J’étais en déplacement depuis plus de 10 jours pour remplacer un Chef de Projet que notre client n’appréciait pas. Mon mari m’avait alors demandé de prendre le poste manquant cruellement de collaborateur tous occupés en clientèle. Je passais donc les 2 dernières semaines sur la région parisienne afin de finaliser la mise en place Informatique de cet hôpital dont nous avions la charge. Tous les corps de métiers étaient présent en souvent le soir nous nous retrouvions à l’hôtel pour partager soit le repas soit un dernier verre. Le projet arrivait à terme et l’architecte avait suggéré une soirée avec l’ensemble des sous traitants. Nous nous retrouvâmes tous dans une pizzeria. J’avais à mes cotés Gilles qui était conducteur de travaux chargé de l’installation de la cuisine avec qui j’avais sympathisée durant ces dernières semaines. Marié avec 1 enfant, amateur de rugby, je me sentais à l’aise en sa compagnie. Du reste il était aussi un peu dragueur et savait flatter ma féminité. Manquant de place à cette table ma jambe se frotta à la sienne. Je m’en excusais ne voulant pas qu’il pense que je l’avais fait volontairement. « Tu peux recommencer quand tu veux » me dit il en souriant. De ce fait c’est lui qui recommença, très délicatement au début afin de vérifier si je ne m’offusquai pas. Légèrement gaie je le laissais faire, le trouvant de toute façon très à mon goût. Au dessert sa main passa en dessous de la table et se mis à caresser mes cuisses et remonter vers mon entre jambe. Je lui repoussais sa main qui s’attaquait aux boutons de mon jean. Il rebroussa chemin, pour recommencer de plus belle quelques minutes plus tard. Je refusais ses caresses plusieurs fois, puis cédais écartant légèrement mes cuisses afin de laisser passer sa main qui força l’ouverture de mon jean pour se glisser sous mon pantalon. Penchais en avant afin de ne pas dévoiler aux autres notre manage sa main s’était frayé un chemin sous mon Tanga afin de s’emparer de mon entre jambe.
Tout le monde décida d’aller en boite, me libérant de la main envahissante de Gilles. Je déclinais mais Gilles insista. Sa grande carrure de son sourire charmeur me fit plier. Je suivis donc la joyeuse bande dans une boite forte heureusement réservée au plus de 30 ans. Nous dansâmes une bonne partie de la soirée, quand Gilles m’entraîna dans une série de slow nous plaçant un peu à l’écart du groupe. Il me serra fort entre ses bras puissants. Il me regarda droit dans les yeux et dirigea sa bouche vers la mienne, m’embrassant fougueusement, enfouissant sa langue en moi. Je répondis à son baiser me laissant aller à ce fleurt sans conséquence. Pendant qu’il m’embrassait ses mains s’étaient emparées de mes fesses qu’il malaxait avec forces et douceur. Pendant que nos langues s’entrelaçaient ses mains jouaient de mes fesses cherchant aussi ma voluptueuse poitrine serrée sous un body moulant et plongeant. Cela dura toute la durée des slows avant que la musique nous oblige à nous écarter « retrouve moi dehors prés de ma voiture dans 5 minutes OK ? ».
Arrivée près de la voiture je ne vis personne. J’entendis l’ouverture à distance du véhicule s’enclencher, quand les bras de Gilles m’emprisonnèrent par derrière se saisissant de moi et me poussant à l’intérieur de la voiture. Il me plaça à quatre pattes sur la banquette arrière baissant mon pantalon d’autorité et plongea sa tête entre mes cuisses. Ecartant mon Tanga sa langue m’envahit et commença son travail quasi mécanique explorant chaque partie de mon intimité. Il me dévora me suçant m’aspirant buvant toutes les parties de mon corps. Après plusieurs minutes de ce traitement il m’avait amené au paroxysme de ma jouissance. Il se releva entra dans la voiture et ferma la porte. Il me coucha sur le coté et après avoir libérer mes gros seins, m’enfourra de son sexe. De sa main droite il me tenait par les cheveux tandis que sa main droite malaxait mes gros seins, alors que son sexe me pilonnait comme une machine. Il était si fort et puissant que je m’abandonnais rapidement le laissant jouer de mon corps m’amenant à l’orgasme. Il me coucha alors sur le ventre et continua à me baiser les jambes relevées vers l’arrière. Ses mains rythmaient ses vas et vient par des claques sur mes fesses résonnant dans le véhicule. IL nous releva et m’empala sur son sexe. Assise sur lui je tressautais au rythme de son membre me défonçant la chatte. Ses mains pinçant et tirant sur mes tétons jouaient de mon opulente poitrine comme un potier malaxant sa terre cuite afin de la modeler selon son bon vouloir. Il se retira de moi en me demandant de le masturber afin qu’il jouisse. Toujours assise sur lui tournant le dos je le branlais jusqu’à ce qu’il se répande sur mon ventre et mon sexe. Son sperme se versa sur ma toison noir, allant jusqu’à s’essuyer sur mon Tanga, alors que sa langue m’envahissait de nouveau tel un serpent gourmand et féroce. Nous rhabillâmes et il me ramena à mon hôtel.
Il était 2 h du matin quand il me raccompagna jusqu’à ma chambre du Campanile Hôtel. Je ne voulus pas qu’il rentre malgré son insistance. Nous nous embrassâmes longtemps devant la porte. Le balcon était désert, et il faisait encore très doux. Sa main à nouveau se glissa dans mon entre jambe, d’autorité il s’enfoui à nouveau en moi jouant de ses doigts alors que sa langue explorait ma bouche. Son autre main avait à nouveau libéré mes seins malaxant avec frénésie mes belles mamelles pendantes. Il me fit a nouveau jouir à nouveau sous ses doigts experts me laissant pantelante entre ses bras totalement défaite. Il me fit pénétrer dans la chambre et me poussa sur le lit. Couchée sur le dos et il descendit mon Jean à mi cuisse releva mes cuisses au dessus de ses épaules et enfoui son gros membre flasque entre mes cuisses ruisselantes. Il me martela pendant 1 heure, enchaînant les positions, jouant de moi comme d’une simple poupée. Je subissais ses assauts ne pouvant plus rien faire parcouru d’orgasme. Il libéra enfin son jus dans mes seins enfournant son sexe dans ma bouche afin que je le nettoie. Je m’endormie enfin d’un long sommeil réparateur.
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