Ce récit est la suite de Marilyn, ma jolie nièce
Chapitre 1 : Chantal, ma plus jeune nièce
Au mois de juin suivant, Carole a eu une nouvelle attaque et malheureusement celle-ci lui a été fatale. Mon vide couille, Joëlle, est partie soigner d’autres personnes et je me retrouve maintenant totalement seul. Mon obsession c’est de retrouver une vie sexuelle qui avait atteint un sommet avec Marilyn.
Le problème c’est que les jeunes filles comme Marilyn sont rarement intéressées par les personnes âgées comme moi et Marilyn a repris ses études très loin de moi. Pour couronner le tout, elle est tombée amoureuse d’un étudiant de sa faculté.
Je viens de faire mes courses et je regarde la caissière compter soigneusement ma monnaie. Je la regarde aussi attentivement, admiratif sur la façon dont ses seins tendent le tissu de l’uniforme du magasin. Des seins de bonne taille, et c’est sacrément dommage, que le vêtement terne, ne les mettent pas plus en valeur.
Céline. Voilà ce qu’affirme le badge au-dessus de son sein gauche. Céline a des cheveux longs, blond foncé, avec de belles boucles et je me demande si sa chatte est aussi bouclée et de la même couleur.
– Et cinq qui font 10, gazouille Céline, merci Monsieur.
– Merci Céline, répondis-je. Bonne soirée ma belle.
Je suis fou, je suis pratiquement entrain de baver sur cette minette et en plus avec une conversation ringarde. Ma belle…quel con !
Heureusement que j’ai atteint un âge où les filles sont indulgentes envers moi, pensant que je suis un vieux bonhomme inoffensif. Ayant passé la cinquantaine, je suis peut-être vieux pour des filles de son âge mais j’ai quelque chose dans mon pantalon qui est loin d’être inoffensif et usé. Tout ce que je peux penser c’est que je passerais bien quelques minutes, seul avec cette poulette.
Quand je pense que j’étais timide étant jeune alors que j’avais de quoi contenter n’importe quelle femme.
Ce soir-là, assis dans le salon, ma télécommande dans une main et une bière dans l’autre, zappant sur des émissions plus ennuyeuses les unes que les autres, le téléphone sonne.
– Salut Tonton ! Clame une douce voix, Comment vas-tu ?
Marilyn ! Ma belle Marilyn. Mon petit lutin blond avec de grands yeux et des seins qui me font bander lorsqu’ils se dévoilent. La jeune fille qui a transformé un papy en manque, en démon du sexe senior. Sa voix pétillante continuant à remplir mon oreille, ma bite a fait un bond, soulevant mon caleçon qu’il m’arrive de porter quelque fois.
– Tu me manque mon bébé, tu me manque beaucoup…
– Toi aussi, tu me manque Tonton,
Dit-elle d’une petite voix qui me fait comprendre qu’elle n’est pas en mesure de parler librement.
– Papa veut te parler, je te le passe.
Petit frisson dans le bas de ma colonne vertébrale. Comme il me salut chaleureusement, je suis soulagé que le sujet de conversation ne soit pas du genre ; Tu sais, mon salaud, Marilyn nous a dit que tu l’as baisé tout l’été dernier.
– Je pensais que tu dois être un peu seul depuis la perte de ton amie, il te faudrait un peu de compagnie… pour t’aider un peu dans ta grande maison.
– Tu veux dire comme une baby-sitter ? Répondis-je brusquement, en espérant qu’il va de nouveau m’envoyer Marilyn pour les vacances.
– Non, rigole son père, je voudrais savoir si tu pouvais prendre ma fille pendant ses vacances d’été.
– Marilyn ?
– Non, Marilyn va en Angleterre dans le cadre d’un programme d’échange linguistique. C’est Chantal, sa sœur qui serait disposée à rester avec toi pour les vacances. Tu as transformé l’aînée l’année dernière et ça ne pourrait que lui faire du bien à elle aussi.
Chantal ? J’essaye de me rappeler de la jeune sœur de Marilyn que je n’ai pas dû voir depuis des lustres
.
– Bien sûr, pas de problème.
Nous avons parlé de choses et d’autres et en même temps je médite sur le pour et le contre d’avoir une jeune fille dans les pattes.
Avant de raccrocher il me passe Marilyn qui veut me parler.
– Tonton… attends une seconde…
– Okay, je suis dans ma chambre maintenant, je peux parler. Ça ne t’embête pas que Chantal reste avec toi cet été ?
– J’aurais préféré que ce soit toi !
– Moi aussi, Tonton, dit Marilyn. Mais je suis obligée d’aller en Angleterre.
Maintenant, ma main autour de ma bite, je me branle lentement pendant que nous parlons et je me dirige vers la cuisine.
– Comment est Chantal maintenant ?
– Gentille et papa dit qu’elle est devenue une belle fille.
– Pas aussi belle que toi, Marilyn, dis-je en haletant légèrement et me penchant sur l’évier au cas où…
– Nous avons eu beaucoup de plaisir ensemble, Tonton, dit Marilyn. Nos conversations me manquent et autres choses. C’est ta bite qui surtout me manque.
Je gémis…
– Huuuummmmmm, Marilyn! Voyons! C’est comme ça qu’on parle à son tonton..
Et je me mets un peu de liquide vaisselle sur ma queue pour faciliter ma branlette.
– A un tonton pervers..oui… Dis… Tonton… t’es en train de faire ce que je pense…
Je grogne une approbation. Et Marilyn ajoute
– Moi j’ai ma main dans ma culotte. Et toi, tu es entrain de te masturber ?
– Ouiiiii.
– Whaou, tu es ou,
– Dans la cuisine…
– J’aimerais bien être là aussi… je me mettrais à genoux devant toi pour sucer ta grosse queue comme une sucette tout en serrant tes belles boules qui doivent être pleines.
– Tu as un petit ami ?
– Oui, il est amusant, mais il n’est pas comme toi, dit Marilyn. Il ne peut pas aller aussi loin en moi comme tu le faisais si bien. Je rêve très souvent, que ta grosse queue m’empale et me déchire. Tu as été mon premier et mon meilleur amant. Mais je n’en reviens toujours pas que j’ai réellement pris ta belle queue dans mon petit trou du cul.
Mes genoux fléchissent et j’ai un sacré putain d’orgasme. J’arrose l’évier et le carrelage en gémissant dans le téléphone. Je dois finalement m’appuyer contre l’évier pour me soutenir tandis que ma bite dégoulinante se dégonfle.
– Je dois y aller et raccrocher, Tonton de mon cœur. Mais t’entendre jouir m’a fait si chaud que j’ai jouis aussi. Bye, je t’aime et pense à moi quand tu seras avec ma sœur.
C’est le début des vacances scolaires, j’entends une voiture rouler sur les graviers de l’allée, signalant l’arrivée de mon invitée de l’été.
Chantal est sur la banquette arrière, l’air aussi ennuyé d’une jeune fille qu’on vient de condamner à passer l’été avec un homme qui pourrait être son grand-père et qu’elle a rarement vu.
Elle porte de grosses lunettes rondes qu’elle pousse vers le haut de son nez. Un peu maigre comme toutes ses jeunes filles qui veulent ressembler à ces mannequins qu’on voit dans les magazines féminins.
Elle est vêtue d’un sweet très large qui ne me permet pas d’évaluer ce qu’il peut cacher dessous. Une jupe assez courte sur de longues jambes.
Elle fait adolescente attardée et j’espère qu’elle ne sera pas trop ennuyeuse.
J’oubliais, cheveux rouge vif. C’est tout d’abord ce qui retient votre attention quand vous regardez ma jeune nièce Chantal. La peau blanche, presque fantomatique, mais qui va changer quand elle prendra le soleil d’ici. Taches de rousseur à gogo, du moins sur son visage et autour de sa clavicule. Elle n’a vraiment rien de sa sœur.
Je prends les valises que Chantal a apportées et elle semble un peu distante, me donnant une brève accolade et un picotin sur la joue, avant d’errer dans le jardin derrière.
– J’ai l’impression que Chantal n’est pas trop heureuse d’être coincée ici au milieu de nulle part avec moi, dis-je à son père qui la regarde tourner en rond dans le jardin.
– Non, ce n’est pas ça, elle vient d’avoir une déception amoureuse… Ça lui passera. D’ailleurs elle était assez excitée de venir ici, crois-le ou non. Par nature elle est plutôt calme et timide. Elle a beaucoup discuté avec Marilyn quand nous avons eu cette idée et je suppose que Marilyn doit lui avoir dit tout le plaisir qu’elle a eu avec toi car elle n’arrête pas d’en parler. Enfin…sauf quand…
– Ce n’est rien, pas de problème.
Je soupire pour essayer de ne pas sourire en pensant aux événements bizarres de cette soirée fatidique, quand Carole est rentrée plus tôt que prévu.
En prenant mon café je me demande ce que Marilyn a pu raconter à Chantal, sur ce que nous avons fait ensemble ? Je voudrais bien savoir.
Chantal dans le jardin parle dans l’un de ces téléphones portables que tout le monde semble avoir, agitant ses bras dans une conversation très animée. Je la détaille et elle a vraiment des jambes maigres… non, en fait, très fines. Peut-être un futur mannequin Plus je la regarde, plus je la trouve attrayante.
Un peu dégingandée et maladroite, mais j’aime ses taches de rousseur sur son visage. Elle paraît beaucoup plus jeune que son âge. Je ne peux m’empêcher de me demander jusqu’où elle a des taches de rousseur.
– Toujours pendue au téléphone, dis son père, j’espérais qu’ici ça ne marcherait pas. Ah, c’est aussi son anniversaire.
Dernières recommandations à sa fille et il part après quelques baisers et caresses.
Je suis dans la cuisine et je prépare le gâteau que j’ai acheté pour l’occasion.
Finalement Chantal arrive dans la pièce et sourit quand elle voit ma pathétique tentative pour lui fêter son anniversaire.
– Joyeux anniversaire, Chantal.
Elle semble un peu gênée mais elle s’est assise avec moi pour manger le gâteau.
– Je sais que tu dois détester être loin de tes amies et tout le reste, mais je vais bien m’occuper de toi
.
Dis-je en débarrassant la table et je me réjouis lorsque Chantal m’aide sans rien lui demander.
– Ce n’est pas grave, j’avais besoin de faire un break.
Il fait déjà chaud et je vois qu’elle transpire un peu sous les bras et le long de sa colonne vertébrale, et elle n’est clairement pas habillée pour une journée aussi chaude.
– Désolé, mais je n’ai pas de climatisation et tu dois avoir terriblement chaud avec tes habits.
– Oui, Je suppose que je peux me mettre à l’aise maintenant que papa est parti.
Et elle retire son sweet pour répondre à beaucoup de mes questions.
Par où commencer ? Chantal me regarde un peu nerveusement guettant ma réaction et moi je me force pour avoir un comportement normal et impassible.
Chantal à juste un léger caraco jaune vif qui lui arrive en dessous des seins et évidemment rien en dessous. Ses seins sont petits et probablement en forme de poire. En se tortillant pour retirer son sweet, on peut distinguer le contour de ses tétons à travers le tissu de coton.
Elle a des taches de rousseur partout ; sur ses épaules et le cou et sur l’extérieur de ses bras minces aussi. Elle est si fine que ses petits seins, qui auraient pu être perdus sur une poitrine normale, semblent plus proéminent sur elle
.
– Est-ce que je peux rester habillée comme ça ici. Maman piquerait une crise si elle me voyait comme ça, sans aucun soutien-gorge.
– Euh, bien sûr, et cela te va bien.
– T’es vraiment chouette ! Il fait vraiment chaud ici.
J’essaye de détacher mes yeux de cette nymphette avant qu’elle ne découvre, dès le premier jour, le pervers qui est en moi
– On dirait que tu ne t’es pas fait beaucoup bronzer cette année.
Quand elle me tend un plat, mon œil est attiré par quelque chose que je ne m’attendais pas. Furtivement je vois une touffe de poils roux qui tente de s’échapper de l’échancrure de son caraco.
Quand Chantal voit ce que je regarde, elle lève lentement son bras pour s’essuyer son front avec le dos de sa main, mais ce mouvement me donne un gros plan sur l’épaisse touffe de poils qui semblait faire irruption dans la vallée caverneuse de son aisselle et la naissance de son sein. La pâleur de l’intérieur de son bras fait rend sa fourrure encore plus brillante.
– Merde !
Je viens de lâcher l’assiette que j’avais dans la main.
– Désolé, jacques, me dit Chantal quand nous nous relevons après avoir ramassé les morceaux. Je ne voulais… Je veux dire… Marilyn m’a dit que tu aimais ça.
Chantal s’est éloignée rapidement de moi après avoir lâché ses mots qui m’ont envoyé un gros frisson dans mon corps et elle se dirige vers le jardin.
– Chantal…Attends !
Je suis très troublé car il me semble que Marilyn a dit certaines choses à sa sœur. Mais jusqu’où est-elle allée dans ses confessions.
Il est clair que Chantal n’a pas élevé son bras par hasard. Il s’agit bien d’une tentative d’attirer mon attention ou de mesurer mon intérêt pour elle. Je suppose que ma réaction lui a donné la réponse qu’elle attendait.
Mais peut-être que Marilyn, je l’espère, sachant que c’est peu probable, ne lui a raconté que l’épisode du rasage de poils.
La seule chose qui est claire c’est que je dois la rejoindre vite fait.
Je l’aperçois au bout du jardin assise sur le muret et qui me tourne le dos.
Bon ! Elle est là. Je retourne dans le salon et j’attends qu’elle revienne d’elle-même. Quelques instants plus tard, elle revient et entre dans la cuisine.
Elle a dans les mains un bouquet de fleurs sauvages et elle est en train de les mettre dans un vase quand je la rejoins dans la cuisine.
Chantal me regarde avec un sourire un peu crispé et me dit ;
– Je les ai trouvées vers le bas du ruisseau, j’espère que je pouvais les cueillir.
– Bien sûr, elles sont très belles.
Et j’ai faillis ajouter
– Pas aussi belle que toi
Mais je me suis ravisé. Chantal n’est pas belle, tout au moins dans le sens classique du terme. Elle est grande, maigre et un peu gauche, tout au moins maintenant. Elle deviendra sûrement une belle femme mais pour l »instant elle ne peut intéresser que des dégénérés pervers comme moi.
– Désolé pour l’assiette,
Laisse échapper tout à coup Chantal, en mordant sa lèvre et en croisant ses bras sur ses adorables petits nichons.
– Aucune importance, Chantal, Oublie, c’est une vielle assiette.
– Peut être que j’ai dit des bêtises, que je me suis mal exprimée ou qu’il ne faut pas parler de certaines choses.
Je fais semblant de ne pas comprendre et je l’assure qu’elle est une fille intelligente et talentueuse. Même pour faire de beaux bouquets de fleurs…
– Oui, Non, enfin… je parle des choses que je devrais savoir ou faire à mon âge…
– A quoi tu penses ?
– Paul, c’est mon ami, mon premier petit ami, tu vois ce que je veux dire…
– Il a de la chance, ton petit ami, lui dis-je avec un sourire.
– Tu trouves surement que je suis moche et pas aussi belle que ma sœur, tu aurais dû me voir plus jeune, dit Chantal avec un rire nerveux. Toute plate, de l’acné… beurk !
– Je me demande bien pourquoi tu trouves que tu es moche. Moi je trouve que tu es une jeune fille très jolie et qui s’embellira encore en prenant de l’âge.
Souriante elle vient m’embrasser sur la joue et j’essaye de dissimuler la bosse dans mon entre-jambe quand elle me serre contre elle. Et ce n’est pas la pression de ses petits seins aux bouts pointus contre moi qui va ramollir ma bite toute dure.
– Peut-être que je ne suis pas prête pour certaines choses, conclue Chantal en allant dans sa chambre et d’ajouter avant de quitter la pièce,
– On peut penser différemment pour certaines choses.
Nous avons un dîner très calme et Chantal a mis un léger chemisier par-dessus son débardeur, mais ce qui devrait refroidir mes esprits ne fonctionne pas car le chemisier est largement décolleté et je continu de m’imaginer ce que je ne peux voir.
Puis Chantal retourne dans sa chambre et lorsque je suis passe devant sa porte je l’entends au téléphone. Probablement avec son petit copain.
Avant d’aller me coucher je bois un petit whisky de 20 ans et je me décide pour une douche relaxante en allumant seulement la veilleuse en forme de bougie. Devant le miroir je m’examine et je me dis qu’il va falloir perdre un peu de ce ventre.
Ma main s’égare sur ma bite molle qui pend et je repense aux premières jeunes filles que j’ai connues.
À l’époque, les gars que j’ai vus dans les films pornos étaient nettement mieux membrés que moi et du coup je trouvais que j’avais une petite bite. Bien plus tard j’ai compris que dame nature m’avais quand même gâté et Marilyn m’a confirmé que j’étais toujours bien monté et opérationnel.
Ce n’est pas la peine d’avoir une belle bite et de pas l’utiliser pour le plaisir des femmes et le mien. Quel con j’ai été pendant toutes ces années avec une seule femme
!
Et sur ses réflexions je rentre dans la douche.
Le jet chaud est très apaisant, mais finalement mon esprit retourne à Chantal et à notre bref épisode dans la cuisine un peu plus tôt. Je savonne mon entrejambe avec enthousiasme en visualisant Chantal nue, à quoi elle ressemblerait et j’en viens à me branler sous la douche…
Ces petits nichons… à quoi ressemblent-ils une fois déballés ? Sa chatte ? Si je me base sur ses aisselles, elle doit avoir un gros buisson dense entre les cuisses. Je l’imagine à genoux en face de moi pour prendre ma bite dans sa bouche. En quelques secondes j’éjacule mon sperme qui part dans les égouts tandis qu’appuyé contre le mur de la douche je récupère doucement.
Je suis devenu un vieux pervers et qui se masturbe en pensant à une jeune fille qui est sous mon toit et sous ma responsabilité.
En enfilant mon peignoir et regardant vers la porte de la salle de bain j’aperçois ce qui semble être l’ombre d’une personne de l’autre côté.
Me déplaçant rapidement, j’ouvre la porte d’un seul coup et je suis surpris de voir Chantal s’enfuir en courant dans le couloir.
« Chantal ! » criais-je quand elle s’engouffre dans sa chambre et claque la porte derrière elle.
– Chantal, mon petit cœur, dis-je en frappant légèrement sur la porte. Ouvre…on doit parler.
Pas de réponse.
– Tu ne vas pas rester enfermée tout l’été…
De petits pas et la porte se déverrouille et s’ouvre lentement.
Le visage rouge de honte, Chantal ajuste ses lunettes sur son nez et il me semble qu’elle est sur le point de pleurer.
– Je suis désolée, dit-elle enfin. Tu dois penser que je suis barge.
– Pas du tout ma puce, je veux juste savoir ce que tu voulais.
– Je…je te… matais… j’étais curieuse.
– De quoi… de voir un vieil homme comme moi ?
– Non, je n’ai jamais vu un homme nu par devant, dit-elle d’une voix nerveuse. Marilyn… Marilyn m’a…
– Je crois que c’est le moment de voir ce que Marilyn t’a dit à propos de moi,
Je me racle la gorge un peu sèche et je lui embrasse le front avant de la serrer contre moi pour un gentil câlin.
– Tu peux tout me dire.
– Eh bien, elle m’a raconté certaines choses que vous avez faites quand tu étais seul avec elle. Elle m’a dit comment tu lui as rasé ses aisselles et comment elle était plus sexy et désirable après. C’est pourquoi j’ai laissé mes poils pousser…parce que, dit-elle… tu as aimé faire çà.
– Elle t’a dit ça !
– Oui, mais ne lui dit pas que je te l’ai dit.
– Bien sûr, ma puce.
– Elle m’a dit aussi…que… ta chose… ton truc….
– Mon truc ? Qu’est-ce qu’il a, mon truc ?
– Elle a dit qu’il est grand. Vrai grand et gros, déclare Chantal. Je n’ai vu que celle de Paul et elle m’a paru grande. Mais ce n’est pas comme ça qu’elle m’a décrit la tienne.
– Ma puce, je ne pense pas que cela importe beaucoup. L’important c’est que cela soit agréable pour toi comme pour lui.
– Peut-être, mais ce n’est pas le cas. Enfin d’après ce que m’a raconté ma sœur.
– Alors c’est qu’il n’est pas doué pour ça.
Dis-je doucement, ma main frottant son épaule osseuse et essayant de regarder dans le décolleté de son débardeur.
– Une jolie fille comme toi doit être traitée comme une reine. Moi, si j’étais ton petit ami c’est ce que je ferais.
Un soupçon de sourire apparait au coin de la bouche de Chantal et elle me fait un petit clin d’œil.
– Donc tu es curieuse de voir un vieux comme moi…
Revenant à la question de la conversation initiale.
– Voilà pourquoi tu regardais par le trou de serrure.
– Oui… mais je n’ai rien vu. Il faisait trop sombre.
– Oh, et bien, il y rien de mal à être curieux. Je suis moi aussi curieux de te connaître un peu mieux. De voir comment tu es sans vêtements.
– Ah, bon ! Toi aussi ?
– Bien sûr mon petit bouchon. Tu es très jolie et surement encore plus sans ces affreux vêtements. Si tu veux voir un homme de mon âge nu, je peux te faire ce plaisir.
La respiration de Chantal fait le bruit d’une locomotive, et elle tremble légèrement à côté de moi.
– Oh, oui, je veux bien.
– Mais je ne suis pas Rock Hudson, ou Brad Pitt…
Lui dis-je en ouvrant mon peignoir.
Et je suis nu devant ma jeune nièce et désolé de mettre branlé sous la douche car je suis à moitié bandé par l’excitation de ce que je viens de faire. Chantal tourne timidement sa tête plus vers moi, et ses yeux s’égarent au-dessous de ma taille, et quand elle aperçoit ma bite elle fait » ouf » et perd presque son équilibre.
– Oh mon dieu ! murmure Chantal en essayant de détourner son regard, mais elle n’a pas pu….
Ses yeux ne quittent pas ma bite qui se réveille et je me dis que c’est maintenant ou jamais.
– Vient là ma douce, prend la en main pour mieux te rendre compte.
Sa main tremblante touche ma bite qui se redresse encore un peu et je referme sa main dessus.
– Caresse la maintenant en montant et en descendant.
Les pâles doigts de Chantal ne font pas tout le tour et ils le feront encore moins quand elle va me faire bander complétement.
– Huuummm, ta main est douce et agréable Chantal. Tu aimes me faire ça ? Ton petit ami doit bien aimer ça, lui aussi.
– Oui, mais la tienne est … je n’en reviens pas, la… tienne, est déjà plus grande que celle de Paul et elle n’est pas encore toute dure.
– En principe elle devrait durcir sous ta petite main mais j’ai fait quelque chose sous la douche. Dans la cuisine, quand tu m’as montré tes aisselles et que je cherchais à voir comment était tes seins ça m’a excité. Tellement excité que je me suis masturbé en pensant à toi et t’imaginant nue. Ça ne te choque pas trop que je t’imagine toute nue, belle et sexy…
Chantal reste la bouche ouverte et je pense qu’elle a dit non, mais c’est inaudible. Elle regarde ma bite dans sa main et tire dessus délibérément.
– Elle est beaucoup plus grande, quand elle est toute dure ? Demande Chantal, après avoir retrouvé sa respiration.
– Un peu, dis-je, sachant que si elle continue comme ça elle va devoir en gérer environ deux fois plus. T’as envie de la voir bien dure,
Chantal hoche solennellement de la tête
– Je ne sais pas si je peux redevenir dur encore si peu de temps après avoir jouis, mais je pense en être capable si tu me montres tes seins qui doivent être très mignons.
Chantal cesse de caresser ma bite et sans réfléchir plus d’une seconde, elle retire son chemisier et fait une pause en me regardant.
– Oh, tu sais… ils sont petits et drôles.
Chantal soulève son caraco pour enfin me dévoiler ses seins. Encore plus pâles que le reste de son corps, mais sans taches de rousseur qui s’arrêtent où ses seins commencent. Ils sont de petite taille, mais plein et fermes, en forme de poire, avec d’énormes aréoles roses comme une grosse fleur et hors proportion avec la taille de ses seins.
– Ils sont beaux, dis-je.
– Ils sont aussi beaux que de ceux de Marilyn ? Demande Chantal nerveusement.
– Chaque sein à sa beauté propre. Mais les tiens me semblent aussi gros mais d’une forme différente.
– Vraiment ?
Chantal semble surprise.
– Toutes mes amies en ont des plus gros que moi.
– Peut-être…mais ce n’est pas la grosseur qui compte. C’est leur sensibilité à la caresse. De plus, tes seins sont tout simplement merveilleux, et tes mamelons sont à couper le souffle.
– Paul m’a dit que je devrais me faire poser des implants,
– Ridicule ! Tes seins sont les plus étonnants que je n’ai jamais vus, et ils vont surement prendre de la grosseur en vieillissant. Je peux ?
Dis-je en avançant ma main sur sa poitrine, qui est très douce et souple, et le téton qui s’allonge disparait dans ma paume.
– Ils sont très agréable à caresser. Ça te plait que je caresse tes beaux petits seins ?
Chantal hoche la tête en me regardant pétrir ses seins et en frottant ses tétons. J’en profite pour lui prendre sa main et la remettre sur ma bite maintenant en érection.
– Chantal, tu sens l’effet qu’une fille sexy comme toi à sur mon pénis ?
Elle baisse les yeux et ouvre la bouche avec un air effaré.
– Huuummm, ta main est douce ma puce, tu me fais du bien. Tu vois maintenant quelle taille elle fait quand on s’en occupe bien. Tu peux mettre tes deux mains si tu veux.
Les lèvres de Chantal bougent comme si elle avait une conversation avec elle-même, et j’en profite pour avancer dans mes désirs coquins.
– Chantal, dans la cuisine j’ai vu tes poils que tu as laissé pousser sous tes bras et je ne peux m’empêcher de te demander si tu en as autant entre tes jambes.
Ma main caresse son corps mais Chantal s’éloigne un peu de moi, me laissant là avec ma bite en érection qui se balance devant moi.
– Je ne peux pas, tonton jacques ! Dit Chantal en pleurant. J’ai peur !
Je vais trop vite et un sentiment de culpabilité m’envahi.
– Je suis désolé Chantal, dis-je tranquillement. Tu es tellement belle que je n’ai pu me retenir.
– Non…pas la peine de t’excuser. C’est aussi un peu ma faute et celle de ma sœur.
Elle remonte ses lunettes sur son nez et se rapproche de moi.
– Ma sœur m’a recommandé de bien prendre soin de toi. Alors je vais tenir ma promesse. Même si je sais que c’est dangereux.
– Hein ? Que veux-tu dire ?
– Je vais te la faire… je vais te… enfin tu vois…
Dit-elle en faisant monter et descendre son poing en l’air.
– Paul m’a prévenu que c’est dangereux d’exciter un mec et de ne pas le soulager.
– Oh oui, bon, c’est vrai, mais moi je sais me contrôler…
Et je m’allonge sur le lit en mettant mon peignoir sous moi. Chantal s’assied à côté de moi sur le lit et prend un peu de lotion qu’elle a aperçue sur la table de nuit pour s’en mettre sur ses mains. Je me dis qu’elle n’est pas si ingénue que ça pour me faire une petite branlette.
Elle prend ma bite qui repose sur mon ventre en disant
– Oh, c’est gros et lourd, dans un éclat de rire
De son autre main elle soulève mes couilles avant de la mettre sur base de ma bite. Puis, elle commence à faire glisser ses mains de haut en bas sur ma queue qui retrouve instantanément la raideur qu’elle avait un peu perdue au cours de son hésitation.
– Paul dit que je suis vraiment bonne pour la branlette. Déclare Chantal, avec un peu de fierté dans la voix.
– Je pense qu’il a raison, ma puce.
En effet, elle est douée la petite et ce n’est surement pas la première fois qu’elle branle une queue… Ses mains tournent quand elle les fait aller de haut en bas en s’arrêtant un peu sur mon prépuce, pour frotter mon gland et ma couronne avant de redescendre.
– Tu as une sacrée bite… Quand je tiens celle de Paul dans une seule main il n’y a que la tête qui dépasse.
Elle devient bavarde et fait des commentaires sur ma queue comme si j’étais un sujet d’étude. Je gémis un peu plus fort quand Chantal accélère le mouvement. Je dois résister pour ne pas jouir tout de suite si je veux obtenir ce que je veux d’elle.
– Désolé, dit Chantal, je bavarde et je dis des choses cochonnes, mais ta queue est si grande et j’aime l’avoir dans mes mains.
– Ooohh, surtout ne t’arrête pas, mon petit cœur, j’aime ta façon de parler, c’est bien d’exprimer ce que l’on ressent. Je suis aux anges et heureux que tu aimes ma bite. As-tu mis la bite de ton copain dans… ta bouche ?
– Humm… Oui, Dit Chantal un peu à contrecœur.
– Je parie qu’il aime ça, n’est pas ?
– ça oui ! Il adore que je lui fasse une pipe.
– Si tu veux… tu peux mettre la mienne dans ta bouche…
Mais aussitôt dit, je vois à son air que c’est une étape qu’elle n’est pas prête à franchir avec ma grosse bite et je fais rapidement marche arrière.
– Mais seulement si tu en a envie. Ce que tu me fais est déjà très agréable.
– Si je l’embrassais seulement… ça te ferais plaisir.
– Bien sûr ma chérie.
Je regarde Chantal incliner sa tête et froncer ses lèvres. Quand sa bouche entre en contact avec le bout de ma bite, je sens la douceur et la fraîcheur de ses lèvres sur mon gland, qui passe d’une couleur rose fadasse à un rouge éclatant.
– Huuummm, c’est bon…tes lèvres sont si douces. Tu peux me lécher un tout petit peu…
D’une main je caresse ses cheveux ondulés et doucement je pousse sa tête sur ma bite. Après une pause et un regard anxieux, à ma grande joie, elle baisse sa tête et ses lèvres sur le bout de mon gland, je sens sa petite langue caresser mon méat.
– AAAAAHHHhhhh…
Je n’ai pu m’empêcher de gémir et je suis au bord de l’orgasme quand j’aperçois un filet d’argent qui pend sur sa langue quand elle retire sa tête en arrière et qui se retrouve sur son menton.
– Encore mon petit chou, encore…
Je suis au bord de l’orgasme et incapable de me retenir plus longtemps.
– Serre là fort et va plus vite !
Ses mains me branlent aussi vite qu’elle peut et retombant sur le lit, je laisse ma jouissance éclater en jets continus qui retombent sur moi.
Chantal ne me lâche pas pour autant et quand mon sperme cesse de couler, je me relève sur mes coudes pour regarder Chantal qui tripote toujours de ses deux mains mon sexe ramolli.
– J’aime bien quand c’est mou et caoutchouteux comme ça,
Dit Chantal timidement, ses mains enduites de sperme qui me lâche après une dernière traction.
– Merci chérie,
Et caressant son bras plein de taches de rousseurs,
– As-tu au moins aimé me faire çà…
– Oui, déclare Chantal docilement.
– Est-ce que cela t’a excitée ?
– Euh… oui, j’ai un peu chaud aussi…
– Quand tu seras prête tu me montreras le reste de ton corps ? J’aimerais le voir.
– Peut-être bien.
– Tu sais, c’est plus plaisant quand l’homme et la femme ont du plaisir ensemble. Si tu sens quelque chose en toi, que ça t’excite, je peux te faire plaisir de différentes manières.
En lui disant tout ça je caresse ses bras et je laisse courir mes doigts dans sa touffe de poils humide sous ses bras.
– Plein de choses agréables que Paul ne connaît sûrement pas.
– Peut-être… enfin… surement.
Fut sa seule réponse.
– Bonne nuit mon cœur, Je t’aime, bébé.
– Moi aussi, Tonton. Je t’aime bien…
Dans mon lit j’essaye de lire le roman que j’ai commencé avant que Chantal n’arrive, mais mon esprit est entièrement occupé par ce qui est arrivé il y a moins d’une heure.
Je suis étonné de voir comment cette toute jeune fille occupe mes pensées et avec qu’elle docilité elle a accepté de me branler.
Si quelqu’un m’avait dit que cette tête rousse, presque maigre avec du poil sous les bras me ferait bander sauvagement, je l’aurais traité de fou.
Je me prépare à éteindre la lumière quand j’entends des pas dans le couloir. C’est sans doute Chantal qui va aux toilettes mais les pas s’arrêtent à ma porte, puis on fait toc-toc
– Jacques… Tonton…
– Oui, entre Chantal.
Elle porte une petite nuisette bleue mais son regard est un peu trouble. Je crains qu’elle couve quelque chose.
– Ça ne va pas mon petit mon cœur ? T’as un souci ?
– Quand tu m’as dit que j’étais jolie et même sexy… tu le pensais vraiment ?
– Bien sûr que je le pense, Chantal. Tu es une très belle fille, une belle jeune femme.
– Personne ne me l’a encore dit. J’aime t’entendre me dire çà. Ça me rend toute chose… Tu te rappelles que tu m’as demandé si j’avais beaucoup de poils entre mes cuisses ?
Me dit Chantal en mordant sa lèvre inférieure et en se trémoussant. Ses yeux dans les miens, elle soulève le bas de sa nuisette qui s’élève avec une lenteur exaspérante, jusqu’à ce que le vêtement soit autour de sa taille.
– Regarde… Tonton.
A suivre…
Phantome
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