étienne, ce qui procure du plaisir c’est de faire entrer et sortir le gland à quelques reprises, ensuite comme tu vois… hummm… j’entre ma queue plus profondément dans le cul de Sam (qui commence à gémir de plaisir, Philippe s’étant placé sous lui afin de lui sucer sa belle bite large et se faire sucer par Mathieu qui n’était pas en reste).
Là j’ai commencé ce va-et-vient de plus en plus rapide; l’ambiance était torride, Sam et moi étions couverts de sueur, mes cuisses claquait sur ses fesses et mes couilles se cognaient sur celles de Sam. Étienne s’était mis sur le dos pour voir entrer et sortir ma bite des entrailles de Sam et voir Philippe sucer le pénis durcit de son frère. J’éjaculais dans le sillon chaud de mon fils et tout de suite Phil s’est mis à nettoyer le trou du cul de son ami ainsi que ma queue.
Afin de montrer une nouvelle position à Étienne, j’invitai d’abord Mathieu à me lécher le cul tandis que Phil s’occupait de la queue de Sam.
— Maintenant Sam tu te couches sur le dos. Alors Étienne, je vais maintenant m’asseoir sur la bite bien tendue de ton frère, toujours doucement et ce sera à son tour d’exploser en moi. Mathieu, il me semble que le cul de Philippe t’invite. Ouvre tes yeux Étienne et regarde jouir ton frère, Mathieu, Phil et moi.
Ce fut indescriptible, toute cette virilité, cette odeur de sueur et de sperme, ces cris, ces gémissements. Étienne en avait plein la vue et sans même se toucher déchargea sa semence sur le drap. Philippe passait de la queue de Sam à celle de Mathieu afin de goûter la merde de mon cul et celle du sien. Étienne n’en pouvant plus:
— Et moi alors? J’ai le cul en feu, quelqu’un s’occupe de moi?
— T’inquiète! j’arrive dit Philippe toujours prêt pour une bonne lèche.
Chacun à tour de rôle avons mis notre langue dans le trou d’Étienne, lui avons sucé la bite et pénétré son intérieur avec nos doigts. Ensuite, nous nous sommes mis à quatre pattes pour qu’il puisse bien voir nos culs et nos couilles. À tour de rôle, il nous a léchés, manipulés la bite et investis les entrailles avec tantôt deux tantôt trois de ses doigts. Génial.
A suivi une demi-heure de caresses, de baisers humides, de branlette et de suçage de bite. Nous nous sommes endormis dans les bras les uns des autres.
Enfin samedi arriva. Après souper, Sam alla répondre à la porte et nos amis Mathieu et Philippe se présentèrent nus. On souhaita bonne fête à Mathieu et nous nous dirigeâmes vers la salle des plaisirs. Étienne y était déjà tout excité.
— Bon, Mathieu, je te suggère de prendre Étienne couché sur le dos avec les jambes repliées vers l’arrière pour que tout le monde puisse bien voir. Avant, vu que Mathieu est celui qui va t’emplir le trou du cul de sa queue, c’est à toi Étienne qu’il revient de faire bander Mathieu. Allez-y pour les préliminaires.
Étienne s’étendit littéralement sur Mathieu et commença par un baiser humide et descendit peu à peu vers ses tits qui pointèrent rapidement sous l’action de la langue d’Étienne. Tout en descendant plus bas, Étienne mouilla ses doigts et les passait délicatement dans la craque des fesses de Mat afin de lui masser le cul, ce qui faisait bander à la fois Mat et Étienne. La bouche d’Étienne engouffra le pénis de Mat en même temps que sa main faisait une rotation autour de la hampe de sa queue. Étienne se retourna, toujours sur Mat afin que celui-ci lui lécha le cul et commence à le lubrifier. Je tendis alors le tube de KY à Mat afin qu’il lubrifie abondamment le cul d’Étienne étant donné que c’était une première pour lui. Mat s’en mit plein les doigts et commença à les entrer un à un dans le trou rose d’Étienne. Quand son cul fut bien lubrifié, Étienne se coucha sur le dos, releva ses jambes pendant que Mathieu s’essuyait les doigts sur sa queue afin de la bien lubrifier. Tout doucement il approcha son gland près du trou ma fois fort souple de mon fils Étienne qui avait dû faire quelques exercices avec le gode durant la journée.
Mathieu poussa son gros gland dans l’orifice jusqu’à la base, l’entrant et le sortant lentement ce qui procurait déjà un plaisir intense à Étienne qui gémissait déjà.
— ahhhhhhh! hummmmmmm! ouuuuuiiiiiiii!
— Je vais pousser mon pénis tout au fond de ton cul et commencer mon va-et-vient lentement d’abord puis de plus en plus vite.
Étienne ouvrit grand les yeux tout en passant sa langue sur ses lèvres. C’est ce moment que choisit Samuel pour prendre en main la queue de son frère en même temps que je suçais la queue de Philippe qui lui s’en donnait à coeur joie avec sa langue dans le cul de Sam. Philippe approcha sa bite du cul de Sam et le pénétra d’un coup. Je m’approchai de la figure d’Étienne et lui offris alors ma bite pour qu’il la prenne en bouche. Pendant ce temps Phil étire son bras et commence à entrer ses doigts dans mon trou.
Étienne gémissait de plaisir tout en me suçant la queue et tout à coup Mathieu éjacula au plus profond des entrailles de mon fils, j’emplis la bouche d’Étienne au même moment. Mat continua de limer le cul d’Étienne jusqu’à ce que Sam arriva à faire éjaculer Étienne dans sa bouche. Sam garda le sperme d’Étienne et alla embrasser son frère pour le lui donner. Mat se retira du trou d’Étienne, ainsi que Phil du trou de Sam et tous deux présentèrent leur queue à Étienne qui ma foi me surprit en les prenant toutes les deux à la fois pour les nettoyer.
Nous étions en sueur et heureux de ce qui venait d’arriver à Mathieu et Étienne qui cria:
— Wow, j’en veux encore, je veux tous vous essayer en moi.
— Eh frangin t’oublies que j’aimerais bien que mon cul s’emplisse de ta bite juteuse, dit Sam à son frère.
Sam ne tarda pas à monter par dessus son frère afin de le faire re-bander par une succion torride. Pendant ce temps Étienne se mit à lécher le cul de Sam et c’est reparti. Après cette vigoureuse préparation, Sam se mit à quatre pattes et invita son frère à l’enculer devant tout le monde. Ce qui procura à Étienne une sensation toute nouvelle autour de sa bite bien serrée par le trou du cul de Sam qui avait, on le sait maintenant, passablement d’exprérience dans ce genre de relation. Étienne, les yeux fermés, pencha sa poitrine sur le dos de son frère tout en faisant les mouvements de va-et-vient appris depuis quelques jours et en masturbant son frère de sa main droite.
Durant ce temps je me mis derrière Mathieu pour lui pilonner l’anus de mon dard dressé puisqu’il était le seul dont la prostate n’avait pas été assouvie de plaisir. Pendant ce temps Philippe alla se faire pomper la queue par Sam qui jouissait d’avoir son frère en lui pour la première fois ce qui augurait bien pour les soirées d’été à venir. Étienne éjacula son jus d’amour dans les entrailles chaudes de son frère et resta en lui jusqu’à ce que sa queue perde son expansion. Alors il la retira du cul de Sam et c’est moi qui pris en bouche la queue de mon fils Étienne pour la nettoyer après avoir assouvi mes pulsions avec Mathieu. Tout un anniversaire!
Mais la soirée n’était pas fini car Étienne, petit cochon, voulait que chacune de nos bites viennent visiter son cul. Ce que nous fîmes à commencer par Sam, Phil et en finissant par moi qui pris Étienne sur moi; il se coucha le dos sur mon ventre (j’étais comme assis), je lui entrai ma queue dans le cul, et lui placa ses pieds sur mes cuisses et nous jouissames divinement comme cela.
À son tour, il voulut nous enculer à tour de rôle, il prit Mathieu le pilonna un certain temps, puis Philippe et enfin il vint éjaculer dans mes entrailles. Mes fils me comblait avec leurs amis. Il était près de deux heures du matin quand la soirée se termina, personne n’eut le courage d’aller se coucher et nous restâmes ainsi dans ces odeurs mâles tout le reste de la nuit.
Au réveil, j’eus une idée…
Eh oui! En me réveillant, j’ai eu une idée qui m’a fait bander dur et dont je parlerai à mes fils plus tard. Je me suis mis à me caresser les seins, l’abdomen, l’entrejambe, le cul d’une main et de l’autre je me masturbai jusqu’à éjaculation. Mon excitation a dû réveiller Philippe qui était près de moi.
— Excuse Philippe si je t’ai réveillé, j’étais un peu enflammé!
— C’est pas grave Mario. Hum je vois que tu as besoin d’un bon nettoyage!
En effet, avec la sueur et le sperme collé de la dernière soirée et celui tout frais de maintenant, Phil s’est mis en train de tout lécher sur moi.
— T’oubliras pas de nettoyer tes copains…
Pendant que je suis allé prendre une bonne douche, Phil s’acquitta de sa «mission» avec attention et douceur, car au fur et à mesure qu’il se mettait à lécher le foutre séché sur le corps de l’un et l’autre, ceux-ci se réveillèrent et allèrent ensemble à la douche.
En effet, je m’apelle Mario, j’ai 48 ans, je suis entrepreneur en construction ma foi fort prospère ces années-ci. Je suis avec mes fils Samuel et Étienne qui sont en compagnie de leurs amis Mathieu et Philippe. Nous dormions dans la salle des plaisirs où nous venons d’initier mon petit dernier Étienne à la pratique de la sodomie.
Étienne, Sam et moi sommes nudistes. Nos corps ont un bronzage intégral. Mat et Phil sont des habitués de la maison, il ne faut donc pas se surpendre si nous sommes nus en permanence sur ma propriété.
Nous avons déjeuné/dîné tous ensemble. Ensuite Mat nous a fait son au revoir car il doit quitter pour la semaine; il reviendra samedi soir. Phil avait à faire chez lui, il ne sait pas quand il reviendra. Je me retrouve enfin seul avec mes deux fils en ce superbe dimanche après-midi. Nous sortons ensemble sur la terrasse afin de se baigner et de se faire bronzer. Lors d’une accalmie, je fis part de mon idée du matin à Étienne et Sam:
— Je suis content Étienne que tu aies apprécié ta soirée d’hier. Ça nous ouvre des perspectives de plaisir ensemble et avec d’autres et ça te permettra tes propres explorations. N’oublie jamais que ça doit se faire dans le respect de l’autre, tu ne dois jamais forcer quelqu’un à vivre une expérience.
— Ouais, c’est vrai que j’ai aimé ma soirée; c’est toute une sensation de mettre sa bite dans un cul, c’est serré et ça donne toute une jouissance; j’ai beaucoup aimé me faire mettre aussi, vous avez été doux avec moi et jamais j’ai eu mal mais beaucoup de plaisir. Merci de m’avoir fait découvrir ça! dit Étienne.
— Maintenant qu’on est seul, j’aimerais vous partager un fantasme que j’aimerais bien vivre avec vous deux seulement si vous êtes d’accord.
— C’est quoi ton fantasme? dit Sam qui est toujours curieux face aux choses du sexe.
— Ce serait de me faire mettre par vous deux!
— Tu veux sucer nos deux bites en même temps? dit Étienne.
— J’pense que papa veut qu’on insère nos deux queues en même temps dans son trou, rectifie Sam.
— Voyons, nos deux queues peuvent pas entrer dans le cul de papa en même temps, la tienne Sam est grosse et la mienne… s’en vient bien même si elle est plus petite. C’est pas possible.
— Tu verras Étienne qu’un cul c’est fort élastique, je vous parlerai du fist un de ces jours, dis-je en riant. Alors qu’en pensez-vous?
— Ouais, moi je veux essayer et j’aimerais aussi que la bite d’Étienne et la tienne papa me visite le cul!
— Vous êtes sûr que vos deux grosses bites pourraient entrer dans le mien? dit Étienne.
— Je suis sûr que vos deux queues entrent dans mon cul, Étienne et je suis sûr que nos deux queues Étienne vont entrer dans le cul de Sam. Tu n’es pas obligé de nous accueillir en toi Étienne, mais nos deux queues à Sam et moi pourront faire leur chemin; cependant, il te faudrait peut-être rendre ton cul plus souple. J’ai tout un kit de godes de différentes grosseurs que tu peux essayer à ton rythme. De toute façon on emploira beaucoup de lubrifiant.
— Ce n’est pas que je veux pas, dit Étienne. J’ai de la misère à m’imaginer que c’est possible. Mais je suis partant.
— Écoutez les garçons, je vous propose qu’on essaie ça disons mardi pour que vous puissiez avoir le temps d’expérimenter les godes que je laisserai au salon. Ça vous va?
À voir l’érection qui assaillait mes fils qui s’exclamèrent en coeur « Ok! », je n’eus pas de doutes. Mais Sam prit la parole:
— Moi aussi j’aimerais réaliser un fantasme, ça pourrait être mardi aussi (il se pinça les lèvres tout en portant machinalement sa main sur son pénis dressé), mais je vous en parlerai que mardi en présence de Phil.
Je fis remarquer à Sam que j’aimerais bien vivre notre expérience entre nous.
— Pas de problème! Phil viendra, il restera au salon ou à la cuisine pendant ce temps et on l’appelera après, c’est tout!
Mon cher Sam a toujours eu une façon intriguante et progressive d’annoncer les choses. J’aime cette part de mystère qui me fit bander.
— Ok c’est bien. Oh! Après souper j’ai un ami qui viendra nous visiter, il s’appelle Serge; ça fait une mèche que je ne l’ai pas vu. Ne vous surprenez pas si je porte une culotte. Quant à vous vous faites ce que vous voulez!
Je savais très bien que mes garçons ne se gêneraient pas pour demeurer dans leur nudité lubrique et parfois un peu provocatrice, ce qui n’est jamais pour me déplaire!
Ma propriété est constituée d’un immense terrain entouré d’une très haute haie. Ce qui nous permet de pratiquer le nudisme en permanence (sauf en présence d’étrangers). Pour les habitués de la maison, losqu’ils entrent sur la propriété, après avoir fermé les hautes portes de bois, il peuvent déjà se mettre nus et déposer leurs vêtements dans un cabanon situé immédiatement sur la droite et marcher une cinquantaine de mètres pour atteindre la galerie de la maison ou mettre leurs vêtements sur la galerie dans un bac à cet effet.
Donc après souper, au timbre de la porte, je vais ouvrir et Serge se présente. Ce fut des retrouvailles. Nous ne nous étions pas vus depuis près de 10 ans. Après un échange de nouvelles, Serge m’explique le but de sa visite (il a 39 ans, on s’est connu il avait 14 ans et moi 23 ans vous comprendrez plus tard dans quelles circonstances).
— Quand j’ai reçu ton invitation pour la réunion du Club à la fin août, c’est là que j’ai pris ma décision de venir te voir Mario. Tu sais, j’ai un fils de 14 ans, Thierry, que j’aime beaucoup. Il a perdu sa mère il y a quatre ans et depuis il s’est un peu renfermé sur lui-même. J’aimerais beaucoup le faire adhérer au Club. Il sait que j’aimerais avoir des relations avec lui et il aimerait ça; alors je lui ai fait une proposition puisque je trouverais plus normal qu’il expérimente sa sexualité avec des gars de son âge avant. Il est un grand timide. Je lui ai parlé de ton fils qui je crois a le même âge que le mien.
— En fait Serge, j’ai deux fils: Sam qui a 15 ans et Étienne qui vient d’avoir 14 ans. Ils entreront d’ailleurs au Club tous les deux ensembles cet été.
— J’avais pas réalisé que tu avais deux fils! C’est encore mieux pour ce que je veux te proposer.
— Voudrais-tu qu’il se joignent à notre conversation?
— Certainement.
— Tu sais que nous sommes nudistes, alors il se peut qu’ils se pointent nus ici. Ça ne t’offusque pas?
— Pas du tout… au contraire!
J’ai remarqué que son paquet grossissais drôlement dans son pantalon. J’appelle donc mes deux fils. Ils arrivent l’un après l’autre nus comme de raison (bon sang que j’aime voir la queue de Sam se balancer). On fait les présentations et Serge résume la situation aux garçons.
— Mon fils Thierry serait d’accord pour que vous l’aidiez à découvrir sa sexualité, et il aimerait le faire avec des gars de son âge, ce qui est votre cas. Cependant il est fort timide et il faudrait qu’il s’habitue à sa propre nudité; il aura cet effort à faire et il le veut. Je crois qu’avec vous ça pourrait être plus facile.
— Et il serait prêt à aller jusqu’où dans les relations, dit Sam?
— Ce serait à vous de lui faire découvrir.
— Il aime pas les nanas? dit Étienne pour tester Serge.
— Il m’a avoué il y a quelques mois qu’il était attiré par les garçons plus que par les filles et qu’il ne savait pas comment s’y prendre. Alors Mario, comme tu es le fondateur du Club j’ai supposé que tu avais probablement commencé des relations, disons… privilégiées avec tes fils.
— Tout à fait Serge et ils sont fins prêts pour leur entrée au Club.
— Qu’en pensez-vous les garçons?
— On pourrait le voir quand l’ami Thierry (Étienne abondait dans le même sens)?
— Tout dépend de votre disponibilité, il est libre tout l’été.
— Dis p’pa, on part pour le camp scout dimanche prochain pour deux semaines, on a notre petite activité chérie mardi, pourquoi il viendrait pas de mercredi à samedi, Phil et Sam pourraient se joindre à nous pour la finale, qu’est-ce que t’en penses?
— Ouais c’est une bonne idée. Puis jeudi on pourrait se rendre au chalet où on a la totale liberté pour s’ébattre! On récupérera Mathieu samedi matin.
— Super! dit Sam. Ça va nous faire toute une semaine de baise dit-il candidement. Vous avez une photo de lui?
— Oui, il était avec son speedo à la piscine.
Serge tend la photo, alors je m’approche de mes deux fils et nous apercevons un gamin de la grandeur de Mat je crois, blond, de beaux seins, imberbe à première vue et… petit coquin de Serge, la queue de son fils bien bandée au travers son speedo ce qui provoque chez nous trois une forte érection.
— Tu lui expliqueras nos habitudes, il y adhérera graduellement et à son rythme. Quant à moi, je vais le laisser à mes fils, je me ferai peut-être voyeur à son endroit et je ne m’en occuperai qu’une fois au Club comme tu t’en doutes!
Et Serge nous gratifia d’un large sourire qui voulait tout dire.
— Je suppose que c’est comme dans le temps et que tes fils seront mis au parfum que dans la semaine qui précédera l’adhésion au Club à ton chalet?
— Effectivement Serge, le rituel n’a pas changé depuis, attends que je calcule… tu avais 14 ans, tu as 39, ça fait 25 ans!
— Ça fait si longtemps que ça que ton mystérieux Club existe? dit Sam.
— Ça fait 30 ans cette année! J’attends plus d’une vingtaine de personnes à la fin août.
— Oh ce sera un gros rituel cette année. Ça promet!
Et sur ces paroles mystérieuses pour Sam et Étienne qui s’étaient mis à se masturber mutuellement, Serge nous laissa le bonsoir.
Étienne dit à Sam:
— Tu veux que je t’encule?
— Ouais, p’pa tu peux me lécher le cul? Étienne, prends ma queue on va faire un 69 et je vais lubrifier ton pénis.
— Super mon fils!
Et nous revoilà repartis! Sam se met à quatre pattes, je lui lèche le cul pendant que sous lui, Étienne se fait sucer par Sam et vice-versa. Étienne se relève et vient placer sa queue à l’entrée du trou de Sam tout en se mordillant et lèchant les babines avec un plaisir évident. L’air de rien, pendant que mon cadet sodomise mon aîné, je m’approche d’Étienne et commence à humecter mes doigts pour les faire glisser dans sa raie. Je pénètre un doigt, puis deux et finalement quatres doigts (je pense à mardi). Étienne a commencé un va-et-vient plus rapide et c’est à ce moment que j’enfonce ma queue dans le cul d’Étienne qui sursaute et arrête son mouvement dans le cul de Sam.
— N’arrête surtout pas Étienne, on va se mettre en cadence et tu verras la sensation…
Ça nous a pris plusieurs secondes d’ajustement. Étienne était au comble de la jouissance, une queue dans son cul et sa queue dans le trou du cul de Sam! Étienne avait l’impression que ma queue s’insérait dans la sienne pour pilonner Sam et le faire jouir. Comme on manque de pratique tous les trois ensembles, Étienne et moi n’avons pas éjaculés tout à fait en même temps. Nous nous sommes retirés et avons offerts nos queues à Sam. Il les a prises une à une pour un premier nettoyage et ensuite toutes les deux à la fois, ce qui nous a fait re-bander, ensuite j’ai léché le cul de Sam et celui d’Étienne afin d’y recueillir mon sperme et celui d’Étienne que j’ai gardé en bouche pour le partager avec Sam. J’en gardai un peu afin de sucer la queue circoncise de Sam qui voulut me prendre. Étienne m’a de nouveau offert son cul et nous avons rejoui en formant une nouvelle brochette. Sam en moi et moi en Étienne où j’ai attendu Sam pour qu’on éjacule ensemble.
C’est tout imbibé de sperme que je suis allé chercher ma collection de godes gros format pour les offrir à mes fils. Étienne a été particulièrement attiré par celui formé par des boules ondulées. Il a dit à Sam d’y mettre un peu de lubrifiant et de le lui fourrer dans le cul. Au bout de quelques minutes, il y avait quatres boules dans le cul d’Étienne qui râlait de plaisir à chaque fois qu’une des boules sortait ou entrait dans son trou. Il se masturbait avec vigueur pendant que Sam s’amusait à lécher ce gode entrant et sortant du cul de son frère qui était couché sur le dos. Comme Sam était à quatre pattes, j’en profitai pour lui introduire dans l’anus un gros pénis en caoutchouc à la fois ferme et souple. Je préparais mes fils à partager mon fantasme leur permettant ainsi d’améliorer l’élasticité de leurs sphincters.
Les garçons ont passé une partie de la journée de lundi dans la salle des plaisirs (salle avec des miroirs sur tous les murs et au plafond et dont le plancher est recouvert au complet d’un assemblage de matelas) à essayer les différents godes. Je les ai observés de ma chambre (je peux voir dans cette salle sans être vu!). J’ai bien joui de les voir se faire mutuellement du plaisir.
Les garçons sont dans la douche, je vais les rejoindre pour les aviser que Thierry, le fils de Serge arrivera pour souper mardi au lieu de mercredi et que nous partirons pour le chalet mercredi au lieu de jeudi.
— Super, dit Étienne. Ça me fait bander juste d’imaginer que ce sera aussi un peu à mon tour d’enseigner nos plaisirs à quelqu’un d’autre.
— Il faudra tout lui expliquer étape par étape afin de toujours s’assurer si ça lui plaît d’essayer ce que vous lui proposerez. Vous verrez aussi à vaincre sa timidité dès demain soir puisque vous savez qu’au chalet c’est nature!
— On peut réaliser ton fantasme juste avant dîner alors? Je dirai à Phil de nous rejoindre vers onze heures. Je voudrais passer l’après-midi avec Étienne pour préparer le programme des prochains jours pour l’ami Thierry.
Sam avait la queue bandée à la verticale et sans un mot Étienne la prit en main et masturba son frère qui lui éjacula sur la main. Étienne porta le tout à sa bouche et embrassa Sam en lui redonnant son foutre.
— Ok Sam, ça me va!
Mardi arriva enfin. Ce fut une journée mémorable! Tout d’abord Sam me suggéra qu’on accomplisse mon fantasme dans la salle de bain commune. C’est une grande salle de bain avec bain tourbillon (six personnes y sont à l’aise), six douches communes. Il y a donc un grand espace avec plancher en céramique permettant à l’eau des douches de s’évacuer. Entre les douches et le bain tourbillon, existe aussi un grand espace avec un tapis à poils longs dont vous devinez sûrement l’utilité ludique (et pratique aussi!). Cette salle de bain n’est accessible qu’aux habitués de la maison. Nous y prenons toujours nos douches en commun. Les salles de bain privées sont à l’étage entre deux chambres (il y a huit chambres à l’étage).
Vers 9h30, nous nous retrouvons sur le fameux tapis de la salle de bain commune. J’ai pris soin d’apporter le KY. Depuis le matin, je me retiens de toucher ma bite. Les garçons arrivent, nus bien sûrs, déjà bien bandés. Tout peut se mettre en place.
— Je suggère qu’Étienne entre sa queue dans mon cul le premier; je me placerai à quatre pattes, le cul bien en l’air tout en étant bien cambré. Étienne, tu monteras littéralement sur mon dos pour introduire ta bite en moi. Sam, comme tu as plus d’expérience, tu enfileras ta queue sous celle d’Étienne. J’ai peur que si on fait le contraire, Étienne ait mal. Allons-y pour les préliminaires.
Je me chargeai moi-même de sucer les queues durcies de mes fils afin qu’elles soient bien lubrifiées par ma salive d’abord. Ensuite je les enduie de KY et Sam me laboure le cul avec quatre de ses doigts bien enduits de KY. On peut commencer. Étienne a un peu de mal à me monter, il y parvient enfin et insère sa bite en moi avec grande facilitité en entrant et sortant son gland de mon trou.
— Entre juste un peu plus loin ton gland Étienne, Sam va nous rejoindre et en entrant sa queue il va faire glisser la tienne plus profondément en moi du même coup. Vas-y Sam!
Sam approcha sa queue, la mit sous celle d’Étienne et tout doucement amorça sa pénétration, son gland s’écrasant peu à peu entre la paroi de mon cul et le pénis bien bandé d’Étienne. Il fit tout doucement quelques mouvements d’entrée/sortie de son gland et poussa ensuite afin que sa bite entre en moi tout en entraînant celle d’Étienne plus profondément, ce qui fit hurler Étienne. Sam, inquiet, demanda à Étienne s’il lui avait fait mal.
— Non, continue aaaaahhhhh, ooooouuuuuiiiii! C’est bon cette pression, je sens que je vais me vider. Continue… aaaahhhhhh… à pistonner.
Ma tête était appuyée sur le sol de côté, de sorte que je pouvais voir sous moi la queue de Sam et je tenais bien en main ma queue prête à gicler son jus d’amour.
— Essayer de vous retenir les gars et d’éjaculer ensemble, faites durer votre plaisir et le mien! dis-je dans un souffle. OOOOOUUUUIIII!!
Après cinq bonnes minutes, mon cul bien étiré permit aux queues de mes fils de libérer leur foutre dans mes entrailles. J’aimais je n’avais eu autant de sperme dans mon cul en même temps. Sam se retira le pénis tout dégoulinant de sperme et de merde. Étienne se retira lui aussi. Je pris en bouche leur deux queues en même temps! Quel délice que je partageai à mes deux garçons en les embrassant, mélangeant ainsi nos salives et leur sperme. Cependant, je me retenais toujours pour ne pas éjaculer.
— Merci les gars, ce fut géant comme sensation de vous avoir tous les deux en moi.
Je les embrassai à tour de rôle sur la bouche, les tétons, le nombril, la queue, les couilles, le trou du cul tout en les caressant tendrement. Je me plaçai sur le dos, je demandai à Sam de s’étendre à plat-ventre sur moi. Il commença à se frotter la bite sur la mienne; je lui dit d’arrêter car je voulais lui foutre ma queue dans le cul et je dis à Étienne:
— Tu vas placer ta queue sur la mienne et nous allons pénétrer Samuel ensemble.
— Avant, j’ai besoin d’un petit remontant!
Et Étienne mit son pénis dans la bouche de Sam afin qu’il lui redonne une érection, je lui léchai la hampe de la queue pendant que Sam opérait une succion sur son gland. Quand Étienne obtint une nouvelle érection, il vint placer sa queue sur la mienne. À tâtons, je pris la queue d’Étienne et la mienne avec ma main et m’approchai de l’orifice béant offert à nos deux queues par Sam qui recula son derrière afin de faciliter notre pénétration mutuelle. Tout doucement, mon pénis et le pénis de mon plus jeune s’arrima avec le trou du cul de Sam.
— Allez-y, ça va bien, j’ai me suis mis plein de KY, aaaaahhhhhh, je jouuuuuiiiiiisssss. Allez pistonnez-moi les boyaux. C’est boooonnnnn!!!
— AAAAAHHHHHH, ta grosse queue papa donne tout une sensation à la mienne, c’est comme si tu me masturbais avec un boyau, et la pression du bord du cul de Sam m’exciiiiiiiiiiiitttttte! dit Étienne.
Sam et moi introduisons nos langues dans nos bouches et nous mélangeons nos salives.
— MMMMMMOOOOOOUUUUIIIIII! Quel trou tu as mon fils! Ça y est je viens!
Je n’avais pas encore déchargé moi et mon foutre se propulsa dans les intestins de Sam. Je continuai à pilonner jusqu’à ce qu’Étienne vienne lui aussi. Nous nous retirons alors tous les deux, je me retourne, je couche Sam sur le dos, demande à Étienne de me sucer la queue tout en se faisant sucer la sienne par Sam et je m’emploi à aspirer le jus du cul de Sam dans ma bouche afin de le partager avec mes gamins.
— J’avais jamais eu une telle sensation que celle de vos deux bites dans mon cul, avoua Sam.
Après cet échange substantiel, Étienne nous dit:
— Ça ne vous ferait rien si on attendait plus tard dans l’été pour me faire la double pénétration? Je suis un débutant et je ne crois pas que mon cul soit tout à fait prêt. Je préférerais peut-être le faire avec des copains qui ont une queue comme la mienne avant que vos deux gros pénis viennent visiter mon trou.
— Je crois que c’est sage mon fils.
— Par exemple, je peux prendre vos bites une après l’autre, j’ai le cul qui me démange tout de même!
Et voilà que je décidai de faire mon entrée en Étienne sans préparation autre que l’humidité du cul de Sam sur ma bite; je jouis de nouveau dans ce joli petit cul imberbe et je fus relayé par Samuel qui jouait avec la queue de son frère qu’il coucha de côté, en lui relevant la jambe droite afin d’avoir accès à son trou. Il le pilonna ainsi durant 6 à 7 minutes, se retira et alla éjaculer directement dans la bouche de son frère afin de lui faire ensuite goûter à sa queue pleine de foutre et de merde. Étienne s’en délecta.
Ceci dit, j’annonçai mon passage à la toilette et Sam m’arrêta:
— Attends, p’pa, je vais chercher Phil qui doit être arrivé.
Quelques instants plus tard en effet, Sam arrive avec Phil, tous les deux affichants un large sourire; Étienne se remit à bander de plus belle. Ces gamins me préparent quelque chose…
— Tu te souviens que j’avais aussi un fantasme que j’aimerais réaliser?
Et Sam se déplace avec Phil et Étienne sur la céramique de la salle de bain. Je les suis, intrigué.
— Eh bien, j’aimerais que vous me pissiez dessus, dit Sam en s’étendant sur le sol et en prenant sa queue durcie entre ses doigts, et Phil aimerait que vous lui pissiez dans la bouche. On se retient depuis ce matin…
Et sur ce, Sam se mit à pisser par jets (il était encore légèrement bandé) sur son abdomen; Phil se mit à quatre pattes afin de recueillir un peu de ce jus jaune. Étienne ne pouvant lui non plus se retenir pissa littéralement dans la figure de Sam; la bouche de Phil suivit le mouvement tout en pissant à son tour sur le pénis de Sam, recueillait la pisse d’Étienne et la laissait couler sur le corps de Sam qui était littéralement inondé d’urine. Un peu étonné de tous ces déversements et fortement excité par ce spectacle, je me penchai, relevai les jambes de Sam et fourrai ma queue dans son cul dans lequel je me mis à pisser, ça coulait partout par terre et Phil ne savait plus où donner de la langue.
— AAAHHHHH, c’est mieux que je pensais, dit Sam en se masturbant.
Tous les trois avons placé nos queues respectives sur l’abdomen de Sam et lui avons éjaculé dessus. Phil se mit à avaler le tout. Alors, à ma surprise, ces trois garnements se mirent dos à dos bras-dessus-dessous, s’accroupirent et chièrent sur le plancher. Philippe demanda à Sam et Étienne de se mettre à quatre pattes et il leur lécha le trou du cul goulument. Sam se roula dans la merde et l’étendit sur son corps avec ses deux larges mains qu’il passa sur ses seins, ses fesses, sa queue et son cul.
— Bon, je crois que je suis dû pour une bonne douche, dit Sam!
Quoiqu’un peu sidéré de ce que je venais de voir, je dis en hésitant:
— Faudrait pas oublier de nettoyer le plancher!
— J’en rêvais depuis des semaines les gars, merci! dit Sam.
On prit un certain temps pour se nettoyer et pour passer à table. Les gamins se retirèrent dans la cour après le départ de Philippe, car il y avait aussi l’arrivée de Thierry, le fils de Serge mon ami qui arrivait à grand pas; ils ont préparé une série d’expériences à faire vivre à ce garçon de l’âge d’Étienne qui en sera à ses premiers ébats.
Pour ne pas trop heurter Thierry, j’ai demandé à mes garçons de se couvrir, à tout le moins pour l’accueillir et jusqu’au souper. Après, ils auraient tout le loisir d’arriver à le mettre à l’aise!
Vers quatre heures Étienne arriva au salon avec Samuel qui lui dit de s’étendre sur le dos par terre les jambes en l’air sur le divan. Sam prit les jambes d’Étienne et amena les genoux d’Étienne chaque côté de sa tête ce qui avait pour effet de placer le cul d’Étienne tout à fait à la verticale et le fessier appuyé sur le devant du divan. J’étais assis sur ce divan et je commençai à bander à la vue de ce stratagème.
Sam cracha sur le cul d’Étienne, y enfouit trois doigts et son trou s’ouvrit quasi spontanément laissant entrevoir distinctement la chair rose de son intérieur. Sam enjamba son frère et tout en étant debout, enfouit sa bite au plus profond de ses entrailles. Il retirait sa bite au complet, laissant voir son trou béant, la rentra avec force et ainsi de suite tout en crachant de temps en temps dans le trou d’Étienne pour le lubrifier. Je m’approchai à mon tour et en alternance avec Sam, j’enculai de la même manière ce fils adorable qui s’offrait à nous.
Quand Sam fut prêt à décharger, il resta au plus profond d’Étienne qui gémissait de plaisir. Après que Sam eut retiré sa large queue du trou du cul de son frère, il alla la faire lécher par Étienne et je fis de même par la suite. C’est alors que l’on sonna à la porte.
— Dépêchez-vous d’aller mettre quelque chose, c’est sûrement le petit Thierry! dis-je.
— Oui Mario, et on revient tout de suite.
Quelle journée torride! J’enfilai mes boxers et allais ouvrir. C’était Thierry. Blond, vêtu d’un short court et d’un chandail sans manches; il portait des sandales au pied. Ses bras et ses jambes laissaient voir un beau bronzage pour une peau blanche et lisse.
— Bonjour, vous êtes Mario? dit Thierry qui devint rouge.
— Oui, tout à fait, entre. Dépose ton bagage ici. Tu n’as que ça comme bagage?
— Ben Serge, mon père, m’a en fait dit que j’en aurais pas vraiment besoin.
Et sur ce il devint écarlate.
— Serge n’a pas tout à fait tort. Entre, viens t’asseoir. Je vais appeler Samuel et Étienne.
Sur ce je demande à mes fils de venir. Je faillis pouffer de rire en voyant arriver Étienne vêtu d’un espèce de string qui enveloppait sa queue encore humide et qui tenait par sa taille et dans sa raie par des fils quasi invisible!
— Voici Étienne qui a ton âge je crois.
— Salut!
Thierry ne l’avait pas regardé dans les yeux en le saluant, car son regard s’était évidemment dirigé sur la queue bandée d’Étienne. C’est alors que Sam fit son arrivée vêtu d’un simple pagne… enfin une seule pièce de tissu devant sa bite au repos tenue par un fil lui aussi invisible qui lui ceinturait les reins. Il avait les fesses à l’air libre et la queue tout à fait visible quand on le voyait de côté. Thierry était rouge vin et avalait difficilement. Je remarquai que sa queue, qui me sembla fort respectable, tâchait de se tailler une place plus confortable dans sa culotte.
Ce fut le premier contact. Quand je dis que mes garçons sont parfois un peu provocateurs, on en a un exemple. Sacrés coquins! Thierry avait sûrement remarqué le bronzage intégral de mes fils, ce qui devait commencer à l’exciter au plus haut point car on ne reste jamais insensible à ce naturel… un peu sauvage dans ce cas-ci. Alors comme entrée en matière, je crois que c’est réussi!
— Salut, dit Sam.
— Salut, répondit Thierry qui donna la main à mon fils.
— J’espère que tu as fait bon voyage. Serge t’as déposé à l’entrée et est reparti?
— Ben en fait c’est moi qui voulait pas qu’il vienne vu que c’est ma décision de venir.
— C’est courageux de ta part, dit Samuel qui a toujours le premier contact facile.
Sam s’accroupit sur le fauteuil en croisant les jambes; ça laissait à découvert une de ses couilles qui ne manqua pas d’attirer l’attention de Thierry. Étienne, toujours un peu provocateur:
— Comme ça t’as le goût qu’on te fasse découvrir des plaisirs par des expériences… disons qu’on pourrait te proposer?
Thierry fut un peu surpris de la rapidité avec laquelle on le faisait entrer dans le vif du sujet. Je voyais bien que ce garçon plaisait à mes fils car ils n’arrêtaient pas de le regarder de la tête aux pieds. Quand ils se mordent les lèvres ou se passent la langue sur celles-ci, c’est qu’il ont terriblement envie de sexe.
— Oui, c’est ça. Vous savez j’y connais pas grand chose… je suis un peu gêné, j’ai un peu peur mais aussi très hâte de connaître tous ces plaisirs.
Samuel, avec sa douceur habituelle dans des cas comme ça, reprit:
— Tu n’as pas à t’inquiéter Thierry, tout ce qu’on va te proposer, tu n’es pas obligé de le faire. Étienne et moi, on va toujours t’expliquer ce qu’on a à te proposer d’avance; si tu n’es pas certain, Étienne et moi, on va faire ce qu’on te propose devant toi, pour te montrer et après tu décides. Tu es ici pour avoir du plaisir et on va beaucoup respecter ça.
Tout un as ce Sam qui sait mettre quelqu’un en confiance.
— Il faut te dire que papa (Étienne me pointe du doigt) ne va pas participer directement avec toi, on fera peut-être des choses entre nous devant toi et plus tard dans la semaine avec d’autres copains parce qu’on veut respecter ton choix d’apprendre avec des gars de ton âge. Papa sera parfois voyeur.
— Voyeur?
— Ben, il nous regardera faire simplement! dit Sam. Dis, il fait chaud, ça te tenterait pas un saut dans la piscine?
— En fait, j’ai pas de costume, dit Thierry en rougissant fortement.
— T’as qu’à enlever ton chandail et garder ta culotte s’exclama Étienne!
— Bon Ok.
Tous les quatres nous nous dirigeâmmes vers la piscine et chacun sauta à l’eau. La queue d’Étienne se révéla très vite apparente au travers son string. Quant à Sam, on lui voyait à peu près tout l’appareil génital se balader sous son tissu protecteur. Thierry quant à lui ne débandait pas et l’eau faisant coller son short à sa peau nous révéla un joli engin qu’il était temps de dévoiler.
— Tu permets qu’on se mette à l’aise Thierry?
Étienne n’attendit pas sa réponse et enleva son string devant Thierry; la queue d’Étienne était semi-bandée. Sam se débarassa de son bout de tissu et se montra avec sa magnifique queue large et circoncise reposant au milieu de ses deux couilles juteuses. Je ne pouvais m’empêcher de bander en enlevant mon boxer. Thierry, tout rouge, nous regarda révéler notre anatomie devant sa personne.
— Je suppose qu’il faut que j’enlève mon short?
— Tu fais ce que tu veux mec! On est tous faits pareils.
— Ça me gêne un peu, j’ai la queue un peu raide.
— Ben, c’est justement ça l’idée, dit Étienne toujours très pratico-pratique. Libère-la, on en a vu d’autres tu sais. T’enlèves ta culotte et tu sautes à l’eau!
Et sur ce, Étienne plongea pour très vite remonter voir l’effet sur Thierry. Avec un soupir anxieux, Thierry baissa lentement sa culotte pour nous faire apparaître une superbe queue qui termina de faire monter le sang dans nos bâtons. Les seuls poils apparents sur son corps (on en avait pas fait encore l’exploration minutieuse) était au-dessus de sa queue. Il avait de belles couilles prêtes à produire, elles étaient légèrement brunes comme sa queue. Ses têtons étaient aussi légèrement brûnatres et se pointaient de façon naturelle à la vue de tous. Son torse était bien proportionné, sa musculature commençait à se mettre en place.
— Eh ben mon Thierry, t’as un corps tout à fait de notre goût. À partir de maintenant, sauf dans l’auto pour se rendre au chalet, t’as plus besoin de culotte. Saute et vient jouer!
C’est ainsi qu’Étienne et Sam ont accompli la première phase de l’exercice: rendre Thierry à l’aise dans son corps et dans sa nudité.
Il nous dit qu’il aimait cette sensation nouvelle de se baigner nu. Il a trouvé un peu étrange de passer à table « tout nu ». Plus le temps avançait, plus il se sentait à l’aise. Il était encore un peu inconfortable lorsqu’il bandait, mais nous n’y prêtions aucune attention… apparente.
Après souper, les garçons emmenèrent Thierry au salon et ils échangèrent sur leurs goût musicaux, leurs intérêts communs, jusqu’à ce qu’Étienne intervienne:
— Dis Thierry, tu t’es déjà masturbé?
— Ben… oui!
Et sur ces paroles Étienne et Thierry se mirent à bander. Sam fit signe à ses deux compères de s’asseoir par terre en indien.
— Voici ce qu’on te propose pour ce soir Thierry. Étienne va se masturber devant toi. Te gêne pas pour t’approcher de lui pour bien voir sa main prendre sa queue pour se la branler. Observe bien le sperme, le foutre sortir du bout de son gland. Il va le décalotter en se masturbant. Ensuite, tu te masturberas devant nous. Ce sera à nous de t’observer, tu verras c’est excitant de le faire quand d’autres regardent. Ah oui, tu vas voir Étienne goûter son sperme. Tu as déjà goûté le tien?
— N… nnon!
— Quand t’auras giclé ton jus, tu le goûteras un peu. Tu verras si tu aimes. Ensuite, je vais me masturber à mon tour. Tu pourras aussi t’approcher pour mieux voir ma queue. Ça te va? dit Sam.
— Ok.
Je m’installai sur le fauteuil pour assister à cette première expérience. Étienne ne perdit pas de temps afin de permettre à sa queue de se mettre au garde-à-vous! Il décalotta son gland et se mit à caresser lentement sa hampe avant d’accélérer le mouvement. Au bout de trois minutes, il gicla sur son torse. Il porta ses doigts pleins de sperme à sa bouche pour les nettoyer, s’essuya le torse avec ses doigts qu’il remit dans sa bouche, l’ouvrit toute grande pour la montrer à Thierry et avala le tout. La queue de Thierry était bandée au maximum et le bout de son gland était visible. Ce fut à son tour de s’y mettre. Étienne et Sam se couchèrent à plat ventre devant Thierry pour mieux le regarder se pistonner le bâton.
— Aaahhhh! Hummmm! Hummmm! Ah Agh Agh!
Et il éjacula par petits jets puissants sur son torse. Sans qu’on le lui rappelle, Thierry, hésitant un peu, lécha son index plein de foutre.
— C’est gluant et un peu salé.
— Ouais, ça a la texture du blanc d’oeuf, dit Étienne.
Sur ce Sam se mit en train pour une branlette. Thierry appuya ses coudes au tapis et mit son visage dans ses mains pour regarder la grosse bite circoncise de Sam évacuer sa substance jusque sur son visage. Sam essuya le tout avec ses doigts pour tout engloutir ce liquide blanchâtre dans sa bouche. Pendant ce temps Thierry s’était essuyé le foutre et le portait à sa bouche.
— Très bien dit Sam. Demain on t’apprendra à te caresser toi-même, et en soirée on commencera à se toucher. On aura aussi l’occasion de s’amuser en te faisant visiter notre domaine dans les Laurentides.
Dans l’esprit de Thierry, tout s’entrechoquait avec ces nouvelles expériences. Il se sentait visiblement accepté dans notre joyeuse bande et il commença enfin à se détendre. Sur ce, je suggérai à tout le monde de monter se coucher, car cette journée fut épuisante.
Le domaine… s’ébattre dans la nature
Nous étions partis tôt ce matin-là. J’étais accompagné de Samuel et Étienne, mes deux fils de 15 et 14 ans ainsi que du fils de l’un de mes amis, Thierry (14 ans) qui nous accompagnait au domaine familial dans les Laurentides afin d’être éveillé à la pratique de sa sexualité par mes deux garçons. Dans notre famille, nous sommes nudistes et Thierry a accepté de vivre avec nous quelques jours en connaissant notre manière d’être et de vivre.
Notre domaine familial (maison d’été avec dépendances hérités de mon père) couvre près de 120 km carré. Le bâtiment principal se trouve près d’un lac de taille respectable au pied d’une petite montagne et où y coule une jolie rivière au bas de quelques chutes magnifiques. Décor de rêve pour s’ébattre dans la nature.
Voilà pourquoi, à l’entrée du domaine, après avoir passé la barrière, la voiture s’arrête dans un stationnement au détour d’une courbe et qui n’est pas visible de la route principale. Nous laissons-là tous nos vêtements qui sont inutiles puisque nous vivrons ces quelques jours dans la tenue la plus naturelle qui soit: nus… en harmonie avec la nature! Quelques huit cents mètres nous séparent de la maison d’été. Thierry qui n’est pas habitué à marcher pieds nus a gardé ses sandales tandis que mes gamins et
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