Je suis né dans une famille de toubib mais hélas mon père a une réputation de chaud lapin résultat maman s’est tirée en Afrique faire de l’humanitaire, comme dit maman : ‘pour me venger j’aurais tout loisir de choisir de beaux étalons pour me saillir’
Je vis donc seul avec papa … enfin, pas tout à fait seul, le ‘motif’ de la séparation a intégré notre domicile, et ce ‘motif’ c’est une créature de vingt-deux ans, blonde, indécemment cambrée, digne de couverture de magazine, venue d’un pays de l’Est papa l’a sauvée de la prostitution, audacieusement arrachée aux griffes de dangereux mafiosi, il l’a cachée dans un petit meublé dont il payait le loyer, et s’en servait à l’occasion … de la fille évidemment ! jusqu’à ce que le pot aux rose soit découvert par maman
Hélas même en tant que médecin mon père n’a échappé à un infarctus, conséquence …frôlant la mort, quadruple pontage, le verdict est sans appel … activité sexuelle prohibée, papa n’aura plus d’érections, l’ambiance se fait de plus en plus morose à la maison
Il doit intégrer une maison de repos pour deux mois, ce soir des éclats de voix et des pleures se sont succédé dans leur chambre, du coup je me suis couché pensif …couché en chien de fusil avec le drap sur mon ventre, je m’inquiète pour l’avenir du couple, s’ils se séparent je ne verrais plus ses courbes harmonieuses et ses vallons qu’elle ose exposer à nos yeux, encouragée par la fierté de mon père, j’imagine ce qu’il peut éprouver lorsque nue elle ouvre ses cuisses interminables en lui tendant les bras, je ne cache pas que parfois dans mon lit cette vision m’aide pour certaines pratiques solitaires…
Soudain, alors que je suis plongé dans mes pensées ma porte de chambre s’ouvre silencieusement et se referme de la même manière, je sens rapidement une présence féline, chaude et parfumée qui repousse le drap et s’imbrique exactement dans la même position que la mienne, je sais que c’est une femme à cause des seins pointus qui s’écrasent sur mes omoplates et les frisotis bouclés d’un pubis chatouillent mes reins
– Chhhuuuuuuuuuutttt, ne bouge pas Gary
– Natacha ? que fais-tu là ?
– C’est ton père qui m’envoie soit rassuré
– Pour quoi faire ?
– Nous avons longuement parlés, étant donné son impuissance définitive Harry veut me rendre ma liberté
– Et ?
– Je ne veux pas le perdre, je lui dois beaucoup et je l’aime trop, alors il m’a proposé une chose qui te concerne…
– Je ne vois pas … ?
– Il me garde à condition que tu deviennes mon amant, ne répond pas tout de suite …mais réfléchit bien ….
C’est tout réfléchit ! en deux secondes ma verge est devenue dure comme le roc, surtout qu’en me susurrant ces paroles sa main délicate se pose sur ma hanche pour venir caresser mon ventre, elle y trouve mon gland à moitié décalotté collé à mon nombril, un doigt fin lisse mon frein à l’aide de la grosse goute de liquide séminal qui suintait à mon méat
– Gary ? c’est ta réponse ce que je tiens ? elle est de taille !
– Lâche-moi sinon je vais tacher les draps !
– Il existe un moyen très simple pour éviter cela… met toi sur le dos …
– Que fais-tu Natacha ?
– Je vais te sucer, tu viendras dans ma bouche …
– Nooooooooooonnnnnnnnnnn… OUUUUUUUUUUUUUUIIIIII !!!! que c’est boooooooooooooooonnnnnnnnnn !
Pris à mon propre piège je n’ai jamais déchargé aussi vite dans une bouche, d’autant plus dans celle de la copine de mon père, Natacha se redresse radieuse en essuyant ses lèvres barbouillées de foutre sur les miennes
– Merci Gary ! je vais annoncer la bonne nouvelle à ton papa
La fille nue disparait comme elle est venue, ça s’est fait si vite que je n’ai pas eu la présence d’esprit de la toucher ! pourtant l’odeur de sperme sur ma bouche prouve que je n’ai pas rêvé ! pour calmer la rigidité de mon membre qui n’a pas fléchi d’un pouce je prends ma bite en main quand des phrases étouffées me parviennent encore de leur chambre, j’espère que tout va bien …un silence… et ma porte s’ouvre à nouveau
– Gary ? fait moi une place je dois rester avec toi cette nuit, Harry veut que je teste tes performances !
– Mes performances ?
– Tu dois te montrer bon amant et un bon amant allume la lumière afin de profiter pleinement de l’anatomie dénudée de sa maitresse !
– Tu es magnifique Natacha …
– Commence par m’embrasser… j’ai encore le goût de ta semence dans ma bouche ! que proposes-tu ensuite ?
– Ensuite je vais te barbouiller le corps de mon foutre, les préliminaires seront pour une autre fois j’ai trop envie de te caresser partout avec ma pine, badigeonner de mon foutre tes yeux, tes lèvres, tes nichons, ton nombril, ta fente baveuse, ton anus !
– Mon anus ?
– Je suppose que papa ne s’en privait pas ?
– Dans l’immédiat ce sera un lieu réservé à ton père
– Mais il ne te fait plus l’amour ?
– Il a encore ses doigts, sa bouche et certains objets …
– Laisse-moi deviner Natacha…un spéculum ?
– Entre-autre, j’adore lorsqu’il étire ma chatte avec cet instrument de torture ! et pas seulement la chatte…
– Non ? ! le cul aussi ?
– C’est un secret, bon décide toi, que veux-tu me faire ?
– Examiner ta chatte de prés,
– Contente-toi …je suis assez écartée ainsi ?
– Putain si mes copains savaient ça ils ne me croiraient pas !
– Si tu racontais ça à tes potes se serait la fin de ma relation avec ton père et évidement de la nôtre aussi
– Je plaisantais, mais avoue que c’est vachement obscène comme vue
– Une femme peut faire cracher le foutre de n’importe quel homme, même ceux qui se disent puritains, approche toi encore, mets moi tes doigts et ta langue dans ma choune
– C’est vachement visqueux, … j’aime cette odeur de chatte
– Si tu aimes la sentir tu vas aimer la manger, colle ta bouche à mon con et régale-toi
– Dès que je t’aurais fait jouir je m’allongerais sur toi, au fait ? faudra mettre une capote ?
– Je prends des contraceptifs soit rassuré, tu peux déverser des litres de sperme dans ma chatte sans risquer de devenir père !
– Ah bon, ça tombe bien, je préfère sans, assez parlé j’y vais …
Au début je n’osais pas enfoncer ma langue trop loin vu la quantité de jus qui sortait de ce trou à moitié obstrué par des picots de chair, et puis Natacha a appuyé sur ma tête m’obligeant à coller mon nez sur le bourgeon tout rose, la réaction qu’elle a eue lorsque je l’ai bousculé de ma langue m’a fait deviner que je devais m’occuper minutieusement de cette excroissance nerveuse, les ‘haaaaaoooouui’ qu’elle beuglait me l’ont confirmé
– Tu es doué petit fripon, mordille mon clitoris et doigte énergiquement mon point G… voilàààààà comme çaaaaaaaaaa je jouuuuuiiiiiiiiis-OOOOOUUUUUUIIIIIII !!!!!
Pour la première fois de ma vie je venais de faire jouir une femme, j’étais fier de moi, après avoir retrouvés ses esprits elle m’a attiré sur elle, j’ai mordillé un téton au passage, surprise Natacha a relevées ses cuisses amenant sa vulve encore entrouverte face à mon bout dur comme un roc, je n’ai eu plus qu’a abaisser mes reins pour l’enfiler jusqu’aux testicules, ses longues jambes ont ceinturées ma taille interdisant toutes tentatives de recul, j’ai pu découvrir comment une femme fait savamment ‘travailler’ sa moule avec ses muscles, j’y réponds par des contractions de bite , nous avons joués ainsi durant quelques minutes , mais sa fougue a vite repris le dessus , je devais lui montrer de quoi j’étais capable ! entre deux éjaculations je n’ai pas cessés de lui asséner des coups de reins, son vagin distendu produisait des bruits incongrus, ses nichons vibraient tel des flans, sa tête roulait de droite à gauche, elle faisait tout pour ne pas hurler et éventuellement choquer mon père, notre sueur faisait glisser nos corps, dans un ultime effort, en appuis sur les mains je l’ai littéralement défoncée, entre nos bassins un véritable déluge chaud a annoncé l’orgasme dévastateur de Natacha, je me souviens avoir déchargé une ‘ixième’ fois avant de tomber sur le côté ivre de sommeil
Aux aurores j’ai été réveillé par une bouche vorace sur mon gland…deux cuisses ont serrées ma tête tandis que des lèvres vaginales odorantes et poisseuses se sont posées sur les miennes, j’ai nettoyé sans rechigner cette chatte souillée de la veille, dès que j’ai été assez raide Natacha s’est positionnée en levrette, la tête sur le drap et le cul en l’air, je ne vois que deux trous maculés de nos jus mêlés, pas un homme digne de ce nom ne peut résister à un tel étalage d’organes femelles
– Encule-moi Gary ….
En bon amant, sans qu’elle ne me guide, j’ai d’abord appuyé la plat de ma langue sur sa rondelle boursouflée, j’ai compris qu’en la faisant dure et pointue je pourrais explorer l’entrée
– Petit vicieux où a tu appris à faire ça ?
– Ton corps m’inspire, pas besoin de bouquiner le kamasoutra pour savoir comment te faire grimper aux rideaux
– J’ai envie de ta queue entre mes reins maintenant
Je tremble d’émotion lorsqu’à genoux je pointe mon gland bandé à me faire mal sur cette pastille imberbe qui palpite comme une mini bouche, ma verge plie sous l’effort Natacha se cambre pour résister à ma poussée, la chair cède peu à peu mon nœud s’enfonce étranglé par ce boyau serré, la femme gémit de bien être mais pas de douleur
– Vas-y Gary tu me fais du bien, n’ai pas peur de me blesser je suis habituée à la sodomie
– Papa te le faisait souvent ?
– Quelques fois, mais avant de le connaitre je ne pouvais rien refuser aux clients souvent sadiques
– Tu as dût connaitre l’enfer ?
– Plusieurs hommes d’affilée qui prenaient plaisir à m’humilier devant des ‘spectateurs’ venus s’encanailler, je ne remercierais jamais assez ton père de m’avoir arrachée à ce milieu
– Tu le remercie en te donnant à moi
– pour toi aussi je ferais n’importe quoi
– je me disais … et si j’invitais mes potes ?
– Pour me baiser gratuitement ? tu es devenu fou ?
– Qui te parle de gratuité ? …..je pensais simplement me faire un peu d’argent de poche !
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