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Martini, mais pas dry.

Martini, mais pas dry.



…ses doigts me palpaient le service trois pièces avec délicatesse, la grosseur qu’elle pouvait sentir sous mes vêtements, elle l’a devait à elle même et ses propos aguicheurs.
Sûr qu’elle me faisait bander, la vache, une nénette qui te dit de but en blanc qu’elle ne crache pas sur une petite pipe de temps en temps et qui t’invite chez elle, dans sa maison sur le front de mer, il y à de quoi avoir la trique.
Elle me regardait dans les yeux, la tête légèrement penchée sur le côté, plus petite que moi je n’avait aucun mal à mater dans son décolleté, et ce que j’y voyais n’avait rien d’un calmant. Sa robe blanche mettait en valeur ses formes généreuses, je fantasmais sur la manière dont je lui relèverais si je la troussais, là, dans sa cuisine.
« Tu m’écoute, me demanda-t-elle? »
« Excuse moi, j’étais ailleurs un instant. »
« Alors je te masse les couilles et toi tu trouve le moyen d’être ailleurs! »
« Et si je te dis que je nous rêvais en train de baiser »
« Mouhai, il est beau le prétexte, t’as un gage, tu dois te faire pardonner ».
Je savais que j’allais passer à la casserole, mais là, je me suis vite dis qu’avec une fille chaude comme ça, le gage allait être hard pour moi.
« On va se boire un martini d’abord et ensuite, après avoir réfléchis, je te dirai ce que j’attends de toi »
Je lui disais ok et nous somme passé dans son salon, assis tout les deux sur le même canapé, elle s’assit de telle sorte que je pouvais voir loin sous ses vêtements, le long de ses cuisses.
« Tu sais je suis un peu salope sur les bords, ça te dérange? »
« Et bien non, pas forcément, je considère plutôt cela comme un qualité ».
« J’aime tout en amour, la fellation, la sodomie, les menottes, les godes, les gros mots,….. »
« Et ben, toi, au moins t’es cash ».
« Tu vas pas me dire qu’un mec cracherait sur certaines pratiques, alors pourquoi pas une femme ».
« T’as raison, je suis pour l’égalité, j’ai l’esprit ouvert, je comprends ton point de vue. Alors ce gage, tu as une idée »?
« Et si tu commençais par enlever ta chemise, j’ai en vie de voir ton torse »?
Je me suis exécuté et elle m’a ensuite demandé de lui faire un broute-minou. Elle a appuyé sa demande en écartant les cuisses et en se renversant en arrière sur son canapé. J’ai parcouru ses cuisses du bout de ma langue et versé le reste de mon martini sur sa peau pour lécher les gouttes ruisselantes ensuite. Une auréole marqua sa culotte et je me réjouissais de l’effet que cela lui faisait.
« Tu veux bien te branler devant moi? »me demanda-t-elle.
Sa demande me surpris, mais j’étais chaud et avait confiance dans le plat de résistance après cette entrée, je n’allait pas la laisser au matin sans avoir profité de sa bouche, de sa chatte et enfin de son cul. Je n’avais pas de mal à me branler sous ses yeux parce qu’elle étais en même temps en train de se tripoter pour se faire jouir. Une main dans la culotte, faisant des aller et retours à sa bouche en me regardant de manière provocante, l’autre main en train de triturer le téton d’un sein sortis de l’étoffe qui le dissimulait. Elle cria sa jouissance avant que je ne me mette à grogner de plaisir, elle enfonça profondément ses doigts en elle et me les donna à lécher, ce qui me fit venir, elle s’empara de son verre et le mis sous ma queue pour recueillir mon foutre épais et chaud.
Toujours en me dévisageant, l’air coquin, elle trempa un doigt manucuré dans ma semence, versa une goutte gluante sur le bout de sa langue et m’embrassa.
« Alors, salope comme ça, cela ne t’effraie pas »?
« ça m’excite plutôt, on ne peut pas être effrayé par une bombe comme toi, tu sait y  faire avec les mecs. »

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