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Je m’appelle Babette en couple avec Franck depuis 25 an

Mon amie Valérie avec qui j’étais très complice connaissait chacun de mes fantasmes, Je savais que lui parler de mon envie d’un noir pouvait m’aider,
ce qui n’a pas manqué. Elle avait une connaissance à son travail qui pouvait correspondre à ma recherche : Un homme noir, la quarantaine, beau gosse d’après ce qu’elle m’en dit. Elle m’a donc proposé de pouvoir le rencontrer, ce que j’ai bien évidemment accepté.
Valérie n’étant pas du genre à tourner autour du sujet, elle s’est donné l’occasion de discuter plus sérieusement avec Joe, le beau gosse black qu’elle avait l’intention de me présenter, mais malheureusement, au cours de cette discussion, elle a appris qu’il était en couple et qu’il ne souhaitait pas une relation extraconjugale.
Valérie lui a proposé d’accepter tout de même de me rencontrer, en tout bien tout honneur, mais nous savions elle et moi que le but était de le faire dériver !.

C’est lors d’une pause de midi que j’ai rejoint Valérie et Joe au self à coté de leurs bureaux. L’idée étant de mettre tous les atouts de mon côté, il fallait que je sois sexy, que je donne envie à cet homme sérieux de faire un écart.
Petite jupe, et décolleté était donc prévus pour cette première rencontre. Valérie ne m’avait pas menti, il était vraiment beau gosse, sous son tee shirt, il semblait être taillé dans le muscle, sans vous parler de ses grosses lèvres qui évoquait un certain désir intime entre mes cuisses.
La discussion était agréable, nous en savions plus sur lui et lui sur nous, mais malheureusement, mes avances ne l’intéressaient pas, même si il a avoué être très flatté et avoir lui aussi un certain désir face à une telle proposition indécente.
Je lui ai proposé de prendre mon N° de téléphone, ce qu’il a accepté par courtoisie, tout en insistant sur le fait qu’il ne me contactera pas.

Après plusieurs semaines, c’est un vendredi en milieu d’après-midi que j’ai reçu un coup de téléphone de Joe. D’abord très surprise par cet appel, j’ai mis quelques secondes avant de comprendre qu’une porte s’ouvrait vers la réalisation de mon fantasme.
Joe a été assez direct dans ses propos, il m’a proposé de me voir en toute discrétion pour que l’on puisse prendre du plaisir ensemble si cela était toujours mon souhait.
Pour satisfaire son besoin de discrétion, je lui ai proposé de venir chez moi en lui indiquant mon adresse. Il m’a précisé qu’il sera là aujourd’hui vers 17h et qu’il ne sera disponible que jusqu’à 19h. Il ne me restait donc plus qu’une heure pour être prête à le recevoir. J’ai décidé de m’habiller de façon très érotique.
N’étant pas obligée de sortir, je pouvais tout oser pour le recevoir. Torse nu sous un haut noir transparent, une mini-jupe sans culotte dessous, des bas résilles, voilà ce qui l’attendait.

16h50, on sonne à la porte, c’est lui, il est en avance. Un sourire aux lèvres il entre, je referme la porte et je le sens instantanément poser ses deux mains sur mes hanches. Sans un mot, il m’embrasse fougueusement quelques instants.
Je me sens toute excitée, mon bas ventre se réchauffe. Il me retourne toujours sans un mot, se colle derrière moi, m’att**** les seins pour les masser par-dessus mon haut transparent.
Je sens son sexe dur contre mes fesses au travers de son pantalon. D’une main, il lâche un sein pour remonter sur mon coup et faire basculer ma tête en arrière sur son épaule. Je sens alors ses lèvres att****r mon oreille qu’il suce tout aussi goulument que lorsqu’il m’a embrassé.
J’ai ressenti un frisson qui a envahi tout mon corps. Il m’a maintenu comme cela un instant avant de descendre son autre main sur mon sexe trempé. Ses premiers mots m’ont surpris, je ne m’attendais pas à ces paroles :

« Tu es une belle salope, je vais te donner ce que tu cherches, tu vas te régaler ! »

Ayant une certaine habitude de ce genre de relation, je n’ai pas été choqué par ses mots, mais cependant, j’ai été très surprise, je ne pensais pas entendre ce type de propos de sa part.
Il a baissé ma jupe pour me la retirer entièrement. Il m’a retourné face à lui et m’a plaqué contre le mur du couloir du hall.

Il s’est mis à genoux devant moi, ses lèvres à hauteur de mon sexe. Il a écarté mes jambes, puis il a maintenu écartées mes lèvres intimes avec ses doigts pour pouvoir dégager au mieux mon clitoris. Le contact de sa langue sur mon petit bouton a provoqué une sensation très agréable dans mon bas ventre.
Il m’a caressé de longues minutes alternant baisés humides et rotations de langues sur mon sexe avant d’introduire un doigt dans mon ventre. Je n’ai pu retenir un premier cri de plaisir, j’ai pour habitude de pouvoir faire durer ces actes sexuels pour en profiter un maximum, mais aujourd’hui je n’étais sure de rien, la situation m’échappait totalement, je m’apprêtais à jouir.
L’avait-il compris ou ressentit ?.

Il s’est relever debout devant moi. Il a défait son pantalon, et l’a retiré me fixant dans les yeux. Il m’a attrapé par les hanches pour me faire faire un demi-tour. J’étais face au mur, il s’est mis à nouveau à genoux derrière moi cette fois, il a écarté mes fesses avec ses mains, et j’ai senti sa langue tourner autour de mon petit trou avant qu’il la raidisse de façon à me pénétrer avec le bout humide autant qu’il le pouvait.
Allait-il me prendre là, comme ça, debout contre le mur ?

C’est une fois mon orifice bien humidifié par sa salive qu’il s’est redressé derrière moi. Il a maintenu mes fesses écartées avec ses mains tout en pointant son gland contre mon anus pour le faire pénétrer. Au passage du gland, j’ai tout de même voulu me préserver :

« Vas y doucement, ne le rentre pas en entier ».

Je l’ai senti coulisser en moi, la pénétration était lente et paraissait interminable. Je n’avais pas encore eu l’occasion de le voir ou de le toucher pour l’examiner, mais je sentais qu’il était tel que je me l’imaginais : hors norme. Une fois le passage fait, il a entamé des vas et vient sous un rythme assez lent, non pas pour me préserver mais très certainement pour pouvoir contrôler et retenir son explosion. Je me sentais étroite, une légère douleur était masquée par ce plaisir tant attendu jusqu’ici.
Il a ensuite accéléré ses mouvements, je l’ai senti très raide et dur avant de jouir et de se détendre complètement.
Il s’est retiré, son liquide chaud dégoulinait entre mes fesses.

« Tu es surprenant, je ne m’attendais pas à ce que tu me prennes là comme ça »

« Tu m’as expliqué que tu aimais le sexe, que tu es une dévergondé. Je savais que tu aimerais, et je voulais profiter de pouvoir faire ce que je n’ose pas avec ma femme »

« C’est pour ça que tu as accepté de me voir ? Tu veux faire ce que tu ne fais pas avec ta femme ? »

« Oui, c’est ça »

« J’en conclu que tu ne l’as prend pas par derrière, debout contre un mur ?! »

« Effectivement, je ne l’ai jamais prise comme ça ma femme et une déesse « 

« Et qu’aimerais-tu faire encore que tu n’oserais avec elle ? »

« J’ai l’impression que tu veux connaitre mes fantasmes ! Je te les dévoile si tu acceptes de les réaliser, t’es ok ? »

« Même si je sais que je prends de gros risques car je ne sais pas à quoi m’attendre, j’ai envie de te répondre : Oui »

« Très bien, commence par me sucer, j’ai envie de te regarder me redonner de la vigueur »

Je me suis mise à genoux devant lui, j’ai pris son sexe dans mes mains, je l’ai d’abord masturbé un moment avant d’engloutir son gland. Il s’est rapidement raidit à tel point que je pouvais le faire pénétrer dans ma bouche que sur la moitié de sa longueur.
Il m’a attrapé par les cheveux, et il a commencé à me baiser la bouche. D’abord doucement puis énergiquement.

« Tu vois babette, ça je ne le fais pas avec ma femme, je la laisse me sucer à son rythme. Toi, je vais te baiser la bouche espèce de salope « 

Il m’a prise ainsi jusqu’à ce que je sente un jet de liquide chaud couler dans ma gorge. Il a sorti son sexe de ma bouche en tirant d’une main sur mes cheveux pour faire basculer ma tête légèrement en arrière. De son autre main il s’est masturbé en écrasant son gland sur mon visage. Plusieurs jets de spermes sont venus s’étaler sur mes joues.

C’est en essuyant son sexe sur mon visage qu’il m’a dit :
« Allez ma petite pute, nettoie moi de partout avec ta langue »

« Tu vois, les pipes avec ma femme ne se terminent jamais ainsi. Viens, allons dans ton lit conjugal , j’ai encore assez d’énergie pour te baiser la chatte maintenant. »

Nous avons baisé le reste du temps qu’il nous restait sans perdre un instant. J’ai pu réaliser mon fantasme et lui certains des siens. Il prenait beaucoup de plaisir à me dire des mots crus tout en me prenant sauvagement.

Nous nous sommes revus trois fois avant qu’il ne décide de mettre un terme à nos rencontres.
mais âpre cette aventure j’ai rencontré beaucoup de black de tout style et milieux .

Babette.

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