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Odile 2

Odile 2



Le lendemain soir, toute la famille était réunie devant la télévision dans le salon. Seule Renée se trouvait assise dans le fauteuil alors que Odile et les enfants s’étaient assis dans le canapé. Le film était rasoir et François demanda à sa mère s’il pouvait mettre un autre film. Avec son accord, il se leva et alla chercher son film X dans sa chambre. Il revint et glissa la cassette dans le magnétoscope. Il appuya sur lecture, l’image mit une seconde à se stabiliser, puis une femme était entrain de sucer un gros membre à l’écran.
Ouah ! dit Antoine. Maman, tu me fais comme hier ?
Il faut demander à mamie si cela ne la dérange pas…

Renée, interdite devant les images qui passaient devant ses yeux, ne sut que dire. Antoine sortit son sexe encore mou et se débarrassa de ses vêtements en un éclair, suivi par son frère. Odile, assise dans le canapé, était entourée de ses deux enfants nus. Elle prit en main ces deux bites et commença à les branler doucement. Sous cette caresse, les deux ados de tordaient de plaisir. Renée sentait son vagin commencer à mouiller. C’était immoral mais elle commençait à avoir envie d’une bite elle aussi. Elle vit sa fille prendre délicatement le gland de Antoine en bouche. Celui-ci poussa un soupir de plaisir en fermant les yeux.
Ni tenant plus, elle se leva et s’approcha de la bite de François qui avait lui aussi les yeux fermés. Doucement, elle posa ses lèvres sur le gland violacé de plaisir et absorba le membre jusqu’aux couilles.

Oh, maman, comme c’est bon…souffla François, sans savoir que c’était sa grand-mère qui le suçait.

Il ouvrit les yeux et vit les cheveux gris qui montaient et descendaient le long de son sexe. Il sourit, content qu’une autre partenaire féminine vienne partager les joies de sexe. Renée ne s’y prenait pas aussi bien que sa mère pour le sucer, mais le plaisir de l’interdit lui faisait décupler son excitation. François retira son sexe de la bouche de sa grand-mère et lui dit :

Déshabille-toi, que je te vois à poils…

Fermant les yeux, Renée se redressa et commença à retirer tous ses vêtements. Dès qu’elle fut nue, elle attendit debout les prochaines consignes de François.
Ses gros seins pendaient sur son ventre. Ses auréoles, sombres étaient petites mais ses bouts de couleur noirs étaient énormes. Son bas-ventre était bombé. Son nombril disparaissait sous deux plis de graisse. Des boucles grises envahissaient son entrecuisse. Antoine, Odile et François regardaient Renée finir de se mettre nue, bataillant avec sa culotte au niveau de ses mollets. François fit le tour de sa grand-mère, soupesant un nichon, caressant une fesse.
La pauvre femme attendait que du plaisir depuis toutes ces années.

François prit le sein gauche et le porta à sa bouche. Il suça doucement le bout, aspirant tendrement la chair fragile. En deux coups, du liquide lui arriva dans la bouche. Il se retira et interrogea Renée du regard :

C’est du lait, dit-elle, j’ai eu un problème d’hormone récemment et de ce fait j’aurai en permanence du lait dans mes seins…
Mais, il te faut l’évacuer ?
C’est ce que je me fais régulièrement sous la douche, sinon, j’ai mal aux seins.
Désormais, c’est nous qui te trairons ! Dit François.
Si tu veux…
Antoine, vient, on va traire mamie…

En rigolant, Antoine se leva et s’approcha d’eux. François la fit asseoir sur la banquette du canapé, et posa sa tête sur ses genoux et poursuivit sa tété. Antoine s’occupa de l’autre mamelle et la pauvre femme se retrouva avec deux bouches entrain de lui aspirer le lait.

Odile, pendant ce temps, s’est débarrassée de ses vêtements et se caressait la chatte en les regardant. Antoine sortit un des bouts turgescents de sa bouche et en appuyant sur le mamelon, fit gicler un filament de lait sur le tapis. François fit de même et Renée aspergeait le tapis avec ses seins à cause des garçons.

Après avoir joué avec les mamelles de la grand-mère, chacun d’eux se dirigea vers une des femmes. François allongea Renée sur la banquette du canapé. Elle écarta ses jambes grasses et François vint frotter son gland contre les lèvres brunes humides. Il poussa un peu et réussis à entrer son gland. Puis d’une profonde poussée il s’enfonça au fond du sexe.

-Ooooh ! couina Renée.
Renée était heureuse de sentir ce sexe de mâle la posséder pleinement même si c’était immoral. François s’agita dans son sexe et elle se sentait défaillir tellement elle appréciait.

Antoine avait pris le sexe de sa mère et la pistonnait joyeusement. Elles étaient allongées toutes les deux côtes à côtes sur la banquette du canapé, les jambes relevées. Leurs gros seins bougeaient sous les coups de boutoir des deux mâles.
Renée regarda sa fille et lui dit :
Qu’est-ce qu’ils nous font du bien, tes enfants…

Odile ne répondait pas, les yeux fermés par l’intense plaisir qu’elle prenait à ce moment-là. Soudain, après quelques minutes, elle sentit son fils se retirer et la tourner, et lui mettant ses genoux à terre, sa poitrine écrasée sur la banquette. Du coup de l’œil, elle vit que le corps lourds de sa mère avait prit la même position.
Son fils se renfonça dans sa cramouille et continua à la baiser à longs traits. De nouveau elle se sentit entrain de perdre contact avec la réalité, obnubilé par le plaisir croissant inondant son bas-ventre.

Alors qu’elle atteignait son apogée, Antoine se retira et partit sur sa grand-mère. Elle accueillit la queue de François qui lui perfora d’un coup son sexe mouillé. La cavalcade se poursuivit durant une bonne demi-heure, les deux enfants s’échangeant mère et grand-mère.

Ce fut Odile qui jouit la première sous les assauts de Antoine, suivie par Renée.
Mes les deux ados n’ayant pas jouis, proposèrent autre chose :

On aimerait faire comme dans le film…
C’est-à-dire ? demanda Odile encore essoufflée par son orgasme.
On voudrait essayer par l’anus…

Odile refusa net. Renée n’ayant pas manifesté une quelconque approbation fut allongée de côté sur la banquette du canapé, et François la pénétra dans son sexe. Après quelques allers et retours qui ont lubrifié son sexe, François présente son gland à l’entrée des fesses grasses de sa grand-mère.

Doucement…souffla-t-elle.

François poussa doucement et sentit son gland forcer puis s’enfoncer dans le conduit étroit. Il y rentra d’un coup sec, jusqu’aux couilles malgré le cri de la pauvre femme.
Aïe ! Tu me déchires ! Doucement…RHAAAAAAAA ! Ne bouges plus !

François, excité comme un âne était satisfait de sa prestation. Sa grand-mère était à sa merci. Antoine la voyait fermer les yeux sous la douleur et il vit deux larmes perler et dégouliner le long des joues. François essaya de se retirer, mais sous les hurlements, il maintint sa position. Antoine s’approcha et tendit son sexe à la bouche de Renée, qui le refusa à deux reprises avant de le prendre en bouche.

Et bien, mamie, tu n’en as jamais prise de bite dans le cul ? demanda François, arrogant. Je ne vais pas rester comme ça…Il va falloir que je te ramone pour venir et calmer ta douleur…
Ne bouges pas, attends…dit Renée en sortant le sexe de son frère de sa bouche. Tu pourrais me caresser ma chatte, toi, dit-elle à Antoine.

Il sortit sa queue luisante de mouille de la bouche de Renée et caressa ses lèvres intimes et mouillées. Il posa son gland sur l’entrée de son vagin et introduisit son sexe dans le sien.

Oooooooooh ! cria-t-elle .

Antoine donna de furieux coups de reins dans cette vieille chatte poilue arrachant des cris de plaisir et François en profita pour bouger doucement dans le conduit étroit. Les gros seins bougeaient sous les yeux de Antoine, il en saisit un et le suça, mordillant les bouts, cherchant les dernières gouttes de lait en l’aspirant.

Les deux adolescents se finirent dans les orifices surchauffés de leur grand-mère et allèrent se coucher. Désormais, tous les soirs, Odile et Renée s’offraient à leurs mâles.

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