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Vive l’internat

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Patricia était surveillante dans cet internat depuis bientôt 2 mois. Son intégration et son métier lui convenaient. Elle était chargée de surveiller le dortoir des filles et devait sur les coups de minuit faire une ronde dans les salles de cours afin de s’assurer que tout était fermé. Après avoir vérifié le premier étage, elle arriva au second ou elle aperçut de la lumière dans une salle de classe. Elle se dirigea vers cette salle ou elle entra pour vérifier. Elle fut surprise de trouver 4 hommes assis sur les tables. L’un d’eux lui

« Salut ma belle on t’attendait »
« Que faites-vous ici c’est interdit » répondit-elle.
« C’est toi qu’on veut » dit un autre homme.

Effrayée, elle voulut faire marche arrière, mais un cinquième homme se trouvait juste derrière elle et la saisit par la taille. Il la souleva, mais elle se débattit en criant

« Lâchez-moi.

Un autre homme vient au secours de son camarade et souleva Patricia par les jambes en lui tenant fermement pour qu’elle ne puisse se débattre. Habillé d’une robe marron très moulante qui ne cachait rien de ses formes pulpeuses, elle était terriblement désirante et sexy. Un troisième homme vient lui mettre la main sur la bouche afin d’étouffer ses cris. Ils l’amenèrent vers une table ou ils la posèrent sur le dos. L’un des hommes lui tenait les bras pendant que le second essayait de l’embrasser. Le troisième tout en tenant énergiquement ses cuisses s’était mis à genoux devant elle et commençait à remonter sa robe. Il s’aperçut très vite que ses bas était soutenus par des portes jarretelles noires ce qui l’excita encore plus. Il arriva à sa culotte et approcha son visage. Sa culotte noire était immaculée de tache blanchâtre et très humide. Il l’a renifla et cria

« Elle put le sperme, elle doit venir de se faire sauter par un des profs qui lui tourne autour cette pute.

Elle venait de faire l’amour violemment 15 minutes plus tôt dans les toilettes avec un professeur qui l’avait prise comme une bête. Elle se sentie honteuse d’être découverte et sa peur commença à se transformer en désir de se faire à nouveau monter par ses hommes. Il écarta sa culotte et plongea sa tête entre ses jambes et lui lécha le sexe. Pendant qu’il l’a suçait un des hommes avait sorti son sexe tendu et essayait de lui mettre dans la bouche. Elle tournait la tête pour éviter cette fellation mais il lui prit la tête et la tenant par les cheveux il força sa bouche avec force. Le sexe gonflait dans sa bouche. Pendant qu’elle lui taillait cette pipe, il lui palpait les seins au travers de sa robe. Ses seins étaient gros et lourds et sous les pulsions des mains de cet homme elle se cambrait de désir. Le premier homme avait retiré sa langue et lui enfonçait un doigt en tournant dans son sexe pour s’ouvrir le chemin. Il enleva aussi son pantalon et sorti un sexe énorme qu’il lui fourra d’un seul coup dans la chatte. Elle hurla malgré l’occupant de sa bouche qui donnait des grands coups de reins pour s’enfoncer au fond de sa gorge. Jamais elle n’avait été pénétrée aussi rapidement et par un aussi gros appareil. Son amant précédant ne disposait pas d’un aussi beau capital. Il commença par lui labourer les reins tout en lui tenant les hanches. Alternant les coups de reins et les mouvements circulaires, sous les coups de cet homme Patricia crue qu’elle allait défaillir. Il l’a saccageait méthodiquement sans passion mais comme une locomotive sur de son chemin. Les jambes relevaient au-dessus des épaules de cet homme, le sexe de cet homme cognait contre le sexe de Patricia, qui n’en pouvait plus. Excitait par cette scène violente et torride l’autre accélérer les mouvements dans la bouche de Patricia. Il sorti son sexe et le cogna contre la figure de Patricia qui lapé le gland de l’homme. Il lui plaça le sexe au-dessus de son visage. Elle glissa sa langue tout au long du sexe enveloppant l’engin autour de sa langue. Elle lui mordillait le gland quand il lui réintroduit-le tout dans la bouche avec force. Elle failli étouffer. Il faisait coulissait sa bitte dans la bouche tout en lui palpant les seins avec force. Il lui pétrissait les nichons avec force et détermination. L’autre homme continuait à la saccager, son sexe écartait au fur et mesure des entrées sorties la culotte de soir se déchirait de plus en plus sous les coups de butée de son agresseur. Au bout d’un temps très long de ce va et vient constant il sorti son instrument, elle avait joui comme jamais mais les regards des autres hommes avides et envieux lui faisait comprendre que ce n’était que le début. Il se masturba au-dessus d’elle et éjacula. Un jet puissant inonda Patricia en se répandant sur sa robe et ses bas. L’autre au vu de la scène sorti aussi son sexe de la bouche et termina de se masturber au-dessus de son visage. Il joui très vite et la força d’ouvrir la bouche pour avaler son sperme. Elle avala-le tout avec forcé. Les deux hommes l’obligèrent à lécher leur sexe jusqu’à qu’il ne reste plus une goutte. Ils s ‘essuyèrent ensuite sur sa robe et laissèrent leur place au suivant. Le suivant la releva. Elle voulu s’échapper mais il la retient et la bascula le ventre contre la table. Il lui releva à nouveau sa robe pour laisser apparaître ses fesses belles pleines rondes et envieuses. Il se saisi d’une règle en bois et lui donnant un grand coup sur les fesses. Elle se cambra en hurlant, il recommença de plus belle. Il lâcha la règle et lui appliqua une fessée géante. Les coups résonnaient au travers des salles de cours. Il décida de lui déchirer complètement sa culotte déjà saccagée par son agresseur précédent. Le bruit de la soie déchaîna cet homme qui sorti son sexe.

« Je vais te défoncer salope tu vas sentir ma grosse bitte et tu vas jouir comme une cochonne, une jument qu’on saillie »

Alliant les actes à la parole il lui enfonça son sexe d’un coup sec. Elle hurla de désir mais il lui plaqua la main contre la bouche. Tout en lui pétrissant les seins il la ramonait comme une chienne. La scène était surréaliste. Cet homme derrière elle accroché à ses hanches la manipulait comme une poupée de chair. Elle jouissait et se répandait en gémissement. Plus elle gémissait plus il accélérait les vas et vient. Il la saisie par la poitrine en passant ses mains par devant elle. IL s’agrippait à ses seins en continuant de la labourer férocement. Il l’insultait la traitant de

« Grosse pute » « t’aime te faire monter comme une salope » « Raconte moi ce qu’il t’a fait ton prof tout à l’heure, ou t’a t’il baisé ».

Elle lui avoua qu’elle s’était fait sauter dans les WC.

« Il t’a enculé »
« Non je n’aime pas cela » répondit elle
« C’est dommage parce que mes potes ils vont te sodomiser comme des bêtes ».

Elle jouissait elle n’en pouvait plus ses seins se soulevait sous les halètements et la pressions de ses grandes mains. Il finit par lui arracher complètement sa culotte et lui plaça dans la bouche. Elle suffoquait pendant qu’il continuait a entrer et sortir de son vagin. Il l’obligea a lui raconter comment son amant l’avait entraîner dans les toilettes soulever sa robe enlevait sa culotte. Elle raconta la fellation qui durait plusieurs minutes. Tout en se laissant aller au coup de butoir de cet homme elle continuait son histoire. Il l’avait ensuite assise sur lui tournant le dos elle s’était faite ainsi sauter tout en sentant la pression des mains de son amant glisser sous sa robe pour pétrir au travers de son soutien gorge ses mamelles bien pleines. Tout en racontant son histoire elle gémissait sous la force des coups de son violeur. Jamais elle n’avait ressenti ce mélange de peur de honte et de jouissance intense. Elle jouissait comme jamais. Plus elle implorait pitié plus elle sentait le désir l’envahir. Il sorti sa bitte de son sexe et lui tapota les fesses avec son sexe.

« T’aime cela salope de te faire chevaucher comme une jument »
« Oui monte moi encore j’en peu plus. Baiser moi tous toute la nuit, humiliée moi ».

En entendant cela il lui enfonça à nouveau son sexe dans les fesses avec force et recommença à la marteler. Les 2 derniers hommes qui ne l’avaient pas encore touchée s’impatienter et lui dire

« Fini la qu’on puisse en profiter aussi, cela fait longtemps que je me suis pas tapé une aussi belle salope ».

Il décida alors de la finir en sortant son sexe. Il éjacula sur sa robe et répandit tout son sperme sur le tissu marron de la robe moulante. Après s’être essuyé avec la culotte de la belle, il laissa sa place aux suivants. Les deux autres hommes la relevèrent. Ils la palpèrent comme une bête de foire qu’on veut acheter. Ils lui tripoter les fesses lui soupesez les seins en faisant des commentaires horribles. Elle était honteuse. L’un deux dégrafa les pressions de sa robe qui était redescendu. Ses cuisses gainées de bas soutenu par ses portes jarretelles apparurent. Sur ses bas dégoulinez des traînées de sperme des agresseurs précédents.

« Tu pus le sperme petite garce »
« je crois plutôt que c’est une grosse cochonne ».

Ils lui caresser la chatte à pleine main. Ils lui ôtèrent entièrement sa robe. Son magnifique corps apparut. Ses seins lourds maintenus dans un soutien gorge noir. Ses fesses bien pleines. Ils l’assirent sur une chaise. Un des homme passa son sexe en dessous de son soutien gorge entre ses deux seins et lui dit

« Branle moi à fond salope ».

Elle lui serra cette queue entre ses deux miches et commença à lui faire coulisser. L’autre juste à coté observé la scène en lui forçant l’entrée de sa bouche avec sa bitte.

« Avale moi cela grosse pute ».

Il enfonça d’un coup sec sa bitte dans la bouche de la belle qui goba l’instrument. Sa langue experte roulait autour de cet appareil qui envahissait sa bouche. Il sorti son sexe de sa bouche, elle commença par le laper comme une chatte avalant du lait. De bas en haut elle faisait glisser sa langue en léchant le sexe. Pendant ce temps l’autre continuait ses mouvements de va et vient coincé entre ses deux grosses miches. Elle lui compressait son sexe le plus fortement possible pour ne pas le laisser échapper. Les commentaires étaient odieux. Il l’humiliait en parole.

« T’aime cela grosse vache, t’es une vrai butineuse. Tu lèches comme personne. Jamais je en me suis tapé une aussi belle salope »
« Espèce de bouffeuse de bitte suce moi le gland »
« T’aime me branler avec tes grosses mamelles cochonne, grosse pute, salope ; c’est une belle baiseuse ».

Elle n’en pouvait plus. Le sexe énorme dégoulinant frottait contre ces seins, il s’en servait comme d’un marteau et cognait sa poitrine qui se soulevait rapidement. Il l’a soulevèrent de la chaise. Un des deux hommes pris sa place et l’obligea à l’enfourcher. Elle se retrouva assise sur ses genoux. Il essayait de la pénétrer mais ne pouvait y arriver car son sexe était trop gros. Il écarta son sexe avec les doigts pour élargir le passage et glissa tout doucement son sexe à l’intérieur. Une fois de dans il l’agrippa par les fesses et la souleva et la rabaissa afin de la faire coulisser sur son manche de pioche énorme. Jamais une aussi grosse bitte n’avait pénétré Patricia. Elle avait eu de multiples amants mais jamais avec une queue aussi grosse. Il l’a faisait monter et descendre de plus en plus rapidement. Elle haletait de plaisir le suppliait

« non pitié arrêtez elle est trop grosse je n’en peu plus ».

Il se cramponnait à ses fesses à pleines mains pour ne pas la laisser échapper. Au bout d’un certain temps de ses allers et retours il l’a souleva et la retourna. Elle lui tourna le dos debout les fesses au niveau du visage de son violeur. Il lui embrassa les fesses à pleines bouches lui mordant le cul. Il l’a saisi par les hanches et la rapprocha de lui. Elle compris tout de suite

« Je vais t’enculer salope » entendit elle.

Il l’assis de force sur son sexe. Il ne pu la pénétrer.

« Passe moi la vaseline » dit il à son collègue.

L’homme lui tendit un tube il s’en enduit sur les doigts et lui plongea dans son orifice anal. Elle voulut crier mais le second homme qui l’a tenait fermement l’embrassait avec fougue lui enfonçant sa langue dans la bouche. Après avoir écarté son petit trou et enduit le canal de vaseline, il sorti ses doigts et la ramena ensuite sur ses genoux. Il s’enfonça facilement en elle.

« Je suis sur que tu n’en a jamais eu une aussi grosse dans le cul salope ».

Elle serait ces dents pour ne pas hurler. L’homme restait immobile au fond de ses fesses pour la laisser s’habituer à son nouvel occupant. Le second homme la regardait en lui caressant les seins. Il lui malaxait la poitrine

« T’aime qu’on te palpe comme une grosse vache entrain de se faire traire, hein salope »
« Oui vas y pelote moi les nichons continue ».

Il continua à lui soupeser. L’autre commençait à bouger au fond d’elle. Elle gémissait il remua en elle. Elle comprenait qu’elle était habitée fourrée prise comme une bête. Le second la pénétra par devant. Elle était prise en sandwich entre ses deux rustres qui profitait et abusait d’elle comme un jouet. Les mouvements s’accéléraient. Un de ses premiers agresseurs au vue de la scène retrouva une seconde jeunesse. Il s’approcha d’eux et lui fourra sa bitte à nouveau tendu et fière dans la bouche. Elle l’avala entièrement. Sa langue recommença à jouer autour du gland de cette homme donc elle reconnaissait le goût. Elle était sauvagement enfourchée par ses deux brutes qui prenait leur pied en la coinçant autour d’eux. Ces hommes s’agrippaient fermement à ses fesses à pleine main la bougeant pour qu’elle coulisse encore mieux sur ses deux pieux qui l’écartelait. La bouche remplie de chair elle ne pouvait que gémir. Un autre homme s’approcha il lui présenta son sexe qu’elle prit dans sa main pour le branler. La bitte de l’homme sur lequel elle était assise cognait sur ses fesses. La sodomie lui faisait une impression immense de jouissance. Ces 4 hommes abusée d’elle la traitant comme un objet de plaisir. L’insultant la fessant la baisant, la palpant dans ses parties les plus intimes. Ce viol profond lui laissait une impression de bonheur intense. Ils se répandant en foutre sur son corps, dans sa bouche sur ses fesses au fond de son cul ou de son sexe. Ils jouirent tous ensemble au dessus de sa figure, elle avala l’ensemble de ses jus épais, léchant pour ne laisser aucune goutte lui échapper tous ses sexes comme une gourmande jamais rassasiée. Ils s’essuyèrent avec sa robe traînant par terre, et l’abandonnèrent couché d’épuisement sur le sol, vidée de bonheur et rempli de sperme.

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