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Le piège était parfait

Le piège était parfait



Le piège était parfait

Bonjour à tous, nouveau sur ce site je voulais partager cette expérience impensable qui m’est arrivé. Totalement hétérosexuelle et pas du tout attiré par la gente masculine je vais pourtant vivre une situation incroyable de domination totale et absolue par un maitre sans scrupule.
Tout a commencé le 22 février dernier quand j’ai été contacté par une personne disant s’appeler Fréderic Durand et me proposant une entrevue pour une éventuelle embauche d’auxiliaire de vie pour sa maman vieillissante. Il avait trouvé mes coordonnées sur le site de pôle emploi et de passage en Touraine il me proposait de le rencontrer dans une brasserie de la ville.
Je me présente donc le lendemain le samedi 23 février à 15h à la brasserie Continentale. Mr Frédéric Durand est bien présent à une table sirotant un verre de bière avec le journal L’équipe en lecture et habillé d’un beau polo de rugby au couleur de l’équipe d’Australie. Signe distinctif de sa reconnaissance. Je me présente à lui et commande un mojito sans alcool. C’est un bel homme avec un regard bleu très incisif, je lui donne en âge fin de la trentaine, début de la quarantaine.
Sans préambule, il entre dans le vif du sujet et m’explique que sa mère vieillissante perdant son autonomie et vivant dans une maison isolée dans les Pyrénées près de Pau a besoin d’une présence constante près d’elle pour l’aider dans ses tâches quotidiennes. Il me demande si je suis apte à passer un mois consécutif près d’elle, ou un peu plus, le temps pour lui, afin qu’il puisse déménager de la capitale et de revenir dans son pays natal pour s’occuper de sa maman. Il a besoin d’une personne de confiance disponible immédiatement car à l’heure où l’on se parle sa maman est tout seule ce qui lui provoque beaucoup d’inquiétudes.
Etant disponible et touché par ses explications, je lui réponds qu’il suffit juste par acquis de conscience que je demande à ma femme si elle est prête à cette longue période de célibat. Sinon je suis entièrement disponible. Très opportuniste il me tend son téléphone et m’encourage avec un large sourire :
« Alors, appelez-là » Je prends son smartphone et avant de composer le numéro de mon épouse je lui réponds : « Je partirai quand ? » Il me dit très enthousiaste : « Milieu de semaine prochaine mercredi ou jeudi le temps que je remonte sur Paris et que je vous récupère au passage. »
Ma femme trop contente que j’ai enfin l’opportunité d’un travail sur du long terme m’encourage vivement à accomplir cette longue et lointaine mission. Ayant compris la réponse de mon épouse, Frédéric Durand se lève et vient me faire une forte accolade en me disant : « Merci beaucoup vous m’ôtez une terrible épine du pied » et il ajoute : « je vous propose 2500 euros de salaire net par mois en sachant que vous serez nourris et logé cela vous convient-il ? »
Je lui réponds : « Bien sûr car je n’ai jamais été aussi bien payé depuis que je fais ce métier. » Immédiatement il me tend un papier en me demandant d’inscrire tous les renseignements administratifs me concernant pour qu’il établisse sans tarder mon contrat de travail.
Pendant ma page de rédaction il me dit : « Vous verrez ma mère est une bonne personne très facile à vivre mais il faut sans cesse être près d’elle sinon elle veut en faire trop et fini par s’épuiser avec tous les risques que cela comportent. » Et puis il conclut en disant : « Je ne vous en dit pas plus car nous aurons tout le voyage jusqu’à Pau pour en parler. »
Je lui tends ma feuille de renseignement qu’il range soigneusement dans un joli porte document marron et il me dit joyeusement : « je vous propose de prendre une coupe de champagne pour fêter notre prometteuse coopération. » J’accepte volontiers et nous voilà en train de parler de choses et d’autre en trinquant à notre réussite commune.
Quand soudain il me regarde fixement et me dit : « En vérité je suis très content du choix de ma proie, vous êtes vraiment un soumis idéal. » L’alcool commençant à faire son effet je ne comprends pas immédiatement cette allusion et je luis dis : « Que voulez-vous dire ? »
Et immédiatement continuant à me fixer intensément il me dévoile son plan pervers : « En réalité, ma mère était un prétexte ce que je recherche vraiment c’est de trouver une belle âme comme vous, généreuse et dévoué pour la transformer en complète soumise à mon service. Elle exécutera tous mes ordres, accomplira tous mes désirs, jour et nuit elle sera à mes pieds. Et je suis sûr qu’avec vous j’ai trouvé la perle rare, la dévotion dans son sens le plus exquis. »
Totalement abasourdi par cette affirmation je rétorque tout de même : « Impossible je ne suis pas attiré par les hommes ! » Et là imperturbable il renchérit : « Ce que tu n’as pas compris, c’est que tu n’as pas le choix ! La seule opportunité qui s’offre à toi c’est d’obéir sagement ! Car si tu refuses d’être ma chienne de plein grès dans ce cas je t’obligerai par la force ! Mais là ce sera bien plus douloureux pour toi. Par conséquent le fait que tu ne sois pas attiré par les hommes je m’en fous car à partir de maintenant ce qui compte c’est ma volonté et tu n’as pas d’autres choix que de te mettre corps et âme à mon service. »
Pas le temps de placer un mot qu’il poursuit :
« En plus je suis sûr que ma proposition indécente te fais un effet phénoménal et que ton sexe aimerait présentement s’exhiber fièrement de ton pantalon. » Et posant une main sur une des miennes il m’interroge ironiquement : « Je me trompe ? »
Malheureusement il avait raison depuis l’annonce de son machiavélique projet, j’étais dans une excitation sexuelle sans mesure. Et voyant mon trouble, il enfonce un peu plus le clou de ma déchéance : « Si tu me prouves que ta bite est au repos je te laisse partir ? » Et là timidement je réponds : « Non vous avez raison votre proposition provoque en moi un raz de marée de plaisir mais je ne peux pas faire cela »
Et là sûr de son triomphe il jubile : « On peut tout avec de la bonne volonté, n’est-ce pas ma nouvelle soumise ? » Ne pouvant pas sortir un mot, il rajoute :
« Je te baptise du doux prénom de Beryn, qui veut dire émeraude, en l’honneur de tes très beaux yeux verts. » Et étant toujours complétement anéanti psychologiquement et physiquement. Il m’ordonne ceci : « A partir de cet instant soumise Beryn, vous m’appellerez uniquement maître Fréderic avec le vouvoiement de circonstance, compris ? » Et là je ne peux que m’avouer vaincu et lui rétorquer : « Bien maître Frédéric »
Alors, il se lève et s’en va en me lançant ces quelques mots jubilatoires : « ma nouvelle chienne Beryn je t’informerai des suites de notre accord par sms, a très vite »
Me retrouvant seul il me faut de longs instants pour me remettre de mes émotions. Mais plus les minutes passent plus mon entendement se révolte et plus à l’inverse mes sens sont en ébullition et finalement au bout d’un bon quart d’heure j’aspire à me retrouver seul pour me donner du plaisir tant je suis fasciné par cette indécente proposition.
Maintenant je ne rêve que d’une chose c’est de me retrouver dans la maison de mon futur geôlier pour être à lui, complétement à lui, pour être sa chienne, sa chose, son esclave ce qu’il voudra.
Jamais au grand jamais une fois dans ma vie j’aurais cru pouvoir désirer un homme et pourtant je suis, une heure plus tard encore attablé dans la brasserie, totalement fasciné et ébahi par mon ressenti intérieur. Le magnétisme de mon désormais maître Frédéric a été foudroyant. Heureusement le bruit d’un sms sur mon téléphone me fait quelque peu redescendre sur Terre. Et là nouveau étourdissement de tous mes sens car c’est un message de Maître Frédéric :
« Beryn, dans l’attente de notre départ que je te confirme pour mercredi, tu devras te présenter au 12 rue Paul Nizan pour une séance de photo lundi 25 à 15 h. Tu accepteras sans condition toutes les demandes de ma photographe. Je te souhaite un bon weekend end et aussi de profiter de ta femme au maximum car elle ne te reverra pas après ton départ avant longtemps. »
Après avoir recherché quelque peu je découvre que l’adresse indiqué est une résidence d’appartement hôtel. Alors complétement envouté par tous ces événements qui se sont enchainés durant l’après-midi je réponds à mon désormais maître Frédéric pour lui faire comprendre ma totale abdication et qu’il a gagné la partie car que je serais à lui sans aucune résistance :
« Maitre Fréderic toutes vos exigences sont désormais des ordres que je vais m’appliquer le mieux possible à exécuter pour être digne de votre autorité. Bon weekend end à vous également Maître Frédéric. Servilement. Votre dévoué Beryn. »
J’avais cette impression incroyable que ce n’est pas moi qui écrivait tant cela découlait rapidement de mon mental. C’était comme si c’était mes sens qui décidaient à ma place de la tournure des événements. Je n’ai pas eu à attendre très longtemps pour recevoir un autre message de maitre Frédéric.
« Je suis complétement piégé soumise Beryn d’assister à une conversion aussi rapide de ta part. Et je n’en suis pas peu fier ! Et maintenant je compte sur ton dépassement permanent pour me rendre au centuple la confiance que je t’accorde et surtout de ne jamais me décevoir. »
Je sors enfin de la brasserie trop heureux intérieurement de cette réponse qui m’offre tant de perspectives de torrides dévotions.
Arrivé à la maison, ma femme est trop contente également que j’ai pu décrocher un job. Elle me cuisine un de mes plats préférés des calamars frais à la romaine et nous ouvrons même une bouteille de champagne. Quelle belle soirée que nous passons mais pour des motifs diamétralement opposé. Ah si elle savait ? Ce serait une toute autre chanson, mais pour l’heure nous profitons pleinement de nos joies respectives.
Mais avant que nous montions nous coucher, je simule une subite très grande fatigue pour pouvoir éviter d’éventuels ébats amoureux et pouvoir jouir pleinement de mon futur statut de soumise. Ma femme ne m’en porte pas préjudice et m’invite à aller dormir au plus vite. C’est elle qui s’occupera de débarrasser la table. Je l’embrasse tendrement et court me mettre au lit comme un enfant, pire comme un gamin.
Cette nuit-là, je suis redevenu un adolescent en me masturbant presque jusqu’au lever du jour. De bonheur je vais faire une sortie de vélo pour avoir un alibi pour les traits tirés de mon visage.
Le dimanche se passe adorablement bien toujours sous les effets hypnotiques de Maître Frédéric et de ma nouvelle situation qui se profile. Dans la matinée je reçois un nouveau sms de mon futur prince dominateur :
« Beryn n’oublie pas ton rendez-vous et surtout soit à l’heure car la ponctualité doit être la vertu des chiennes. Tu seras attendu à l’appartement numéro 7 »
Vous ne pouvez pas imaginer l’effet qu’ont provoqué ces quelques mots sur ma verge. C’est prodigieux ! Jamais je n’avais connu un état de dépendance sexuel autant marqué et en plus je n’imaginai même pas que cela puisse exister !
Je me présente bien à l’heure au 12 Rue Paul Nizan et sonne à l’interphone du 7. Une voix féminine me convie à venir la rejoindre au deuxième étage. C’est une jolie femme blonde de type caucasien qui m’ouvre la porte tout sourire. Elle me dit sans ménagement de me déshabiller rapidement car elle énormément de cliché à faire. Pendant plus d’heure elle fait des photos de moi dans toutes les positions. Debout, allongé, à quatre pattes, mettant par moment ma verge ou mon orifice anal bien en évidence. Je peux dire qu’après cette séance mon intimité n’existait plus.
En plus, j’ai dû refaire chaque position dans chaque pièce, le coin cuisine, la chambre, le salon, la salle de bain. Ma photographe n’était pas très bavarde mais surtout très exigeante. A la fin elle me dit : « Je vais maintenant prendre toute tes mensurations pour te trouver les plus belles tenues que Monsieur Frédéric souhaite. »
Ensuite, elle me demande de me revêtir en précisant ironiquement qu’elle allait faire de moi une sensuelle princesse. Elle me donne rendez-vous pour mercredi 15 h car juste avant de partir rejoindre Maitre Fréderic je devrais être épilé et maquillé comme il le désire. Je réponds : « Bien madame, je serais a votre entière disposition. »
A peine sorti de l’appartement je suis allée trouver un coin discret au bord de la rivière et je me suis donner une nouvelle fois du plaisir et j’ai mangé goulument ma semence en rêvant que c’était celle de maître Frédéric car l’idée d’être transformé en femelle m’excitait irrésistiblement.
Sur le chemin du retour je reçois un sms de Maître Frédéric qui me dit :
« Dis-moi Beryn tu veux une perruque de quelle couleur pour ta transformation en chienne ? Moi personnellement je verrais bien ma petite pute en rousse et Toi ? » Ma réponse est sans équivoque : « Maître Frédéric, vous plaire est devenue ma raison de vivre alors je serais rousse. Bonne soirée. Votre dévoué Beryn. »
Le grand jour est arrivé enfin ! On est le mercredi 27 février je viens de dire au revoir à ma femme en lui précisant que je lui dirais ultérieurement mon temps d’absence. Je me dirige avec une valise bien garni vers l’appartement Hôtel de la photographe de Maître Frédéric. L’épilation fut très douloureuse mais elle est maintenant terminée.
Vika c’est le prénom de mon hôtesse de soin et de photo, recommence une série de cliché de moi mais cette fois tout épilé. Quelle délicieuse sensation de se sentir comme cela. Je n’aurais jamais imaginé.
Ensuite séance de maquillage avec la perruque et vernis vert aux ongles à la couleur de mes yeux. Je peux dire que j’étais complètement transformé. Sans hésiter j’enfile un string blanc, une jupe courte marron et un joli chemisier blanc également. Vika est très contente du résultat et me convie à une autre séance de photo mais cette fois ci intégralement en Beryn la petite chienne de maître Frédéric.
Je reçois un sms de sa part sur le champ :
« Vika m’a adressé tes premières photos ! Tu es magnifique Beryn ! C’est comme cela que tu seras toujours avec moi désormais ! Sinon j’ai un contretemps mais Vika va te conduire dans notre nid d’amour surtout tu lui obéi comme si c’était moi. ».
Je lui réponds instantanément cachant ma déception de ces nouvelles circonstances : « Bien maitre Fréderic, je serais pour Vika comme pour vous. Votre dévoué Beryn »

Vika me dit ensuite : « Nous allons partir tout de suite car la route est longue. » Puis elle ajoute en souriant : « Tu es prête à sortir ainsi ? ». Je lui réponds tranquillement car je savais que je ne pouvais pas être reconnu ainsi travesti : « Bien sûr car je dois m’habituer dès à présent car je veux vraiment plaire à maître Frédéric. » Elle poursuit donc :
« Alors je te donne une paire de collant blanc pour que tu n’es pas froid à tes gambettes. Tu peux les enfiler le verni de tes ongles est sec. Je t’exonère des chaussures à talon pour l’instant. » Finit- elle en riant. Puis elle me tend une paire de bottine marron au couleur de ma jupe.
Enfin Vika devenant plus communicative rajoute : « De toute manière ma voiture est au parking dans le sous- sol, on y va directement par les ascenseurs, tu n’auras pas à croiser beaucoup de regards. »
Il est 19 h tapant quand nous quittons l’appartement. Nous arrivons à sa voiture une belle Opel Astra rouge sans avoir croisé un chat. Quand je veux mettre ma valise dans le coffre Vika m’interpelle en me disant :
« Tu n’en auras plus besoin désormais, il y a une grande poubelle a dix mètres sur la droite jette là-dedans car chez ton maître tu seras nourris et blanchi. » Plutôt inquiet je lui réponds : « Mais quand je vais revenir chez moi j’aurais besoin de mes habits ?
Et là elle me répond avec une franchise inquiétante : « Qui t’a dit que tu allais revenir chez toi un jour ? Car sois certaine d’une chose quand on appartient a Maitre Fréderic un jour, on lui appartient pour toujours. »
Totalement décontenancé par cette réponse je m’exécute et reviens prendre place à côté de Vika avec une grande angoisse montant en moi. Elle s’en aperçoit et me dit rassurante :
« Sois sans crainte Beryn le meilleur est pour toi ! Surtout sois patiente car plein de nouvelles perspectives que tu ne soupçonnes pas encore une seconde vont se dévoiler peu à peu. » Et là elle vient me donner un baiser sur la joue et démarre. »
A suivre

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