Seule, m’ennuyant dans mon studio, je décidais d’aller au cinéma pour me divertir. Arrivée dans la salle deux personnes assises éparses qui pour un lisait un livre, l’autre consultait le programme multiécran du complexe. La lumière s’éteint, l’écran s’éclaire et nous donne les annonces des films à venir… Puis arrive le film proprement dit. « Pourquoi avoir choisi ce film » me dis-je. Enfin, essayons de comprendre si il ya quelques choses à comprendre. Alors que je faisais tous les efforts pour saisir le sens de cette projection, un garçon, la vingtaine apparament, vint s’asseoir à côté de moi.
J’y faisais plus ou moins de cas, quand au bout de 5 minutes je sentis une pression de son genou sur le mien. Je me suis dit qu’il prenait ses aises et je ramenais légèrement mon genou vers moi. 3 minutes après le contact était toujours présent. Que fais-je ? Je décidai de résister, pour voir la réaction ! Il commença ensuite à bouger son genou pour tester et je continuai à résister. Cette situation prenait un caractère chaud et je sentais une chaleur gonfler mon sexe. Un inconnu, que je ne voyais pas, me draguait, là, dans une quasi obscurité.
J’étais de plus en plus excitée quand il posa une main sur mon genou, mais je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas protesté, comme muette de timidité ou de gêne. Voyant que je réagissais pas négativement, sa main remonta sur ma cuisse lentement, délicatement. Je fixais l’écran, sans rien voir ni comprendre et attendais la suite des évènements.
Mon désir se faisait de plus en plus fort et le fond de ma culotte commençait à se mouiller. Comme par instinct, j’écartai légèrement les cuisses, ce qui encouragea mon voisin à plus de suggestions… Il décida de passer à l’épreuve suivante et passa sa main sous ma jupe. J’haletais et respirais plus fort et lui aussi. Il remonta donc sa main et arriva à ma culotte. J’écartais maintenant plus largement mes jambes pour faciliter sa caresse et ses doigts arrivèrent à se glisser derrière l’élastic lâche de mon slip. Il caressa les poils de mon pubis puis descendit vers mes lèvres entrouvertes… Je commençais à onduler du bassin, le bout de ses doigts caressèrent mon petit bouton puis pénètrèrent mon vagin en feu. Je fermais les yeux, pour mieux profiter de cette situation insolite et ma jouissance allait grandissante.
Ses doigts glissaient bien dans ce vagin inondée, quand soudain j’arrivais au point culminant de la jouissance et malgré ma volonté j’explosais sous sa main. Ses doigts continuaient à s’agiter dans cet océan de cyprine, j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais, et j’avais reserré mes cuisses emprisonnant sa main dans un étau. Peu à peu, la pression se calma et lentement je deserrais mes cuisses. Il retira sa main très lentement et la porta à sa bouche.
Je l’entendis lècher ses doigts comme si c’était de la confiture. Le film continuait à se dérouler et je fixais toujours l’écran. Je voulais partir, fuir cet endroit où honteusement j’avais pris mon pied avec un inconnu !
Mais non, je restais là, comme abasourdie par ce qui venait de m’arriver, épuisée.
Quelques minutes plus tard, je sentis à nouveau, mon sexe se regonfler et mon clitoris stimulé. Comme si je me sentais redevable, je me dis que j’avais laissé mon bienfaiteur dans l’expectative et qu’il avait droit aussi à quelques plaisirs. Je tendis la main vers lui, pour arriver sur sa cuisse. Je remontais ma main et je constatais que sa braguette était ouverte. Ma main glissa dans cette ouverture et ne portant pas de slip je fus en contact direct avec son membre turgescent. Ce membre chaud parfaitement raide à moitié décalotté me paraissait superbe sous ma main. Je finis par le décalotter complètement et entreprit de masser son gland humide après avoir tâter toute sa tige tendue. Lentement, il avait glisser son bassin vers le bord du siège
et je pouvais le caresser, le branler facilement. Il gémit sous la caresse, et son bassin commença à onduler d’arrière en avant, son souffle de plus en plus rapide.
Puis je sentis son corps se raidir et il déchargea dans ma main un flot de jus poisseux en lâchant un petit cri de jouissance. Il appuya sa main contre la mienne afin que je ne bouge plus et qu’il puisse garder ce contact charnel qui l’avait amener au coït.
Son sexe peu à peu se ramollit et je finis par retirer ma main pleine de sperme de son pantalon en évitant de toucher ses vêtement pour ne pas les salir. Il me tendit après un kleenex pour que je puisse m’essuyer et en prit un pour lui pour finir d’enlever le jus restant qui aurait pu tacher son pantalon. Je me tournais vers lui comme pour le remercier de ces instants de bonheur, et je découvris un jeune homme imberbe aux traits fins, qui devait être encore au lycée, qui me sourit pour me remercier.
Il se leva avant la fin du film et prit la sortie. je pensais qu’il allait m’attendre dans le couloir, mais à ma sortie, plus personne. Je ne l’ai jamais revu mais je pense souvent à lui surtout quand j’ai envie de me masturber.
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