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Deux ados sous la tente (gay)

Deux ados sous la tente (gay)



Il y a quelques années, je passais mes vacances au camping avec mes parents et j’avais sympathisé avec un mec à peine plus âgé que moi, Jean-Philippe. Il était sportif, beau mec et plutôt viril. Il avait l’accent du midi et se marrait tout le temps. On passait nos journées ensemble à rigoler, on parlait des filles qui nous plaisaient et rien ne me laissait penser qu’il pouvait être gay. Moi, je savais déjà que j’étais bi. J’avais eu des expériences avec deux filles mais jamais avec des mecs. Je me sentais encore bien trop timide pour essayer quoi que ce soit de ce côté-là mais ça ne m’empêchait pas de fantasmer à fond.

JP me plaisait. Il avait un corps imberbe, des abdos bien dessinés et surtout un cul musclé que je ne pouvais pas m’empêcher de regarder dès que je marchais derrière lui. Mais bon, on était que deux bons potes et je savais qu’il ne se passerait rien avec cet hétéro pur-jus. En tout cas, c’est ce que je croyais jusqu’à un certain après-midi où nous avions prévu de nous retrouver à la piscine du camping. Ce n‘était pas la première fois que ça nous arrivait, on y passait beaucoup de temps mais cette fois-là je remarquais qu’il fixait régulièrement mon boxer. Je le gaulais deux ou trois fois en train de faire ça et à chaque fois il détournait le regard, gêné. Sur le coup, je n’y accordais pas d’importance mais en y repensant plus tard, mes fantasmes redoublaient en m’imaginant qu’il pourrait se passer un truc entre nous.

Le lendemain, il me proposa de passer la nuit dans sa tente. L’idée m’excitait à mort, je l’imaginais déjà se changeant devant moi, espérant voir ses fesses ou un bout de sa queue. Après négociation avec mes parents, je pus lui dire « oui », à sa grande joie, et à la mienne aussi. Toute la journée, je repensais à la veille, quand je l’avais surpris à regarder mon boxer avec insistance. J’espérais comme un fou que ça se reproduirait dans la tente et que ça dériverait peut-être sur du concret. Et je ne fus pas déçu.

Le soir, on se retrouvait donc dans la tente. On ne s’était quasiment pas vu de la journée, je ne sais plus pourquoi. L’ambiance n’était pas comme d’habitude, on rigolait moins, il y avait comme une gêne. La soirée ne se déroulait pas du tout comme je l’espérais. Vers 22h, le camping était silencieux et il proposa qu’on se couche. Il éteignit la lumière et mon rêve d’apercevoir les parties intimes de son corps s’envola. J’étais dégoûté. JP était allongé à 10 cm de moi, torse nu, en caleçon, sur son pneumatique. J’étais incapable de dormir et je sentais que lui non plus ne dormait pas.

Au bout de plusieurs dizaines de minutes, il me demanda « T’arrives pas à dormir ? ». Je lui répondis que non. Il me dit que lui non plus et que quand ça lui arrivait, il se tapait une bonne branlette, remède radical. On rigola un petit moment de sa vanne jusqu’à ce qu’il ajoute, « non mais sérieux, tu veux pas que je te branle ? Tu me branles aussi un peu et puis après on s’endort, tranquille ».
J’étais suffoqué par son culot et en même temps ultra excité. Il n’avait pas fini sa phrase que je bandais déjà. Il le sentit et n’attendit pas ma réponse car avant que j’ai pu ouvrir la bouche, sa main tâtait mon caleçon. « Eh ben mon cochon » dit-il en se marrant.

Je fis de même et commençai à caresser sa queue toute raide. Elle n’était pas immense, un peu plus petite que la mienne d’après ce que je devinais au toucher mais il bandait super fort. Son gland était tout humide. Je le soupçonnais d’avoir commencé à se toucher avant de m’avoir proposé son deal. En tout cas, son caleçon était trempé. Je serrais fermement sa bite dans ma main et faisais un va-et-vient, il poussait des petits cris étouffés, il était à fond et oubliait un peu de s’occuper de moi. Je m’en foutais sur le moment, j’étais trop content de voir que je lui faisais cet effet. En quelques minutes, c’était fini. Il se cambra, quelques fils de sperme sortirent de sa queue prise de soubresauts. Il poussa un nouveau cri étouffé, pleinement satisfait.

J’étais aux anges, j’avais touché sa queue et je l’avais fait jouir, en même pas dix minutes. Et maintenant c’était lui qui s’affairait sur ma bite. Il n’était pas très adroit mais l’excitation de cette situation compensait ce handicap. Pendant qu’il passait ses doigts le long de mon sexe ultra tendu, j’imaginais qu’il rapprocherait ses lèvres de mon gland et commencerait à me sucer. J’espérais aussi qu’il se retourne et m’offre son cul sur lequel je fantasmais nuit et jour depuis plus d’une semaine. Mais non, il se contenta de faire jouer ses mains ce qui était déjà énorme pour moi : depuis l’âge de douze ans, j’espérais qu’un jour comme ça se présente.

Après plusieurs minutes, assailli par mes fantasmes et par ses caresses sur ma queue, je finissais par m’abandonner. Je sentis mon sperme sortir de mon gland mais n’en trouvais aucune trace sur ma poitrine ou sur mon matelas le lendemain matin. Ce fut un des grands mystères de cette nuit. Au petit matin, il n’y avait aucune trace du sperme de JP ou du mien dans la tente. Quand je l’interrogeais sur cette disparition, il se fit particulièrement évasif et changea de sujet. Je le soupçonne d’avoir récupérer ma semence entre ses doigts et de les avoir nettoyés avec sa langue mais je n’en ai jamais eu la confirmation, malheureusement.

Après cette double branlette, nous nous endormîmes assez rapidement et le lendemain matin, JP se montra fuyant, lui qui s’était révélé si entreprenant quelques heures plus tôt. Je voyais déjà disparaître mes espoirs d’aller plus loin avec lui mais je me trompais.

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