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LA BALADE

LA BALADE



j’aperçois Shin qui galope dans son pré à vive hâte. Le soleil levant brille sur sa robe, le rendant resplendissant et plein de grâce. Puisque je suis debout, je pense aller faire une petite balade avec lui, ce sont les rares moments où je me sens bien et à l’aise. Même s’il reste un a****l, j’ai l’impression qu’il me comprend, que nous communiquons tout les deux par la pensée, comme si nous étions connectés l’un à l’autre. Je décide de filer avaler mon bol de céréale, une coiffure rapide et je vole enfiler ma tenue. Bottes, bombe, culotte, tout est là. Lorsque j’arrive devant la barrière, Shin est encore en train de galoper au loin entre les hautes herbes. Un petit sifflement dans l’air et le voilà qui accourt vers moi, tout fringant. Les salutations se font, je le caresse de long en large et lui me rend la pareille en approchant ses naseaux près de moi. Il hennit et secoue sa crinière de joie. En le caressant, j’aperçois sous ses pattes arrière son sexe bringuebalant. Il ressemble à un énorme boudin noir qui se secoue dans tout les sens. J’esquisse un sourire mais qui est plus un rictus qu’un acte voulu. Je lui tape contre le ventre tout en lui mettant sa selle et son mors. Une fois tous les deux équipés, en route pour la promenade.Cette balade est super. Nous passons par des petits coins à nous, franchissant les ruisseaux et grimpant les petits rochers. Le vent frais du matin a été remplacé par l’air chaud, et les rayons du soleil réchauffent les champs. Arrivés dans une petite lisière, nous décidons de nous arrêter au bord d’une jolie petite cascade entre les arbres. L’eau est fraîche et pure, je m’en asperge sur le visage pendant que Shin se désaltère quelques minutes. En me retournant vers lui, je retombe nez-à-nez avec son long phallus pendant. Curieusement, je n’arrive pas à m’en détacher du regard, plus je le fixe, plus je souris. Il me vient alors une idée ; une idée peu correcte qui me fait rire doucement.Je me relève et m’approche de Shin qui mange un brin d’herbe dépassant du sol. Je lui caresse la crinière en entortillant mes doigts dedans, je glisse lentement sur son garrot avant d’arriver sur son flanc. Il hennit un peu mais reste tranquille. Petit à petit, je laisse glisser ma main sous son ventre et me rapproche de sa chose ample et allongée. Ma main tremble mais je n’arrive pas à l’arrêter, elle glisse progressivement jusqu’à atteindre la base de l’organe de Shin. Lorsque mes doigts s’apposent dessus, il a un petit mouvement brusque mais se tranquillise ensuite. Il me laisse faire. Je commence à caresser son membre, d’abord avec deux doigts, puis trois, puis ma main entière. Je l’att**** à pleine main en essayant de vagues mouvements de va-et-vient. La honte m’envahit mais l’excitation aussi, mon bas-ventre me démange, je sens comme une chaleur monter en moi. Pendant que j’astique mon étalon, mon autre main s’introduit dans ma culotte de cheval et vient chatouiller ma fleur.
Je frissonne déjà de plaisir. Shin aussi à l’air d’apprécier, il reste sagement immobile en soufflant par le nez. Au fur et à mesure que je l’astique, je sens son sexe se durcir. Sa verge se gonfle et commence à grandir sous son ventre. Il était déjà imposant au repos mais là, il grimpe jusqu’à monter au dessus des cent centimètres au moins. Il a quasiment triplé de volume et ma petite main n’arrive plus à en faire le tour. Je décide de m’agenouiller en dessous pour avoir une meilleure vue. Le sexe est maintenant dressé à son maximum, un incroyable phallus veineux et gonflé. Je me décale légèrement et me retrouve face à son gland luisant. Je l’effleure avec mes doigts et le récupère en main en recommençant à l’astiquer. La chaleur qui monte en moi est insupportable, mon entrejambe me brûle et mon corps transpire. On peut même voir une petite tâche sur ma culotte de cheval entre mes lèvres. J’ôte rapidement cette tenue mais en gardant mes bottes et ma bombe.J’approche doucement mon visage de ce membre si impressionnant, j’ai envie de le lécher. J’ai encore une petite voix dans ma tête qui me crie d’arrêter mais l’excitation est la plus forte. Sans réfléchir, je ferme les yeux et ouvre grand la bouche en m’avançant vers l’énorme gland. Aucune sensation puis, tout à coup, je le sens. L’énorme bout tout chaud dans ma bouche, il sent comme une odeur d’herbe coupée et gardée un peu trop longtemps, mais la sensation du membre contre mes joues et ma langue est incroyable. J’appose mes lèvres autour du gland et commence à le lécher comme une gourmande. Shin commence à s’agiter, il pousse des hennissements et tape des sabots. Je fais tourner ma langue autour de son gland en le branlant avec ma main tout en me masturbant de l’autre. J’essaye de la prendre plus profondément mais elle est si large que rien que le gland atteint presque ma glotte. Soudain, je le sens qui trépigne, il tape par terre de plus en plus fort. Son sexe commence à se raidir et à se secouer. Puis, sans prévenir, il déverse un énorme flot de semence épaisse et blanchâtre à l’intérieur de ma bouche. Le jet est si puissant que ma cavité est remplie en un instant, beaucoup de liquide coule au fond de ma gorge. Je me retire de suite mais l’énorme phallus continue de déferler du sperme sur mes seins à grands torrent. La semence chaude coule entre mes formes et se dépose sur les petits poils de mon entrecuisse. Lorsque ça s’arrête, j’ai le visage et le corps couverts de sperme encore chaud et visqueux, sans parler de ma bouche qui peine encore à avaler les centilitres restants.Je suis une autre fille en ce moment même. Léchant mes doigts pleins de foutre comme une cochonne, me délectant de la douce semence de mon ami. Je me laisse tomber sous lui tandis que son sexe se flétrit lentement en laissant s’échapper encore quelques gouttes de sperme. Elles viennent se déposer sur mon ventre haletant.Je contemple son pénis se ratatinant en pensant à ce que je viens de faire. Est-ce moral ? Est-ce normal ? Est-ce déviant ? En me demandant toutes ces choses, ma main se dépose sur ma fente souillée de la liqueur séminale de Shin qui s’est remit à manger de l’herbe.
Mais peu importe ce que j’en pense, j’ai adoré cette balade.

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