Histoires de sexe Histoires de sexe lesbiennes

Mes vacances dans les Landes

Mes vacances dans les Landes



Cette histoire la est bien ancienne mais me laisse tellement de souvenirs ….

J’avais 28, peut être 30 ans et cette année la, nous sommes parti en vacance en camping avec ma femme. Ses parents faisaient parti du voyage ainsi que des amis de ses parents accompagnés de leurs deux filles, deux ados très belles, l’une avait 16, 17 ou peut être 18 ans je crois, l’autre un an de plus.

Lieu de villégiature: vers Soulac dans les Landes, grandes plages pas trop peuplées, forêt de pins à perte de vue, calme, soleil , ….

Les trois premiers jours, après l’installation, nous faisons quelques visites aux alentours, profitons de la plage, du resto, du tout bon.

Le quatrième jour, visite de Royan. Un petit parcours en voiture, le bac de la pointe de grave jusqu’à Royan, déjeuner puis visite de la ville à pied pendant quelques heures et retour bien fatigués au camping, par bac, voiture…..

Le lendemain, personne ne veut sortir du camping, la troupe préfère se reposer des efforts de la veille, mais moi, j’aimerais mieux faire quelque chose. Je décide donc d’aller marcher le long de l’océan, de parcourir la plage et je demande si quelqu’un veut m’accompagner.

Moi, moi, moi, répond la plus jeune des ados. Personne d’autre ne se décide et nous voila parti.
Au bout de 2 km environ, après avoir croisé beaucoup de vacanciers par endroit et des plages quasi désertes à d’autres, nous arrivons en vue d’un groupe important de vacanciers occupés à se faire dorer au soleil, mais entièrement nus.

Beaucoup étaient en famille avec des enfants, sur la plage le long de l’eau, d’autres, plutôt des hommes, tout en bas de la dune et aussi dans les creux de sable en montant la dune.
Il y avait aussi des promeneurs le long de la dune, surtout des hommes seuls, qui semblaient admirer le paysage, la nature, et surtout les différents occupants des lieux.

Je pensais faire demi tour mais ma petite copine (que je croyais moins délurée) me propose alors de nous déshabiller et d’aller nous fondre dans cette foule de naturistes, histoire de jeter un œil. Etonné et un peu gêné de me mettre à poil devant elle, mais ravi, je suis d’accord et les maillots atterrissent vite dans le sac de plage. La petite est super bien faite, pas timide du tout et pourtant, elle n’avait sûrement jamais été nue en public avant ce jour.

Nous traversons toute la plage naturiste, que de bites et de chattes au grand air…..
En remarquant l’activité des promeneurs sur la dune, nous décidons d’aller nous y allonger un instant pour voir le manège des « promeneurs » de plus près. Quelques minutes après nous être allongés, premiers passages de messieurs, certains s’arrêtent, regardent vers nous (la petite est réellement magnifique), parfois se tripotent le sexe, et continuent leur chemin.
Il me vient alors une idée un peu farfelue de nous exhiber un peu plus pour retenir ces visiteurs, je demande à Annie (ma petite accompagnatrice dans cette promenade), si elle risque d’être enceinte en cas de ….. et elle me répond malheureusement que oui, elle n’a pas encore franchi le pas et ne prend pas la pilule.

Je lui explique alors que j’avais pensé lui introduire mon sexe dans le sien, couchés tous les deux sur le côté, de façon à ce que les promeneurs ne puissent pas rater le spectacle et ainsi constater l’effet produit sur eux. Je serais resté allongé bien droit et elle m’aurait tourné le dos en pliant un peu les genoux vers les seins afin de bien montrer notre connexion. Mais vu mon état d’excitation, je risque de lui envoyer quelques giclées dans le vagin sans le vouloir et ce serait la méga cata, il ne faut donc pas prendre ce risque. Tant pis…

Peu après, elle me dit: mais si, on pourrait faire comme tu as dit, sauf que tu me l’enfonces pas dans le vagin mais dans le cul, comme ça pas de risques, j’ai des copines qui font comme ça.

Ca, je ne m’y attendais pas, déjà que ma proposition était limite avec la fille des amis des beaux parents et ma femme au camping. Mais bon, je n’allais pas lui reprocher d’avoir des idées.

Je lui dis alors de se mettre à quatre pattes, le cul en l’air que je puisse lui déverser un peu de salive dans l’anus (superbe) pour le lubrifier. Puis elle se remet allongée en me tournant le dos et ma bitte, raide et dur comme du bois, pénètre facilement ce conduit vierge mais pourtant terriblement étroit. Ca a quand même du forcer un peu, elle a poussé un petit cri sans doute de douleur.

Deux, trois aller retour pour bien humidifier le tout (et le trou) et nous restons ainsi, sans bouger (si on ne bouge pas, je tiens une ou deux heures sans peine) en prenant bien soin de n’être pas trop collés l’un à l’autre. En fait, je dois avoir un tiers, peut être la moitié de ma bitte dans son cul et le branchement doit être bien visible pour les promeneurs.

Des promeneurs, des « admirateurs » il y en a eu au moins une douzaine. Ils ne faisaient pas que passer, il restaient plantés devant nous, les yeux fixés sur son derrière (ou ma queue !). Leurs bites étaient bien droites et ils s’astiquaient sans complexe. Certains s’étaient assis dans le sable pour être à la bonne hauteur et se branlaient joyeusement. Je pense qu’avant cet instant, Annie n’avait jamais du voir la queue d’un homme, la elle était servie.

On a tenu une vingtaine de minutes, peut être trente, comme ça et je commençais à penser à rentrer au camping quand soudain elle s’est mise à pousser des petits gémissements, à bouger doucement le bassin d’avant en arrière et je sentais ses sphincters serrer ma bitte puis la relâcher tout doucement. La situation allait vite devenir critique pour moi.

Je ne sais pas si elle faisait ça pour exciter les voyeurs ou si elle commençait réellement à jouir (bien que par derrière, je ne suis pas sur que ça marche) mais le résultat c’est que, moi qui avait prévu de me retenir jusqu’au bout et bien là, je sentais que j’allais tout lâcher rapidement. Du coup, je me suis mis à lui donner quelques bons coups de bites dans le cul (devant tout le monde c’est très bizarre comme impression et ça excite encore plus) et au bout de quelques secondes à ce rythme, je lui ai balancé un superbe lavement en plusieurs jets puissant. Je pense qu’elle les a senti en elle, elle a eu un petit tremblement du bassin et à laissé partir un petit cri.

Les spectateurs, au moins les trois quart, qui eux avaient la bite à l’air ont déchargés de longs jets de sperme sur le sable, ça partait de partout.
Après cette vidange de mes couilles, la queue encore toute raide, je me suis retiré de son cul mais, sans que je m’y attende, elle s’est retournée, a attrapé ma queue fermement et a pris le gland dans sa bouche. Elle semblait super excitée. Sa langue léchais mon gland et voulait y pénétrer, si bien qu’elle a réussi à en tirer encore quelques gouttes de sperme qu’elle m’a montré sur sa langue.
Les « admirateurs » qui n’avaient pas éjaculé l’instant d’avant ont envoyé, en voyant ça, des fusées blanchâtres dans la nature, l’un deux m’a même tout collé sur la jambe, il a dit « oh pardon » mais a continué a m’asperger la jambe.

Après cet épisode nous avons pris le chemin du retour, il a fallu retraverser en sens contraire la plage nudiste en slalomant entre les vacanciers. Placé derrière Annie, je voyais des petits filets blanchâtres glisser le long de ses cuisses, je ne devais pas être le seul à le remarquer tant elle attirait les regards. Elle devait avoir emmagasiné une belle dose de foutre dans son cul pour en perdre en route.

Arrivés à une partie à peu près déserte de la plage, Annie s’est accroupie sur la plage et a poussé comme pour faire ses besoins. Effectivement, elle a rejeté une belle quantité de sperme, je ne pensais pas pouvoir en mettre autant en un seul coup, mais elle m’avait tellement chauffé.

Nous en avons profité pour entrer dans les vagues et nettoyer tout notre matériel. Elle s’est bien frotté le cul et moi, j’ai bien nettoyé bitte et testicules au cas ou le soir, ma femme aurait envie d’un petit câlin. Il ne fallait surtout pas laisser d’odeurs suspectes sur ma queue. J’ai aussi bien frotté ma jambe que le voyeur m’avait amidonné.

Quelques minutes de marche ont suffit à nous sécher, on a renfilé les maillots et on est revenu sagement au camping, accueilli par des « pas trop fatigués de marcher par cette chaleur ».

Nous n’avons pas eu l’occasion de renouveler notre promenade, la famille n’a plus voulu de journée de repos au terrain et aujourd’hui, 40 ans plus tard, je ne suis jamais plus passé par ce petit chemin de plaisir dérobé, et c’est bien dommage, mais l’occasion ne s’est jamais représentée. J’ai très peu revu Annie depuis mais cette journée reste dans ma tête et j’y repense souvent, souvent.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire