J’avais à peine sept ans lorsque un jour, je tombais malade. Rien de grave mais ma tendre mère, craintive, me fit coucher avec elle ? Quelle fut sa surprise lorsqu’une nuit, me croyant endormie, elle s’aperçut que j’avais la main sur la partie qui nous distingue des hommes où, par un frottement bénin, je me procurais des plaisirs peu connus d’une fille de sept ans, et très communs parmi celles de quinze. Ma mère pouvait à peine croire ce qu’elle voyait. Elle lève doucement la couverture et e drap, elle apporte une lampe qui était allumée dans la chambre, et, en femme prudente et connaisseuse, elle attend constamment le dénouement de mon action. Il fut tel qu’il devait être : je m’agitai, je tressaillis, et le plaisir m’éveilla.
Ma mère, dans le premier mouvement, me gronda de la bonne sorte, elle me demanda de qui j’avais appris les horreurs dont elle venait d’être témoin. Je lui répondis en pleurant que j’ignorais en quoi j’avais pu la fâcher, que je ne savais pas ce qu’elle voulais dire par les termes d’attouchement et d’impudicité. La naïveté de mes réponses la convainquit de mon innocence, et je me rendormis : nouveaux chatouillements de ma part, nouvelles plaintes de celle de ma mère. Enfin, après quelques nuits d’observations attentive, on prit le parti de me lier étroitement les mains de manière qu’il me fut impossible de continuer mes amusements nocturnes.
A l’âge de neuf ans, nous nous assemblions souvent, des jeunes filles et garçons de mon âge, dans un grenier ou dans quelque chambre écartée. Là, nous jouions à de petits jeux : un d’entre nous était élu le maître d’école, la moindre faute était punie par le fouet. Les garçons défaisaient leurs culottes, les filles troussaient jupes et chemises ; on se regardait attentivement, vous eussiez vu cinq à six petits culs admirés, caressés et fouettés tour à tour.
Ce que nous appelions la guigui des garçons nous servait de jouet, nous passions et repassions cent fois la main dessus, nous la prenions à pleine main, nous en faisions des poupées, nous baisions ce petit instrument dont nous étions bien éloignés de connaître l’usage et le prix. Nos petites fesses étaient baisées à leur tour. Il n’y avait que le centre des plaisirs qui était négligé. Pourquoi cet oubli ? Je l’ignore.
Mais les aimables serpents que nous eûmes la témérité de toucher étaient encore trop jeunes, trop petits pour opérer les plaisirs dont ils étaient capables. Mais ils s’allongeront, ils grossiront, ils s’élanceront contre nous et cracheront leur précieux élixir.
Ce serpent charmant se peignait sans cesse dans mon âme et s’y arrêtait malgré moi, soit en veillant, soit en dormant. Quelquefois, tout émue, je croyais y porter la main, je le caressais, j’admirais son air noble, altier, sa fermeté, quoique j’en ignorasse encore l’usage. Mon cœur battait avec une vitesse étonnante et, dans le fort de mon extase ou de mon rêve, toujours marqué par un frémissement de volupté, je ne me connaissais presque plus : ma main se trouvait saisie de la pomme, mon doigt remplaçait le serpent. Excitée par les avant-coureurs du plaisir, j’étais incapable d’aucune autre réflexion.
Mathilde – adolescence chez ma cousine
J’avais 14 ans et je passais l’été chez ma cousine Sophie, de 20 ans, qui était avec son copain, Marc. Un après-midi, je les surpris dans une situations qui m’aura marqué à jamais.
Levant sa jupe et sa chemise jusqu’à la ceinture, elle laissa voir deux fesses blanches comme la neige et d’un ovale parfait, soutenues de deux cuisses d’une proportion admirable.
Après que Sophie se soit mise à quatre pates, quelle fut ma surprise lorsque je vis Marc, déboutonnant sa culotte, donner l’essor à un trait enflammé qui était semblable à ce serpent fatal qui m’avait attiré les reproches de ma mère ! Ce monstre avait acquis la longueur, la grosseur et la fermeté prédite par ma cousine, il me faisait frissonner. Sa tête rubiconde paraissait menacer les fesses de Sophie qui étaient devenues de plus bel incarnant. Le visage de Marc était tout en feu.
Dans ce moment, ce bourreau fit tomber une grêle de coups sur toutes les parties du corps de Sophie qui étaient à découvert. Cependant, elle ne disait mot, elle semblait être immobile, insensible à ces terribles coups, et je ne distinguais simplement en elle qu’un mouvement convulsif de ses deux fesses, qui se serraient et se desserraient à chaque instant.
– Je suis content de toi, lui dit Marc après un quart d’heure de cette cruelle discipline, il est temps que vous commenciez à jouir du fruit de vos efforts. Prosternez-vous face contre terre ; je vais, avec la vénérable tige chasser tout ce qui reste d’impur au-dedans de vous.
Marc la plaça en effet dans une attitude, humiliante à la vérité, mais aussi la plus commode à ses desseins. Jamais on ne l’a présenté plus beau : ses fesses étaient entrouvertes et on découvrait en entier la double route des plaisirs.
Après un instant de contemplation de la part de ce beau mâle, il humecta de salive ce qu’il appelait la tige et, tout en pinçant délicatement les tétons de Sophie, il commença à frotter le bout gonflé de sa tige contre les orifices de ma chère cousine.
J’étais placé de manière à ne pas perdre la moindre circonstance de cette scène : les fenêtres de la chambre où elle se passait faisaient face à la porte du cabinet dans lequel j’étais enfermé. Sophie venait d’être placée à genoux sur le plancher, les bras croisés sur le tapis et la tête appuyée sur ses bras. Sa chemise, soigneusement relevée jusqu’à la ceinture, me laissait voir à demi profil des fesses et une chute de reins admirables.
Il est embarrassé sur le choix des deux embouchures que Sophie lui présente. La prudence l’emporte sur le goût
Cette luxurieuse perspective fixait l’attention de Marc, qui s’était mis lui-même à genoux, les jambes de sa pénitente placées entre les siennes, ses culottes basses, sa terrible tige à la main. Il paraissait indécis sur la nature du sacrifice qu’il allait offrir. Deux embouchures se présentaient, il les dévorait des yeux, embarrassé sur le choix : l’une était un friand morceau mais il avait promis du plaisir, de l’extase à sa pénitente. Comment faire ? Il osa diriger plusieurs fois la tête de son instrument sur la porte favorite, à laquelle il heurtait légèrement. Mais enfin la prudence l’emporta sur le goût. »
Il l’enfile. Description exacte de ses mouvements, de ses attitudes, etc.
Je lui dois cette justice : je vis distinctement le rubicond priape de sa Révérence enfiler la route canonique après en avoir entrouvert délicatement les lèvres vermeilles avec le pouce et l’index de chaque main. Ce travail fut d’abord entamé par trois vigoureuses secousses qui en firent entrer près de moitié. Alors, tout à coup, la tranquillité apparente de Marc se changea en une espèce de fureur. Quelle physionomie ! Il tenait ses mains élevées à quatre doigts de la croupe de Sophie, sur laquelle on voyait qu’il n’osait les appliquer pour y prendre un point d’appui. Ses doigts écartés étaient en convulsion. Sa tête était baissée et ses yeux étincelaient, fixés sur le travail de la cheville ouvrière, dont il compassait les allés et les venues de manière que, dans le mouvement de rétroaction, elle ne sortît pas de son fourreau et que, dans celui d’impulsion, son ventre n’appuyât pas aux fesses de la pénitente, afin de garder pour plus tard le plein effet de son bel outil. Je vis qu’environ la longueur d’un travers de pouce du bel instrument fut constamment réservée au dehors et n’eut point part à la fête.
Je vis qu’à chaque mouvement que le croupion de Sophie faisait en arrière, par lequel le cordon se retirait de son gîte jusqu’à la tête, les lèvres de la partie de [ma cousine s’entrouvraient et paraissaient d’un incarnat si vif qu’elles charmaient la vue. Je vis que, lorsque Marc, par un mouvement opposé, poussait en avant, ces mêmes lèvres, dont on ne voyait plus alors que le petit poil noir qui les couvraient, serraient si exactement la flèche, qui semblait comme engloutie, qu’il eût été difficile de deviner auquel des deux acteur appartenait cette cheville, par laquelle ils paraissaient l’un et l’autre également attachés.
Quelle mécanique ! Quel spectacle, pour une fille de mon âge qui n’avait aucune connaissance de ce genre de mystères ! Que d’idées différentes me passèrent dans l’esprit, sans pouvoir me fixer à aucune ! Il me souvient seulement que vingt fois je fus sur le point de m’aller jeter aux genoux de Marc pour le conjurer de me traiter comme ma cousine.
« – Ah ! Mec ! Putain ! s’écria Sophie, quel plaisir ! Mets un doigt dans mon cul ! Vas-y ! Oui, je jouis si fort ! Pousse plus avant… pousse fort ! Défonce-moi !! Ah !.. Ah !… Ne m’abandonne pas ! Je sens… Je vais… VAS-Y ! OUIIIIIIIii ! Ah ! Putain ! Ma chatte ! J’en peux plus… Je meurs ! »
Quelques instant après, la belle tige se retira de son écrin laissant échapper un divin nectar que le beau Marc avait fait jaillir pour combler Sophie.
Alors que je me caressait depuis les premiers instant et que Marc sorti de la chambre, Sophie, qui avait une vue sur la salle de bain, m’avait bien ent****rçut pendant qu’elle se faisait ramoner.
Elle se dirigea d’un pas sûr vers la porte, la fît coulisser et le regard pervers et comblé se mis à genoux pour me terminer.
« – Ah ! Ma chère Mathilde, me dit-elle, prends part à ma félicité : oui, j’ai vu le paradis ouvert. Que de plaisirs, mon amie ! Laisse-moi les partager avec moi. »
Sa langue s’appliqua alors sur ma chatte déjà en feu. Je tressaillais de plaisir et je fis de même avec son écrin merveilleux. Il était tout chaud, gonflé et bien ouvert mais surtout, je pouvais boire les restes du nectar que Marc avait fait jaillir dedans elle.
« – Quel beau clitoris tu as. » En me disant cela, un merveilleux coup de langue me transporta au paradis. Elle me suivit sans tarder en poussant un râle que je n’oublierai jamais.
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