C’est le 15 août. J’ai invité mes copines d’enfance pour un barbecue. Il y a Barbara, Sophie et Nathalie avec leurs mecs respectifs. J’ai dressé une magnifique table dans le pré derrière la maison. Je porte une petite robe d’été tout légère avec des chaussures compensées aux pieds. Je m’amuse à faire virevolter ma robe en sachant pertinemment que les maris de mes copines risquent d’apercevoir mes fesses par inadvertance. Tu t’occupes du barbecue en regardant mon petit manège. Kévin, le mari de Sophie, a dû voir mes fesses car il a l’air troublé. Et tu l’as remarqué. Je pars à la cuisine pour rapporter du pain. Tu me suis discrètement, m’enlace tendrement et me caresse les tétons à travers la robe. « Viens », je te fais monter les escaliers en passant devant, tu en profites pour regarder sous ma robe et me pousse dans la première chambre sur le pallier en fermant la porte derrière nous. On se pose devant la fenêtre, on voit mes amis à table en train de parler en buvant du rosé. Tu glisses ta main sous ma robe et caresse tout doucement ma fente puis ta main s’introduit dans mon string. Je suis déjà toute trempée. Tes doigts titillent l’entrée de mon vagin sans le pénétrer.
J’en peux plus. J’enlève mon string, le balance dans la pièce et remonte ma robe en me cambrant. « bouffe moi la chatte s’il te plaît ». Je suis toujours à la fenêtre; de dehors, on peut penser que je regarde le paysage. Tu t’accroupis derrière moi, m’agrippe les fesses en les écartant et commence à lécher mon anus. Ton pouce joue gentiment avec mon clitoris. Puis je sens ta langue se poser dessus, elle fait plein de petits mouvements, ma mouille te coule dans la bouche comme du miel, tu le prends entre tes lèvres et commence à le sucer de plus en plus fort. Ta main, posée sur mon pubis, exerce une tension pour que mon clitoris soit complètement décalotté. Il est gonflé de désir, prêt à exploser. Tu le sens en érection sous ta langue. Je me retourne et t’att**** les cheveux des deux cotés en appuyant comme une folle ton visage contre ma chatte. Tu me cales deux doigts dans le vagin et stimule direct mon point G. Mon bassin imprime un rythme de plus en plus rapide puis j’explose dans un orgasme long et profond.
je te caresse les cheveux tendrement quelques instants puis je me met à quatre pattes sur le tapis en disant « Allez, viens. Tu l’as bien mérité ». On entend Barbara rire d’un coup. Ils s’amusent bien dans le jardin. Ta queue s’enfonce sans problème. Tu profites du spectacle de mon cul, de mes lèvres écartées par ton sexe. Soudain la porte s’ouvre et Kevin, le mari de Sophie, entre. « Oh pardon ». Je veux vite me relever toute confuse et gênée mais ta main me repousse dans le dos et me rejette par terre. Je me retrouve à nouveau à quatre pattes honteuse. Ta queue est toujours en moi. « Pas de soucis Kévin ». Tu recommences à me baiser comme si j’étais la dernière des putes. Je suis troublée, je sais pas si cette situation est dégradante ou excitante. Vu la quantité de cyprine qui coule le long de mes cuisses, la réponse est évidente. Kevin est fasciné de me voir dans cette position humiliante et provocante à la fois. De voir mon cul se faire tamponner et vibrer ainsi à chaque coup de rein, de voir ma chevelure bougée dans tous les sens à chaque coup de queue qui me défonce et surtout de voir que je le regarde droit dans les yeux, il ne résiste pas, il sort sa bite et commence à se branler en profitant du spectacle.
Histoire de lui donner des regrets de ne pas être à ta place derrière moi, tu commences à introduire ta queue dans mon cul. Sur le coup je suis tétanisée de me faire enculer comme une chienne en chaleur devant le mec de ma copine d’enfance, je n’arrive pas à me détendre et ça me fait plus mal que d’habitude. Mes petits gémissements de souffrance font augmenter la tension sexuelle et bestiale de la situation. Je baisse la tête, je veux pas que Kévin voit mon visage déformé par des petits rictus de douleur mais tu m’att****s par les cheveux et tire ma tête en arrière . Je ne peux plus faire autrement que de le regarder pendant que je me fais prendre par le cul. De voir que je suis trop étroite et que j’ai mal l’enflamme plus que jamais. Je lis dans son regard qu’il ne sait pas ce que c’est que de déglinguer une fille aussi torride et bonne que moi et qu’il donnerai tout pour pouvoir me culbuter juste une fois. Tu es complètement en moi maintenant, je souffle bruyamment par saccades pour mieux encaisser la petite brûlure au niveau de mon fion mais après quelques va-et-vient, mon cul est définitivement prêt à tout et de voir Kevin électrisé à ce point par le désir me grise et m’enflamme au plus haut point.
Je me lâche enfin. je n’ai plus aucune retenue et montre à Kevin toute l’étendue de mon pouvoir érotique. Chacun de mes mouvements est directement inspirés par Vénus. Mon cul ondulant dans tous les sens est une oeuvre d’art à lui tout seul. Mon visage irradie le désir sexuel dans ce qu’il a de plus brut et bestial. Mes râles de jouissance feraient bander un mort. Maintenant chacun de tes coups de queue m’arrache des cris de plaisir incontrôlés. D’ailleurs tu n’as plus besoin de bouger, je viens m’empaler toute seule sur ta bite à grand coup de cul comme une sauvage. Je ne quitte plus des yeux le regard de Kévin. Je sens qu’au fond de lui il lutte pour ne pas fourrer sa queue dans ma bouche de salope. Juste pour l’exciter encore plus, j’ouvre en grand ma bouche comme si j’allais le sucer. Je creuse mes joues, mes lèvres pulpeuses et gonflées de délectation en avant donnent l’impression que j’aspire une bite énorme. Tu reprends tes grands coups de butoir qui propulsent tout mon corps vers Kévin. A chaque fois ma bouche du suceuse s’arrête un peu plus près de son sexe en feu. Il sent la chaleur de mon souffle sur son gland. Ça t’excite grave de savoir qu’en me mettant un coup de rein plus fort je me retrouverai avec sa bite dans la bouche. Tu agrippes toujours mes cheveux comme la crinière d’une jument. J’ai la tête complètement en arrière, les fesses cambrées comme jamais. C’est une pure merveille de profiter ainsi de ta queue qui fait de moi ta pute soumise. D’un coup tu sors de mon cul et éjacule sur mes fesses. Je ferme les yeux pour savourer cet instant intime avec toi.
Soudain je prends des giclées de foutre chaud sur le visage. Ce salaud de Kevin m’a carrément déchargé en pleine gueule sans prévenir. « Désolé c’était plus fort que moi » dit-il gêné puis il sort rapidement de la chambre. Je me relève et me tourne vers toi. Il devait avoir les couilles pleines depuis un bail car ça dégouline de partout sur mon joli minois. Il m’a pas loupé cet enfoiré. Je regarde par la fenêtre et le vois s’assoir à côté de ma copine d’enfance comme si de rien n’était. Il lève les yeux et m’aperçoit, encore maculée de sa semence. Ça a dû t’exciter de voir mon visage souiller par ce mec car d’un coup ta queue me déchire la vulve. J’ai l’impression qu’une poutre m’éclate la chatte. Je prends trop cher mais très vite ton sexe se contracte et décharge dans mon bas-ventre.
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