Cela faisait six mois que je sortais avec Natacha. On s’était trouvées un soir dans une boîtes et elle était venue habiter avec moi. Ce n’était pas ma première relation homosexuelle mais c’était la plus longue que j’avais jamais eue.
On l’avait caché au début mais nous avions fini par faire notre coming out et maintenant, tous nos amis le savaient. Nous étions un peu des phénomènes mais ça avait engagé d’autres couples à se libérer et nous n’étions plus les seules.
Nous allions aux fêtes ensemble et nous n’hésitions pas à nous embrasser devant les autres. Ce soir-là, nous étions allées au manoir, la propriété d’un couple d’amis et nous avions pas mal bu quand tout à coup, je me suis demandé où était passée mon amoureuse.
Quelqu’un m’a dit que Natacha a été vue par là et je me suis engagée dans le couloir. Il y avait plusieurs portes. J’en ai ouvert une. C’était une chambre mais elle était vide et j’en ai ouvert une autre et là, il y avait un couple qui faisait l’amour en levrette sur un lit mais je ne voyais que les fesses de l’homme et son engin qui pendait entre ses cuisses.
– Ça te plaît, a-t-il demandé à sa partenaire ?
– Oh, oui j’aime ça, lui a répondu la femme ! Je n’en pouvais plus de lécher sa chatte ! Et en plus, elle voulait que je lui tète les seins !
– Tu parles de la grosse pute avec qui tu es venue, a enchaîné son partenaire ?
– Oui ! Celle-là, c’est une vraie gouine ! Si j’ai fait ça c’est parce que je n’avais pas où habiter ! Elle a un appartement, je ne te dis pas !
– Mais ça devait quand même te plaire de baiser avec elle, a enchaîné le type ?
– Un peu au début, a ajouté la femme ! Je n’avais jamais fait ça et je me demandais comment une femme pouvait aimer ça !
– Et alors, a demandé le type ?
– Je n’aurais jamais imaginé qu’elle aimait se faire enfoncer des énormes trucs dans la chatte et même dans le trou du cul, a ajouté la femme ! En plus, elle m’a fait découvrir le fist ! Dire que je lui enfonçais le bras presque jusqu’au coude dans l’anus ! C’était vraiment dégoûtant !
Peut-être parce qu’il faisait moins chaud dans ce couloir que dans le reste de la maison mais les vapeur de l’alcool se sont dissipées et je me suis dite que je connaissais cette voix et que ce dont elle parlait c’était un peu mon histoire.
– Ce qu’il lui faudrait, c’est un bon gangbang, a ajouté le type ! Toute une nuit à se taper des bites, ça lui remettrai les idées en place !
Natacha puisque c’était Natacha dont il s’agissait a renchéri :
– Oui ! Elle est complètement malade ! Tu sais ce qu’elle voulait ces temps dernier ? Me faire coucher avec d’autres femmes ! Pour pouvoir nous photographier ! Déjà qu’elle filmait nos ébats !
– Elle filmait, s’est étonné le type ?
– Oui et elle met ça sur son compte !
– Tu vas me donner l’adresse que je voie ça, a insisté le type !
– Ah, non, a fait Natacha ! Tu veux ruiner ma réputation ?
– Tu vas la quitter ?
– Pourquoi pas ! Où est-ce que tu habites ? Ah, oui, tu me l’as déjà dit ! Si tu m’invites à habiter chez toi, je serais plus près de mon boulot ! C’est d’accord ?
– Oui, mais il y a un pris à payer, lui a répondu le type !
– Combien ?
– C’est plutôt comment ! Si tu acceptes que je t’encule, c’est d’accord !
– Si c’est que ça, lui a répondu Natacha…
Le type s’est redressé et il a écarté les fesses de mon amie et il s’est enfoncé dans l’anus.
– Ah, oui, lui a fait Natacha ! C’est quand même plus agréable que de lécher une chatte !
C’était parti pour je ne sais combien de temps. J’ai pensé que mon amie n’aimait même pas que j’enfonce mon doigt dans son anus et maintenant, elle prenait cette énorme bite. J’ai refermé la porte et je suis retournée là où les autres s’amusaient. J’aurais pu partir parce que c’était ma voiture et moi qui conduisait mais j’ai attendu. Natacha a fini par réapparaître. Je lui ai demandé si ça va.
– Tu t’amuses, ai-je insisté ?
– Pas tellement !
– On rentre, ai-je conclu ?
Nous sommes allées à la voiture. Une fois installées et avant de démarrer, je lui ai demandé si elle veut m’embrasser et elle m’a tendu ses lèvres. J’ai même touché ses seins avec ma main.
– J’adore te caresser les seins, lui ai-je dit quand nous avons arrêté de nous embrasser !
– Je sais, m’a répondu mon amie !
– Je voudrais te toucher !
Elle a ouvert les cuisses et je me suis étonnée qu’elle n’ait pas sa petite culotte et elle m’a répondu qu’elle avait fait pipi dedans. Sa chatte était chaude et humide et j’ai même enfoncé mes doigts dedans. Je lui ai dit que je ne l’ai jamais autant aimée. Elle m’a répondu qu’elle aussi. Nous avons garé la voiture dans le sous-sol de l’immeuble et nous sommes montées chez nous.
– Je vais me laver les dents, m’a fait mon amie en se dirigeant vers la salle de bains !
Je me suis déshabillée à mon tour et je l’y ai rejointe et je me suis collée dans son dos. J’étais folle.
– Je vais te faire de la peine, m’a alors dit Natacha ! J’ai rencontré un homme et j’ai fait l’amour avec lui !
Je suis restée sans rien dire et c’est mon amie qui m’a encouragée à lui répondre.
– Tu ne dis rien, a-t-elle insisté ? Je sais que je te fais du mal !
– Si j’en avais le courage, je me tuerais, lui ai-je répondu !
– Tu n’en feras rien et nous allons faire l’amour une dernière fois avant de nous quitter !
J’étais incapable de répondre. Elle s’est mise à califourchon sur moi et elle m’a donné du plaisir avec sa poitrine, faisant glisser ses mamelons sur mon visage et mon corps.
– Non, me disait-elle chaque fois que je voulais la toucher ! Non, encore ! Laisse-toi faire !
Elle a frotté son mamelon sur ma vulve et elle m’a fait jouir puis elle m’a laissée pour pouvoir s’endormir et j’ai mis des heures avant de m’abandonner. Le lendemain matin, elle était partie.
Je ne l’ai revue que quelques années plus tard, traînant un bébé dans une poussette, tenant un enfant par la main et le ventre gonflé par une troisième grossesse et j’ai pleuré.
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