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Vega love 2

Vega love 2



J’ai déménagé en 1986 après l’achat d’un pavillon, un jardin de 600m pour le plus grand bonheur de Vega et de toute la famille.
La présence d’un sous-sol a grandement facilité mes jeux sexuels avec ma chienne, il était beaucoup plus facile de bien s’isoler dans une pièce au calme, j’étais sur de n’être dérangé par personne.
J’ai commencé par l’amener dans cette pièce pour lui caresser la vulve et surtout pour qu’elle fasse la relation sous-sol pièce et jeux sexuels.
Dès que ses chaleurs sont revenues dans cette nouvelle maison, j’ai pu recommencer à la saillir le plus souvent possible pendant ses chaleurs.
Pour me faciliter la tâche je posais une planche assez large et longue sur des parpaings, Vega montait aisément sur ce mini estrade qui était à peu près à 40 cm du sol ; cela me permettait de la saillir facilement car en me plaçant derrière elle ma queue était juste à la hauteur de sa vulve, c’était trop bon d’être comme cela bien placé pour lui enfilé d’abord mon gland puis ma queue toute entière. Pendant ses chaleurs je lui coupais les poils autour de la vulve afin qu’elle soit bien dégagée. Quand j’étais dans l’appartement j’avais souvent mal aux cuisses après les saillies car j’avais les jambes pliées.
Toujours pendant ces périodes de chaleurs je baisais ma femme presque tous les jours, j’avais les couilles vidées car je saillissais Vega 2 fois par jour quand j’étais de repos en semaine.
J’ai habité pendant 6 ans dans cette maison avant de déménager en province près de Lyon, j’ai bien baisé avec ma chienne quand elle était en chaleur, je la branlais bien et toujours elle oscillait au début quand ma queue arrivait a un certain niveau de son vagin, elle avait un vrai orgasme, presque à chaque fois je ne pouvais pas rester en elle mais quand je lui enfilais ma queue juste après son plaisir j’arrivais bien à rester dans son vagin qui me serrait la bite régulièrement, c’était trop bon tellement c’était chaud.
Pendant ces 6 ans j’ai eu le plaisir par 3 fois de m’occuper d’un magnifique labrador couleur chocolat mâle.
J’ai pu l’attirer chez moi et m’occuper de sa belle bite rouge, j’en avais toujours rêvé mais je n’avais jamais eu l’occasion de le faire
Je le voyais souvent lors de mes balades avec Vega quand je passais devant la maison d’une vieille dame.
Un jour alors que Véga était en chaleur et que je passais près de cette maison il était dans la rue, c’était un jour de semaine et en début d’après-midi, il s’est vite approché pour renifler le cul de ma chienne, je la tenais en laisse évidemment, il essayait même de la grimper le salaud, il s’appelait Ris. C’est à ce moment que j’ai pensé à l’attirer chez moi, il nous a suivis facilement car il voulait absolument grimpé sur Vega. En arrivant chez moi je suis allé directement au sous-sol, j’étais toujours obligé de l’empêcher de monter ma chienne, je suis allé dans la pièce dédiée et là je lui ai donné des croquettes pour le calmer et me permettre de monter Véga à l’étage.
Je suis vite redescendu pour le voir, il avait englouti les croquettes, je lui parlais, Gentil Ris t’es beau, bon chien et je le caressais pour l’ amadouer, il me connaissait un peu, j’avais assez souvent discuté avec sa propriétaire et je lui faisais des ‘papouilles’ à chaque fois donc il n’était pas affolé de se retrouver avec moi.
J’ai commencé à lui caresser le ventre en même temps que mon autre main le gratouillait entre les 2 oreilles, il était assez content puis ma main qui était sous son ventre s’est rapproché de son fourreau, il n’a pas eu de mouvement de recul, c’était un bon point, alors j’ai bien pris son fourreau dans ma main et je l’ai bien serré et j’ai commencé à le branler, il s’est mis à osciller du cul comme s’il grimpait une chienne, je lui ai bien cramponné le fourreau, son bout rouge a commencé à bien sortir, j’ai bien tiré sur le fourreau et sa queue toute rouge et pointue est complétement sortie, elle giclait déjà par petits jets ; je savais comment faire pour bien le faire gonfler et gicler fort, je saisis sa bite juste derrière son nœud qui commençait à grossir, c’est comme ça que son knot enfle et que sa bite grossit de plus en plus. Je la tenais bien comme ça et sa bite est devenue très grosse au bout de 3 ou 4 minutes, elle giclait sans arrêt je lui caressais sa tige rouge entre mes doigts humidifié par ma salive puis je lui passais ce membre tout gonflé entre ses jambes vers l’arrière comme quand il reste collé avec les chiennes, je gardais bien ma main droite derrière sa boule, sa bite était énorme et giclait toujours .on est resté comme ça au moins 15 mn , je bandais très dur et mouillait beaucoup mon slip ; j’ai lâché cette grosse queue quand elle commençait à moins giclé, il l’a léché, elle bougeait toujours avec saccade.
Je le rassurais en lui faisant des papouilles ; il a bien fallu 10 mn pour que son vît dégonfle et qu’il rentre dans son fourreau.
Je le sorti du sous-sol et le ramenait à la barrière de mon jardin, il savait où il habitait, à peine a une centaine de mètres de chez moi, en plus c’était la même rue en impasse.
Je revins très vite au rez-de-chaussée ou Vega me fit une fête incroyable, je pris l’escalier du sous-sol avec elle, j’avais trop envie de la saillir
Dès qu’elle fut dans la pièce elle se frottait à moi et levait bien la queue dans tous les sens pour bien me montrer sa vulve toute enflée, elle avait l’air de me dire : viens me mettre ta bite, viens me monter mon beau mâle, elle avait besoin qu’on la saillisse, j’ai vite posé mon pantalon pour être bien libre de mes mouvements et avoir la queue bien à l’air, j’ai pris du lait concentré posé sur l’établi et m’en enduit le sexe juste pour que Véga me la lèche bien ce qu’elle fit avec application car elle adorait ce lait sucré, je bandais vite et dur avec ce léchage appliqué, ma queue coulait un max, je la fis monter sur le petite estrade, la branlait un peu , elle tortillait du cul , je la saisis par les flancs et lui enfilait ma queue dégoulinant de mouille, je la cramponnais bien car je ne voulais pas la perdre au moment où elle se mettait à osciller, ce jour là j’ai vite joui tout au fond de son vagin brulant , l’extase.
J’ai réussi à ramener Ris 2 fois dans mon sous-sol, toujours quand Véga était en chaleur car il voulait la grimper et il nous suivait, j’ai pris vraiment du plaisir à le branler et à voir cette grosse bite rouge gicler ; une fois je me suis complètement mis à poil avec lui tout en gardant un T-shirt assez court, j’ai mis un bout de moquette au sol car je me suis mis à 4 pattes pour voir ce qu’il allait faire, je me suis d’abord bien enduit le cul de lait concentré et lui présentait mon cul en espérant qu’il me lèche bien le petit trou, ce qu’il fit avec application n’en laissant pas une seule goutte cela me fit bander très dur, je remettais une 2ème fois du lait concentré et il me lécha encore le cul ; après je l’ai un peu excité en le branlant un peu et me suis remis à 4 pattes je me suis alors mis puis à bouger du cul et à bien lui présenté, je me demandais s’il allait me grimper dessus, il hésitait et puis à un moment il compris que ce cul devant son museau voulait se faire prendre, il me grimpa dessus et commença à osciller du bassin, c’est à ce moment-là que je sentis un bout pointu et chaud buter entre mes fesses, il mettait du cœur à l’ouvrage le salaud, sa bite me giclait me mouillant leee cul, je voyais bien qu’il ne trouvait pas mon trou du cul, je réussis à glisser une main sous moi et au bout de plusieurs essais je pu lui mettre sa pointe juste en face de mon trou , a ce moment-là il m’enfila sa queue avec v******e et rapidité dans le cul, au début elle n’est pas trop grosse donc cela ne me fit pas trop mal, je sentais qu’’il me giclait un liquide chaud dans les entrailles ; je ne voulais pas qu’il m’enfile sa queue toute entière et me retrouvé collé avec Ris d’autant plus que je n’aurais pas pu supporter son nœud bien trop gros pour mon cul vierge de bite de chien donc je fis en sorte de me retirer et de me libérer de son vit tout rouge, je finis de bien le branler, de bien lui faire grossir et de le faire juter à fond en le tenant bien derrière son nœud. Comme la 1ère fois je restait un moment avec lui pour que sa bite rentre bien dans son fourreau, je le caressais tendrement en le félicitant maintes et maintes fois puis je le raccompagnais à la barrière du jardin.
Je fis descendre Véga qui n’attendait que de se faire saillir, elle aurait peut-être préférer Ris mais c’est moi qui lui enfila ma queue bien raide dans son vagin brulant qui serrait ma queue toute raide et qui lui lâcha tout mon foutre bien au fond un plaisir inégalable …

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