Par SMS, un Maître rencontré sur la toile me demandât, après de multiple échange, de réserver moi même une chambre d’hôtel où je subirai tous les outrages. Le jour dit, je l’attendais comme convenu dans la chambre, nue et à quatre pattes.
La porte s’ouvrit et je frissonnais d’angoisse. Sans dire un mot, il s’installât dans un fauteuil puis commencât son discours:
« Tu sais qu’aujourd’hui, je vais te punir pour toutes tes désobéissance. Pour toutes les fois où tu t’es donné du plaisir sans mon consentement ! Mets tes mains dans le dos! »
Avec une corde, il me confectionnât une sorte de harnais et me posât des pinces à seins. Ma respiration, était profonde. Je cherchais à dissimuler ma nervosité. Quelle punition allait il m’infliger? Je savais très bien qu’il était capable d’idées tordues.
En m’agrippant de par le harnais, il me soulevât pour me déposer sur le lit.
Avec une autre corde, il me maintint les jambes écartés. Je suis ainsi sans défense et mon intimité totalement offerte.
« Tu vas être punie par où tu as péché salope! ».
De sa main libre, il investit ma chatte offerte et trempée.
« Tu sais que tu es une petite salope, et tu sais comment on puni une petite salope? »
Je gardais le silence, sachant très bien qu’il était mieux pour moi de ne rien dire.
« Je vais te montrer comment! »
Tout à coup, il levât sa main et me claquât la vulve fermement. Je sursautais et réprimais un gémissement en écarquillant les yeux. Puis il me massât doucement la vulve.
« Ce n’est qu’un commencement! »
Là, commençât une série de claques douloureuses. Je me cambrais sous les coups répétés. Je couinais comme une chienne en chaleur. Ma cyprine coulait et lui lubrifiait la main. Je me mis à crier de frustration et de douleur. Les cordes qui retenaient mes jambes écartées étaient tendues par la force que j’y exerçais pour refermer mes jambes tout en me tortillant. Là, il se placât entre mes cuisses, son sexe bien dressé. Son érection était au maximum. Puis, il s’enfonçât d’un coup dans ma chatte offerte. Je poussais un cri de bête blessée et me cambrais tendant mes liens. Il se retirât pour mieux s’enfoncer violemment. A chaque coup, je poussais un crie. Il me besognait de plus en plus violemment.
« J’vais de défoncer la chatte petite salope en chaleur ! »
Alors que j’allais bientôt jouir. Le salop se retirât subitement. Je me tortillais de plus belle frustrée en criant
« Nooooooooooooon !!!! Baisez moi !! J’veux jouiiir !! »
Le plaisir qu’il m’interdisait m’en faisait mal jusque dans mes ovaires. Quant à lui, il ne put se retenir plus longtemps et lâchât son foutre en plusieurs jets. Le premier atteignit mon visage et les autres atterrirent sur ma poitrine et mon ventre. Il me malaxât ferment ma chatte détrempée et me pénétrât le cul de deux doigts. J’avais tant envie de jouir que mes hanches accompagnaient tant bien que mal cette caresse virile. Mes feulement emplissaient la pièce. Je me consumais de plaisir et étais à nouveau prête à exploser. Il me massait vigoureusement la vulve et le clitoris. Ses doigts me labouraient l’anus. Là, il me donnât un ordre que je ne rechignais pas à excécuter.
« Tu peux jouir MAINTENANT ! »
À ces mots, je mordis le drap en hurlant ma jouissance presque douloureuse. Mon corps fut pris de convulsions et un jet de cyprine jaillit de ma chatte.
Il continue à masser ma vulve aussi longtemps que je suis en extase. J’étais en transe, les yeux révulsés. Tout en me tripotant les seins, il me lançât, alors que l’intensité de mon orgasme redescendait :
« Tu vois, faut toujours me laisser faire le travail pour toi, salope! »
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