Amelie est la meilleure amie de ma copine. C’est une brune aux yeux noirs, toute chétive. Pas plus d’1m60 pour 50kg, pourtant sa poitrine est assez formée, et surtout ses fesses me font beaucoup d’effet.
Son copain vit à Sydney, elle le voit très peu.
De nombreuse fois je me suis carresser en l’imaginant me sucer, ou en train de la prendre. En levrette par exemple. Elle m’excit d’autant plus que ma copine m’a avoué que Mélanie me trouvait très a son gout, mais aussi qu’elle etait bisexuelle.
Aussi, un soir lorsque je rentrais de soirée et que les retrouvais toute les deux endormie dans notre lit, je me mit instantannément à avoir une erection. D’autant que la coquine portait simplement un afriolant ensemble de sous vetement jaune. Malheureusemet ma copine est moins ouverte qu’elle et Mélanie fut prié d’aller dormir dans le clic clac. Le lendemain sous la douche je me branlais en les ecoutant parler, fermant les yeux pour me souvenir des formes de la fille.
Amelie était mon fantasme numero 1 et était appellé a le rester.
Jusqu’au jour ou ma copine et moi organisons notre crémaillère.
La fête bat son plein. La musique est a fond, mes amis chantent. Plsieurs jeunes femmes dansent et l’alcool aidant je me surprend a laisser mes yeux glisser de plus en plus franchement sur les courbes de leurs fesses, qui se cambrent legerement sous leurs robes. Je devine pour certaines les sous vetement qu’elles portent. Léa porte un boxer, Marie une culotte noire. Anne me parle un instant et j’en profite pour observer l’opulence de sa poitrine.
Quelque minute de ce traitement m’ont donné une serieuse envie de conclure la chose, et je m’imagine m’eclipser avec ma copaine pour honorer ce désir comme il se doit. Dans le noir, en prenant ma copine en levrette je pourrais toujours imaginer que c’est le corps de rêve d’Anne que je fais gemir et qui se cambre dans mes mains.
Je cherche mon amie dans l’appartement. JE ne la trouve pas. C’est Amelie qui me croise. ELle me propose un shoot de tequila. Nous engageons la conversation. Je l’ecoute a moitié. Saoul et concentré sur son sourire, ses seins, sa robe qui lui moule les fesses.
Je me rend compte lui avoir demander ce qui lui manquait le plus dans la distance qui le separait de son mec lorsqu’elle me repond « le sexe ». J’ai une monté d’adrénaline. Elle est appuyé contre l’encadrement de la porte et me fixe dans les yeux. Je souris. Sert un deuxième shoot.
Elle enchaine. Elle regrette de ne pas pouvoir baiser regulièrement. Quand elle en a envie. De se retenir. « En ce moment j’ai envie de baiser tout ce qui bouge ». Elle me fixe droit dans les yeux.
Nouveau shoot de téquila.
Puis un autre.
Encore un.
Je me rend soudainement compte que Mélanie et en train de m’embrasser. La chambre est fermé, noire, sa bouche goute la mienne. Sa langue s’enfonce profondemmet dans ma bouche. Au fond j’entend le bruit de la fete.
Je bande contre son son ventre, elle le sent et me carresse a travers mon jean. J’entend la vois de ma copine qui eclate de rire. Melanie s’arrete, sourit dans le tenebre. Puis je sens sa main qui glisse dans mon caleçon, qui me cherche, me trouve, puis commence a aller et venir sur mon sexe.
Je gémis, mn sexe me semble enorme dans ses mains. Elle dit quelque chose je ne comprend pas tout de suite, mais saisi plus tard qu’elle me felicite de la taille de mon membre.
Elle me branle, je sens mon gland entre ses doigts, et sans doute ai je au fond de moi decidé de profiter au maximum de ce corps interdit. preque avec rage je saisi ses 2 seins. Les enserre, elle gemit et le pression de sa mains sur ma queue se fait plus forte. Ma langue leche le bout de sa langue, sans force, nous laissons aller à l’interdit. Une de mes mains fait comme la sienne: elle jeauge la forme de nos fesses respectives. Elles doit sentir que j’ai rever de la carresser ainsi, comme je sens qu’elle profite enfin de mon corps qu’elle a du matter plusieur fois.
A tavers sa robe j’enfonce un doigt en drection de la chaleur de son sexe. Elle gemit. Son cul est delicieux, rond, ferme, cambré alors que nous nous somme écroulé sur le lit. Instinctivement je le fesses. Une claque virile, sauvage qui la fait gémir.
Elle se redresse. Retire son haut. Je me precipite sur ses seins. Je le vois peux. Alors je les goute, les mord les leche, le petris entre mes doigts, alors que, la tête penchée en arrière, elle appuie ma tête contre eux, et carresse sa chatte contre la bosse de mon pantalon…
La musique dans la pièce s’est tue. Nous nus arretons. Puis dans u cri uni le brouhaha repars. Et la demoiselle qui son corps entre es jambe. Libere mon sexe de sa prison d’etoffe, embrasse mon gland du bout de ses lèvres, puis l’enveloppe d’une langue gourmande.
Très vite c’est ma queue entière qui s’enfonce dans la chaleur humide da sa bouche. Je gemis. Observe son cul qui se cambre. Ses yeux qui me fixe. Je tire ses cheveux machinalement. Je gémis et lâche: « Salope ».
ca la fait sourire. Sa robe a glissé sur ses genoux. Je m’aperçoit que la coquine carresse son sexe tout en branlant le mien dans sa bouche. Cette vision, depassant de loin tout ce que j’avais tant de fois imaginer, cette vision de son petit cambré offert, écarté comme si un deuxième homme devait venir, cette vision de son visage etouffé dans mes couilles me pousse a bout.
« Je vais jouir »
Elle se redresse.
Habitué a la lumière je vois que ses seins son magnifiques.
Je me demande ce qu’elle veut de moi.
Mais elle se contente de se pencher en avant, de placer ma queue entre sa paire de loche gonflée et de me branler en tirant la langue. pour que de temps à autre mon gland se carresse contre la langue.
JE me redresse our voir son cul cambré. Elle le voit. Baisse alors sa culotte pour que je vois mieux.
« Cambre toi… comme une chienne »
J’ai osé.
Elle s’execute.
La vision de son petit cul ecarté au maximum m’acheve et je jouis sur sa poitrine.
Nous nous rhabillons vite, elle essuie le sperme sur ses seins et nous rejoignons la soirée.
Aujourd’hui Amelie vit à Sydney avec son copain.
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