Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe gratuites

Contrôle de gendarmerie

Contrôle de gendarmerie



La sirène retentit derrière moi, j’étais seul sur cette route de campagne d’ordinaire désertique à cette heure de la nuit. La camionnette de la gendarmerie me doubla et s’arrêta plus loin, me faisant signe de faire de même. « Et merde ! Je suis baisé… » avais-je pensé à cet instant, mais je ne savais pas encore que c’était exactement ce qu’il allait se passer.
Le gendarme descendit de sa camionnette, lampe torche à la main. Je le voyais approché dans la lueur de mes phares. Il était jeune, une petite trentaine d’années, grand et plutôt maigrichon.
Il tapota à mon carreau pour me faire baisser la vitre.
« Gendarmerie bonsoir, coupez le moteur et présentez-moi les papiers du véhicule. »
J’obéis aussitôt, je venais de boire quelques verres chez un ami, je n’étais pas ivre, mais avec cette saloperie de taux d’alcoolémie j’étais convaincu d’y passer.
Comme je m’y attendais, le gendarme me présenta un alcotest.
« Eh bien nous avons un gagnant ! dit-il en regardant le résultat, descendez du véhicule et suivez-moi. »

L’arrière de la camionnette était aménagé d’un petit bureau avec deux sièges. Le gendarme alluma le petit ordinateur et commença à rédiger un document.
« Carte d’identité, je vous prie. »
Les mains tremblantes, je sortis mon portefeuille de la poche de mon jean. Celui-ci me glissa des mains, son contenu s’étala légèrement sur le sol. Le gendarme se pencha afin de ramasser avec moi les documents, il saisit un préservatif et une photo sur laquelle un beau mec me tenait dans ses bras.
« Le petit copain ? demanda-t-il en me rendant mes affaires, et la capote qui va avec.
— Merci…
— Alcool au volant, même si vous n’êtes que légèrement au-dessus du taux… Vous savez que vous allez perdre votre permis ? »
Je réalisai seulement maintenant ce fait, en jeune permis je n’avais que six points… Mes tremblements redoublèrent d’intensité et les larmes me montaient aux yeux.
« Ne pleurez pas, ça pourrait être pire !
— Mais j’ai besoin de mon permis… Comment je vais faire si je ne peux plus conduire ?
— Bah ça, il fallait y penser avant de boire le verre de trop… »
Ma détresse sembla toucher le gendarme. Perde son permis pour avoir bu deux verres avec des amis avait quelque chose d’injuste à mes yeux, même si je comprenais qu’il ne faisait que son travail.

Le gendarme continuait à remplir sa paperasse informatique, il me jetait de temps à autre de petits coups d’œil, plusieurs fois je le vis me déshabiller du regard, de haut en bas. Il était plutôt mignon dans son uniforme, et ses regards ne pouvaient pas mentir sur son intérêt. Quitte à être foutu, je tentai le coup.
« On pourrait peut-être s’arranger ?
— S’arranger ? C’est de la tentative de corruption, si je le note dans le dossier ça va grandement aggraver ton cas. »
Je remarquai qu’il venait de me tutoyer, était-ce un autre signe ? Peut-être devais-je le demander plus sensuellement.
« J’ai vraiment besoin de mon permis, si je le perds je vais perdre mon travail… S’il vous plait, monsieur le gendarme. »
Je le vis rougir quelque peu.
« Et qu’est-ce que tu proposes ? Les vingt euros qui sont tombés de ton portefeuille ne seront pas suffisants.
— En réalité, je pensais à quelque chose de plus physique et agréable… »
Sans attendre sa réponse, je glissai de mon siège pour me retrouver à genoux devant lui. Une pipe contre un permis, si j’avais pu faire ça à l’examinateur ce fichu papier rose m’aurait coûté bien moins cher !
« Erreur jeune homme, ça, c’est pas mon genre.
— C’est le genre de tous les mecs de se faire sucer, il suffit juste de penser à des choses agréables. De jolies femmes si vous préférez. »
Le gendarme écarta légèrement les jambes, il approuvait ce que je proposais, j’espérais juste qu’il tiendrait parole.

Ma main alla à la rencontre de son sexe par-dessus ses vêtements, l’excitation était déjà présente. Je le caressai ainsi quelques instants avant de défaire sa ceinture. Il se redressa légèrement pour faire glisser sa tenue au sol.
Son membre devait déjà être à quinze centimètres, pourtant il ne bandait pas encore totalement. Je salivais à l’idée d’y goûter, mais je devais être sûr de ne pas faire ça pour rien.
« Vous me laisserez mon permis après ça ?
— Si tu bosses bien, peut-être que oui. »
Sans que je ne puisse ajouter quoi que ce soit, je sentis ses deux grandes mains pousser ma tête vers sa tige.
Son gland pénétra ma bouche, un petit goût salé vint s’ajouter à ma salive. Je fis quelques mouvements de langue circulaires sur son gland, ma main gauche attrapa son manche tandis que la droite alla se blottir sur ses testicules. Elles me semblaient bien remplies, le pauvre n’avait pas dû avoir d’attention de ce genre depuis plusieurs jours…
Je le branlais de plus en plus rapidement, ma langue continuait à jouer avec son gland. D’un geste de bassin, il s’enfonça plus profondément entre mes lèvres. Je m’étouffais quelques instants sous l’effet de surprise. J’avais l’habitude de sucer depuis mes quatorze ans, mais je n’avais pas encore eu de membre si imposant en moi. Il avait atteint les vingt centimètres, peut-être même vingt-deux, avec un bon diamètre. J’imaginais le plaisir qu’il pouvait offrir avec un tel appareil !
J’avalais autant que possible la salive que produisait toute cette excitation. Il gémissait depuis quelques minutes, il n’allait pas tarder à jouir.

Il se redressa soudainement et m’attrapa par les épaules. J’eus un mouvement de recul, il me repoussa. Je me trouvais au sol, haletant.
« Retourne-toi. »
Une pipe ne suffirait pas apparemment. Je pris peur devant sa bite raide comme un arbre. J’avais expérimenté quelques fois la sodomie avec mon petit copain, ça avait été douloureux et il était bien moins membré que le gendarme. J’avais cependant très envie de sentir ce monstre en moi, même si allait être douloureux.
Il s’agenouilla tandis que je me mis à quatre pattes. Sa main caressa mes fesses par-dessus mon jean.
« T’as un bon cul toi, il en profite bien le gars de la photo ? Enfin vu ta proposition de petite salope, il ne doit pas être le seul à en profiter ! »
On ne m’avait jamais traité de salope auparavant. Je n’étais pas parmi les plus fidèles, je ne pouvais pas le nier, mais jusqu’à présent mon mec était le seul à avoir emprunté cette voie.
Mes vêtements glissèrent au sol et une légère fessée s’abattit sur mon derrière. Je ne pus retenir un petit cri.
« Je suis sûr que t’aimes ça !
— Oui… »
Une nouvelle fessée arriva, suivit de plusieurs autres. Mes fesses me brulaient, j’entendis l’homme cracher et sentis ses doigts parcourir mon anus déjà bien ouvert par l’excitation.
« T’as hâte de me recevoir salope ?
— Oui… Mais doucement, s’il vous plait, je ne suis pas habitué à… »
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase, son gland entra en moi avec force. Le gendarme plaqua sa main sur ma bouche pour étouffer le cri de douleur.
« Je fais ce que je veux, sinon tu peux dire adieu à ton permis compris ? »
J’acquiesçai silencieusement. Je ne contrôlais plus la situation, je me trouvais au milieu de la campagne, dans une camionnette à la merci de ce gendarme…
Il s’enfonça lentement en moi, répétant à quel point mon cul était étroit. Plusieurs fessées s’étaient à nouveau abattues sur moi. Quand enfin il arriva au bout de la course, il s’immobilisa. Son pieu m’empalait sur plus de vingt centimètres. J’avais peur de la manière dont il me baiserait. Il gigota lentement, faisant tapoter ses couilles contre moi. Comme s’il cherchait à s’enfoncer davantage.
« Passons aux choses sérieuses maintenant. »
Il retira subitement la moitié de son membre et le renfonça presque aussitôt. Je me sentais envahi, oppressé par cet énorme engin qui me déformait de l’intérieur. Le gendarme réitéra l’expérience plusieurs fois. Je sentais sa bite au plus profond de moi, malgré la douleur provoquée par ses coups de bassin, j’aimais ça.
Il me baisa sans ménagement pendant un long moment, mon cerveau n’enregistrait plus les signaux de douleur que le reste de mon corps lui envoyait. Je m’étais perdu quelque part entre l’extase et la douleur, je réagissais mécaniquement à ses mouvements. Je couinai comme une salope selon lui. Il prenait assurément son pied. Il se cramponnait fermement à mes hanches, ça laisserait certainement des traces. Je sentis la pression de ses mains augmenter, sa respiration se saccadait de plus en plus à chacun de ses coups de reins. Il allait jouir, j’en étais convaincu. Encore quelques instants et mon supplice, mon plaisir, allaient s’arrêter. Je réalisai alors qu’il ne portait pas de préservatif, il allait se répandre en moi.
Il gémissait comme un fauve tout en me donnant de petites fessées, je sentis son gland éclater en moi. Son sperme se répandait en moi par de multiples jets. Sans m’en rendre compte, je jouissais aussi, mon sperme se déversait sur mes vêtements.

Le gendarme resta planté quelques instants entre mes fesses. Il gigotait de temps à autre, son sexe débandait, mais il restait encore imposant. Complètement abêtis, je n’attendais plus qu’une chose, qu’il se retire et me laisse partir. Mais il ne semblait pas en avoir fini.
Son sexe durcit de nouveau en moi, il reprit ses coups de basin dans un rythme effréné. Je couinais de plaisir à chacun de ses mouvements. Le moment fut bref, mais tellement intense ! Il se retira rapidement après deux minutes de cet intense traitement. D’un geste brusque, il me bascula sur le dos. Le temps que mon cerveau comprenne la situation, il se tenait à califourchon sur mon torse, son gland au gout désagréable enfoncé dans ma bouche, il inonda ma gorge de tout son foutre restant.

Vidé de toute mon énergie, j’étais comme assommé par cette baise si brutale. Je restai allongé au sol, incapable du moindre mouvement. Le gendarme se rhabilla, un air satisfait enjolivait son visage. Il ouvrit la porte de sa camionnette et me poussa dehors. Sans un mot, il jeta mes affaires au sol, se plaça au volant de son véhicule et s’en alla, me laissant complètement abasourdi et à demi nu sur le bord de cette petite route de campagne.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire