ça vous a plu la première histoire hein ?
allez en voilà d’autres
Sur le chemin du boulot
Histoires courtes
* * *
Tous les jours pour aller travailler, je prends le métro ou le bus. Et, bien sûr, même chose le soir au retour. Il m’y arrive très souvent des brèves aventures sexy. Je ne raconte rien à mon mari de tout cela car je garde ces plaisirs fugitifs pour moi seule. Je me régale d’exciter les mâles. Par contre à toi, mon salaud qui te masturbe en me lisant, je vais tout te raconter.
Tiens, l’autre jour, je ne m’en étais pas rendu compte mais il m’est arrivé un petit sketch érotique à mon insu.
En effet, le lendemain matin, en suspendant ma jupette noire dans l’armoire, j’ai remarqué trois traces blanchâtres incrustées dans le tissu noir à hauteur de ma fesse droite. Probablement, un salaud qui m’a aspergé de foutre dans le bus ou dans le métro! En tout cas, je ne l’ai pas vu faire.
Peut-être que mon mari a vu ces traces? Cela m’excite. De toute façon, s’il m’en parle, je ne lui dirai rien.
Ah! oui. Je m’en souviens maintenant. Ce devait être dans le métro avant-hier. J’étais debout dans le fond et je tournais le dos à un vieil arabe qui était enfoncé dans un recoin avec un de ses potes. Je les ai reluqués un peu mais je leur ai tourné le dos pendant les dix minutes du trajet. Je sentais le lourd poids de leurs yeux sur mon cul très bien moulé dans ma jupette fine et mes jambes gainées d’un collant irisé: probablement que, planqués aux yeux de tous les voyageurs, ils se sont masturbés en me reluquant. Je me souviens avoir senti une forte odeur de queue. Oui, c’est ça! sûrement. J’imagine qu’il a juté dans ma direction et que quelques gouttes ont giclé sur ma jupe! Finalement, j’aurais bien aimé voir son engin exploser. Je les retrouverai, une autre fois.
*
Mais la plupart du temps c’est moi qui affole les types, tout en faisant semblant de rien. J’adore. Les « pauvres » ne savent pas que faire quand ils me reluquent.
L’autre jour, j’avais mis une mini-jupette sous ma veste en cuir. Je monte dans le métro et m’installe confortablement assise face à un mec d’un certain âge qui feuilletait une revue.
Genoux serrés, mes cuisses, gainées par un collant noir hyper-fin et irisé comme c’est la mode, lui font face. Dès que je m’assieds, le type mate mes cuisses… et il peut enfoncer son regard assez loin, vu que ma jupette est assez courte. Feignant, de me laisser bercer par les cahots légers du métro, je relâche la position: mes cuisses ballottent un peu de droite à gauche. Je vois le type me mater avec insistance par-dessus sa revue, cherchant à atteindre des yeux ma culotte… que j’ai, évidemment et salopement, choisie blanche afin qu’elle se devine sous le fin tissu du collant noir.
Comme le trajet est court, je l’affole au plus vite pour mieux lui provoquer des visions-souvenirs pour ses masturbations nocturnes. Je relève un peu un talon, décalant en cela mes genoux et l’angle de mes cuisses. Je sais que, maintenant la profondeur de vue s’est dégagée pour lui. Profitant d’un soubresaut dû à l’accélération après le départ d’une station, je laisse mes cuisses s’écarter imperceptiblement. Là, c’est sûr, il doit voir mon mini-slip blanc sous mon collant: cela m’excite.
Alors, je mate en direction de sa braguette et je vois une grosse bosse. Je suis heureuse de le faire bander ainsi. J’aperçois même des mouvements discrets dans sa poche: il doit se masser la queue de l’intérieur. D’ailleurs le mec ne lit plus du tout sa revue, ses joues se sont colorées de rouge et il a les deux yeux rivés à mon entre-jambes. Je reste ainsi. Pendant trois minutes, le type se régale pour la journée: sûr qu’il va « voir » mes deux cuisses et ma culotte danser devant ses yeux fermés et que, ce soir, il se les remémorera lorsqu’il empoignera sa tige épaisse pour se faire plaisir et éjaculer dans son mouchoir.
Alors, en me levant pour descendre, je l’achève. Dans un mouvement d’arrière en avant, j’écarte mes cuisses lui dévoilant totalement ma chatte moulée dans le nylon. Tilt!
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J’adore ces situations et comme je suis de plus en plus coquine, je me laisse aller plus loin dans le jeu érotique et là… malgré la brièveté des trajets, il s’en passe de belles
*
L’autre fois, j’ai affolé trois jeunes étudiants. Je me suis débrouillée pour me trouver debout au milieu d’eux. Au départ de la station, je me suis laissée emporter par le mouvement de la rame. Mon corps trimbalé en tous sens, s’est appuyé contre les muscles de ces jeunes incrédules. J’ai senti à plusieurs reprises leurs queues sous l’étoffe de leurs pantalons. Ils étaient un peu rouges et n’osaient pas me toucher ostensiblement. Je me suis régalée comme une coquine à les exciter avec ma poitrine frottant le torse de l’un, mes fesses plaquées contre le bas-ventre d’un autre, ma région pubienne agaçant la pine du troisième par les frôlements de ma jupette contre sa braguette bien remplie.
J’aurais eu envie de saisir ces jeunes triques à pleine main. Mais, ce jour-là, j’avais décidé de rester digne et je les ai laissés avec leur perplexité… et leur bandaison insatisfaite, quoique?
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Dans la rue, je toise les hommes du regard. Certains manquent de trébucher, d’autres se retournent longuement, d’autres scrutent l’intérieur de la femelle que je suis. Probablement qu’ils ont tous envie de me piner, de soulever ma jupette et de m’enfiler sous un porche d’immeuble. En tout cas, je ne fais jamais rien pour fuir leur regard lubrique. J’adore cet érotisme à la sauvette.
Cependant, de temps en temps, j’ai une folle envie de queues. J’ai envie d’en toucher une, de la sentir vibrer dans ma menotte.
Tiens par exemple, voilà une autre aventure, un peu plus scabreuse et encore plus foutrement concrétisée.
Un soir, à la sortie du boulot, je monte dans le bus quelque peu bondé. Poussée par la cohue, je me retrouve à l’arrière du bus, coincée entre plusieurs voyageurs.
Comme l’été arrivé bientôt, ce jour-là, je suis vêtue d’une mini-jupe marron clair, moulante et souple à la fois, d’un tee-shirt marron foncé orné d’une broderie dorée judicieusement placée sur la corbeille de mes seins bien tenus par un balconnet noir, dont la bretelle apparaît volontairement par l’encolure echancrée. Le nombre de paires d’yeux attirés par ma poitrine tout au long de la journée! Difficile à dire, tu aurais aimé, j’en suis sûre.
Aux pieds, j’ai chaussé une paire de ballerines dorées adoucissant la rondeur de mes mollets fins et attirant les regards sur mes jambes gainées dans un collant irisé fin et brillant marron clair -presque chair- dont les reflets au soleil m’excitent presqu’autant que les salauds qui lorgnent mes cuisses.
Peu à peu tassée au fond du bus, je sens que, derrière moi, un type, dont je n’arrive pas à apercevoir le visage, s’est plaqué à moi et appuie sa queue contre mes fesses.
Mais je suis également presqu’écrasée contre un mec d’une cinquantaine d’année, trés digne et cravaté, qui tente de lire le journal malgré la cohue. Bousculée, mon corps s’aplatit un instant contre le sien qui me fait face aux trois-quart. Il a dû sentir mes deux seins contre une partie de sa poitrine et contre son avant-bras replié; en tout cas, moi, j’ai nettement senti la présence de sa bitte contre le haut de ma cuisse.
Mais, tu me connais maintenant, je feins l’indifférence tout en guettant ses réactions derrière mes lunettes de soleil. Il a l’air d’avoir chaud avec son costume cravate. J’aime bien ce genre de mec peut-être un peu coincé. Il a des lunettes cerclées de métal qui lui donnent un regard à la fois intello et vicieux. Probablement un fonctionnaire!
Un coup de frein un peu brusque me fait sentir la bitte bandée contre mes fesses. Ca y est je commence à mouiller. J’en profite pour recommencer à m’aplatir de tout mon corps contre le « fonctionnaire ». Ce coup-ci, le bout d’un de mes tétons, légèrement durci par l’excitation de sentir deux corps d’hommes contre moi, vient agacer le bras du type qui n’a pas pu ne pas le sentir. J’en rajoute en appuyant fermement ma hanche contre sa queue: cette fois je sens qu’elle a commencé à prendre un peu plus de volume. Je vais le faire triquer dur! J’en ai une folle envie.
Ouais mais derrière, le salopard en profite. Il a changé de position et il a maintenant carrément placée sa bitte entre mes deux fesses à la verticale. Je sens cette colonne appuyée dans mon sillon à travers les deux fines épaisseurs de son pantalon de toile et de ma jupette. Cela me fait mouiller de plus en plus. J’aurais presque l’impression d’être prise en sandwich par ces deux types.
Le fonctionnaire me dévisage: il doit se demander s’il ne rêve pas. En tout cas, il a rosi légèrement et je sens sa queue enfler encore plus. Il tremble légèrement! Je l’ai ferré. Tiens, il semble vérifier avec son bras que mon téton durcit aussi à la limite du balconnet. Il zyeute la bretelle et cherche à deviner la dentelle de mon soutien-gorge par le décoletté.
Le voyage avance, il faut que j’y aille sinon je n’aurai pas le temps de jouir avant de descendre. Je laisse négligement pendre ma main droite et, profitant d’un cahot de la route, je me retrouve avec le bras droit coincé entre nos deux corps. Mon épaule touche le bras du fonctionnaire, mon sein s’écrase peu à peu contre son avant-bras. Mon propre avant-bras nu est collé à sa ceinture et ma main sur le haut de sa cuisse contre son pantalon d’été. Je sens sa bitte de plus en plus bandée contre mon bassin; ma chatte devient de plus en plus trempée.
Personne ne peut me voir. Alors, j’y vais. Je fais lentement pivoter ma main et le bout de mon index et de mon majeur effleurent cette tige en érection à travers le pantalon.
Je remonte un peu et je sens même l’élastique plat de son slip. Il tremblote de plus en plus. Il cherche mon regard mais je l’évite.
Je vais l’affoler.
Avec mes quatre doigts bien serrés, je caresse trés lentement l’énorme bosse qui s’est formée dans son pantalon. Le fonctionnaire avale sa salive un peu bruyamment et tend son bas-ventre en avant. Il est à moi! Putain, l’autre salaud derrière me lime à travers les étoffes: ça aussi m’excite à bloc, je suis trempée!
A l’attaque! je remonte -faussement négligement- mon sac-à-main sur mon épaule gauche. Cela me permet d’amener ma main gauche tout près de l’autre entre nous deux. Personne ne peut plus rien voir. J’étire lentement mes doigts et, sous son regard à la fois surpris et émerveillé, je me saisis entre le pouce et l’index de ma main gauche du premier bouton de sa braguette. Je maintiens la bosse au bon endroit avec la main droite et, au bout d’un bref combat, je sens le bouton céder. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine, qui sursaute et s’appuie encore plus fermement contre son bras, les tétons de plus en plus durcis.
Surexcitée, je m’attaque au deuxième bouton qui s’ouvre immédiatement; le mec retient son souffle derrière ses lunettes et attend que je fasse sauter le troisième et dernier bouton.
Une brusque montée de voyageurs tasse un peu tout le monde. Le vicelard de derrière en profite pour mimer un va-et-vient entre mes fesses. Je fais face carrément à mon fonctionnaire et là, je le fixe posément dans ses yeux légèrement troublés par l’émotion.
Je lui souris imperceptiblement et je commence à insinuer les doigts de ma main droite dans sa braguette tenue entr’ouverte par ma main gauche.
Ahhhhh! Le mec bande tellement, que je sens le bout de sa queue hyper tendue dépassant au-dessus de l’élastique du slip. De l’extrémité de mon majeur et de mon index, je caresse le gland. Il est humide d’excitation; le fonctionnaire tremble comme une feuille. Je suis aux anges, je l’affole! Je tire le tissu du slibard en coton. Son gland se décalotte en entier.
J’enfourne toute ma main dans ce tissu de mâle rangé. Putain, j’adore!!! Je déplie tous mes doigts sur toute leur longueur et je leur fais épouser la forme de sa colonne de chair ferme. Je suis prète à jouir. J’adore ce contact doux. On dirait du velours. Alors là, je fais lentement aller et venir ma main de haut en bas. Je le masse de plus en plus fort; je sens son gland de plus en plus humide et turgescent dans le creux de la paume de ma menotte. Je place mes doigts en gouttière et je forme un écrin dans lequel je sens coulisser la longue pine. J’ai un peu de mal à ne pas lui coincer les poils dans le col roulé. Je vais voir comment ses couilles sont velues et bien pleines avec le bout de mes doigts. Quelles bourses! Ouaouhhh! génial. Deux belles boules fermes et velues à souhait. J’adore sous-peser les couilles des hommes, c’est agréable. Je les griffe trés légèrement, le fontionnaire sursaute. Là, j’ai fait tilt!
Il est à point!
Il se raidit et avale encore sa salive, il reste la bouche entr’ouverte et me fixe les yeux hagards. Il perd un peu de sa retenue et de sa main libre, il vient m’empoigner sous l’aisselle gauche. Le plat de sa main caresse fermement mon sein gauche et il m’attire contre lui en me serrant un peu, tout en gardant une position convenable. Il va me faire jouir.
Je vais le finir. De ma main gauche, je remonte subrepticement ma jupette. Je saisis sa pine encore plus à pleine main et je la promène contre mon collant; j’appuie le gland sur le nylon en lui faisant sentir la limite de ma petite culotte. Ce contact l’électrise et à moi me fais encore plus sentir cette queue démentielle. Mon plaisir monte.
En tout cas, sa queue est chaude et je me régale de la sentir vibrer dans ma menotte. Je lui souris un peu pour l’encourager à se laisser aller. Le fourreau formé par ma main monte et descend de plus en plus rapidement et fermement sur sa bitte. Au double contact de mon collant et de ma main, je sens son engin durcir encore, ses veines enflent. J’accélère. Je serre un coup fort. J’accélère à nouveau. Que c’est bon de sentir cette queue vibrer et vivre dans ma main. J’adore vraiment tenir et caresser des sexes d’hommes! Là, quand je caresse lentement les veines affleurant la peau, quand je fais rouler la peau au rebord du gland humide, quand je passe le bout de mes doigts sur le méat humide, ils sont toujours à ma merci. Quel plaisir!
Je le fixe dans les yeux en lui faisant un petit « oui » de la tête. Il a approché son visage à dix centimètres du mien; sa pogne recouvre presqu’en totalité mon sein gauche. Il halète. Je serre de plus en plus fort sa queue entre mes doigts, je griffe à nouveau ses couilles. J’accélère encore ma masturbation sur ce vibrant morceau de chair qui emplit ma main. Brusquement, je sens un chaud liquide couler dans la paume de ma main. Mes doigts s’engluent peu à peu, alors que je continue à tirer sur sa queue qui dégouline de foutre. Son sperme ruisselle entre mes doigts et descend tout le long de sa bitte, jusque dans son slip et s’étale aussi sur mon collant, tout près de ma culotte en feu. Vraiment salope, je porte mes doigts à ma bouche et je lèche les gouttes de sperme qui ont pu rester sur ma main. Le fonctionnaire est complètement abasourdi. Je passe une dernière fois mon pouce sur son méat pour sentir les dernières gouttes que j’essuie sur mon collant et, au mépris, de ma ligne de conduite, je me laisse alors rouler une brève galoche par le fonctionnaire heureux.
Agitant mon corps comme une salope, je sens que je jouis moi aussi, serrant mes deux cuisses l’une contre l’autre et me servant du rebord de mon slip pour m’astiquer le clitoris. Mais c’est la giclée reçue dans ma menotte de femme bien comme il faut qui m’a fait jouir. Ahhhhhhhhhh! j’adore le pouvoir de ma main sur la bitte d’un homme; en extraire le jus, le tenir à ma merci.
Tiens l’autre salopard -il a dû sortir sa bitte car je la sens encore plus contre ma jupette relevée à moitié- en a profité.
Il s’appuie contre moi. Il a dû tout deviner car je sens son souffle chaud dans mon cou. Le salaud! -mais j’aime- il a profité de mon excitation et de mon affolement pour immiscer sa bitte sous ma jupette et je sens une chaude humidité envahir le tissu fin de mon collant et de ma culotte sur ma fesse droite. Ah! conne que je suis: si seulement j’avais mis des bas! J’aurais sentis le foutre chaud de ces deux salopards sur ma peau. En tout cas, j’ai du sperme plein mon collant devant et derrière et dans le creux de ma main. Je jouis comme une salope. En dix minutes de trajet, j’ai fais jouir deux hommes! Le pied!
C’est vraiment bon de jouir à la sauvette dans la rue, dans le bus, dans le métro. Je me régale. Avoir les mâles à ma merci, c’est un palisir indéfinissable.
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En rentrant chez moi, je nettoie tout ça, j’essuie ma jupette, je change mon collant que je planque soigneusement et je reprends ma vie de bonne épouse. De temps en temps, je ressort le collant de ma cachette et je me branle le clitounet en repensant à cette scène scabreuse et jouissive, grâce aux trainées de foutre qui maculent mon nylon arachnéen.
*
Ah! le vent !
Ici, le vent est souvent très fort. L’autre jour, j’avais une veste courte portée sur une jupette assez ample, quoique courte. Dans la rue, tout en marchant, je sentais les courants d’air s’engouffrer sous le tissu de la jupe qui gonflait comme une voile. Du coup, mes cuisses étaient dévoilées presqu’en totalité aux yeux des mateurs. Comme j’avais mis un collant marron clair, la vision devait être totale. Je me rendais compte que plusieurs types m’observaient attentivement guettant le moindre souffle d’air qui leur en montrerait un peu plus. Cela m’émoustillait au maximum. Je commençais même à mouiller ma culotte… en satin blanc!
Deux types assez âgés me suivaient en faisant mine de parler. A un moment, je me retournais brusquement et je pus constater qu’ils avaient les yeux exorbités fixés sur mes jambes, attendant le prochain coup de vent.
Comme j’arrivais à une petite place, où d’autres mecs étaient assis sur des bancs -donc pouvaient avoir une vision par en-dessous-, je me dis rapidement qu’à l’angle de la rue le « coup d’air » allait être garanti et… le spectacle assuré pour ces sept ou huit reluqueurs.
Gaillardement, j’avançais jusqu’au coin du trottoir et, lorsque je débouchais à l’angle, le courant d’air m’assaillit. D’un seul coup, ma jupette gonfla au maximum et fut relevée jusqu’à la taille, plaquée même sur mes reins. Non seulement mes longues cuisses gainées par le collant étaient visibles, mais aussi ma petite culotte blanche s’offrait aux regards des mecs affamés. Je fis quelques gestes pour faire semblant de faire retomber la jupe… mais, en fait, je restais longtemps ainsi, fesses au vent, dévoilant mes trésors à ces vicieux. Je savais qu’ils se régalaient, qu’ils se mettaient des images de moi plein la tête, qu’ils allaient tous me baiser, lêcher ma chatte, caresser mon cul, ma culotte, palucher mes collants… par la pensée, une fois rentrés chez eux! Peut-être même que l’un d’eux m’avait prise en photo sans que je ne m’en aperçoive? En tout cas, j’appréciais ces quelques secondes de folie exhibitionniste… et j’en mouillais comme une folle.
* * *
Un soir, en sortant du boulot, j’eus soudain envie de queues! J’étais devenue folle! Où aller ? Je ne voulais pas du scabreux, non, je voulais simplement toucher des bittes. Je ne voulais pas me faire prendre, non, simplement les toucher, les flatter, les sentir vibrer dans mes menottes, … des queues soumises, quoi! J’avais entendu parler des sex-shop mais cela me paraissait trop risqué… puis, une femme seule dans cet endroit… tant pis, n’y pensons plus.
Je décidais de rentrer à pieds, tout en ayant envie de toucher des queues… mais comment? mais où?
Il me fallait trouver l’endroit propice. C’est alors que, en passant devant, je me souvins que dans ce grand magasin, il y avait toujours des types qui reluquaient les jambes des femmes à l’escalator. J’y entrais.
Effectivement, au pied de l’escalier roulant deux mecs d’un certain âge discutaient nonchalement (?), alors qu’un plus jeune boutonneux (déjà vu celui-là!) tournait autour des rayons, attendant une proie visuelle.
Sans hésiter, je me dirigeais vers l’escalator et leur passais devant -très près- donnant un mouvement ample et sexy à mes jambes bien dégagées par la jupe de mon tailleur. Ce jour-là j’avais des escarpins moyennement hauts qui rehaussaient le galbe de mes mollets et rajoutaient de la longueur à mes cuisses. Arrivée à mi-étage, je me retournais et je vis d’abord le jeune boutonneux, puis les deux vieux vicelards qui zyeutaient comme des barjos cinq à six marches plus bas. Touché! J’enchaînais alors quatre étages. Les mecs devaient être aux anges en contrebas.
Je choisis le rayon librairie du cinquième étage, là où les rangées sont étroites… mais là où toute situation trop scabreuse semblait exclue. J’allais donc pouvoir m’amuser un peu.
Les trois gars m’avaient bien entendu suivie et me lorgnaient à travers les rayons tout en se rapprochant de moi. Tout en feuilletant des livres ça et là, je m’arrangeais pour me retrouver seule avec les trois dans une rangée étroite. Alors, je me dirigeais lentement vers les deux plus vieux et je vins en frôler un avec ma main, tout en accrochant légèrement le bord du pantalon de l’autre avec ma jupe. Mais, au lieu de continuer mon chemin, je m’arrêtais dans la travée à trente centimètres d’un d’eux et empoignais un livre. Aussitôt, ce vieux binoclard (un petit avec de grosses lèvres) repassa derrière moi en me frottant avec ce que je perçus comme être sa queue bandée. Je n’eus aucune réaction. le vieux resta alors sur ma gauche, presqu’à pouvoir me toucher. Son complice approchait lentement, quand le jeune boutonneux entra en scène. Faisant mine de profiter de cette mini-cohue, il passa dans mon dos et sa pogne caressa lentement mes fesses, sous le regard désapprobateur du deuxième vieux vicieux.
Là, j’étais entourée. Ayant jeté un rapide coup d’œil alentour, je reposais mon livre et me retournais vers eux, qui me regardaient à la fois admiratifs et surpris. S’attendaient-ils à une gifle? Avaient-ils peur d’un petit scandale? En tout cas, ils étaient muets et haletants. Je ne leur laissais pas le temps de réagir et, ayant mis mon sac en bandoulière, je pus immédiatement aller caresser de mes mains libres les bittes à travers les étoffes tendues des pantalons.
Les trois types roulaient de ces yeux! Ils étaient à la fois aux anges et interdits car ils n’osaient bouger de peur de se faire remarquer par une vendeuse. Alors, je pus m’en donner à coeur joie. A tour de rôle, mes menottes encerclaient les bittes par-dessus le tisssu des pantalons, soulignant bien la forme des dards bandés. Ma paume appuyait sur les colonnes de chair dans de très lents mouvements de va-et-vient. les mecs avalaient leur salive et se laissaient faire. Un de deux vieux s’était toutefois enhardi et me paluchait le cul par-dessus la jupette. Le boutonneux, qui me faisait face, tendait son bas-ventre en avant en me souriant béatement. J’eus le sentiment de faire une bonne action en masturbant ces trois vicelards et cela m’excita. Ma culotte s’humidifiait bigrement au contact de ces trois bittes à mon entière discrétion.
Les rayons étant toujours déserts, aucune alerte ne paraissant possible, je pus continuais mon jeu… pour le plus grand plaisir des trois salopards. Prestement, je descendis la fermeture éclair de la braguette du jeunot et j’enfournai ma menotte dans son slip. Le mandrin était de belle taille. Le gars sursauta de bien-être quand il sentit mes doigts courir tout le long de sa colonne de chair. Peu à peu sa tige apparaissait dans la gouttière formée par ma main, son gland venait se décalotter dans le creux de ma paume, alors que, par un mouvement doux et savant, j’agaçais son méat à l’aide de mon pouce: des gouttes de plaisir commencèrent à perler sur ce gland violacé. J’étais aux anges de sentir cette belle queue remplir ma main et vibrer au contact de mes doigts. J’adore caresser les bittes, surtout, comme là, quand je peux faire comme je veux.
Du coup, le vieux palucheur s’enhardit encore plus. Sa pogne fureteuse s’était infiltrée sous ma jupette et il me caressait directement à même mon collant et ma culotte. La paume de sa main empoignait mes fesses par des ronds doux et appuyés puis vint tutoyer le bombé de ma chatte.
L’autre vieux, sur ma gauche, avait de lui-même défait sa braguette et posa sa queue dans ma main. Je le masturbais carrément, bien à l’abri des regards grâce aux rayonnages des bouquins. Je m’appliquais à branler ces deux engins simultanément. Le fait d’avoir deux pines en mains et de me sentir paluchée m’excitait à bloc. Le jeunot commençait à tréssauter. Je choisis alors de le délaisser un instant pour me saisir de la bitte de mon palucheur, jusque là appuyée contre ma hanche droite.
Mais, celui-là m’étonna. De me toucher de partout avait dû sacrément l’exciter car quatre allées et venues appuyées sur sa tige suffirent à le faire décharger. Son foutre s’éparpilla de manière désordonnée. J’eus quelques gouttes qui éclaboussèrent mon collant sur mes jambes et ma jupette, le reste dégoulinant dans ma main déployée et s’esclaffant sur le sol.
J’entendis aussitôt gémir l’autre vieux sur ma gauche. Tout en reprenant en main le dard du jeune boutonneux, je portais mon savoir à la bitte sur ma gauche. Il ne tarda pas à cracher son sperme lui aussi… mais, prudent, un mouchoir qu’il avait sorti de sa poche, évita un arrosage trop généreux. Néanmoins, ma main gauche garda pas mal de son liquide crémeux.
Alors que mes deux vieux (ils n’avaient pas dû jouir de la sorte depuis longtemps!) reprenaient leur souffle et leurs esprits, je pus finir de fignoler mon boutonneux, dont le regard me fixait avidemment. Il était presque hagard. Ma main montait et descendait le long de sa tige gonflée. Il haletait, gémissait et me dit : « montres-moi ta culotte, c’est bon, tu vas me faire jouir, continues, oui, oui, je veux voir ta chatte, ta culotte… ta culotte! »
Les deux vieux l’aidèrent à jouir. Ils me relevèrent totalement ma jupette, dévoilant mon mini-slip au regard salace du boutonneux. cela eut l’effet d’une bombe sur lui. Ma menotte sentit son gland enfler brutalement, le foutre jaillit dru et serré pour venir maculer mon bas-ventre par-dessus mon collant. Je le branlais jusqu’à épuisement, faisant sortir quatre giclées épaisses de foutre bien blanc qui s’étalait partout à hauteur de ma chatte, souillant mon collant, le transperçant même pour atteindre ma culotte, trempée par ma cyprine car, bien sûr, tout cela m’avait fait jouir.
Rapidement, ils se réajustèrent et m’abandonnèrent dans le rayon, avec mes deux mains pleines de foutre (j’en lêchais même un peu, sous le regard admiratif et fier d’un des deux vieux) et mon collant poisseux. Je rabatis ma jupette; gardant tout je pris le chemin du retour. Ouf! Heureuse! J’avais réussi.
* * *
Toutes mes aventures brèves ne vont pas toujours aussi loin. Très souvent même, un érotisme fugitif suffit à fouetter ma libido. Parfois, j’imagine ce que doivent penser les types qui me reluquent et que j’excite l’air de rien. Si je voulais, je suis sûre de faire mouche à chaque fois. Nombreux doivent être ceux qui me verraient bien dans leur pieu… en tout cas, je suis certaine qu’ils doivent se branler comme des bêtes en pensant à moi et éjaculer dans leur mouchoir en s’imaginant me prendre.
* * *
Un exemple qui me laisse un bon souvenir, m’est arrivé dans un bus, presqu’en tout bien tout honneur; une bonne action.
Montée dans un bus presque vide, je m’étais assise au fond, seule sur une banquette faisant face à une autre, vide elle aussi… mais qui n’allait certainement pas le rester longtemps. Il faut dire que je portais une jupette assez courte, avec un collant clair très fin et de petites ballerines vernies noires. Comme j’étais seule, j’avais appuyé mes deux petits pieds ainsi chaussés sur le rebord de la banquette, relevant ainsi mes genoux et… raccourcissant ma jupe, ce qui dévoilait bien mes cuisses. Pour l’instant, il n’y avait personne pour me mater et j’espérais secrètement que j’aurais autre chose que des ménagères comme compagnie, que quelque mateur retraité n’allait pas tarder à se présenter. Cela allait se vérifier.
En effet, à l’arrêt suivant un homme d’une cinquantaine d’année, bien propret mais l’air un peu timide s’assit face à moi, en me regardant à la dérobée. Il n’osa pas me faire bouger mes jambes, tant par timidité (mais vu que la banquette était vide, il pouvait occuper les deux places), que pour me permettre de demeurer dans cette position à la fois érotique et digne. Il s’assit donc de biais mais son visage me faisant face, il put une première fois plonger son regard profondément entre le mystère de mes cuisses.
Feignant de l’ignorer, je regardais par la fenêtre… mais je l’observais sans qu’il s’en doute grâce au reflet de la vitre. Lui, croyant que je ne le voyais pas, s’en donnait à cœur joie et reluquait assidûment sous ma jupe. Constatant que ma jupette était bien remontée, j’acquis la certitude qu’il pouvait deviner ma culotte sous mon collant beige. Or, ce jour-là, j’avais mis une petite culotte en nylon rose avec une bande de tulle translucide qui pouvait permettre de deviner ma toison.
Au bout de quelques minutes, le trajet avançant (je n’allais pas tarder à descendre), j’en rajoutais un peu. Bougeant légèrement, je fis remonter encore plus haut ma jupette, en décalant à peine la hauteur d’un de mes deux genoux. Du coup, l’angle de vision du type avait considérablement augmenté: je vis même que la bande plus foncée du haut du collant était visible sur les côtés… où il n’y avait pas de passager. Là, je l’entendis déglutir.
Je me tournais délibérément vers lui et je le regardais. Il ne savait plus où regarder. Moi, je vis très nettement une grosse bosse en dessous de sa ceinture et aussi sa main enfouie dans la poche de son pantalon. Il déglutit à nouveau quand il regarda vers moi et constata que je n’avais rien fait pour lui cacher quoi que ce soit. Il zyeuta vite fait encore un coup ma culotte puis tenta de me regarder dans les yeux. Je lui souris imperceptiblement comme pour l’encourager, en écartant à peine un peu plus mes genoux. Là, j’étais sûre qu’il devait voir ma toison à travers le rose arachnéen de ma petite culotte et du collant fin.
Sans qu’il s’en aperçoive, j’avais un peu déchaussé mon pied gauche. Soudain, je montai brusquement mon genou, soulevai mon pied que je vins poser sur la grosse bosse sous ses yeux interloqués. De la plante du pied gainé par le doux collant, j’appuyais sur sa bitte et commençais à le masser à travers le tissu. Il s’affala un peu, surpris et heureux à la fois, et se laissa masturber ainsi deux ou trois minutes, tout en matant comme un fou mon entrecuisses, puisque, maintenant, la nouvelle position et les mouvements de mon pied sur sa queue permettaient une vision totale de ma chattounette à peine emprisonnée.
Sous mon pied, je sentais la bitte gonfler encore. Je me régalais.
Hagard, le type se retourna et vit, d’une part, que le bus était quasiment vide, et, d’autre part, que la fin du trajet approchait.
Alors, il fit quelque chose que je n’attendais pas mais qui me ravit. Il se leva brusquement, se débraguetta en un tournemain. Il saisit sa queue qu’il extirpa de son futal et commença à se masturber face à moi, son engin à l’air libre. Cette bitte me plaisait bien, le gland était gros et rosé, bien humide, de grosse veines ceinturaient une colonne de chair épaisse et elle était d’une fort belle longueur.
Mais, je n’eus pas le temps de contempler ce spectacle inattendu bien longtemps. Je vis le type devenir tout rouge, sa main accéléra sa branlaison et il se mit à trembler.
Fixant ma chatte de ses yeux exorbités, il serrait sa tige avec de plus en plus de vigueur. Le gland gonfla d’un coup et il m’arrosa de sperme. De longues et épaisses giclées d’un foutre épais et bien blanc zébrèrent l’espace qui me séparait de lui. Il m’aspergea copieusement: j’eus d’abord deux bordées qui vinrent s’écraser sur mes deux cuisses et ruisselèrent vers l’intérieur. Guidant sa grosse bitte, il me visa pour déclancher la troisième, qui tapa mon mini-slip pile à hauteur de ma toison offerte sous le nylon. Subjuguée, je regardais ce sperme couler à flot et maculer mes sous-vêtements, heureuse de provoquer autant de plaisir chez ce mâle, en si peu de temps. La bitte dégoulinante n’était plus qu’à trente centimètres de moi et, alors que je me demandais comment une telle quantité de foutre pouvait gicler si vite, uniquement parce que ce mec avait maté mes cuisses et ma culotte et parce que je l’avais caressé trois minutes avec mon pied, je ne vis pas partir la quatrième bordée. Par contre, je la sentis arriver, et comment! Le mec, qui s’était un peu redressé, serrant encore plus fortement une dernière fois son mandrin à l’horizontale, m’envoya son foutre en pleine figure. Je sentis le chaud liquide frapper sous mon nez et sur ma joue droite, quelques gouttes se perdant dans mon abondante chevelure. Une dernière lézarde, heureusement moins fournie, vint finir sur ma bouche maculant mes lèvres. Interloquée et heureuse, je laissais mon branleur-gicleur s’essuyer le bout de la queue sur ma cuisse par-dessus mon collant. Ce doux contact du velours de son gland détrempé sur le nylon m’électrisa et provoqua une mini-jouissance en me faisant tréssaillir.
Le type se rajusta, m’adressa un petit sourire et, caressant mon pied encore déchaussé sur la banquette, me dit un timide « merci madame, vous étiez si belle! » et s’en alla.
Un peu tourneboulée, je descendis du bus et rentrais chez moi. J’avais dû m’essuyer un peu car son foutre dégoulinait trop le long de mes jambes et des passants -mes voisins- auraient pu s’en apercevoir. Cependant, je n’avais pas tout gommé. Arrivée chez moi, j’embrassais mon mari, comme à l’accoutumée, d’un bref baiser au goût salé du sperme de l’autre.
Probablement que ce vicieux aurait adoré que je lui raconte la séance. En tout cas, il eut un petit temps d’arrêt.
Avait-il remarqué quelque chose? le goût inhabituel? des perles dans mes cheveux? ma joue légèrement poisseuse?
S’il avait passé sa main sous ma jupe et caressé mon collant!
Je crois qu’une fois, s’il est sage (!), je lui raconterai en détails et lui dirait de m’embrasser là où il restera du foutre et de caresser mon collant et mon slip englués. Il aimera!…
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