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Dominant.

Dominant.



Julie.

Je l’ai rencontrée sur Internet.
Je vais enfin la voir.
Mon cœur bat la chamade alors que je monte les escaliers qui conduisent à son appartement. Je lui ai dit que j’étais un dominateur aguerri.
Que j’avais même déjà plusieurs soumises et que j’hésitai à prendre une débutante comme elle. Ça l’a excitée, elle m’a même supplié…
Si elle savait ! Ou peut-être le sait-elle, le ressent-elle mais qu’elle s’en fiche.
Elle veut peut-être juste être ma chose…

J’arrive devant sa porte. Je prends une grande inspiration. Avoir l’air assuré… Et ne pas lui sauter dessus sauvagement ni me perdre en compliments sur la beauté de ses formes. Elle doit me sentir détaché, insensible à ses charmes. Je sonne. Elle regarde par le judas puis ouvre. Elle est nue, comme je le lui ai ordonné. Elle s’écarte pour me laisser le passage. Je reste dehors à scruter son corps. Je la force ainsi à rester exposée aux regards d’éventuels voisins. Je la sens honteuse d’être ainsi détaillée et exposée au tout venant. Mais elle ne dit mot, attend mon bon vouloir sans bouger. Bon début. Je sens que cela l’excite autant que moi malgré, ou à cause de, sa honte…

Enfin je m’avance nonchalamment et referme la porte. Je glisse mon doigt le long de son flanc, effleurant son sein. Elle frémit mais ne bouge pas. Je me sens maître de son corps, cela m’excite. Je souris et l’embrasse délicatement. Elle me rend mon baiser et je sens son désir, sa fébrilité …
« – Tu as peur ? »
« – Non, Monsieur. »
« – C’est bien, tu pourrais pourtant… Dieu sait ce que je vais te faire subir… Mais tu es ma soumise, c’est ton rôle. »
J’enlève mon manteau et ajoute :
« – Je m’appelle Christophe, je ne sais plus si je te l’ai dit… Je parle à tellement de femmes… »
Quel menteur je fais…
Mais ça fait son petit effet. Elle veut répondre, se présenter elle aussi. Mais je la devance, pose mon doigt sur ses lèvres :
« – Toi, tu es juste ma salope, ce sera ton nom. »
Elle hoche la tête. Je me recule. Tourne autour d’elle, la fouille du regard. Je demande distraitement :
« – Comment t’appelles-tu ? »
« – Votre salope. »

Elle n’est pas tombée dans le piège. Je ressens une étrange fierté. Comme si je venais d’apprendre un nouveau tour à un singe savant… Ou plutôt à une petite chienne, MA petite chienne :
« – C’est bien. »
Je saisis un de ses seins et le caresse délicatement. Mon index passe sur son téton. Il est dur… J’ouvre mon pantalon et sors ma queue :
« – Suces-moi. »
Elle s’agenouille, prend mon sexe et commence à le branler. Puis elle l’avale doucement. Je retiens un râle de plaisir. Je suis le Maître, elle ne doit pas savoir qu’elle me fait du bien, que j’ai besoin de ses lèvres. Je dis d’un ton aussi détaché que possible :
« – Tu te débrouilles bien… Tu mérites de devenir ma salope. Voilà ta récompense. »
Je sors un collier et une laisse et lui passe au cou. Elle arrête alors de me sucer :
« – Merci, Christophe. »
Je dis d’un ton courroucé :
« – Appelle moi Maître. Et tu peux parler la bouche pleine, ça ne me gêne pas, ma salope. »
Elle me lèche les couilles, puis la verge, et elle l’enfourne ensuite aussi loin qu’elle le peut :
« – Efcuvez-moi, Maître. Ve fuis dévolée. »
Oh mon Dieu ! Quelle salope ! Je me retiens avec peine. Je lui caresse les cheveux. Sa langue s’active sur ma queue. Je commence à donner des coups de rein :
« – Tu as un très bon jeu de langue, ma salope. J’aime beaucoup »
« – Merfi, Maît… »
Ma bite interrompt sa phrase en l’étouffant. Elle pose sa main sur mes hanches et ouvre grand la bouche pour m’accueillir en elle. Mon sexe est raide comme rarement il l’a été. Pourtant elle l’avale sans trop de difficultés, toussotant et bavant juste quand il s’enfonce trop loin dans sa gorge :
« – Mon sexe n’est pas assez grand pour toi, ma salope ? Je suis déçu… »
« – Fi, fi, Maître. »
J’accélère le mouvement. Je saisis sa nuque et me penche légèrement en avant, tentant de l’étouffer avec ma bite. Elle reste immobile, supportant tout cela sans broncher :
« – Tu aimes mon sexe ? Réponds honnêtement ! »
Elle arrive à répondre d’une voix étouffée :
« – Voui, Maître, ve l’adore dévà … »
Le fait qu’elle se force à répondre malgré les larmes qui coulent sur ses joues et sa difficulté à respirer m’excite terriblement :
« – Bien. Alors allonge-toi par terre, maintenant. »

Je prends la laisse en main et relâche sa nuque. Elle s’exécute :
« – Voilà, Maître. »
La voir ainsi offerte me donne envie de la prendre sur le champ… Mais je suis à fond dans mon rôle maintenant…
« – C’est bien, ma salope, tu es obéissante. Caresse-toi la chatte. Lèche-toi les seins aussi. Excite-moi, donne-moi envie de te prendre. »
Elle obéit en m’adressant un regard brûlant. J’ai toutes les peines du monde à garder le contrôle…
« – Tu as envie de me sentir en toi ? Montres-moi où, ma salope. »
Elle ouvre grand la bouche et écarte son minou, sans mot dire. Très excitant :
« – Umm … Je vois … Tu vas être déçue alors. Tant pis, tu es là pour me satisfaire, pas l’inverse. A quatre pattes, vite. »
Elle fait mine d’être déçue mais je sens bien qu’elle en a envie aussi… Elle n’y avait juste pas pensé. Or le fait qu’elle se force à paraitre contrainte m’excite :
« – Voilà, Maître. Votre salope est à vous. »

Je caresse son fessier rebondi. J’écarte ses fesses et contemple son anus :
« – Il a l’air serré… Je parie que tu n’avais pas prévu de te faire prendre ainsi. Enfin pas si tôt en tout cas… Ça t’embête ? »
Elle fait à nouveau semblant de se forcer à répondre, masquant difficilement son propre désir :
« – Non, Maître. »
« – Umm … Tu as l’air d’avoir vraiment envie … Ça me couperait presque l’envie, j’ai l’impression de te faire une faveur … »
Je lui donne une claque sur les fesses, elle gémit :
« – J’hésite… Tu penses que tu le mérites ? »
« – Non, Maître. Mais j’aimerai tellement vous plaire… »
Mon gland caresse sa rondelle :
« – Umm, c’est vrai que tu ne le mérites pas… »
Je retire mon gland, contemple son arrière-train offert. Je vois que sa chatte est trempée… Je murmure :
« – Mais j’ai trop envie de toi, ma salope. Tu en as de la chance. »

Je saisis ses hanches et entre d’un coup sec dans son beau cul serré. Elle crie de douleur. Ses bras avant lâchent et elle tombe face au sol, les fesses dressées vers le ciel :
« – Tu as dis ? J’ai mal entendu … »
Je lui redonne un violent coup de hanche. Elle serre les dents :
« – Rien, Maître, excusez-moi. »
« – Ah bon. J’ai eu peur, j’ai cru que tu n’aimais pas… »
Nouveau coup de hanche, petit gémissement contenu :
« – Si, Maître. Merci, Maître. »
Je l’encule sans mot dire pendant quelques instants puis m’arrête, le sexe calé au fond de son anus :
« – Tu en veux plus, ma salope ? »
« – Oui, Maître, s’il vous plait. »

Mes doigts fouillent sa chatte, triturent ses seins :
« – Supplie-moi, alors. »
« – S’il vous plait, Maître, enculez-moi. »
« – Mieux que ça, on dirait que tu me demandes de te servir un coup à boire… »
J’ajoute, goguenard :
« – Remarque tu l’auras, ton coup à boire, ma salope… Plus tard. »
Elle dit alors :
« – Enculez-moi, Maître ! Votre chienne servile vous en supplie ! »
Je souris, victorieux :
« – C’est beaucoup mieux. Tu as mérité ma bite. »
Je l’encule à nouveau. Je tire sur sa laisse pour la faire se remettre à quatre pattes. Puis je tire un peu plus, l’étranglant et la forçant à se relever lentement. Elle pousse un petit cri de douleur et de surprise :
« – Umm, tu m’excites … »
Je sors des menottes et attache ses mains devant elle :
« – Tu vois, je suis gentil, tu pourras quand même te masser le seins et te doigter… Enfin si je t’y autorise. »
« – Merci, Maître. »
Je lui donne une claque sur les fesses :
« – Brave petite salope. »
Je m’assois par terre et la saisis par les hanches pour planter son cul à nouveau. Je lui mets alors un bandeau sur les yeux et susurre :
« – Ça devrait décupler tes sensations… »
Puis je me défoule en la pilonnant violemment. Elle crie :
« – AIIE .. Umm, oh oui, Maît … AIIIE »

Mes mains pétrissent ses seins sans ménagement. Ma langue glisse sur son cou. J’écarte ses longs cheveux, admire sa nuque :
« – Tu es belle, ma salope… »
« – Merci, Maître. »
J’arrête alors de la prendre, me relève. Elle veut faire de même mais je dis :
« – Mets-toi à quatre pattes, tu es ma petite chienne maintenant. »
Elle s’exécute :
« – Oui, Maître. »
Je fronce les sourcils et dit d’un ton déçu :
« – Ca ne parle pas une chienne que je sache … Tu n’as pas envie d’être ma petite chienne ? »
Elle jappe. Je souris. Je lui flatte la tête :
« – Brave petite chienne. »
Je ne m’occupe ensuite plus d’elle, me contentant de tenir sa laisse :
« – Bien, visitons cet appartement. »
Elle essaie de me suivre malgré son bandeau et ses menottes. Je fais mine de l’ignorer mais son air perdu m’excite terriblement. A chaque pièce où je m’arrête elle se place à mes côtés et je lui flatte le dos. Le salon : table basse, chaise, canapé. Je murmure :
« – Parfait. »
Puis la chambre, la salle de bain, et enfin la cuisine. Je me sens inspiré :
« – Viens ma chienne. »
« – Oui, Maître. »
Je m’agenouille face à elle et la sermonne :
« – Tu es ma petite chienne, tu as oublié ? Tu peux japper, gémir, mais pas parler… Tu pourras à nouveau parler quand tu seras redevenue ma salope. »
J’attends quelques secondes avant d’ajouter :
« – Là tu es ma chienne, compris ? »
Elle jappe faiblement, comme pour s’excuser. Je souris, lui caresse la tête :
« – Bien, tu es pardonnée pour cette fois… »
Je m’approche de la table. Puis je tire sur sa laisse et l’approche du pied de la table :
« – Renifles. Tu reconnais ? »
Elle obéit. Puis jappe. Elle est très douée. Pour un peu je l’imaginerai frétillant sa queue de contentement…
« – Allez, monte sur la table ! »
Elle essaie tant bien que mal de monter sur la chaise puis la table en restant à quatre pattes. Et ce malgré les menottes.
Je suis fier d’elle :
« – Mets-toi debout, ma salope ! »
« – Oui, Maître. »

Je souris :
« – Tu comprends vite, c’est bien… Hein, ma petite chienne ? »
Elle jappe. Je la regarde en rigolant :
« – Bien, ma salope, ne bouge pas. »
Je relâche la laisse, elle pend entre ses cuisses. Je tourne autour d’elle, mes doigts glissent parfois sur son corps tremblant de désir. Je m’arrête derrière elle et tire sur la laisse. Elle vient mordre son intimité :
« – Tu aimes ? »
« – Oui, Maître. »
L’humidité de sa chatte ne dément pas ses dires… Je donne de petits coups secs :
« – Plus que ma queue ? »
« – Non, Maître, rien ne surpasse la sensation de votre sexe en moi. »
« – Tu veux à nouveau le sentir en toi ? »
Je caresse son mollet, sa cuisse …
« – Oui, Maître, si vous le désirez. »
Je fronce les sourcils et dis d’un ton mauvais :
« – Non, mauvaise réponse… »

Je lui administre une violente claque sur la fesse. Elle pousse un petit cri :
« – Pardon, Maître. »
« – Allez, reformule ta réponse. Et ne me déçois pas cette fois-ci ! »
Je sens qu’elle réfléchit, qu’elle cherche ce qui pourrait me plaire. C’est excitant… Enfin elle dit :
« – Je veux sentir votre sexe en moi, Maître. Je l’aime tellement. Puis-je l’avoir ? S’il vous plait… Par pitié… »
Je souris de satisfaction, je suis excité comme rarement. J’ai très envie d’elle. Je lui donne une petite tape de félicitations sur la cuisse :
« – Bien, c’est nettement mieux. Tu vois, quand tu veux. »
« – Oui, Maitre. Pardonnez-moi, Maître. »
« – Ce n’est pas grave, tu apprends. Allonges-toi sur la table, ma salope. »
Elle s’agenouille, puis s’allonge :
« – Sur le dos, fait pendre ta tête dans le vide. »
« – Voilà , Maître. »
Je glisse ma bite dans sa bouche et commence à l’étouffer à grands coups de hanche :
« – Je veux qu’elle soit bien dure pour toi, c’est pour ça. Tu es contente ? »
Elle essaie de répondre mais la bave et mes coups de bite rend sa réponse inintelligible. Elle se contente de hocher tant bien que mal la tête en disant :
« – Umm, umm … »

Je caresse son visage, retire son bandeau, goûte sa salive et ses larmes.
Son maquillage est complètement ruiné.
Puis j’arrête mes mouvements et me penche en avant plongeant mon sexe dans sa bouche. Mes mains explorent ses courbes. J’écarte ses cuisses et admire l’humidité de sa chatte. Je la lèche délicatement :
« – Tu me veux en toi, alors ? »
« – Umm, umm … »
Je ressors mon sexe. Je tourne alors autour d’elle, mon index glissant sur son corps. Elle frémit, gémit. J’ai une folle envie d’elle. Mais je veux la forcer à briser le silence, à me réclamer… Je continue mon manège, guettant son appel.
Le fait que je sache qu’elle se retient aussi rend le jeu d’autant plus excitant… Elle écarte les cuisses et dit enfin, dans un soupir :
« – S’il vous plait, Maître… »
Je dis d’un ton distrait :
« – Umm, oui, que veux-tu, ma salope ? »
« – Prenez-moi comme une chienne, par pitié. Je veux être votre objet. »
Je réponds, pensif :
« – Umm… Non, je t’ai déjà prise comme une chienne… Là j’ai envie que tu sois ma salope. Tu en as envie aussi ? »
« – Bien sur, Maître. S’il vous plait ! »
Je résiste à mes instincts primaires… Elle va en prendre pour son grade quand je me libérerais enfin…

Je demande :
« – Décris-moi ce que tu voudrais que je te fasse, ce que tu voudrais ressentir. Donne-moi envie. »
« – Oui, Maître. J’ai envie de me sentir inférieure, votre chose. Envie que vous me preniez. »
« – Raconte-moi ce que tu vas ressentir quand je vais entrer en toi… »
« – Je vais vibrer, me sentir pleine. Je vais jouir comme jamais je n’ai joui… »
J’ai de plus en plus de mal à me retenir. Je scrute sa chatte humide avec envie. Je murmure :
« – Oh, oui, tu vas aimer… »
Je me place entre ses cuisses :
« – Redis-moi ce que tu veux, ma salope ? »
« – Je veux votre queue en moi, Maître. Je veux être votre sex-toy. »
Je relâche alors toutes mes pulsions et mon sexe entre violemment en elle. Elle est surprise mais se contente de pousser un gémissement de satisfaction. Je saisis sa gorge pour lui maintenir la tête en arrière :
« – Tu aimes, salope ? C’est ça que tu voulais ? Tu adores te faire prendre comme une pute ? »
Elle répond d’une voix étranglée :
« – Oui, Maître. Ravagez-moi, Maitre. Je suis votre pute, votre salope, votre chienne… »

Je continue à la limer sauvagement et ne tarde pas à éjaculer. Je ressors ma queue pour que les derniers jets atterrissent sur son ventre, son pubis. Elle se caresse la chatte pendant que je me finis sur elle. Je fais ensuite le tour de la table et sa langue extrait un peu plus de ma semence. Enfin elle récolte le sperme sur son corps. Parfois elle l’avale goulument, ou alors elle le glisse dans sa chatte. Je regarde son corps. Elle s’étire ensuite. Elle parait fatiguée. Je la laisse se reposer en caressant sa chevelure. Puis je tire sur la laisse et dis :
« – Allez, ma petite chienne ! Allons nous étendre sur le lit ! »

Elle jappe faiblement, puis descend à quatre pattes sur la chaise et le sol. Nous nous dirigeons alors vers la chambre. Je m’allonge sur le lit, son lit. Elle attend à quatre pattes au pied de celui-ci. Puis elle finit par se rouler en boule. Je caresse son corps. Enfin je dis :
« – Tu as été une brave chienne, viens dormir avec ton Maître ! »
Elle jappe sur un ton heureux et saute sur le lit. Elle me donne un grand coup de langue sur le visage. Je la caresse. Puis elle s’endort dans mes bras…

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