Je trouve ma femme sur internet
Réveil douloureux
Quelques temps après, à peine remis de ces émotions juteuses au cours desquelles j’avais eu la confirmation que ma femme était une authentique salope au bureau, une demande de « contact » sur le réseau hard xhamster attira mon attention.
Il s’agissait d’un jeune mec (affichant 35 ans et de ma ville) clamant sur son profil son attirance pour les belles femmes matures, son plaisir d’en avoir baisé une [‘ma maitresse mature’] avec photos à l’appui et où je retrouvais la même vidéo « une mature salope au bureau baisée à plusieurs ».
Feignant de ne rien avoir deviné, j’acceptais la demande « d’amitié » et j’eus accès à la totalité de son « profil » et là, un choc énorme, je trouvais des photos et vidéos de ma femme dans des positions et prises sans équivoque : sa chatte offerte, habillée en bas, porte-jarretelles ou guêpière, avec des escarpins à talons hauts sexy, sa poitrine dénudée au ras de son soutif balconnet en dentelle, suçant le gars sous le bureau ou dans l’ascenseur, se faisant prendre en levrette, debout dans un couloir ou dans les toilettes du bureau ! ou même dans les w-c d’un resto… par le jeune mec bien sûr… mais aussi à plusieurs, dans le parking, dans une chambre d’hôtel (le 5 à 7 !) et où elle se déchainait comme une méga salope, offrant sa chatte et son cul pour des doubles pénétrations d’enfer, suçant quatre ou cinq bites à la suite, se faisant arroser de foutre etc… etc…
Sûr que j’étais cocu… mais depuis combien de temps ? combien de queues énormes, noueuses, vaillantes avaient ravagé sa chatte et son cul ? oui… depuis quand se faisait-elle enculer comme une chienne, alors qu’avec moi elle n’avait jamais fait ça ? comment elle le suçait ce jeunot ? (alors qu’avec moi c’était juste une légère pipe consentie) ? comment elle se faisait prendre à plusieurs ? (alors qu’elle savait que c’était mon fantasme qu’elle n’avait jamais voulu honorer)…
Au fil des échanges (subtils et pleins de non-dits), je gagnais sa confiance et il m’avoua finalement avoir bien reconnu ma femme sur mes photos et vidéos. Puis, quand je lui confessais que mon plaisir c’était de la voir, de la savoir baisée par d’autres (devant moi ouvertement ou caché), il se lâcha enfin et me dit que cela faisait bientôt dix ans qu’il la baisait régulièrement, seul, avec des potes, avec ses collègues, avec le patron… qu’il la faisait participer à des parties à quatre ou cinq types… que plus les queues étaient grosses et la prenaient sauvagement par les trois trous, plus elle devenait fofolle, déchainée de la baise et en redemandait.
Alors, peu à peu, il me raconta des dizaines, des centaines de séances, de circonstances… j’en avais mal à la queue de lire ça ! il m’envoyait aussi des photos, des vidéos où ma salope était en action ! et quelles actions ! je la reconnaissais bien sur ces images… je la savais chaude (de temps en temps avec moi elle se lâchait un peu)… mais rien à voir avec tout ce que je découvrais au fil des jours.
Ma femme était une « bête » de sexe, effectivement la plus belle suceuse, le « meilleur coup » du bureau -sans contestation- et même au-delà. J’appris même que son patron avait réussi à décrocher des contrats avec des clients -surtout des vieux vicelards- grâce à son « intervention » et à sa tenue érotico-hard de « collaboratrice » (je vous laisse imaginer !). J’eus confirmation aussi que lui, son jeune amant, l’avait amenée dans des « lieux » où elle se prêtait à ses fantasmes (quasiment les mêmes que les miens auxquels elle ne voulait pas jouer), dans des parkings, des jardins publics, dans des magasins, au ciné porno, sur une aire d’autoroute dans les w-c et/ou avec les chauffeurs de poids lourds… tout ce que j’aurais adoré faire, elle l’avait fait avec lui et avec ses patrons successifs…
Alors, au fil des jours, récit après récit de sa part, je partageais ma femme avec ce jeune gars… qui me permettait d’atteindre des seuils de jouissance folle. Je me régalais de lire chacune de ses aventures passées qu’il avait accepté de me raconter dans le menu détail… Je l’encourageais même, je ne pouvais plus lui en tenir rigueur et, au fur et à mesure de ses récits, je devenais dingue… j’acceptais même l’idée qu’il en soit amoureux, que Jeannine soit sa mature adorée, son nirvanah du sexe… qu’elle lui fasse tout… je devenais même heureux de savoir qu’elle prenait son pied à fond… j’étais juste un peu frustré de ne pas avoir, moi, profité de ça… je lui en voulais à elle de ne pas m’avoir offert ce plaisir… mais je ne lui en voulais aucunement à lui : il avait bien eu raison de profiter d’elle, de son corps, de sa chatte, de son cul… d’avoir fait les 400 coups avec elle !
Peu à peu, le jeune gars Stéphane avait compris mon état d’esprit… il se trouva rassuré de savoir que jamais je ne lui en voudrai à lui et se livra totalement par ses récits dingues, par ses photos et vidéos (ce qui me rassurait -enfin bon !- c’était de savoir qu’elle ne savait pas qu’elle était filmée ou photographiée systématiquement et que, lui, publiait des images hard sur internet : c’est d’ailleurs ce qui contribua à nous rapprocher)…
Alors, pendant qu’il continuait à m’abreuver des « frasques » sexuelles et hardissimes de ma femme avec lui (ou d’autres), je me délectais et peu à peu germa en moi l’idée de réaliser enfin quelque chose de « grandiose »… quand ? comment ? où ? avec qui ?… l’idée avançait
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