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Ma Babysitter Vanessa

Ma Babysitter Vanessa



Ma situation:

J’avais à l’époque 33 ans et divorcé. Mes enfants venaient à la maison chaque deux fin de semaine.

Habituellement je sortais pour faire des rencontres quand j’étais sans les enfants. Mais quelques fois, j’ai due prendre une Babysitter pour le samedi soir quand les enfants sont avec moi.

Je partais toujours vers 21 heures et revenais souvent vers 3 ou 4 am. Alors la Babysitter dormait habituellement dans le salon pour ensuite repartir chez-elle quand j’arrivais.

La babysitter:

Vanessa, tout juste dix-huit ans depuis quelques semaines. Aux études et en profites à ma maison pour travailler dans ses livres. Vraiment pas jolie mais avec un corps de rêve. Il se sont trompé de moule à la conception. Elle ressemble à la chanteuse Susan Boyle, cheveux frisotté, yeux ressorti, acné de fin d’adolescence. Face ronde et un sourire à fuir. Mais très gentille avec les enfants. Les enfants l’adore aussi.

Son corps: Un corps de Katy Perry. Vous voyez le genre…. Des seins galbés qui forcent l’étroitesse des chemises qu’elle portait, et de belles petites fesses bombées. Alors que sa face contrastait.

Elle était toujours disponible, c’était facile de la commander pour Babysitter.

La soirée:

Elle arrive, 20:45. Les enfants pas ne dorment pas. Elle me salue et me dit qu’elle ira lire une histoire aux enfants. Elle passe devant moi, ce qui m’expose son fessier dans un legging moulant qui me fait un effet ouf….

J’avais déjà vue, mais jamais de cette façon. Elle se retourne et me demande si ça va. Sa figure m’a retourné à la réalité… quel contraste.

Je pars pour ma soirée, de retour seul à la maison, il est 3:30 du matin. J’entre doucement sans faire de bruit. Je suis quand même triste de ne pas avoir trouvé une femme pour un bon coup.

Je vais au salon pour réveillé Vanessa comme à l’habitude. Elle est couché sur le sofa. Étendu sur le dos avec le visage enfoui dans l’oreiller. J’allume une petite lumière tamisé, j’avance pour lui touché l’épaule…. et là, je vois son legging qui moule, mais qui moule beaucoup trop son sexe. Tout ce que je vois, c’est un CAMELTOE. Sa vulve se dessine parfaitement et même une petite bosse forme l’endroit de son clitoris.

Elle dort trop bien. Je prends quelques secondes pour admirer. Je commence déjà à bander. Je regarde ses seins qui sont assez gros, mais son chemisier s’ouvre quelque peu sur le coté. J’avance pour voir, et oui, je vois le coté de son sein et son soutif en dentelle blanche. Je bande encore plus.

Je reprends mes esprits, je me lève et vais à ma chambre pour me changer en pyjama. Ouf… je débande. OK… je vais prendre un verre d’eau et je vais la réveiller pour qu’elle s’en aille. Je retourne au salon, elle n’a pas bougé, encore la même position un peu trop démonstrative sexuellement. Je sens mon pénis se raidir plus vite que tantôt. Mes phéromones sont activé à fond.

Je vais à coté d’elle. J’observe sa vulve dessiné, elle ne porte pas de sous-vêtement, c’est certain…. ouf.. je ne contiens plus, je replace ma queue qui ne veut que sortir, je sens déjà que je coule de liquide séminal. Instinctivement, j’avance mon visage vers elle, je regarde encore son sein, ou disons ce que je peux apercevoir. Je regarde vers son visage, je le vois pas et elle ne bouge pas.

J’ose descendre vers sa moule pour observé de plus près. Je suis à quelques centimètres seulement. Je hume cet odeur féminine, mélangé de parfum et d’effluve. Quel odeur de jeunesse. J’avance ma langue pour juste effleuré le tissus, sans vouloir la réveillé. Elle ne bouge pas du tout, ce qui me rassure. Je fais quelques allez-retours.

Par l’ouverture, je sors mon pénis qui veut exploser sa joie du moment. Je ne suis plus moi-même. Mes tabous ne me retiennent plus. Je vais encore vers ses seins, regarde si elle dort. J’entends une respiration assez continuelle pour savoir qu’elle n’a pas conscience de ma présence. Je vais humer maintenant l’ouverture de la blouse. Hum… sa peux sent bon. J’ose tirer la langue et touche à peine la peu de son sein. J’ai toujours mon pénis en main. Le jus translucide coule de mon méat. Je l’étend et me masturbe très lentement car je me sens près à exploser facilement.

Encore quelques coup de langue effleurés sur sa peau du sein dur. Je retourne voir le CamelToe…. que j’adore chez les femmes. Il fait assez sombre, mais assez clair pour remarqué qu’il y a un petit rond mouillé au niveau de ses lèvres vaginales. Je me dis que je dois faire attention avec ma salive pour ne pas la mouillé. Je vois encore cette petite bosse formé par son clitoris, j’y effleure ma langue. Je suis drogué par le moment. J’ose pressé quelque peu, comme si j’avais le goût d’y goûter.

Je sursaute quand elle bouge son bras qui tombe sur le coté du sofa, mais semble continué de dormir. Son bras m’a touché le coté en tombant. Ouf, je suis fou de rester là. Mais je suis trop excité. J’ai due pressé trop sur son clito. Je ne bouge plus pendant plus d’une minute, ma queue à la main qui dégouline.

Rassuré, je retourne vers sa vulve et je sens encore ce sexe moulé par le tissu. L’odeur à changé, ça sent l’excitation, le rond mouillé s’est agrandit un peu. J’y repose ma langue et insiste un peu plus ma pression. Je reprends ma masturbation lente. Ma langue veut goûter profondément ce sexe qui semble mouillé. La barrière de tissus empêche l’exploration, mais pas l’excitation. Ma langue se promène maintenant d’un peu plus bas et remonte à la petite bosse clitoridienne. J’appuie toujours un peu pour le stimuler, puis je redescend à la mouille qui traverse le legging. Un peu de son jus perle aussi au travers. Je goûte, le lèche, j’appuie doucement. Je suis en transe. J’aimerais lui sauter dessus.

Puis je l’entends soupirer fortement. Son bras se relève… je suis tout près de me faire prendre. J’ai tout juste le temps d’esquiver en bougeant sur le coté. Sa main va directement sur son sexe. Le visage toujours enfoui, elle presse sa vulve en feu et se mis à vibrer de tout son corps. En un grognement étouffé, je la vois convulsé dans cette jouissance que j’ai fait naître. J’ai juste le temps de replacer ma queue dans mon pyjamas que j’éjacule à grand coup sans même y retoucher. Je me lève rapidement sur la pointe des pieds. Je n’ai même pas fini de jouir pas saccade, mes jambes me soutiennent à peine pour me sauver en douceur vers ma chambre.

Je me suis couché dans le lit, essuyé toute cette jouissance qui à coulé le long de ma cuisse. Me demandant qu’est-ce que j’ai fait là. Je m’endors….

A mon réveil, je retourne dans le salon, elle était déjà parti. Un petit mot sur la table qui disait. Les enfants sont adorables, je viens quand vous voulez!

Erreur de français, je viens ou je reviens….. est-ce un sous-entendue !

Curieux pour La suite ?

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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