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salope en devenir 5

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Dans l’ascenseur qui mène à son appartement, elle se colle à moi. Elle glisse ses mains froides sous mon pull. Je frissonne. Qu’elle sait être chatte mais perverse. Elle me griffe doucement en partant de mes omoplates jusqu’aux fesses. Je soupire.

— Maître ?

— Oui.

— J’aime votre corps, si doux, sans aucun poil. J’aimerais vous masser, vous lêcher, vous manger…

— C’est ce que j’avais prévu. Cela sera ta récompense. Tu as été sage et à chaque fois que tu le seras, je te récompenserai…

Le choc de l’ascenseur arrivant à l’étage nous interrompt dans nos échange presque amoureux. ( là, c’est clair, je pars en couille.)

Elle angoisse quand elle introduit la clé dans la serrure et me regarde comme un chat apeuré. elle pousse la porte, tout est calme, pas âme qui vive. Elle ne s’étonne pas de l’absence de sa fille. Je me mets nu.

— Non, si elle revenait !!!!

— Tu lui diras que je suis ton nouvel amant. Elle a du en voir défiler, non ?

— Non… Enfin oui, mais pas dans cette tenue… Maître.

— Il faudra qu’elle s’y fasse. Vas prendre ta douche, j’irais ensuite. Tu as de la bière ?

— Oui; oui… Dans le frigo… Dit-elle avant de disparaître dans la salle de bain.

C’est donc nu que je m’assoies dans le fauteuil, une bière dans la main et la télécommande dans l’autre. Je zappe sans rien trouver d’intéressant.

Quand elle revient, elle est affublée de son peignoir immonde. A mon regard, elle le laisse tomber.

— Bon, on va commencer par faire le trie dans tes fringues. Vas me chercher un sac poubelle.

Dans sa chambre, ça respire le frais. J’ouvre sa commode. Je mets sur le lit toutes ses culottes, soutien-gorges. Je lui demande d’en faire autant avec ses pulls et ses jeans sans nom qui traînent dans son placard.

Moi, je vais prendre ma douche. Ca sent la femelle. Je me savonne. Cela me fait bizarre de me savonner sans aucun poil. Je bande. Je souris. Dans le miroir je peux voir mon rostre se balancer au rythme de mes gestes sur mon corps. Qu’elle sensation fabuleuse. Le séchage est des plus délicat, La serviette réche me lime la peau mais j’y trouve une certaine jouissance.

De retour dans sa chambre, elle est en train de fourrer son dernier pull dans le sac.

— Voyons voir ce qu’il nous reste là, pas question que je traîne une souillon en ville.

Je fais le choix de jeter toute ses robes longues ainsi que ses chemisiers à manches. Sa garde robe est presque vide. Seulement cinq mini-jupes et deux plus longues, ainsi que cinq chemisiers dont un écru sans manche.

— Où sont tes jouets ?

— Là, me dit-elle en me montrant une valise.

— Bien, remets ton peignoir et descends moi tout ça dans le local poubelles et prends les escaliers. Ça ne peut que te faire du bien…

J’installe la valise sur le lit. Ouf, elle pèse son poids. Et il y a de quoi. Tout un choix de vibro-masseurs, de godes de toutes tailles, des doubles dongs, un gode-ceinture, des perles de geisha, un œuf vibrant à télécommande, un plug-anal orné d’un strass rouge, une canule à lavements, une espèce de ceinture de chasteté et une charmante tenue de soubrette. Hé bin dis donc, il y a du matos. Et c’est peu dire…

Je prends le plug et le regarde avec intérêt. Il fait dix centimètres de long pour un diamètre de six, bien plus large que ma bite. Une jolie imitation de pierre précieuse vient orner le frein.

Elle est de retour et elle rougit à la vue de toute cette panoplie étalée sur son lit. Tenant toujours le plug à la main, je le porte à ses lèvres. Elle le suce. Je le fait coulisser plusieurs fois. Elle ferme les yeux. Sa respiration s’accélère. Sans un mot, je la retourne et pèse sur ses épaules. D’instinct, elle s’appuie, bras tendus, jambes écartées et croupe offerte. Voilà une charmante position, cela pourrait devenir une position d’attente. je joue avec le plug autour de sa charmante rosace qui palpite d’impatience. Je tourne autour en resserrant les cercles. Elle souffle. D’impatience ? j’en suis sûre.

Je continue ma douce torture. Elle projette son gros fessier en arrière. Je rigole mais je continue mon travail de sape. Elle grogne tout en tortillant du cul. L’appel est tentant, j’enfonce l’objet de métal dans son fondement. Elle gémit de plaisir, elle souffle d’extase.

— C’est bien, ma belle, tu le portera à chaque fois que je serais là, compris ?

— Oui… Maître.

— Maintenant, range moi tout ça, il ne faudrait pas que ta fille tombe sur cet arsenal. A quelle heure rentre ta fille ?

— Je ne sais pas, parfois il lui arrive de découcher, elle est majeure depuis dix jours…

— Pour être sûr de ne pas tomber sur elle, on va aller chez moi et on verra plus tard comment lui annoncer notre relation particulière.

Son visage s’illumine. Je lui tend sa valise en lui disant qu’elle va en avoir besoin. Je choisis une petite robe courte en cuir blanc, des bas de la même couleur, un chemisier sans manche, des escarpins de dix centimètres et la veste de ma colocataire.

— Je vais être bon prince, je te laisse quinze minutes pour t’habiller et te maquiller. Dépêche toi…

Je l’attends dans le salon, non sans m’avoir resservis une binouze.

Trente minutes plus tard, nous sommes en bas de son immeuble. Nous déambulons dans les rues de la basse ville de Toulon. Elle est provocante à souhait. Sa robe lui moule les fesses et sachant qu’elle est nue dessous… Hummmm. Et ses seins, libres sous cette fine étoffe, je bande. Elle tortille du cul. Le rosebud doit lui faire de l’effet. Je l’arrête et la saisis par sa longue tignasse noire.

— Tu n’est qu’une pute, ma pute… Lui dis-je en la doigtant. Tu es sûr de vouloir devenir mon esclave ?

— Oui, me répond-elle en m’embrassant.

On arrive prés de la porte d’Italie, lieu bien connue de tous les junkies et autres toxicos. Je sais qu’il y a un sex-shop réservé à la baise. Un magasin avec des arrières salles privées et réservées à la débauche. Je connais cet endroit qui est plutôt fréquenté par les gays et vieux pervers de la région. Je décide d’y emmener ma petite pute.

Le patron, Patrick, nous accueille avec un immense sourire.

— Hé bé, cela fait longtemps que l’on ne t’as pas vu ici? dit-il. Que cherches tu ? (cf: SexClub Zone X de Toulon, je sais, cela va choquer mais je suis bi.).

— Des clients pour elle, lui répondis-je en montrant Sylviane.

— Tu as de la chance, il sont au moins une cinquantaine, me dit-il en me tendant les bracelets-clés pour les vestiaires.

Je paie l’entrée, pousse Sylviane vers la porte du fond de la boutique et la dirige vers les vestiaires. Là, on se met dans le dress-code vestimentaire du lieu, à poil. Je prends sa valise et en sort ses bracelets et son collier. Je bande.

Elle a du mal à s’habituer à l’éclairage rouge et sombre. Je suis obligé de lui servir de guide, connaissant les lieux.

On arrive dans une salle de projection, enfin de vidéo. Sur l’écran une trans encule un mec. Je la fait s’asseoir entre mes jambes, dos à moi. Sa chaleur m’irradie. Elle est obnubilée par le film.

— Cela te plait?

— Oui, Maître… J’aimerais…

— Tu aimerais quoi ?

— Vous donner autant de plaisir…

— M’enculer ?

— Si c’est ce que vous désirez, OUI, Maître.

Là s’arrête notre discussion. Un mec vient de s’installer à côté de nous, à deux sièges. On peut deviner sa petite bite qu’il branle tout en nous matant. Il doit avoir la soixantaine, petit, bedonnant, dégarnie, l’arqué-type du mec en mal de de baise. Elle glousse.

— Je crois qu’ici vous aurez plus de succès que moi, Maître.

— T’inquiètes, tu vas prendre ton pied comme jamais. Ils veulent juste décharger leur jus dans un trou. Tu veux retourner dans un « glory-hole »?

— Non, j’ai envie de voir les mecs qui me feront jouir !

— Ok, suce le!

Un peu surpris, le mec n’ose pas bouger. Elle s’installe à debout entre ses cuisses et se penche en avant. Elle a bien retenu la leçon de ce matin. La bouche de ma petite pute fait son effet. Il ferme les yeux et se laisse faire. En gorge profonde, elle astique ce petit asticot. Elle n’a aucun mal à le prendre à fond. Son nez vient buter sur le pubis poilu de ce pathétique petit vieux. Elle se pince le nez me confirmant l’odeur nauséabonde. Il est vrai que je le sens d’ici.

Deux autres mecs sont entrés dans la salle. Beaucoup plus jeunes , à la limite de la légalité et beaucoup mieux membrés mais Sylviane n’a rien remarquée, elle reste scotchée sur la queue du vieux. Les jeunes s’assoient dans la rangée au dessus de nous. Ils ont des queues tout à fait différentes. Le premier a une queue magnifique, moins épaisse que la mienne mais beaucoup plus longue et entièrement rasée. Il se branle lascivement en regardant ma pute s’acharner sur la bite du pépère. Le second, est entièrement rasée, épilation intégrale et sa bite est d’une dimension exceptionnelle. Elle pend le long de ses cuisses et tombe presque aux genoux. Je me lève et je m’accroupie derrière Sylviane. Je joue avec son plug et le lui retire. Elle relève la tête et comprend très vite. Elle enjambe le papy, lui offre sa chatte dégoulinante et vient gober, tour à tour les deux nouveaux venus. Le papy est aux anges. Sa langue s’enfonce dans ce fruit juteux qui lui est offert. Elle coule abondamment sur son visage. Il se régale.

— On peut la prendre ? Demande le mec qui a la plus fine.

— Oui. Elle est à prendre sans retenue, et c’est gratuit.

Les deux jeunes abandonnent la bouche gourmande de Sylviane et partent couilles rabattues. Elle me regarde dépitée mais gémit sous les coups de la lange experte du vieux. Il la mange, la bouffe. Le son de la télé couvre péniblement les bruits de succion. Elle inonde le visage du sexagénaire. Elle n’en peut plus et redescend pour lui prendre la bite en bouche. La scène est terriblement excitante. Elle est debout face à lui et le pompe sans les mains et ce qu’il devait arriver, arriva. Dans un long râle, il se vide. Elle ne perd rien, ma grosse salope.

Obnubilé par la scène, je n’ai pas vu revenir les deux jeunes…

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