Chapitre 3
Le piège se referme !
A toutes mes excuses, à toutes mes observations et à toutes mes remarques, ils répondaient du tac au tac en faisant tomber toutes mes « fausses excuses et toutes les réticences » que j’essayais de trouver pour partir… pour m’enfuir…
Cadoré d’abord, puis aussi Karama, toutes les fois répondaient à mes excuses : « Que je n’avais pas à m’inquiéter. – Que le directeur ne le saurait pas. – Que personne ne dirait rien, ni Momo le gardien, ni Youssef l’homme d’entretien, ni leur copain. – Qu’ils allaient tout remettre en ordre et que lundi personne ne saurait rien de ce qui s’était passé. »
Naturellement, Momo et Youssef m’avaient assuré de leur silence et de leur discrétion… Cadoré et Karama me parlaient tous les deux en même temps. Ils démontaient une par une toutes mes réticences et mes excuses… A un moment donné, l’un des deux, je ne sais plus lequel avait même lancé : « – Que personne ne m’attendait. -Que j’étais seule chez moi puisque mon mari était parti en déplacement. »
Cela m’avait surprise. Comment le savaient-ils ? Avaient-ils entendu une conversation lorsque j’en avais parlé au Directeur ? J’avais pourtant toujours été très discrète concernant ma vie privée… Comment le savaient-ils ? Quelqu’un leur avait-il dit ??? Qui ?
J’essayais d’éclaircir cela avec eux et de savoir comment ils savaient cela. Mais ils avaient évité les réponses et ils avaient parlé d’autres choses. Par contre, avec mes questions je leur avais donné la confirmation que mon mari était absent… Encore une de mes bêtises…
Ils avaient donc évité les réponses et ils étaient partis sur leurs grandes théories et sur leurs coutumes africaines et dans leur village « – Où refuser une invitation gentiment donnée était une véritable insulte… – Qu’ils seraient très fâchés contre moi, etc, etc… »
Mais au fur et à mesure de la discussion, le ton des paroles de Cadoré avait changé.
Il était devenu plus directif, plus autoritaire, dominateur même…
A un moment même Cadoré, sur le ton de la plaisanterie avait déclaré :
– « De toute façon Madame, si tu veux pas boire avec nous, si tu refuses l’invitation on te laisse pas repartir !!! » Il avait dû voir ma surprise sur mon visage car il s’était aussitôt repris et il avait aussitôt rajouté : – « Il faut pas le croire Madame, on plaisante. Mais c’est vrai qu’on sera beaucoup fâchés contre vous !!! ».
Je m’étais rendue compte que je ne pouvais pas faire autrement que de boire ce fameux verre de l’amitié avec eux. J’allais donc le faire et ainsi j’en serai débarrassée.
Je me disais que plus vite j’aurai bu ce si populaire verre de l’amitié, plus vite je pourrais repartir. D’une petite voix, j’avais donc déclaré à Cadoré « Que j’acceptais de boire un verre à l’occasion de l’anniversaire de Karama, mais qu’après je partirai. » J’avais aussi rajouté « Que je ne buvais pas d’alcool. ».
Mon acceptation leur avait fait très plaisir.
Ils avaient applaudi en me disant : « Merci Madame, tu es très gentille ».
Je m’étais aussi rendu compte que mon acceptation avait eu pour effet de détendre l’ambiance dans la pièce. Ambiance et atmosphère qui étaient pesantes et électriques lorsque j’étais arrivée dans la salle de repos, qui s’était tout simplement transformée en une ambiance bon enfant et joyeuse.
Comme pour me rassurer d’avantage, Momo et Youssef m’avaient dit : « Que je pouvais leur faire confiance ; que la direction n’en saurait rien et que ce que je venais de faire était très bien… et que par ma présence et mon autorité j’avais réussi à désamorcer une situation qui était explosive et que eux-mêmes n’avaient pas réussi à le faire ; que je savais bien leur parler et trouver les bons mots ; que c’était pour cela qu’ils m’avaient appelée ; que j’avais bien fait de venir. »
Momo, Youssef et Hicham avaient amené des chaises et ils s’étaient assis en face de moi en arc de cercle autour du canapé et j’aurais dû me rendre compte que Hicham plongeait un profond regard vicieux entre mes cuisses, car ma robe remontée haut laissait apparaître ma culotte noire fine et transparente à leurs regards avertis. Hicham chuchota en arabe à l’oreille de ses deux amis, dont les yeux se mirent à briller d’un éclat salace. Peut-être leur avait-il dit qu’il avait vu ma toison à travers le nylon noir ? … je savais que ma toison était visible à travers cette culotte hyper sexy !
Cadoré s’était levé pour préparer mon verre. – « Pas d’alcool », avais-je répété.
Il m’avait répondu : – « On n’a pas grand chose, de la bière, du Gin, mais aussi un alcool de chez nous. Ce serait un honneur que vous le goutiez, d’ailleurs Karama et moi on va prendre la même chose que vous. »
L’ambiance était détendue. De nombreux pensionnaires s’étaient levés et étaient allés chercher à boire, beaucoup des bières, mais aussi du gin. Assis sur leurs chaises me faisant face, Momo, Youssef et Hicham buvaient de la bière. Certains avaient commencé à fumer. Il flottait dans la pièce comme un parfum doux. Une odeur douce de caramel s’échappait pour me titiller les narines. Cela me rappela l’odeur du tabac d’Amsterdamer que mon père et mes frères fumaient à l’époque… Je me souvenais de cette odeur plaisante dès que mon père et mes frères ouvraient leurs paquets souples.
Cadoré me tournait le dos et il préparait les verres… mon verre… Karama, mais aussi Momo, Youssef, Hicham et d’autres aussi me parlaient -pour m’amadouer ? me rendre docile ?- comme ils me parlaient et que je répondais, mon attention était prise et je ne faisais pas attention à Cadoré qui était avec d’autres en train de préparer les verres…
Avec du recul et en y réfléchissant bien, il aurait été facile de comprendre qu’ils avaient pour mission de me distraire et d’attirer mon attention pour que je ne vois pas ce que Cadoré était en train de faire… De toute façon comme Cadoré me tournait le dos et qu’il y avait d’autres jeunes autour de lui, je n’aurais pas pu voir grand chose… Mais apparemment tout avait été bien calculé et plusieurs précautions valaient mieux qu’une…
Cadoré était revenu en portant quatre verres. Le mien, le sien et celui de Karama.
Pour qui était le quatrième verre ?
Il m’avait alors expliqué que selon la coutume de leur village, pour un évènement joyeux, fête, anniversaire, naissance, les véritables amis devaient boire dans le même verre que celui à qui la fête était en son honneur.
Donc puisque c’était son anniversaire, Karama, son meilleur ami lui et moi qui leur faisait l’honneur d’assister à la fête, nous devions boire dans le même verre et totalement le vider.
« Honneur à notre invitée » avait-il déclaré
Comme j’hésitais à boire, Cadoré avait pris le verre et avait bu.
Puis il avait passé le verre à Karama qui lui aussi avait bu.
Puis ils m’avaient tendu le verre en me disant :
– « A toi Madame maintenant. C’est la tradition. C’est la coutume du village. C’est la règle chez nous. Sinon c’est considéré comme un affront… «
J’avais bu à mon tour. C’était un alcool fort, âpre, amer. Ça ressemblait à du Gin ou a de la Vodka pure sans jus de fruit.
Cadoré m’avait expliqué que c’était une boisson qui venait de leur village, boisson dont je ne me souvenais même plus le nom… « soum-soum » je crois…. mais qu’ils avaient eu de la chance de trouver dans une des épiceries africaines du quartier.
Il faut dire que dans ce quartier à très forte concentration africaine et maghrébine il y avait énormément de commerces et d’épiceries africaines et arabes.
Comme déjà je n’avais pas l’habitude de boire, je manquais de m’étouffer… Ils me dirent « Que je devais finir ce qui restait dans le verre, car on devait boire des parts égales. »
Comme ils voyaient que j’hésitais ils m’avaient pris la main et ils basculèrent le verre en disant « cul sec ». J’avais toussé, failli recracher, mais j’avais tout de même été obligée de finir mon verre…
Tout le monde avait applaudi et acclamé mon exploit… Une véritable ovation même…
Mais ce n’était que le verre « que nous avions obligation de partager »…
Il restait trois verres. Celui de Cadoré, celui de Karama et le mien.
– « Comme vous n’avez pas l’habitude de boire, et que l’alcool est assez amer, que vous les Blancs vous n’avez pas l’habitude de ce genre de boisson, je vais aller vous rajouter du jus d’orange. – Normalement il ne faudrait pas mais pour toi comme tu es gentille Madame et que tu as acceptée de te plier à nos coutumes, pour une fois on peut faire une exception pour toi Madame ».
Il s’était relevé, dirigé vers la table et il était revenu avec une bouteille de jus d’orange qu’il avait rajouté dans mon verre en me disant :
– « Goûte Madame, tu verras c’est meilleur, c’est moins amer. – Normalement on doit pas mais exceptionnellement pour toi je le fais ».
J’avais encore hésité, puis j’avais goûté mon verre… Effectivement c’était bien meilleur. Rien de comparable… C’était même bon. C’était frais et même rafraichissant… Je pouvais le comparer à du planteur, ou à du Gin avec du jus d’orange ou Vodka orange. J’avais bien aimé le goût. Nous avions à nouveau re-trinqué tous les trois, Cadoré, Karama et moi.
Les autres avaient levé leurs verres ou leurs bouteilles de bières pour faire mine de trinquer avec nous. Pendant ce temps-là je m’étais détendue, heureuse d’avoir aplani le conflit dans le foyer, et je m’étais encore plus enfoncée dans ce canapé profond, mes cuisses s’étaient un peu entrouvertes sous ma robe remontée encore plus haut et mon décolleté devenait ostensiblement impudique, mes deux globes débordant de mon soutien-gorge dont la dentelle noire était bien visible. Momo, Youssef et Hicham, qui me faisaient face sur leurs chaises, lorgnaient de plus en plus souvent entre mes cuisses ; se délectant d’apercevoir ma culotte fine et de deviner ma toison à travers le nylon et le tulle fin transparent.
Comme je m’étonnais : « -Qu’en étant musulmans, [car je savais qu’ils l’étaient pratiquement tous] ils puissent boire de l’alcool alors que la religion l’interdisait »
Ils m’avaient répondu : « -Tu sais Madame, dans les villages, les vieux ils respectent la religion, mais nous les jeunes moins. – Dans le village on se cache pour faire la fête et boire. – Alors souvent on va en ville et là tous les jeunes garçons et filles boivent, fument et dansent. -Par contre quand on revient au village là on respecte. ».
Certains avaient même rajouté :
– « Qu’il fallait qu’ils s’intègrent rapidement et qu’en France les coutumes et les religions étaient moins respectées par les jeunes ».
Momo, Youssef et Hicham avaient insisté : -« Que c’était pareil chez eux ils ne buvaient pas devant les parents mais par contre quand ils se retrouvaient entre jeunes de leur âge ils buvaient sans se préoccuper de tout ça » m’avaient-ils dit en me montrant leur deuxième bouteille de bière fortement entamée…
Nous parlions tous ensemble… Je parlais et je buvais mon verre. Sans même m’en rendre compte mon verre était vide…. Le leur aussi d’ailleurs…
Cadoré s’était levé pour aller nous resservir.
Je ne voulais pas trop mais il avait insisté encore une fois… Si bien que sans même trop m’en rendre compte, machinalement je lui avais donné mon verre vide…
Il avait rempli les verres, toujours en me tournant le dos. Les autres me faisaient la conversation pour très certainement me distraire, m’amadouer…
Mais je n’y faisais même plus attention…
Il était revenu et il m’avait rendu mon verre après y avoir rajouté du jus d’orange.
-« Je bois ce dernier verre avec vous et après je m’en vais », avais-je dit d’une voix un peu étrange inhabituelle…
– « Oui, oui, on sait tu dois partir Madame. Tu as bu avec nous, tu as respecté la coutume c’est très bien. Bois le dernier verre et après tu pars. ».
Nous avions repris la discussion tout en buvant.
C’était bon, c’était frais….
Beaucoup d’entre eux étaient en train de fumer des joints. Il flottait dans la pièce ce parfum doux, cette odeur douce de caramel, très agréable, qui était comme enivrante et étourdissante et qui me titillait les narines. Cette odeur plaisante qui comme je le disais, me rappelait ma jeunesse lorsque mon père et mes frères fumaient leurs pipes…
A côté de moi, Karama fumait son joint. Il avait passé son joint à Cadoré qui avait fumé lui aussi. J’étais entourée de volutes et de torsades de fumée mais ce n’était pas désagréable.
Cadoré et Karama se passaient mutuellement leur gros « joint ». Si bien que j’étais comme dans un nuage, entourée de fumée.
Puis Cadoré m’avait dit :
– « Tu veux essayer Madame ? Tu verras ce sont des herbes qui viennent de chez nous. »
J’avais refusé en répondant tout bêtement :
– « Non je ne fume pas et je n’ai jamais fumé de joints »….
Réponse idiote et stupide de ma part… Phrase malheureuse que je n’aurais pas dû prononcer…
Car aussitôt ils ont insisté pour que j’essaie…
– « Tu verras, essaie Madame, c’est très bon – Tu verras ça détend du stress, etc, etc… ».
Tous les autres aussi insistaient….
D’office, Cadoré m’avait présenté la cigarette devant la bouche et il l’avait faite toucher mes lèvres en disant :
– « Essaye Madame !!! Essaye Madame !!! »
Tous les autres disaient pareil…
J’étais comme enivrée, sans doute la boisson, sans doute l’odeur qui flottait dans la pièce, si bien que devant leur insistance, j’avais fini par dire de la façon la plus autoritaire que je pouvais :
– « Oui d’accord je veux bien essayer mais après je m’en vais !! »
Comme je n’avais jamais fumé de ma vie, je « fumais comme un crapaud » comme on dit…
J’avais aspiré une très grosse bouffée de la cigarette que je m’étais mise à tousser et à presque m’étouffer….
– « Attention Madame il te faut pas tirer et aspirer si fort tu vas plus rien nous laisser !!!!! »
Et trois ou quatre fois, le joint avait fait des aller retours de Karama à Cadoré en passant par moi… surtout à moi … car si j’avais pu m’en rendre compte eux aspiraient peu sur la cigarette ou faisaient semblant d’aspirer, alors que moi, novice et ignorante, et surtout naturelle, j’aspirais normalement… trop même, car je toussais beaucoup et que je manquais de suffoquer et de m’étouffer toutes les fois…
Mon deuxième verre était vide, et le joint était fini…
Je sentais que les deux garçons se rapprochaient et s’accolaient de plus en plus à moi…
A un moment, j’avais même ressenti une main sur les jambes…
La voix de la sagesse me disait : – « Que je devais partir… – Que je devais m’en aller… ».
C’était d’ailleurs ce que je leur avais dit en essayant d’être la plus convaincante et la plus persuasive possible :
– « Maintenant je dois y aller !! Je dois partir !! Je dois rentrer chez moi !! »
Contrairement à ce que je redoutais, ils n’avaient pas insisté pour me retenir et pour que je reste… Spontanément et instinctivement, j’avais refait la bise à Karama pour son anniversaire mais aussi à Cadoré en le remerciant pour tout…
Ils m’avaient juste dit :
– « Merci à toi d’être venue Madame. Tu verras tout va s’arranger maintenant. Merci d’avoir accepté de boire avec nous pour la coutume et pour Karama tu sais il fête ses 17 ans loin de chez lui et c’est dur pour lui…… »
Je m’étais levée. Mais la tête me tournait. Je me sentais mal. J’avais chaud, très chaud même… Je titubais même…
J’avais dû me rassoir… Ou plutôt j’étais carrément retombée sur le canapé entre les deux jeunes blacks. Je m’étais pratiquement affalée sur eux…
Je me sentais mal… J’avais chaud… La tête me tournait… Ma vision était floue…
J’étais comme dans un état second… presque comateux, à demi consciente…
Je m’étais entendu dire d’une voix qui ne semblait pas être la mienne
– « Que je ne me sentais pas bien !!! – Que je n’étais pas bien du tout !!!- Que j’avais très chaud !!! – Qu’il fallait qu’ils appellent un médecin !!! »
Autour de moi tout était flou et confus…
– » Madame a très chaud. Maintenant elle a soif, servez lui une bonne rasade! » m’avait-il semblé entendre dire Cadoré
Aussitôt quelqu’un s’était levé et était allé chercher une bouteille. Un verre avait été rempli à ras bord m’avait été immédiatement mis en main… Cadoré en me saisissant la main, me l’avait fait boire cul sec… Comme je m’étouffais et que je toussais pas mal de liquide débordait et s’écoulait sur mon menton et même entre mes seins.
Dans un état second, j’avais entendu Cadoré me dire :
– » Oh, comme je suis maladroit, attendez, je vais vous l’essuyer. »…
De sa grosse main noire, il avait commencé à enlever le liquide qui me coulait sur le menton… Puis sa grosse paluche était descendue le long de mon cou pour finalement arriver dans le décolleté de ma robe…
Il avait sa main carrément plongée dans l’échancrure de ma robe… Il me caressait la poitrine… à travers la dentelle de mon soutien-gorge d’abord. Puis carrément dans le soutien-gorge ensuite. Il m’avait agrippé un sein qu’il avait sorti du bonnet se mon soutien-gorge et il avait commencé à le malaxer doucement d’abord, de plus en plus fort ensuite…
Pendant que Cadoré, sa main dans l’échancrure de ma robe me triturait les seins, je l’entendais comme dans le lointain… commenter à l’assistance :
– « Putain les mecs les gros nibards qu’elle a cette salope !!! – Des véritables mamelles !!! – ça va nous changer de la petite jeune de 18 ans qu’on a baisé l’autre fois !!! – Elle a des plus gros nibards que l’autre meuf, la belle rousse qu’on a chopé au centre commercial !!! – On va bien se régaler les mecs avec cette sale pute blanche !!! »
Je restais toujours droite, avec de toutes petites protestations, presque sans rien dire, le regard dans le vide : « hé, hé, mais… qu’est-ce que vous faites ? non… laissez-moi ». Ses doigts me titillaient maintenant le téton, sous le regard lubrique de l’assistance…
Karama de son côté ne restait pas lui non plus inactif… Il me caressait frénétiquement et furieusement la poitrine d’une main, mais aussi mon ventre et mes cuisses de l’autre…
– « Servez lui encore un verre à cette gloutonne. Elle est assoiffée. Vous avez vu comme elle a descendu le premier ? » avait déclaré Cadoré.
Et aussitôt un autre verre plein rempli encore à ras bord avait fait son apparition dans la main de Cadoré… Tout en continuant à me caresser le sein d’une main, il m’avait fait à nouveau boire un grand verre d’un seul coup en disant :
– « Aller bois salope !!! Bois la pute !!!! »
Même assise sur le canapé, même pourtant serrée entre les deux complices, j’avais l’impression que la pièce tanguait devant moi… J’avais même la sensation de tituber et j’avais du mal à garder l’équilibre… Et j’étais pourtant coincée entre les deux garçons…
De même, dans mon état à demi-conscient à cause de l’alcool et du reste, je réalisais à peine la situation dans laquelle je me trouvais… situation ans laquelle je m’étais mise, de moi même par ma bêtise et par ma stupidité….
Les autres étaient hilares et ils débitaient eux aussi des grossièretés et des insultes envers moi bien entendu… mais aussi envers toutes les » Salopes de blanches qu’ils avaient baisées » comme ils disaient… De l’autre côté, Karama s’excitait et me triturait comme un malade, les seins, mes cuisses et mon ventre… et frottait sa queue contre le haut de mes cuisses.
Soudain, brutalement, tout en continuant à me triturer le seins dans l’échancrure de ma robe, de son autre main Cadoré m’avait attiré vers lui. Sa bouche avide avait cherché ma bouche. Sa langue avait forcé mes lèvres et il était en train de m’embrasser fougueusement et passionnément. Comme j’étais penchée sur Cadoré, Karama, derrière moi me tripotait les fesses en remontant ma robe… je sentais sa bite ferme et dure contre mon cul.
Puis Cadoré avait retiré la main de mon décolleté et il m’avait poussée sur Karama, qui lui aussi m’avait forcé la bouche. Il m’embrassait avidement tout en me pelotant… Ce qui n’empêchait pas Cadoré de me tripoter lui aussi…
Ils m’avaient tous les deux sérieusement entreprise. Si bien que je me retrouvais pratiquement couchée, tantôt sur l’un, tantôt sur l’autre à me faire goulûment embrasser… avec beaucoup de salive dans ma bouche… et leurs langues avides et insatiables qui me fouillaient la bouche… Leurs baisers étaient franchement répugnants, dégradants et dégoutants … Tout en continuant bien sûr à me faire brutalement triturer par les deux en même temps… Malgré mon état second je continuais néanmoins… et surtout du mieux que je le pouvais, d’éviter leurs pelotages brutaux et vicieux… Du moins j’essayais de me débattre un peu mais c’était peine perdue. J’en repoussais un mais c’était pour mieux retomber contre l’autre…
Surtout que d’autres, et en particulier Momo, Youssef et son copain Hicham étaient venus en renfort et en aide aux deux autres pour eux aussi me peloter et me palper en particulier mes jambes et mes cuisses… qu’ils écartaient. D’autres aussi avaient quitté leurs places et s’étaient approchés du canapé… « Allez les gars, on va lui faire sa fête à cette salope ».
Avec la force du désespoir, malgré mon état second et amorphe je luttais, du mieux que je le pouvais pour me défendre… J’essayais, de résister, de lutter, d’éviter leurs attouchements brutaux et vicieux… Je me débattais pour éviter leurs mains baladeuses mais aussi leurs bouches avides et je bougeais dans tous les sens. Je gigotais, je me trémoussais et me tortillais comme un ver de terre afin d’éviter leurs tripotages de plus en plus avides et affamés et surtout brutaux… J’envoyais même des coups de pieds… Du moins j’essayais d’en envoyer… mais sans beaucoup de réussite… et sans atteindre personne… Mais c’était sans aucun succès… il était trop tard !
En plus, plus je me défendais et plus je me débattais, cela avait pour effet de les exciter encore d’avantage… Ils le disaient d’ailleurs entre eux. J’entendais des moqueries et commentaires grossiers, avilissant, humiliants…
– « Putain mais elle se défend la salope !! Non, mais… – Allez ! laisse-toi faire sale pute !! » – « De toute façon plus tu te défends plus tu nous excites salope » avait déclaré Cadoré.
J’en entendais dire : – « Putains les mecs avec ce qu’on a mis dans son verre elle devrait être toute molle, toute endormie !!! C’est pas normal ça !!! ».
J’avais vaguement entendu Cadoré et Karama déclarer : – « Que cette sale pute ils ne la voulaient pas toute molle comme les autres !! – Que trop molle c’est pas marrant quand tout est mou et qu’il n’y a pas de plaisir !!! -Que ce n’était pas les mêmes cachets qu’ils avaient mis dans mon verre car les autres abrutissaient et hébétaient trop, que les meufs étaient trop amorphes et ramollies et que moi ils me voulaient plus consciente et surtout plus participante et totalement désinhibée !!! »
– « Rappelez-vous la meuf, la grosse blondasse d’une quarantaine d’année qui avait des gros nibards et qu’on avait chopée les mecs, qu’on avait draguée dans la rue et qu’on avait réussie à ramener, avec les pilules qu’on lui avait mis dans son verre, elle était tellement molle et endormie qu’elle se rendait compte de rien !!! Même quand on était à deux dans le même trou elle sentait rien. Elle réagissait même pas. Elle nous regardait avec sa gueule de conne comme si elle riait !!! »
Cette blondasse, comme ils disaient, était une voisine du foyer, pas très jolie… mais un cul attirant, un peu serré bien qu’assez gros et malgré ses grosses cuisses légèrement en X, souvent en pantalon moulant qui faisait déborder ses chairs ou marquait bien les coutures de ses culottes, donnant une irrésistible envie de lui mettre la main au cul (ce dont ne s’étaient d’ailleurs pas privés Cadoré et ses copains)… mais surtout une imposante poitrine (plus que la mienne peut-être!) qu’elle ne se gênait absolument pas de montrer, soit par des décolletés très plongeants sur un soutif corbeille qui dévoilait parfois ses tétons, soit par des tee-shirts moulants qui eux faisaient saillir ces tétons sous le nylon.
Oui les autres s’en rappelaient très bien puisque certains avaient rajouté en riant : – « Même quand on l’avait fistée avec le bras jusqu’au coude, elle réagissait même pas !!! » – « Elle avait pourtant le cul qui saignait cette sale pute !!! – Quand on l’a balancée dans la ruelle après lui être tous passés dessus, elle s’était même rendu compte de rien !! ». – « Et sûr que quand les clodos l’ont chopée après nous elle s’en est même pas rendu compte non plus !!! » avait rajouté un autre…
– « Et les autres gonzesses plus jeunes aussi elles se rendaient pas compte quand on les niquaient et leurs trous serraient même pas !!! » Certains s’amusaient à raconter, à se rappeler et à se remémorer leurs exploits…
J’étais terrifiée et horrifiée par tout ce que j’entendais … dans un état second. C’étaient des véritables sauvages et j’étais terrorisée par leur haine et par leur comportement…
Surtout lorsque j’avais entendu Cadoré déclarer en parlant de moi :
– » Elle, cette sale pute, elle je veux qu’elle se rende bien compte de tout !!! – Je la veux pas molle et je veux que ses trous nous serrent bien la bite !!! Avec ces nouvelles pilules vous allez voir elle va être totalement désinhibée, elle sera complètement consciente et elle se rendra compte de tout !!! Ce sera notre cadeau de départ !!! »
-« Ouais, ouais, pas molle, consciente de sentir nos bites dans ses trous, comme la rousse du supermarché… celle-là on l’avait bien mise et elle les avait senti passer nos queues… »
-« Ouais, et même que c’était super bon de sentir répondre son cul et sa chatte, de l’entendre gueuler quand on la prenait à deux et de bien la sentir réagir quand on lui à déchargé des litres de foutre dans ses trous »
Alors, Cadoré devint menaçant, sa voix désagréable et violente à mon égard :
– « C’est ta faute si on a pas eu les papiers!!! – Avec la vieille avant toi tout le monde avait les papiers!!! – – Avec toi on a rien eu !!! – On le sait tu l’as fait exprès !!! – La vieille nous l’avait dit que tu savais pas travailler et que tu étais raciste en plus !!! – » Ca fait des mois que tu joues la gentille avec nous et que tu nous allumes aves tes grosses mamelles et avec tes tenues de sale pute blanche!!! », avait rajouté Karama. – « Tu vois, à cause de toi on va tous repartir au bled. Mais avant on va te laisser un souvenir de nous !!! – Tu vas en avoir des bites noires dans tes trous ! Sale pute !!! » avait rajouté Cadoré…
Et tous les autres avaient acquiescé et approuvé en m’insultant, en m’injuriant et en applaudissant… « Ouais, on va tous lui passer dessus à cette salope »
Cadoré et Karama me disaient tout cela de façon bien vicieuse et horrible. Ils prenaient plaisir à me terroriser, à m’humilier…. Et j’étais effectivement terrorisée, horrifiée et paniquée par tant de haine, de méchanceté et de colère….
Puis ils avaient recommencé à me peloter de plus belle… A force de lutter, de me défendre comme je le faisais, avec l’énergie du désespoir, je commençais à me fatiguer et mes forces commençaient à me manquer. J’étais triturée, j’étais palpée, pelotée, malaxée avidement et sauvagement par un nombre incalculable de mains brutales. Mes cuisses, mon ventre, mes fesses, ma poitrine, tout y passait… des doigts s’enfonçaient dans ma chatte, dans mon cul, avec brutalité, pas le moindre morceau de mon corps n’était épargné…. Et toujours ces baisers répugnants et ces langues qui forçaient ma bouche…
A ce rythme là, malaxée et tripotée comme je l’étais, et en me débattant comme je le faisais, en gigotant dans tous les sens pour éviter leurs attouchements et leurs tripotages, en envoyant des coups de pieds, ma petite robe d’été remontait de plus en plus sur mes cuisses, et les boutons qui la tenaient encore fermée par le haut, avaient commencé à céder les uns après les autres… défaits par des mains vicieuses, perverses mais aussi bestiales… et habiles. Ils avaient défait tous les boutons du haut et du bas.
J’avais maintenant la robe ouverte jusqu’au nombril. Ils n’avaient laissé qu’un seul bouton et ma ceinture encore nouée. Ma robe ne tenait que par ce seul bouton, situé au niveau du nombril et par ma ceinture… Elle était ouverte amplement, dévoilant mon soutien-gorge noir à balconnets en fine dentelle noire, qui faisait encore plus ressortir mes seins et qui contrastait avec la blancheur et la pâleur de la peau de mes gros globes blancs (mon 100D) qu’ils avaient extirpés au-dessus de la dentelle… et ma petite culotte assortie en dentelle et tulle noire, hyper fine où l’on pouvait deviner la fine toison blonde de ma chatte par transparence… qu’ils avaient (mais qui ?) déjà bien triturée.
Les jeunes regardaient, les yeux écarquillés, qui semblaient leur sortir des orbites… le spectacle qui se présentait à eux…. Une bourgeoise, bcbg, un peu précieuse, bien que beaucoup négligée avec le traitement que j’avais subie… avec une robe qui ne tenait que par un bouton… dévoilant pratiquement toute son anatomie, ses seins lourds et son sexe avec ses fins poils blonds…
Puis dans un lourd silence pesant, d’un geste presque solennel et cérémonieux, Cadoré avait défait la ceinture qui maintenait encore ma robe… solennellement, comme officiellement, il avait proclamé et annoncé à Karama, mais aussi à toute l’assistance : – « Tiens mon Frère, puisque c’est ton anniversaire et comme c’est la fête aujourd’hui, à toi l’honneur de défaire le dernier bouton de la robe de cette sale pute blanche !!! ».
Ce que le jeune Karama avait fait sans se faire prier…. J’avais à présent la robe totalement ouverte. J’étais apparue en sous-vêtements devant eux…
Il y avait eu un lourd silence pesant. On aurait pu entendre une mouche voler…
Les jeunes étaient comme hypnotisés. Ils paraissaient tous fascinés, éblouis par le spectacle que je leur offrais… Ils en oubliaient même de me peloter… Mais cela ne dura pas….
Mes seins étaient sortis du soutien-gorge… Ils étaient malaxés, triturés, palpés sans ménagement… Ils étaient maltraités, écrasés, broyés, sucés, griffés, mordus même… Ils tiraient sur mes mamelons comme s’ils voulaient les arracher… Karama avait sorti son sexe sans que je m’en rende compte… Il m’avait saisi le poignet, il avait mis ma main sur sa bite… et il m’avait obligée à le toucher et à le caresser…
Il y avait des rires, des cris, des commentaires, des moqueries, toutes plus obscènes, sordides et ordurières les unes que les autres. Toutes plus avilissantes et humiliantes. Certains des mecs, beaucoup d’ailleurs avaient eux aussi commencés à sortir leurs sexes.
Cadoré m’avait obligée à tourner la tête et il m’avait fait pencher sur le sexe de Karama… en me disant : – » Regarde la pute le cadeau qu’on a pour toi !!!!! »
J’avais eu un mouvement de recul et j’avais été stupéfiée et effarée par l’énormité de la chose… Long, énorme, démesuré, gros, veineux et circoncis…
Cadoré avait ajouté en riant : – « Tu es surprise !!!! T’inquiètes toutes le sont lorsqu’elles le voient !!! – Mais le plus dur sera quand il sera dans tes trous de chienne !!! – « Oui tu vois trente centimètres et huit de diamètre !!! Tu va être comblée sale pute !!! »….
Puis ce fut au tour de Cadoré de me saisir le poignet afin de m’obliger à mettre mon autre main sur son sexe… Comme son copain tout à l’heure, ce fut au tour de Karama de me pousser et de me faire retourner vers son copain…en me disant : – « Regarde un peu celui de mon potos !!!…- Il est comme le mien !!! »
Je regardais avec horreur et surtout avec stupeur et effarement le sexe de Cadoré… Exactement le même que celui de son copain…. Enorme, démesuré lui aussi…
Là encore, voyant sans doute sur mon visage mon étonnement et ma consternation devant la monstruosité et la bizarrerie de cet engin, Cadoré avait rajouté en riant et en se moquant :
– » Oui tu vois avec mon pote on est comme deux frères jumeaux question sexe !!! – A quelque chose près ils sont les mêmes !!! – Le mien est peut-être un peu moins long mais il est plus gros !!! » – Dans notre village on est tous comme ça !! – « Tu verras quant tu les auras tous les deux ensemble un dans ta « schneck » (c’est comme ça qu’ils disent chatte)… et l’autre dans ton « boule, fion » (c’est comme ça qu’ils disent cul)… Tu nous confondra tous les deux et tu ne pourras pas dire lequel de nous deux et dans ta « schneck » ou celui qui est dans ton « fion et dans ton boule »… !!! »… »
Karama, lui avait rajouté, la voix pleine de haine, de méchanceté et d’agressivité : « -Sale pute blanche quand on sera tous les deux ensemble dans ton même trou, dans ta schneck ou dans ton fion on va te démonter, on va te démolir !!! »
Et les autres hyper excités avaient rajouté en riant et en se moquant : – « On va la déboiter la pute !!! – On va lui casser le fion !!! -On va lui démolir tous ses trous à cette salope !!! »
Dans mon état second, je compris malgré tout que là, maintenant, j’allais passer un sacré quart d’heure (enfin, plus qu’un quart d’heure…)
Prenant le relais de Cadoré en termes d’autorité, ce salopard de Momo (il avait bien caché son jeu celui-là!) me tira du canapé et me fit mettre debout au milieu de la pièce devant tous les jeunes gars surexcités qui se massaient la queue en me regardant. Comme j’étais plus qu’un peu « bourrée » à cause des verres, de ce qu’ils avaient mis dans mon verre et du joint, je titubais debout au milieu des mecs. Ma tête tournait d’autant plus qu’ils me firent tournoyer, ma robe grande ouverte sur mes dessous noirs : un « Olé ! » tonitruant se fit entendre et retentit à mes oreilles comme le signal de la ruée sur la femme blanche.
Puis j’avais entendu quelqu’un déclarer dans l’assistance, je crois que c’était Youssef ou Hicham : – « Bon on a assez rigolé les jeunes !!! – Ça a assez duré ! – Il faut la foutre à poil cette salope et la niquer !!! »
« ouais, ouais, ouais, … à poil la salope, on va tous la niquer »
Conne, piégée, je me retrouvais au milieu de la pièce, badée par une assistance de jeunes blacks et arabes qui masturbaient leurs queues en me regardant avidement et en proférant des invectives salaces : « viens, prendre ma queue salope » … « tu l’as vue la mienne ? »… « on va te choper par tous les trous » … etc, etc…
Ma petite robe d’été avait été tirée en arrière je ne sais plus par qui, elle avait glissé de mes épaules… et elle avait été jetée sur le sol… J’étais apparue en soutien-gorge et en culotte devant eux… dans mes beaux dessous sexy ! des sifflements et des « ouaouh », des commentaires salaces [« putain les beaux dessous de salope ! » ; « elle est venue pour se faire tirer » ; « je vais lui arracher tout ça moi »] accompagnèrent cet involontaire streep-tease.
Sous les ordres de Momo et sous les vivas des jeunes blackos et arabes, Youssef et Hicham m’enlevèrent mes sous-vêtements noirs. Ce salaud de Hicham avait fait glisser ma petite culotte noire et transparente le long de mes jambes, le long de mes cuisses, jusqu’à mes chevilles, me caressant et paluchant sans vergogne au passage. Ma culotte avait fini par terre… à mes chevilles… Sans aucune résistance de ma part, tellement j’étais devenue docile puisque « saoule et droguée », Hicham souleva lui-même mes jambes l’une après l’autre pour l’ôter complètement… Il montra ma culotte à toute l’assistance comme un trophée, il la renifla, lécha le fond puis il enfila prestement ma si belle culotte dans sa poche et la garda…
Pendant ce temps, Youssef s’était occupé de mon soutien-gorge. Il l’avait dégrafé, il l’avait fait glisser les bretelles du soutien-gorge sur mes bras et il me l’avait complètement enlevé… Mes gros seins lourds étaient tombés. Dans un réflexe et dans un sursaut de pudeur, j’avais joint mes deux mains sur ma poitrine pour cacher mes seins et ma nudité… geste dérisoire. Mais on m’avait très vite tiré et maintenu mes bras en arrière pour que j’offre à tous la vision de ma grosse poitrine…
Momo -en ‘chef’- réclama mon soutif à Youssef. Comme Hicham pour ma culotte, il le sentit, palpa la dentelle et il l’examina en criant : « Putain les mecs c’est du 100 D qu’elle se paye cette salope !!! Putain les grosses mamelles, on va se régaler les mecs !!! » Et il le conserva comme trophée en l’enfouissant dans son pantalon contre sa queue. Je me retrouvais entièrement nue -enfin, juste avec mes sandales à talons compensés me donnant une cambrure sexy, rehaussant mon cul- au milieu d’une trentaine de mâles en rut qui voulaient tous me prendre ! Momo, Youssef et Hicham (celui-là je ne le connaissais pas depuis longtemps mais lui, il avait vite fait connaissance avec mon corps car il me paluchait de toutes parts) me firent tourner sur moi-même, montrant mes seins qu’ils soulevaient et faisaient balloter, palpant et tapotant mon cul, doigtant ma chatte et ma toison du bout des doigts… Ils faisaient monter la tension dans l’assistance !
« Allez Momo, renvoie nous-la cette pute ! on va lui donner de la bite » cria Cadoré
Et Momo, ce traitre en lequel j’avais confiance, me balança (comme de la chair d’esclave sexuel) violemment sur le canapé, où je fus saisie vigoureusement par les quatre mains de Cadoré et Karama qui m’attendaient bites énormes tendues vers le ciel.
La grande soirée allait commencer…
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