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Partie6: Julie la CPE adore la grosse bite de son

Partie6: Julie la CPE adore la grosse bite de son



rappel partie 5:
après cette semaine de sexe avec Julie ma CPE, elle venais de repartir de chez moi, pleine de ma semence, enfin rassasiée. Je m’apprêtais à m’endormir tranquillement, les burnes bien purgées.

Quelques heures passèrent,

Puis je vis sur internet un email de ma prof d’art plastique…(qui nous avais surpris nus avec Julie,, mais n’avais pas vu mon visage) impossible, elle n’as pas pu voir mon visage… )très étrange.

Je l’ouvrit… je vis une photo de moi sodomisant Julie que l’on devine aisément enceinte…
Je me décomposa en voyant ça, craignant le pire…

Mais je n’en revint pas de ce que le message disais… j’etait completement abasourdi.

Coucou, mon cher Antoine ************(nom de famille)…
J’espère que tu vas bien, et que tu est bien en forme.

Quelle surprise j’ai eue l’autre soir, en allant rendre les dossiers à ma collègue, de constater qu’elle avais l’air d’avoir subie un bukkake, et qu’elle semblait avoir oubliée qu’elle était en couple.

Quelle surprise, je dois l’admettre, j’ai eue l’autre soir,de voir ce qu’un élève d’apparence calme et sérieuse tel que vous cachais sous ses vêtements… et particulièrement sous son boxer.

Quelle surprise, de constater que vous semblez malgrés votre jeune âge, avoir « quelques affinités » et c’est le moins que je puisse dire, avec le personnel enseignant de nôtre établissement…
Et en l’occurrence mon amie Julie.

Vous m’excuserez, mais ce week end, je ne suis pas partie… je suis beaucoup trop curieuse pour ca. j’ai écoutée à la porte. Comme j’entendais mal, je suis entrée discrètement, la porte étant mal fermée.
Je me suis cachée et j’ai tout vu. Tout. La photo ci jointe en soit témoin.

Sur le coup J’étais particulièrement choquée. Je l’admet…

Que mon amie julie trompe son mari avec un homme si jeune… un élève… même si il est vrai que les jeunes ont sur certains points bien des avantages.

Tout particulièrement choquée de voir qu’ apparament ma collègue ne tardera pas à partir en congé maternité… alors que je sais qu’elle n’as jamais cessée de prendre la pillule, au passage.

Tu dois sûrement te demander ce que je te veux.
Je suis désolée de faire ça, mais…

Il serait dommage que ces photos soient diffusées, envoyées à ta famille , tes amis…
je pense que Julie non plus ne serait pas sans dangers… et risquerais fortement de perdre son poste, et toi de devoir changer de lycée.

Nous ne voulons pas que cela arrive… N’est-ce pas? Nous sommes entre personnes raisonnables.

Et ça tombe bien car je peux me débarrasser de ces photos et oublier toute cette histoire comme par magie en échange d’un Tooooout petit service…

Pour toi ce sera 3 fois rien. Donc Lundi après midi, quand on se verra en cours… reste avec moi et tu saura tout.

Rassure toi. Je t’assure que ça ne changera rien à ta vie, ni à ta relation avec Julie, ou ta réputation. Mais il vas falloir que tu fasse ce que je te dis.

Et si jamais l’envie te prennais d’aller en parler à Julie à la police ou à qui que ce soit…

Sache que les images seront sur tout les réseaux sociaux. Mais tu est un garçon intélligent, tu sais ce que tu a à faire.

Je te met la pression, mais sache que c’est uniquement pour que tu prenne ma requête au sérieux. Car elle est extrêmement sérieuse pour moi. Ce compte vraiment beaucoup. Et je réclamerais dessus le plus grand secret.

Maintenant supprime cet e-mail, et à lundi. »

Elle Joignat a cet e-mail, une vidéo. Une vidéo de moi éjaculants sur Julie, l’autre soir…
comme preuve de sa détentions de moyens de mettre sa menace à exécution.

« Super… » me dis-je.
Madame Aubin… quelle garce. Elle me faisais des menaces?

Un millier d’hypothèses défilait dans ma tête… qu’est-ce qu’elle pouvais bien me vouloir… me faire du chantage? Une revanche personelle? Me dénoncer? Me faire faire quelque chose de grave à sa place? Voir même Que je la baise??

Bordel…
J’ai vraiment un don pour me mettre dans les pires situations.

Mais que pouvais je y faire?
Je voulais en parler à Julie… je savais que cette salope était pas fiable. Pourquoi avais elle autant confiance en elle.
Putain!

Je m’énervais tout seul dans ma chambre.
Je destestais particulièrement cette situation de merde ou je me sentais obligé de faire ce qu’elle allais me demander.
Mais je ne voyais pas d’autres issue.

Bouillant de rage, je m’endormis tant bien que mal pour me calmer, en espérant me réveiller de ce cauchemar.

Le week end passa… j’étais de très mauvaise humeur. Très anxieux de ce qui allais venir. J’avais fait 1000 scénarios dans ma tête. Je commençait à me demander si appeler la police et être fiché à vie comme celui qui a mis enceinte sa prof et dont les photos circulent depuis sur internet, n’était pas une solution envisageable.
Mais assurément non, c’était hors de question.

Le lundi arriva. Ma CPE avais attrapée ma maladie… la pauvre. En même temps c’était prévisible vu la quantité de fluides corporels que nous avions échangés.

Elle était clouée au lit… je ne pouvais même pas me détendre avec elle avant d’affronter le moment fatidique.

Je passât une matinée de merde,
et une après midi à regarder l’heure avec anxiété.

Quand enfin vint le dernier cours, le cours d’art plastique Avec Madame Aubin…

Madame Aubin était une femme d’une trentaine d’année. Mariée. Avec de grandes lunettes noires elle avais en souvent un air sévère et un peu coincée. Physiquement elle était qualifiable de bonne. Elle était grande, avec de beaux seins et un cul honorable. Sa seule particularité, était ses cheveux d’un noir intense qui descendait jusqu’au sol, et ses lèvres particulièrement épaisses et pulpeuse.

On arriva dans la classe. Je m’assis au fond. Elle me dit bonjour comme si de rien était, mais en me lançant un regard de braise, que je ne lui rendit pas, et on passât un début de cours presque normal, si on exepte les 3ou4 fois ou elle vint s’assoir sur mon bureau, tout en continuant de raconter le cours, avec un regard en coin derrière ses lunettes.

Elle se foutais de ma gueule?

Je fit comme si de rien n’était.
Voyant ma non réaction elle commençât a discretement, s’asseoir de plus en plus pret de ma main… tout en ayant l’air de ne pas en faire exprès.
Elle finit par s’assoir complètement sur ma main.
Choqué, je la laissât sous ses fesses, en espérant que quelqu’un se retourne et voie ce qu’elle me faisait. Mais ça n’arrivat pas.
Elle decris de petit huits avec ses fesses sur ma main… quelle chienne.

A la fois un peu choqué et rassuré, je me dit
« Ouf… si elle veux juste que je la baise, c’est de loin une des situations les moins dérangeantes que je m’était imaginé. »

Je lui fit comprendre que le message était passé, en lui malaxant brièvement le cul avant de retirer ma main.

Elle se leva enfin, me regardant l’air satisfaite de son petit manège, puis alla s’assoir à son bureau,toujours en dictant son cours.

Salope…. pensais je, enervé… bien que ma queue n’était pas en accord avec mon cerveau, et était moins hostile que moi.

Mais Il n’était pas question que ce manège se reproduise. J’etait avec Julie beaucoup plus attirante à mes yeux,et je comptais bien le rester.
Je redoutais qu’elle veule plus d’une aventure avec moi, et décidât de m’assurer que ce soit la seule avant d’accepter quoi que ce soit.

Elle me regarda du coin de l’oeil plusieurs fois pendant l’heure. Elle voyait la colère dans mon regard et répondais par un regard apaisant à chaque fois.
Hum… elle ne semblait pas hostile. C’est déjà ça.

La fin de l’heure arriva enfin,
La sonnerie retentis.

« Vous pouvez y aller, bonne soirée à tous
Antoine, reste 2 minutes de plus, s’il te plais, on dois discuter de ton dernier devoir. »

Gnagnagna… je regardais les autres partir, me demandant ce qui allais m’arriver.

Quand nous fûmes enfin seuls, elle se fit une petite beauté, mettant du rouge à lèvre et du maskara… je la regardais du coin de l’oeil en me demandant à quoi elle jouait.

Mais je devais lui reconnaître un certain charme.

De son bureau à l’autre bout de la pièce Elle ouvra ses boutons de décolleté… me regardant d’un air provocatrice…
Malgrés moi, j’eu une mimolle qui commençât a pousser dans le jean…

Agacé, Je dit: « bon ça suffit. je suis là, tu a gagnée, maintenant qu’est-ce que tu me veux, explique moi, et Abrégeons. »

Surprise, elle repondit:
« Eh bien je t’ai connu plus chaleureux! Elle en a de la chance Julie… quel caractère… bon! »
Elle se levât, et s’approchat de moi en disant:

« Antoine… si j’ai fait appel à toi aujourd’hui, c’est parce que j’ai besoin de quelque chose. Quelque chose que je désire de tout mon cœur. Quelque chose que tu est probablement ma dernière chance d’obtenir… »

Elle me caressa la main.

Surpris, je lui répondis, « et donc, soit plus claire… explique toi. »

Elle ajoutât: « c’est une longue histoire… vois tu, j’ai 30 ans. 30 ans… je vis avec mon mari depuis 5 ans… avant lui j’ai eu un compagnon pendant 3ans et un autre pendant 2 ans. Sans compter les aventures de ma jeunesse…

Ne voyant pas où elle voulait en venir, je répondis perplexe. « Et donc? »

Elle ajoutât: «  Comment te dire… bon inutile de tourner autour du pot… et donc… sur ces 3 précédents compagnons… j’ai 3 fois essayée d’avoir des enfants.
De nombreuses fois et de toutes les façons.
Ça n’as jamais rien donné…

« Et donc? Je ne vois pas ce que je suis sencé faire de cette informa… »
Elle me coupa, s’appuyant sur mon bureau, décolleté bien ouvert, et posant un doigt sur ma bouche, et ajoutat:

« Ce n’est pas si simple. Vois tu, j’ai une particularité… un problème de fertilité.
Je produit beaucoup de ce qu’on apelle la glaire cervicale, la mienne est très dense. c’est ce qui régule le nombre de spermatozoïdes, et les stoppe. De plus, elle continent un taux anormalement élevé d’anticorps anti spermatozoïdes…
Je te passe les détails techniques…
J’ai essayée de nombreux traitements mais rien y a fait. Mon vagin est une barrière infranchissable. Je suis désespérée…
Mais les médecins sont formels. La probabilité de fécondation est très faible, mais non nulle… il suffirais d’un seul spermatozoide qui traverserais cette barrière pour atteindre mon ovule, pour qu’enfin je puisse avoir un enfant.
Avec mon mari, cela fait plus de 3 ans qu’on essaye…
3 ans sans succès. Mais on persiste, car on sais Que c’est possible.
Mais on manque de temps.
J’adore mon mari, mais… a raison de quelques petits essai par mois avec une chance sur 1000 de reussite… le calcul est vite fait. Je crains de ne jamais avoir de descendance.
J’ai même songé à adopter, avec mon mari. Mais au fond de moi, je sais que je ne me remettrais jamais de savoir que je n’ai jamais eu d’enfant, jamais été enceinte, jamais senti la vie en moi… Ça vas te sembler complètement fou, mais j’ai vu tes… performances, sur les seins de Julie. Tes Trois ou quatre énormes jets de sperme qui éclaboussaient sa poitrine.

Intuition qui m’as ensuite été confirmée par ce que j’ai vu…

Je ne dit rien, malgrés moi un peu ému par son histoire.
Voyant qu’elle attendais une réponse, je finit par dire, un peu appitoyé. « Ça doit être difficile… »

Elle ajoutât: c’est extrêmement dur. Je vois les années passer peu à peu… j’adore mon mari. Sincèrement. Mais je n’en peux plus. Trop c’est trop. Il a eu 100 fois sa chance… Mais ce soir, je veux que tu essaye antoine. Je veux que tu essaye de me mettre enceinte. Je veux et j’exige. Je suis prête à tout pour ca. Je suis désolée, mais si tu refuse, pour ça je suis même prête à gâcher ta vie et celle de Julie ta compagne.

Je sentais la détermination dans sa voix…

J’ajoutat: « et tu est sûre que c’est la bonne solution ? Pourquoi ça marcherais mieux avec moi qu’avec un autre, tu est sure de ca? Et si ça ne marche pas quand même, »

Elle me coupa: on est sûrs de rien, antoine. De rien.
Mais c’est pas avec les 10 gouttes de mon mari que j’aurais un enfant…

Elle glissa sa main dans mon jean et palpat mes testicules, sans demander. Je la laissa faire…

« Alors que toi, toi… les chances sont bien… bien supérieures…. putain regarde toi. » dit elle en palpant avec envie mes couilles, pleines depuis 3 jours…

« et ton mari? » Lui dis-je…
« Il n’en saura rien, et sera persuadé que c’est son fils. Il l’enlèvera comme le sien sans rien savoir et lui donnera tout l’amour qu’il merite. Physiquement il est comme toi, grand, brun, yeux verts… il est légèrement métis, mais si peu que ce sera invisible.
De toute façon il était prêt à adopter… ce sera un peu comme si il avais adopté, mais moi je transmettrais bien mon sang, et j’aurais le bonheur d’être mère.

« Hum… je vois… » ajoutais je.

« Voilà… tu sais tout. » dit elle en retirant son haut en elle se mis seins nus face à moi.

« Wow… tu ne préfère pas que je me branle dans une capote et que je te la donne, plutôt? » lui dis-je.

« Ne dit pas de bêtises, Antoine… » dit elle en palpant la bosse de mon sexe au travers mon jean, avec un sourire extrêmement pervers, me ****llant celui de Julie…

Elle pris une petite voix et un regard de chienne battue et ajoutat:
tu n’oserais tout de même pas priver une femme fidèle et mariée telle que moi, du seul et dernier écart de conduite de sa vie? dit elle en glissant carrement sa main dans mon jean pour me palper le sexe.

« Qu’est-ce qu’elle est grosse… s’étonna t’elle.
Instinctivement, elle se mis à genoux.
Je me levât et me plaçât face à elle.
Je dit « OK, c’est Daccord.mais une seule et unique fois. C’est bien clair ? » lui dis-je.
« Oh merci… Merci Antoine… promis… »
Elle défit ma braguette. Je la laissât faire.

Mon sexe en demi érection lui explosa au visage. Mes couilles pendait lourdement, Pleines à craquer de sperme.

Elle s’extasia: « WOOOOOW… le monstre. Je comprend pourquoi elle t’appelais « mon poney… »

Je souris et fit balloter mon sexe devant son visage pour l’encourager.

Elle attrapa timidement mon sexe, et posa ses lèvres rouges sur mon gland.

Elle me fit une fellation très tachante.

Elle dit inquiète: Tu bande même pas et je n’en fait pas le tour avec mes doigts…

Je ria. Je retira mon T shirt et mon jean, afin d’être libéré de ces entraves de tissus.

Je l’attrapait par sa chevelure de deux mètres, elle couina.
J’enfonçais ma queue molle dans sa bouche jusqu’aux couilles, en tirans sur ces cheveux pour aller plus loin. je la sentais galerer a passer sa langue autour de mon sexe. En durcissant peu à peu, elle finit par avoir un haut de cœur et me recracher.
« C’est trop gros… »dit elle en se jetant sur mes testicules qui lui était si précieuses… elle me les léchât comme jamais on ne me les avait léchées.
Hmmm…elle savais y faire je dois l’admettre.

Elle me pompa jusqu’à me faire bander comme un roc. Elle peinait à sucer mon gland en entier… petite bouche… mais ce n’est pas grave. Elle compensais en me branlant à deux mains la hampe.

Humm… je commençait à avoir envie sérieusement de la penetrer.

Je lui mis quelques biffles, et envoyant valser ses lunettes de secréchienne. puis, je la soulevât par les cheveux. Elle gémis de plaisir, elle n’avais visiblement pas l’habitude de se faire remuer.

Je lui retira sa jupe genante et inutile. Je me servit de ses deux mètres de cheveux comme d’une laisse, et la trainât a son bureau, à l’autre bout de la pièce.
j’entrat dans son jeu, au fond de moi sans trop y croire, y voyant surtout une pauvre femme sterile cherchant un espoir infime. Je ne pouvais pas lui refuser.
« Viens par ici… c’est là dessus que je vais t’engrosser. »

Elle s’empressa d’obeir et vint se cambrer comme une chienne sur son bureau d’art. J’envoyat valser sa pile de paperasse qui nous empêchait d’être à l’aise.
Je posa mon gland à l’entrée de sa chatte trempée. Elle était bien trop serrée pour moi.
Je fut surpris de trouver un plug dans son anus.

Je souris, et je sortit une capote de mon portefeuille.

Elle me vis faire et dit: « qu’est-ce que tu fait, non, c’est idiot! Tu dois finir au plus profond de mon vagin… pourquoi met tu une capote? »
Je repondit:
en enfilant ma capote: « qui parle de ton vagin? »
Son visage semblait choquée.
« Mais… je n’ai jamais essayée la sodomie de ma vie… uniquement quelques plugs. »

« Tu ne vas pas mourrir stupide! » lui dis-je, moqueur, me plaçant derrière elle.
Elle mouillait à mort. Je lui sortit son plug du cul. Merci de me l’avoir élargie.
Je posa le plug devant son visage sur son bureau. Elle aura un magnifique champ de vison pendant que je l’enculerais.

Je lui enfonçât mon gland dans l’anus. Elle couina.
Je fit des petits à coups de façon à la penetrer petit à petit de plus en plus profond. Plus je m’enfonçais en elle plus elle couinais et plus ses jambes tremblait.

Je pris ses cheveux fermement d’une main, et glissa l’autre contre sa chatte.

Je lui tira les cheveux pour l’enfoncer sur ma queue, tout en lui doigtant le clito.

Elle hurlais dans ses mains, pour étouffer ses cris.

Je la pilonnais. Son anus était parfait pour la sodomie. Je lui ravageât pour son plus grand plaisir,
J’utilisais ses propres cheveux de deux mètres comme un fouet pour lui fouetter les fesses et le dos, entre deux fessées et deux tirage de cheveux.
Elle se décoinçât peu à peu…

« Oh ouiiii Antoine salaud… on m’avais jamais fait un truc pareil petit enfoiréééé!!!! AHHHH MON CUL!!!!

Je l’enculat une bonne disaine de minutes ainsi,
puis me retira de son anus, et le laissa, beant.
Je remis le plug à sa place, pour « faire bouchon.

Elle gémissais.
Je lui fit retirer ma capote. Elle me sucat la bite allègrement pour me la nettoyer du goût de plastique.

Mes couilles, énormes et gonflées à bloc ballotait et claquait contre son menton.
Elle me les goba, mon sexe plus long que son visage, posé sur son nez, elle me dévora et me suça les couilles ainsi de longues minutes.
Elle me les embrassa avec amour en murmurant à mon sperme:
« vas y mon bébé. Tu peux le faire. Aujourd’hui t’es énorme. Aujourd’hui je crois en toi. Alors vas y mon gros bébé. Inonde moi… »

Je ne dit rien, la trouvant un peu touchante…
Je dit « ca y est madame aubain, c’est l’heure. »
Elle souris et cambra a fond et avec une grâce inouïe, pour m’offir un acces 3 etoiles a son vagin.

Elle plaisantat: « vas y, monsieur cheval. Feconde moi, Je suis toute à toi.»

Je souris et je lui posa le gland à l’entrée du vagin. Elle couina.
Elle laissa s’échapper une larme… que je soupçonne d’être de joie.
Je ne voulais pas la décevoir.

Sous un long hurlement mutuel, je lui enfonçât peu à peu mes 22cm dans le vagin.

Mais impossible. Il en rentrait à peine 18 ou 19, je tapais dans le fond.

Elle hurlais à la mort… le cri caractéristique d’un mélange de douleur et d’un plaisir intense.
« AHHHHHHHHH ouIIIIIIIIIiIiIiIi…. Antoine c’est trop gros… c’est trop gros… mais que c’est bon… c’est pas humain… j’ai jamais été aussi pleeeeeeeeeeeeeinee ouilllouillouille……. oh le con…. vas y cheval, vas y cheval!!!!!!!!

Je lui ramonais le vagin. Son vagin étroit était totalement occupé par ma queue. Je sentait toutes ses parois se distendre sous mon passage. Je lui sortais un maximum de mouille du vagin à chaque vas et vien… ça coulais à flot sur mes couilles et entre ses jambes.
Au bout de quelques minutes, je commençât à me lâcher.

Sa petite chatte n’en pouvais plus. Elle eu un orgasme monstrueux.
oh… oh! « OHHHHhHhH!!!! Oh
OUIIiIiIiIiRRRrRGHAAAAARGHHHHIIIIIIIi!!!!!!!!!!! ANTOIIIIIIIIIINEEEEERRGHHHHH» Hurlat elle en nous déchirant les tympans, parcourue de spasmes monstrueux, tout son corp vibrais. Elle était comme possédée. J’avais rarement vu une fille jouir aussi intensément. Elle était complètement désarticulée et vibrais de plaisir sur mon sexe en hurlant.

Je pria pour que le lycée soit désert à l’heure qu’il était… heureusement que le salle d’art est dans un bâtiment isolé.

Je bandais a mort. Son orgasme m’excita a mort et m’amena presque aux frontières du mien.
Je la percutât à mort en poussant de long râles…
Je lui defoncat la chatte ainsi pendant presque 10 minutes , sous ses hurlements à peine humains… je la filmât avec mon smartphone, à hurler de se faire engrosser, au bout de mes 22cm et lui tenant les cheveux comme une laisse de l’autre main.
Son cul était rouge des coups que je lui avais mis, et le plug peinait à masquer que son anus était béant.

Ma prof d’art plastique était ma totale soumise et j’en faisais ce que je voulais. Et ce pendant de longues minutes.

La vue de la vidéo que je prenais de ma prof d’art plastique hurlant à la mort, totalement soumise à ma queue, m’ achevât d’excitation…

Je hurla que je me sentais venir, et lui mis d’énormes coups de boutoir qui claquèrent extrêmement fortement, toujours en la filmant de la main gauche et en lui tirant les cheveux de la droite,

Elle craquât à nouveau et se sentit au bord d’un second orgasme, elle hurlais.

Soudain, je me sentir partir. J’hurlat
« PUTAIN DE MERDE… PRRRENDD CAAAA…. RHAAAAHHHAAaAHHHHRGHHH…. »

Et je lui inondât literralement son petit vagin d’un torent de sperme bien mérité, sous de violents spasmes, de puissants jets de sperme faisait karcher au fond de son vagin. J’en comptât 18. Mon orgasme dira plus de 30 secondes ininterrompu.

M’entendant hurler, elle craquait à son tour, et sentant mon premier jet de sperme, elle eu un orgasme encore plus intense que le précédent…
Dont je vous donne un aperçu…

« VAS Y PONEY DE JULIE, ENGROSSe MOI, ENGROSSE MOI, ENGROSSE MOOOOOOAAAAAARGHHHAAAAAhhAAAAAAIIIIIRGHHHHHAAAAIEAIEAIEAAAAAAAHHHHRGHhhhh….. espèce de monstrrrrergg….RHAAAAAAAHHRRRRGHAAAAAAAHHHhhhxbldbledeblede…
OUI!! oUiOuIOUIOUIOUIIIiIiIiiIIi!!!!!!!! OOOUUUIIII!!!! Ça s’arghette jamais….. rhaaaaaaaa…AAAAAAHHHhHhRGHHHhHhH….. »

Le tout en vibrant plus fort qu un vibromasseur de tout son corp… je hurlais de long râles en vidant mes 18 puissants jets au fin fond de sa petite chatte…
Totalement remplie de ma semence.
Si pleine que mon sperme giclait de sa chatte vers ma queue, comme un ballon trop plein recrache le surplus d’eau qu’on lui donne…

Je m’effondra sur elle.

Complètement choquée, et en extase, elle ne s’attendait pas à une telle ejaculations. (Elle m’avais vu remplir Julie pour la 3eme fois de la journée… rien à voir en quantité.)

Elle vibrait encore de l’orgasme, alors que près de 3 minutes s’était passés.
Jnetait effondré sur elle, fatigue. La queue toujours au fin fond de sa chatte crémeuse.
Elle repris peu à peu ses esprits, et s’emparait du gros scotch transparent sur son bureau en marmonnant des obscénités inaudibles…
« Sjdjdksslmônstre skldjhTorrent de Foutrexbl… phuslieUsine a foutre epais de taureau…. jd ls pleine à ras bord… merci… mercis’enks merci… mon bébé arrive c’est surxbl…. »

Elle se redressa en boitant… coupa un grznd morceau de scotch transparent, se mis sur le dos sur son bureau et me dit:
« Ghhhhh….. antoine… je veux….. que tu…. essuie…. ta queue…. dans ma… chatte…. racle jusque…. à la…. dernière…. goutte…. »
Elle vibrais encore.
Je raclât Ma queue imbibée de mon sperme épais, avec mes doigts, pour les ré balancer sur sa chatte qui dégoulinais de mon sperme. Je récura tout pour tout lui remettre dans le trou.
Un épais dôme de sperme surplombait sa chatte.

Elle souria et s’extasia a la vision de sa chatte complètement pleine à ras bord et même à en deborder de semence.

Elle attrapa le gros scoch et se schocha de longues bandes sur la chatte, emprisonnant mon sperme en elle de manière imperméable.

Je coupât la vidéo…. je l’avais complètement oubliée. c’en était assez. Elle devais être spectaculaire vu le démon possédé que je venais de baiser… toujours vibrante 5minutes après l’orgasme.
« Putain de succube. »

Elle souris, fier d’elle… et de son scoch sur la chatte au travers duquel on voyais mon sperme faire une bulle tant elle était pleine…
« antoine… merci. Merci…. merci je sais même pas comment te remercier.

Je souris. Epuisé, moi aussi, par l’effort.

Je lui mis de petites fessées. Elle léchât le peu de sperme raclé qui restais que ma queue, et me dévora une dernière fois.
Elle remercia mes couilles… constatât qu’elles était bien moins pleines, et fit choquee de la sensation de pleinitude qu’elle ressentait dans son vagin, alors qu’il n’y avais plus que mon sperme à l’intérieur.

On s’endormis,betement, elle sur le bureau et moi sur elle.

Décidément je ne peux pas m’empêcher de dormir après une bonne partie de sexe… me dis-je.
On se réveilla, il était tard. On avais dormis presque 2h. Il faisait nuit noire, le lycée était fermé.

On se rhabillât, elle toujours son morceau de scotch entre les jambes… je doutait que ce soit une très bonne idée, mais il est vrai qu’elle ne perdais pas une goutte de mon sperme pour le coup.

Elle me palpat une dernière fois la queue, et ajoutat: putain je dois reconnaître qu’elle vas beaucoup beaucoup me manquer …
Adieu, le poulain. Dit elle en me la palpant au travers le jean, une dernière fois, avec un soupçon d’amertume dans la voix.

Adieu, madame aubin… enfin, dans ce contexte.
Et n’oubliez pas d’effacer toutes les photos de moi et Julie, et de ne plus jamais rien dire ni faire contre nous.

« Promis tu a ma parole antoine… ma parole. »

Elle ajoutat: timidement… oh, tiens, prend ça…ça a absolument rien à voir, mais bon. C’etait une de ces pompes à penis pour agrandir son sexe… « je l’avais achettee pour mon mari… mais… elle était trop grande pour lui… c’est livré avec un manuel..: autant qu’elle serve à quelqu’un.
je n’ose pas imaginer ce que ça donnerais sur toi…

Un peu étonné par le cadeau, j’acceptat et le cachât dans mon sac.

Je finit de me rhabiller, et on rentrat chez nous. Je puais la baise.

J’eu une petite pensée pour julie, malade.
La pauvre.
Vivement demain, que je lui rende une petite visite…

Je rentrât chez moi, traçât au la douche sans croiser personne, et dut trouver une excuse bidon pour expliquer mon retard à ma famille.

J’allai ensuite me coucher, enfin.
Madame aubin m’avais épuisé. Quelques sms et nudes a juju, qui avais apparement très envie que je lui rende visite demain.

devrais-je le raconter à Julie ou le garder pour moi? Après tout nous n’avions jamais parlé d’exclusivité, je ne savais que faire. Ce n’était peut être pas utile non plus de créer des embrouilles pour ca.

Je finit par m’endormir, enfin. Vivement ce ne sera pas de trop une bonne nuit de sommeil pour affronter la journée de demain…

La suite au prochain episode.
n’hésitez pas à commenter ou à liker, si ça vous a plu, et à faire part de vos retours et critiques constructives.
cela me motive à écrire la suite plus rapidement!

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