J’ai longtemps été fou amureux de ma meilleure amie Marie. A l’epoque elle avait 23 ans. Blonde au chvux long, petite poitrine, très mince mais cul très repondi, qu’elle moulait souvent dans des jean très serrés. Nous etions très proches et nous dormions souvent ensemble. Il ne passait rien car elle etait, elle, folle de mon colocataire. Neanmoins je connaissait par coeur tout ses sous vetement et je fantasmais et me masturbant chaque soir ou elle n’etait pas là.
Un jour elle mangeait chez nous, nous avions trop bu, elle dansait, remuant delicieusement son cul dans une robe coloré qui le mettait parfaitement en valeur. Nous étions tout les trois et elle nous aguichais franchement. Ainsi a plusieur reprise ses fesses sont venus frolé mon sexe, de plus en plus a l’etroit dans mon jean. A un moment elle a eme mis mon index dans sa bouche pour le sucer. Lorsque mon pote s’est eclipser, j’ai alors craquer et declarer ma flamme à Marie. Elle paru désolé. Mes sentiment n’etait pas les siens. Cela me cassa le moral et j’allais me coucher.
La musique et les rires, dans le salon, irent quelques minutes à s’eteindre. Et je pouvais enfin trouver le sommeil. Deçu. Cependant très vite un bruit etrange se fit entendre dans la chambre de mon pote. Puis un autre. Je compris vite et je tendais l’oreille. Puis carrement je me levais pour aller ecouter au mur. C’etait bien ça, la coquine, était en train de se faire sauter par mon coloc. L’humiliation fut terrible, une vague d’adrenaline triste dans mon echine. Pourtant, presque malgré moi je mis a me masturber en les ecoutant. Ils gemissaient, le lit grinçait et e devinait presque leur position, en tout ces le moment ou elle le suça fut très perceptible. Je jouis lorsque j’entendis la main de mon ami claquer sur ses fesses qui m’excitaient tant. Il joui sans doute eut de temps après car le silence emplit très vte la nuit.
Le lendemain soir j’etait a nouveau avec Marie. Amer je lui fit vite part de mes reproche. Elle me repondis vite, et elle avait raison, qu’elle faisait ce qu’elle voulait de son corps. Frustré, humilié je ne lachais pas l’affaire. Nous bumes encore beaucoup, puis Marie me sentant triste me proposa de dormir chez elle. Incapable de resister j’acceptais. Dans son lit, serrer l’un contre l’autre nous nous endormions, lorsque dans mon esprit vint le souvenir des gemissement e la vaille, la main qui claque, des bruit de sa bouche sur la queue de mon pote. Quasi instantannement je me mis a bander.La position etait telle que mon sexe grossissait contre ses fesses. Un instant je fut gené, puis aigre et en colère je me dit que j’avais envie de me faire plaisir. Elle vais l’air de dormir, alors par petit va et viens je frottait mon sexe gonflé contre son magnifique derrière. je me branlais litteralement contre elle alors qu’elle dormais. L’extase etait totale. Je me laissait aller. De plus en plus, usqu’a ce que j’ouvre les yeux et que je sois surpris par la position de mon amie. Très cambrée et les fesses très ecartées. Cette seule vue de marie ainsi offerte a mon plaisir faillit me faire ejaculer dans son dos. Mais je me retint. Tout se troublait dans ma t^te. Sa proposition etait evidante mais pourtant je doutais. Alors je decidais de poser une mains sur l’un de ses seins. Elle gemit. J’enserrais plus franchement ses etit poirtine, et m’etonnant de sa fermeté, et elle repondit en se cambrant plus contre mon sexe.
Je gemit a mon tour.
Je lui offre alors un doigt a sucer. Elle le prend avec gourmandise, tout en carressant mon sexe entre ses deux fesses, a trevers l’ettoffe blanche de culotte. Culotte a travers de laquelle je glisse un doigt pour decouvrir son sexe rasé, fin, et trempé. Je presente alors mon see vers le siens. Nous ne sommes meme pas deshabillée. Sa culotte est juste tiré sur le coté et mon calçon baissé. Je frotte mon gland son son clitoris alors sa langue se delecte de deux de mes doigts. Ceux que j’avais enfoncé en elle. Je vais la penetrer. M’enfoncer en elle. Lorsqu’elle se reitre. Elle va chercher des capote. Je la regarde se levé. son cul est sublime, le plus badant que je connaisse, machinalement je me branle en le regardant. Elle le voit prend une pose un peu sexy puis vient me sucer. C’est curieux de la voir ainsi entre mes cuisses. Elle se debrouille bien. Leche goulument de mes couilles a mon gland.
Elle m’enfile ensuite la capote et je la prend. millimetre par millimetre je ‘enfonce en elle. Elle ferme les yeux gemit et se cambre. Ses cuisses son relevé contre mes hanche. Elle mort ses levres. Je me retire. Puis entre plus violemment. Elle cri en ouvrant les yeux pour m’adresser un regard sauvage. Alors je repense a mon humiliation de la veille et decide de profiter d’elle. Pour moi tout seul. Alors je n’ecoute plu son corps mais seuleent le mien. J’accelère lorsque j’en ai envie, ralentie korsque je sens que je vais jouir. C’est encore trop tot. Elle, elle fixe es yeux en moi, penche sa tete en arrière ou se cambre pour se faire du bien.
Je la retourne soudainement. A quatre patte sous es assauts elle s’ecroule rapidement sur les coudes. elle cri. des mots de plaisir. elle aime ça. Je lui demande. elle repond que oui. a chacun de mes coups de queues c’est un nouveau cri. Je devient de plus en plus sauvage. Je la relève en la tirant par les cheveux. « Cambre toi! ». Elle s’execute. Je n’ai jamais vu une fille se cambrer comme ça. Son cul est magnifique. Elle m’offre son petit anus. La courbe de ses reins est sublime. Une claque part, sa fesse rougit instantannement, juste après qu’elle est crié. « Encire » dt elle. A nouveau ma mains claque sur ses fesses. JE m’aggripe a ses chveux la tire vers moi et accelère le rythme de mes reins. Elle n’est plus qu’un cri continu et perdu. Ses yeux fermés, elle mord ses levres. Sur mes couilles qui frappent son sexe je sent son humidité se rependre. Soudainement je sens alors son vagin se contracté sur ma queue. très fort, par a coup il enserre ma bite en elle. Elle jouit. Je ne bouge alor meme plus plus et laisse son sexe finir le travail pour elle. Elle crie pendant que sa chatte me masse. Et alors dans un mouvement sauvage qui lui a echaper sans doute elle se cambre comme jamais et s’inflige a elle même une fessée. Cette seule vision me met hors de moi et je me lache litteralement comme si elle n’etait plus qu’un instrument pour me faire jouir. « oh oui baise moi’ « t’es une salope hein? ». « ouiiiiii ».
Je jouis en elle. et nous nous endormons comme tant de fois.
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