Mercredi 14h je passe devant l’immeuble. Je me gare à 200 mètres et revient a pied, faisant semblant de me promener. Juste pour observer l’environnement. Il fait encore frais, malgré ce soleil de décembre. J’ai mis une tenue cool et sportive. Jooging, blouson sans manches et casquette, lunette de soleil. Deux femmes causent près d’un banc, je reconnais la mère de mon petit copain. Je vais essayer un truc.
– Bonjour mesdames, je cherche un jeune garçon qui fait partie de la chorale.
– Ah oui me répond la grosse, c’est pourquoi.
– Je l’ai déposé après une réunion et il à oublié son carnet dans ma voiture.
– Ah bon, si c’est ça, je suis sa mère… Mais il n’est pas là, il doit être avec ses deux copains. Mais vu l’heure, il ne devrait pas tarder. Vous pouvez l’attendre ou me donner le carnet.
– Je vais l’attendre, on a sympathisé et je voudrais parler de notre projet de forum.
– Bon entrons à la maison, il fait frais ici. A bientôt Josette.
– Merci vous etes gentille.
Je la suis, regardant son gros cul, moulé dans un leasing vert. Elle a une jolie peau lisse et de grands yeux. Un peut grosse pour moi, mais ses seins semblent lourds et ça j’aime. On entre dans l’appartement. Elle retire son gilet et oui, elle à de gros nichons avec un beau decolté. Elle a vu mon regard. Il faut que je sois discret. On entre dans le salon, elle s’assied sur le canapé. Moi je suis dans le fauteuil en face. Elle a les jambes écartées et on devine les lèvres de ce qui doit être sa moule. Il fait chaud, je retire mon sans manches. Elle me propose a boire. Un thé, oui très bien. Elle se lèves et disparaît derrière moi. J’en profite pour regarder autours de moi. Classique, propre, coquet, mais sans plus. Un appartement de gens sans histoire. Il fait vraiment chaud, je sors mon mouchoir quand elle rentre derrière moi avec son plateau. Oups ! En sortant le mouchoir, je fais tomber la culotte que j’avais piqué à son fils lors de notre dernière rencontre. Elle la vue et se précipite pour la ramasser. Je suis tout confus, mais c’est bizarre, elle me la tend sans un mot, rouge aussi.
– Vous avez laissé tomber ceci.
– Heu oui merci, c’est a ma femme, j’ai du la mettre par inadvertance dans ma poche quand j’ai pris un mouchoir dans le tiroir.
– Oui cela arrive.
Elle la toujours a la main. La regarde.
– Tenez rangez là ! Votre femme va la chercher.
– Oh elle en a d’autres.
– Je suppose, a moins qu’elle ne les mettent pas.
– C’est-à-dire…
– Ben nous autres les femmes ça nous arrive de ne pas en mettre, surtout quand on est en robe.
– Ah, je ne sais pas.
Elle est debout devant moi, a quelques centimètres. Je dégluti vite. J’att**** la culotte et la fais disparaître dans ma poche. Elle se retourne, se penche, son gros cul vers moi.
– Je vous sers.
– Oui merci.
J’ai les yeux rivés sur ce cul. Elle se redresse se retourne et poitrine offerte me tends une tasse pleine, elle à un geste brusque et renverse du thé sur mon pantalon.
– Oh excusez,je vous essuie.
– Non, ce n’est rien.
– Si j’insiste.
Elle tends sa main et avec un torchon commence a frotter mon pantalon, elle se mets a genoux et frotte doucement, j’essaie de la relever, mais déjà sa main passe sur ma braguette.
– Oh excusez moi.
– Heu, de rien, ce n’était pas le plus désagréable.
– Je ne sais pas ce qui ma pris.
Je lui pose une main sur son épaule. Ses gros nichons sont sous mon nez. Je l’attire vers moi. Appuie sur sa tête de l’autre main. Elle se laisse faire. Elle embrasse mon pantalon, ma braguette. Mordille le tissu. Ses mains tiennent mes cuisses, avancent vers mon entrejambes. Elles remontent vers l’élastique du jogging et le descend doucement. Ma bite est encore molle. Elle la prend avec deux doigts. La décalotte, la caresse doucement. Puis rapidement ce la met en bouche complètement. Ma bite va vite grossir pour remplir sa bouche. Mes mains plongent dans le décolleté. Je tâte ses seins, glisse dans le soutien-gorge. Elle grogne, la bouche pleine. Je sort un nichon par le décolleté. Je ne le voie pas, mais il est beau, lourd avec un téton assez gros, plus que la normal. Je pince ce bouton, le tourne et le tord. Elle grogne de nouveau et sa bouche accélère. Je la repousse doucement. Elle me lâche la bite, me regarde dans les yeux.
– Viens me baiser, j’ai envie de ta belle queue.
Elle se relève, baisse son leeging en tortillant du cul jusqu’à mi-cuisses. Elle n’a pas de culotte. Voilà pourquoi je voyais la forme de ses lèvres, très épaisses, déjà gonflées. Cette mère de famille semble affamée. Encore une qui cache son jeu. Elle se tourne, s’appuie sur la table, les fesses tendues. Je m’agenouille, écarte, regarde, hume… c’est propre, ça sent juste l’envie. Je détaille sa moule. Ecarte les lèvres humides. Les étires, glisse un doigt, ça rentre facile, deux, puis trois. Je tourne, elle remue du cul, grogne.
– Viens, baise moi.
Je me redresse la bite tendue contre sa vulve. J’entre d’un coup sans ménagement jusqu’au fond. Je la besogne tantôt accroché à ses hanches, tantôt accroché à ses grosses tétines qui pendent, tapant sur le bord de la table. Elle jouit plusieurs fois et à chaque fois que je lui claque le cul. Elle aime la fessée en plus. Je commence a fatiguer, je sens la montée, je sort de sa chatte, la fait mettre a genoux devant moi et lui gicle sur le visage. Avec mes doigts, je recupere du sperme et lui fait lécher mes doigts. Les petits beurres sur la table qui devaient servir avec le thé, sont enduit du dernier foutre de son visage et je les lui donne a manger. Je me recule, la regarde à genoux devant la table. Le visage marqué de plaisir, les nichons déballé sur le pull.
– Merci, de ce plaisir.
– J’ai adoré, mon mari ne me faisait plus beaucoup l’amour, une fois de temps en temps, là tu ma fais revivre.
– J’ai pris aussi beaucoup de plaisir, mais si ton fils vient à rentrer, il faudrait mieux que je parte.
– On pourra ce revoir.
– Sûrement, mais restons discret.
Je suis près à partir. Je lui prends la bouche, elle pue le sperme, le mien… J’aime, je lui donne quelques coups de langue sur visage.
– Va te doucher avant que quelqu’un vienne. Et donne un coup de bombe, ça pue la luxure.
– Oui tu as raison, mets moi encore tes doigts dans ma chatte avant de partir.
– Ok mais tu vas bien les sucer.
– Oui fouille et donne moi.
Je le fais, ça dégouline encore. Elle prends ma main et lèche mes doigts.
Un dernier baiser et je sort. Sur le parking, je croise quelques jeunes qui rigolent. Je me redirige vers ma voiture.
Belle journée… Après le fils, la mère, je sens que je vais revenir souvent dans ce quartier.
poure moi