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4- Histoire de fille qui n’en est pas une

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4- Histoire de fille qui n’en est pas une

Je ne suis toujours pas moi je descend en enfer.

Après ma première expérience avec Étienne que j’ai revu plusieurs fois. Naïve comme toujours je pensais être amoureuse. Mais lui m’a ouvert les yeux, il m’expliqua qu’il m’aimait bien, que je lui donnais beaucoup de plaisir, mais que l’amour ce n’étais pas çà. Il me dit que le jour où je serais amoureuse je le sentirais au fond de moi. Une fois qu’il eut compris que je m’étais fait des idées nos rencontres s’espacèrent et prirent fin. Quand je compris, je me sentis très mal. Mais au lieu de faire un connerie, je me lançais dans d’autres conneries. Je chassais tout azimut sur internet.

Je multipliais les rencontres, enhardie par mes premières expériences, je n’hésitais plus. Je devenais de plus en plus ouverte à toutes les propositions. Je n’ai réalisé que quand j’ai rencontré mon chéri. La petite trave que j’étais glissait tout doucement sur une pente glissante. Je ne triais même plus les contacts. Du moment qu’ils acceptaient de me recevoir je mettais mes fringues les plus sexy et je courrais les retrouver. Petit à petit je perdais ma fierté. Oh j’y prenais du plaisir. Je me laissais utiliser, manœuvrer. Mon chéri me dit que j’ai une tendance naturelle à la soumission.

C’est vrai j’aime bien qu’on me dise quoi faire, je n’aime pas être celle qui décide. Et tous les hommes que je rencontrais usaient et abusaient de moi.

C’est devenu au fil des mois une vraie course au sexe. Plus j’avais d’expériences plus j’en voulais. Je devenais une accro du sexe. J’avais du mal à passer plus d’une journée sans partenaire. Parfois le week-end j’avais deux ou trois rendez vous. Quittant un homme pour sauter dans le lit d’un autre. Plus je prenais d’assurance, plus je me laissais entraîner dans des choses sordides, glauques. J’acceptais de rencontrer des hommes dans des lieux public, dans des cages d’escalier. Je me faisais prendre appuyée contre un mur de cave. Je pompais des gars le soir dans les jardins publics.

En même temps je me mis à consommer de la drogue. Au pas beaucoup mais comme je commençais a ressentir les effets de mes actions cela me permettait de continuer encore et encore.
Naturellement les déboires commencèrent à arriver. Un soir j’avais rencard avec un beau jeune homme, brun typé, la peau mate j’aime beaucoup. Il m’avait donné rendez-vous dans un quartier dont la renommée n’était pas excellente. Mais je n’avais pas pensé à mal.

Arrivée au rendez-vous, il était là. C’était assez sympa, on bavarde un peu. Mais je ne suis pas venue pour çà, et je lui fais directement des avances. Il ne sait pas ou on peut aller. Il me propose la cage d’escalier d’un immeuble. J’accepte.
On commence à se caresser, il m’embrasse mais je sent qu’il n’aime pas. Et tout a coup on m’att**** par derrière. On m’immobilise les bras. Je ne peux pas me sauver. Un autre gars me tiens me ceinture. Mon beau gars m’arrache mon sac a main, le retourne sur le sol, fouille cherche. Il trouve un peu d’argent, mon portable et une bombe lacrymogène que j’ai dans mon sac.

– Elle a pas de thune, la pouffe juste çà  il dit en montrant mes deux billets de 20€

Il me colle un gifle qui me fend la lèvre et il prend la bombe m’asperge avec. Je pleure.. je tousse.. je suis a genoux. Celui qui est derrière me met un coup de pied dans les fesses et le m’étale la tête contre le mur.
Je crie au secours.. de toute façon personne ne bougera, et ils sont déjà loin. J’entends la voiture qui démarre en trombe.

Je rentre en larmes, je fais le minimum de bruit, maman ne m’entend pas. Le lendemain matin elel voit mes yeux rouges.

-Tu a encore pleuré ma chérie ? Dis moi ce qui ne va pas

Je craque, je me jette dans les bras de maman, je suis sur le point de lui dévoiler ma vie secréte mes mauvaises manies, mais je me ravise lui sert le couplet habituel. Je ne me sens pas bien dans ma peau, je ne suis pas un garçon. Ce n’est pas un mensonge, c’est vrai, mais je ne peux tout de même pas avouer à ma mère que je suis au bord d’un gouffre. Je suis naïve parfois mais je sent que je suis prête à mal finir. La drogue, je fume beaucoup mais je sniffe pas mal également. Heureusement que je n’ai pas beaucoup d’argent. Oh je vous entend penser. J’y ai pensé, je n’avais pas franchi le pas. Non je n’ai pas fait payer. Oui j’aurais pu me vendre, me prostituer. Si je veux être honnête je n’en étais pas si loin.

J’étais engagée dans une fuite en avant. Mon mal être est sûrement la cause profonde, mais ma recherche de sensations, ma quête de sexe me faisait plus de mal que je ne le croyais. Petit à petit bien que je n’ai jamais demandé le moindre argent, je me considérais comme une pute. Au début c’était la quête d’une rencontre, puis c’était pour satisfaire mes envies de sexe. Je ne sais pourquoi ma libido est aussi forte. Elle n’a pas diminué, mais maintenant j’assouvis mes fantasmes, mes envies avec mon homme. Alors que durant ces moments là j’avais un mal fou a détacher mes pensées sur sexe. Quand je n’avais pas de rencontre prévues, je passais la nuit à me caresser jusqu’à ce que la fatigue me gagne.

Malgré ma mésaventure je ne deviens guère plus prudente. Je continue a rencontrer des hommes. Mais maintenant que j’ai mon bac je cherche aussi un emploi. J’ai envoyé des tonnes de cv qui restent sans réponse. Je me présente dans plusieurs entreprises, mais mon look semble déranger. Naturellement pour trouver un job je me présente en garçon. Mais cheveux longs et mon allure efféminée ne semble pas engager les patrons.

Je sombre petit à petit à nouveau dans la dépression. Maman s’en rend compte. Elle tente de me parler j’évite toute discussions sérieuses. Elle appelle ma sœur à la rescousse. Je m’ouvre un peu plus à elle, mais rien n’y fait.
Je vous l’avoue, a bout d’idées, ne voulant pas vivre au crochets de ma mère. J’ai vraiment pensé à faire la pute pour de bon. Je me considérais déjà comme perdue. Perdue pour perdue si au moins je gagnais de l’argent ce serait peut être plus supportable. Je savais que je me mentais mais quelle solution j’avais ?

Un soir plusieurs gars m’ont contacté sur le chat. Je les avais allumé et ils avaient très envie de me voir. J’annonçais que ce n’étais pas gratuit. Seul l’un des trois qui m’avaient branchés était d’accord . Je demandais 100€.
J’allais au rendez-vous. J’étais à cinq minutes pas plus. Mon cœur battait, ma tête était pleine d’idées bourdonnantes. J’étais à deux pas d’un petit café de quartier. La tête se mit a tourner. Je m’appuyais contre le mur. J’avais la nausée. Un gentil grand père qui était à la terrasse, c’est levé, il c’est approché de moi.

Ce ne vas pas mademoiselle ? Venez vous asseoir. Ne restez pas debout. Vous voulez un verre d’eau ?

Il m’aida à m’asseoir, je n’étais vraiment pas bien. Tout çà, ce que j’allais faire me torturais. Ce papy m’a sans doute sauvée. Il avait l’air si inquiet pour moi, si gentil. Il me faisait penser à mon grand père. Il était mort plusieurs années avant. Là le papy me réconfortait, il insista pour que je boive quelque chose. Je restais un moment avec lui. Il s’était mis dans la tête que j’avais une peine de cœur. Normal une jeune fille qui ne va pas bien dans la rue. Ce ne pouvait être que çà. Je ne le dissuadais pas. Il me tapotait doucement le dessus de la main. Il m’a fait un bien fou ce grand père. J’ai fini par pleurer. Il me disait que c’était le meilleur moyen pour faire passer les chagrins. Pleurer c’est un bon médicament pour les peines comme celle là disait il. Et puis il me disait que j’étais jeune, jolie, que j’oublierais vite.
Une chose est sure il m’a évité de descendre encore une marche sur ce qui me menait vers l’enfer. Enfin un enfer encore pire que celui de ma vie.
Je décidais de rentrer à la maison. J’embrassais le papy et lui fit signe de loin en traversant la rue. Je rentrais à la maison. Je me laissait tomber sur mon lit. Et j’ai pleuré une bonne partie de la nuit. Je pleurais sur ce que j’avais failli faire, je me dégouttais vraiment.
Quelques jours plus tard.. je tentais encore une fois d’en finir. J’avais manqué mon coup en ma taillant les poignets, là j’ai tenté de me trancher la gorge mais je n’ai jamais été douée pur les sciences naturelles. J’ai juste réussi à me faire quand même saigner comme un poulet égorgé mais pas suffisamment surtout que maman était là et qu’elle est intervenue aussitôt.
J’ai eu droit au cycle, ambulance, hôpital, psychiatrie. Cette fois la leçon fut plus profitable car le psy commençait à parler sérieusement de me faire faire un stage prolongé à l’hôpital. Pas m’interner disait il mais ce n’était pas loin de çà.
Cela m’a fait un électrochoc. Je ne voulais pas me retrouver entre 4 murs, être surveillée. Je n’avais rien fait pour éviter çà mais je ne voulais pas. Ma mère aussi était affolée de me voir enfermée même pour un temps. Elle a bataillé pour que je suive une thérapie mais que je reste à la maison.

Durant cette thérapie, j’ai lâché le morceau, j’ai dit au psy ce que je faisait, mes rencontres les hommes. Il ne m’a pas jugé, il n’a pas eu l’air de réprouver. Il m’a juste parlé des risques que je prenais. Essayé de me faire comprendre que cela n’avait pas d’avenir. Son attitude m’a un peu réconcilié avec lui. On est revenu à mon problème majeur. Je ne suis pas, n’ai jamais été un garçon. Pourtant pour tenter de travailler je devais me travestir en homme. C’est comme çà que je le ressent, quand je suis habillée en garçon je me sent travestie, pas quand je suis habillée normalement en fille. Mon psy avait semblé assez surpris quand je lui ai dit à quel point le sexe était une préoccupation. C’est surtout mes besoins qui l’ont étonné.

La vie à repris, mais je n’avais toujours pas de job. Maman me couvait, me surveillais même. Je ne lui en voulais pas. Les bêtises que j’avais faites lui autorisait tout. Mais ou j’avais honte, et vraiment mal c’est quand elle me disait, « Au moins tu ne te drogue pas » Combien de fois j’ai faillis éclater en sanglots, j’aurais voulu lui avouer. Tant que je m’étais contenter de fumer, je crois que ca allait. Mais j’avais commencé à toucher à d’autres choses. Et ces saloperies me permettaient de supporter ce que je faisais. Heureusement c’est sur assez peu de temps et assez peu souvent que j’ai abusé de drogues dures surtout par manque d’argent aussi.

Je repris mes aventures sur Internet au bout d’un peu plus d’un mois. Je ne tenais plus. J’avais besoin d’être dans les bras d’un homme. Je me moquais bien de savoir si il m’appréciait, si il avait un peu de compassion pour moi. Ce que je voulais c ‘était l’étreinte. Dans ces instants toute ma vie s’effaçait, j’étais la chose d’un homme. Cela comblait une partie du vide en moi. Bien sur dès que c’était fini, la plupart se dépêchaient de me jeter. Souvent je n’ai rencontré mes amants qu’une fois. Il me trouvaient, ils me baisaient et m’oubliaient bien vite comme une chose honteuse.
Je connais par coeur le style, le profil des hommes qui m’ont possédée. La quarantaine souvent, mariés, des enfants une petite vie rangée, mais leur femme ne dois pas s’intéresser plus que çà au sexe. Et je dois dire que je les comprends car mes amants sauf dans quelques cas rares n’étaient pas des champions. Beaucoup n’arrivaient pas à me prendre il bandait pas suffisamment. Souvent aussi ils m’avaient a peine pénétrée qu’il jouissais. Et la majorité je devais les faire jouir en les branlant car j’avais beau les sucer comme une folle il n’arrivaient pas à jouir.
Je me remettais en cause, pensant que j’étais pas excitante, pas douée que c’était de ma faute. Mais petit à petit, quand je rencontrais par bonheur des gars qui étaient bien je révisait mon jugement. Les hommes n’étaient vraiment pas au top, pour leur majorité. Hélas tous ceux qui me satisfaisaient étaient pris, mais ils étaient aussi les plus sympa.
Un jour je suis tombée sur un type très sympa, pas super mignon, mais gentil attentionné. Il m’expliqua gentiment que faire l’amour avec une filles comme moi était un de ses fantasmes. Il m’annonça qu’il était timide, que c’est parce que je lui avait parue gentille pas compliquée que je l’avais attiré. Il me dit aussi qu’il me trouvait jolie, sexy et que ce serait génial si je lui disait oui. Enfin son discours était très touchant et sincère. C’était son fantasme de la curiosité. Il avait un peu plus de 30 ans marié il venait d’avoir une petite fille. Il n’avait jamais trompé sa femme. Ça le dérangeait mais il avait trop envie.

On se donnait rendez vous dans un café, il m’avait dit qu’on irait à l’hôtel. C’était un plan qui m’arrivait assez peu. Et c’était pour moi le comble du confort. Je retrouvais donc Yves dans ce café. Il fut surpris de me voir, ses yeux me dévoraient. Il me dit qu’il était surpris et me trouvait vraiment mignonne. Il était gêné, il n’osait pas me dire, féminine. Je lui dit que c’était un compliment pour moi. Yves était blond, une bouille ronde, un petit peu enveloppé. Très attentif à ce que je disais et très doux. Je lui demandait si ca ne le gênait pas d’être avec une fille comme moi, en ville avec les passants et tout. Il me dit que de toute façon il se demandait même si j’étais bien ce que j’avais annoncé tellement j’étais jolie et très femme. Je lui dit sur le ton le plus coquin que je pouvais qu’il ne tenait qu’a lui de vérifier. Il paya nos verres, on est sorti du café. Il avait réservé une chambre dans un hôtel proche. Sur le trottoir j’osais prendre son bras, timidement. Il me regarda me sourit et parut content de mon initiative. Je me penchais vers lui et lui ai fait un bisous sur la joue.

Une fois dans la chambre, il devint plus timide. Il n’osait pas vraiment. C’est moi qui me suis collée à lui. Je lui ai demandé si il voulait que je l’embrasse, il me fit signe que oui. Car certains même un nombre important de mes amants de passage refusaient de m’embrasser. Yves se laissait faire, et il embrassait bien.
Doucement il devint plus hardi, me caressant, me passant les mains sur les fesses. J’étais collée à lui et je sentais la bosse dans son pantalon. Tout en continuant de le bécoter, je défaisait ca ceinture, puis les boutons de son pantalon qui tomba au sol. Je m’agenouillais devant la bosse de son caleçon. Je tirais le caleçon, tandis qu’il retirait sa chemise. Et je libérais sa queue. Une jolie chose, bien dure, grosse épaisse, pas énormément longue mais suffisamment pour moi. Je la prenais dans mes mains. Il avait des frissons, je commençais à le lécher doucement, puis je le prenais dans ma bouche. J’aime çà, sucer c’est un truc que j’aime, je regarde son visage, il aime ce que je lui fait. Comme on est au bord du lit, je le pousse un peu, il se laisse tomber. Je serais plus à l’aise. Il est de plus en plus dur. Je ne veux pas le faire jouir comme çà, pas encore.
Et puis il a envie de me caresser je le sent. Je me déshabille à mon tour, je garde mon bustier, ma culotte, mes bas et mes chaussures. Yves me regarde, il me contemple. Il me dit que je suis vraiment belle. Il me demande si je veux bien qu’il me suce. Il me dit sans honte, c’est la première fois, je ne suis surement pas doué mais j’aimerais si tu veux bien. Cela me changeait de mes habituels amants. Il me demandait mon avis. J’approchais de lui qui était allongé sur le dos. Agenouillée près de sa tête. Je le laissais me caresse au travers de ma culotte. Mon gros clito était tout gonflé, il fit glisser ma culotte et il s’attendait à voir mon sexe lui sauter à la figure. Au lieu de çà j’arrivais à le maintenir entre mes cuisses, il avait en face de lui un triangle tout doux sans poils. Il me caressa un peu puis glissa ses doigts entre mes cuisses. Impatients, les yeux brillants, il eut un grand sourire quand enfin il vit mon sexe se déplier. J’étais très excitée. Je lui demandais s’il n’étais pas déçu car mon sexe est vraiment petit. Il me répondit que non car il était très mignon. Et il resta un moment à le regarder, le tenant dans ses doigts. C’était la première fois pour lui. Je lui caressais la tête gentiment. La lenteur, le calme m’excitait beaucoup. C’était bon de prendre son temps. Bon de se sentir regardée comme une jolie chose.
Il prit mon clito dans sa bouche, j’étais pleine de petits frissons. Mes mains c’étaient posée sur sa tête et sans le vouloir je la poussais pour qu’il m’avale.
Oh que c’était bon. Depuis Étienne, personne ne m’avais fait çà aussi bien. Le sexe de Yves était de plus en plus gonflé et tendu. Il me suça longtemps caressant mes fesses. Yves fut même hardi car son doigt vint me taquiner mon petit trou. J’adorais çà. Je sentais qu’il avait envie de me prendre mais n’osait pas, ne savait pas comment changer de position ou me demander. Surtout que je devais avoir l’air d’aimer ce qu’il me faisait. J’aurais bien pu me laisser faire il m’aurait fait jouir j’en suis sure.
Je lui demandais comment il voulait me prendre. Il me demanda si je voulais bien le chevaucher, face à lui, comme çà il pourrait me voir, voir mon sexe aussi. Souvent les hommes préféraient me prendre en levrette, comme une chienne. Lui préférait m’avoir sur lui. J’aime cette position.

Sans que je demande rien, il avait pris un préservatif, je lui pris la capote des mains, la posait sur son gland et la déroulait en utilisant ma bouche.

Puis je m’installais au dessus de lui, je guidais son sexe vers mon petit cul qui baillait d’envie . Et je me laissais glisser sur sa queue toute raide. Oh c’était bon de le sentir entrer en moi. C’était doux. Comme il me pénétrait, mon gros clito se dressa collé contre mon ventre. Yves avait ses mains sur ma taille. Je sentais bien sa queue épaisse. Je descendais bien à fond sur lui. Sa main me caressait le clito. Il donnait des coups de reins très doux. Je montais et descendais sur lui. Mes mains appuyées sur sa poitrine. Il soupirait, il aimait ce que je lui faisait. Moi aussi j’adorais sa main qui me caressais. Je me suis penchée sur lui, pour l’embrasser il c’est laissé faire et m’a sourit. Oh il y avait longtemps que l’on ne m’avais pas fait l’amour. Les autres me baisaient, lui me faisait l’amour. Il était heureux d’être avec moi et moi avec lui.

Je commençais à être très proche du plaisir et lui aussi. Je lui dit que j’allais jouir. Je ne savais pas comment il apprécierait que je jouisse sur lui. Il me sourit et ma juste dit, vas y. jouis sur moi chérie. Je me suis laissée aller je criais de plaisir oh c’était bon. Son sexe en moi, sa main sur ma petite queue. Je me mis à gicler, sur sa poitrine. Plein de taches épaisses et humides sur lui, jusqu’à son menton.
Yves donnait de plus en plus de coups de reins. Tu veux jouir dans ma bouche je lui ai demandé. Il fit signe que non. Il agrippait ma taille, et se tendit d’un coup s’enfonçant loin en moi. Et il poussa un gros soupir. Fermant les yeux et il jouit en moi. J’aimais le voir prendre du plaisir, tout tendu donnant de petits coups. Je le fit sortir de mon petit trou. Je sentais que j’étais bien ouverte. Je regardait sa queue encore bien dure, la capote était remplie de son jus. J’avais envie de son sperme. J’allais passer pour une moins que rien peut être mais je lui retirait le préservatif doucement. En faisant attention de ne pas en perdre une goutte. Agenouillée au dessus de lui, je levais le préservatif au dessus de ma bouche, et je le renversais vidant tout son sperme sur ma langue. Il était tout chaud, épais. J’adorais le goût. J’en avais plein la bouche. Je regardais Yves qui me fixait intensément. Je vis qu’il n’était pas dégouté, mais excité. Il me dit juste un petit mot – Cochonne –
Je luis souris et avalais son jus a petite gorgées. J’essuyais mes lèvres et lui fit un gros baiser.

Yves était toujours aussi charmant, même après avoir fait l’amour. Il était enchanté, il avait pris plus de plaisir qu’il ne le pensait, il me trouvait exceptionnelle. Je ne crois pas qu’il avait raison. Après on bavarda longtemps et je lui expliquait que je cherchais du travail et que je n’arrivais pas, en plus comme je n’étais pas un garçon j’aurais aimé pouvoir être moi même et trouver un job où j’aurais été mademoiselle. Il me demanda ce que j’avais comme diplôme. Je lui expliquais que j’avais eu un bac pro COMMERCEIAL
Il me dit qu’il était responsable d’une boutique de téléphonie, il cherchait toujours des vendeurs et vendeuses. Il ne me promit rien, mais il pensait qu’il pouvait m’embaucher et que je pourrais être une vendeuse, personne n’avait à savoir qui j’étais exactement. Du moment que je faisais mon travail et que j’avais une attitude normale ca pouvait aller. Il me demanda mon téléphone Et me promit de m’appeler vite pour me proposer ou pas un job.
Je lui demandais si on se reverrais après pour le plaisir. Il prit toutes les précautions pour ne pas me peiner, mais il me dit maintenant qu’il avait assouvi son fantasme il ne désirait plus tromper sa femme. Il me demanda si ça posait un problème pour moi. Car sinon il ne pourrais pas me proposer un job. Je suis restée honnête, je lui ai dit que j’avais beaucoup aimé avec lui, que j’aurais bien été un peu plus loin avec lui. Mais j’avais trop besoin d’un travail. On est tombé d’accord pour rester amis. Je lui ai fait un dernier bisous sur la bouche. Ce fut le dernier contact intime que j’ai eu avec Yves.

Quelques jours plus tard, il me passait un coup de fil, me demandant de passer à la boutique. Il me reçut très professionnel, me demanda mes diplômes, mes papiers et tout. A la fin de l’entretient il me sourit, et me dit allez tu fait partie de la maison maintenant, je ne peux pas te faire un CDI , mais un CDD de 6 mois ca va faire jusqu’à la fin de l’année. Ensuite on renouvellera, ou peut être un CDI si on peut. J’étais hyper contente!! Enfin!! J’avais un job!! J’allais gagner ma vie.
C’est fou ce que ca peut vous changer, je pensais à prendre un appartement, à plein de choses que je croyais impossible. J’étais à peine dehors que je passait un coup de fil à maman, à ma sœur.

Ma vie.. allais changer.. fini fini tous les bêtises que j’avais faites. En plus j’avais la preuve que je pouvais on ne sait jamais trouver un homme bien, qui m’aimerait pour ce que je suis. Je me jurais de ne plus accepter toutes les invitations. Je devais être assez futée pour comprendre quel homme me respecterais ou pas. Je décidais que la drogue il ne fallait plus du tout. Pourtant la tentation était forte maintenant que je savais que j’allais gagner de l’argent. J’ai eu un peu de mal a décrocher je fume encore un peu mais pas régulièrement. Mais je fume du tabac c’est mon défaut.

Enfin.. Lucie se sentais bien.. je me sentais prête à vivre. J’ai eu un peu de mal à oublier et ne plus avoir envie d’Yves. Surtout que je le voyais tous les jours. Mais petit à petit cela m’est passé. Surtout quand j’ai rencontré sa femme et sa petite fille. Ce jour là je me suis dit que je ne devais plus y penser et lui laisser vivre sa vie. C’était un de me meilleurs souvenir avec Étienne.

Voilà. Mais ce n’est pas fini. Pas encore.

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