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(Je le reposte, fini de rédiger, la précédente version avait été postée à l’arrache à cause d’un bug)

Ce soir, je vais vous parler d’une drôle de surprise que m’a réservé Nat, mon ex, il y a plusieurs années.

(Je vous rédige ça un peu à ma sauce, d’après mes souvenirs, histoire que ça reste lisible tout en collant à peu près aux faits.)

Nous devions nous rendre à l’anniversaire d’une amie dans le Doubs, Nat et moi.
Un autre couple de potes était convié, Olivier et Anna, mais Olivier était retenu pour des obligations professionnelles, si bien que nous n’avions retenu que 3 billets de train.

Une semaine avant le départ, Nat apprend qu’elle devra elle aussi faire l’impasse sur le Week-end à la campagne, pour raisons professionnelles là aussi.

– Bon, ben reste plus qu’à nous faire rembourser ton billet. Voyez peut-être à vous faire une bouffe avec Olivier puisque vous ne serez que tous les deux ? Suggérais-je à ma compagne.
Ce sont des copains de longue date, avec qui nous nous entendons bien, je me dis que ça sera plus sympa s’ils bouffent tous les deux que seuls, chacun de leur coté, devant la télé, en plus, nos logements respectifs sont à 2-3 km d’écart à peine.

– Ben voilà, on fait comme ça : Je te prête à Anna pour le Week-end et je garde Olivier pour dormir au chaud, Me lança-t-elle, narquoise.

J’avoue que mon rire était un peu gêné, ne sachant trop si cela était du lard ou du cochon.
J’avais changé de sujet, un peu mal à l’aise.

Il faut dire que nous étions très amoureux à l’époque (pour info, c’est l’évaporation de ces sentiments, pour laisser simplement place à de l’amitié qui nous a conduit à nous séparer par la suite), mais notre lien ne se résumait pas à l’exclusivité charnelle.
J’avais cru que je ne supporterais pas de la voir dans les bras d’un autre, mais après quelques expériences, nous nous sommes découvert une certaine tendance pour l’échangisme.

Non, ma gêne ne venait pas du fait qu’elle parlait de prendre du bon temps avec un autre, mais plutôt de sous entendre que nous le fassions :
– Avec des copains proches,
– Et que je me retrouve au lit avec Anna.

Je n’avais pas caché à Nathalie ce que je trouvais la demoiselle très mignonne, mais bon, ça risquait d’être bizarre de continuer à se faire des apéros avec eux et nos autres potes par la suite, et en plus, Anna était franchement plus jeune que moi. (de 10 ans plus jeune !)

Arrive le jour dit : Je file avec ma valoche à la Gare.
Nous sommes en fin de journée, Anna m’attend dans le hall de la Part-Dieu, au pied d’un escalier qui mène à un quai, le nez dans un bouquin, A moins que ce soit un bouquin sur le nez :

– Hallo ! Ca va ?
On se fait la bise.
– Je suis crevée ! J’ai pas arrêté de la semaine.
– Tu profiteras du WE pour récupérer.
– Carrément !

Anna est une jolie nénette, aux cheveux longs châtains, au yeux marrons, le teint assez clair, un sourire éblouissant et une silhouette faite au moule.
A ce moment là, elle était vêtue d’une jolie robe d’été blanche à grandes fleurs rouges qui lui tombe jusqu’à mi-cuisses (je m’en souviens très clairement : j’avais une vue imprenable sur ses jambes et son décolleté !) et portait des petites sandalettes (genre sandales à fleurs toutes fines qui cassent facilement à la plage, vous voyez ?)

On se dirige vers le quai, on monte dans le train, on se pose dans le 1er compartiment venu et on part direction le Pays de la Cancoillotte.
Quelques amabilités avec les autres occupants du compartiment, sourires polis, etc.
Nous sommes côte-à-côte, ma comparse en profite donc pour me montrer quelques photos de la dernière soirée en date ou un truc dans le genre.

Le train passe Mâcon, puis Chalons, et au fur et à mesure se vide, si bien qu’on se retrouve seuls tous les deux.
Rien d’étonnant, nous sommes parti en semaine (D’où les blocages de nos moitiés respectives) et visiblement, Besançon est un bled ravitaillé par les corbeaux.

Entre temps, j’ai sorti mon casque pour écouter une saga MP3, et elle a commencé à piquer du nez.
La familiarité entre nous aidant, je lui ai proposé de squatter mon torse pour dormir, ce qu’elle a accepté de bon coeur.

OUI, j’avoue que la vanne de Nathalie était encore dans ma tête.
En plus, la position me donnait vue plongeante sur sa poitrine. (Joli soutien-gorge rouge assorti à sa robe !)
Je décide de fermer les yeux, on a encore du trajet, et 3 jours de beuveries, de bouffe, de chants et de danses en perspective.

Anna s’était assez vite lové pour prendre un position confortable et avait fait atterrir sa main sur ma cuisse.
Bof, Houlàlà-mon-dieu-que-c’est-équivoque.

Sauf que j’ai commencé à y prêter attention quand la petite mimine a commencé à faire des allers-retours lents et légers sur ma peau nue … Et à se glisser sous mon short … Pas jusqu’à mon sexe, mais pour caresser ma cuisse plus haut. J’avoue que le traitement est divin, d’autant qu’elle pratiquait la poterie (Oui, c’est pas des vannes, ca fait les mains douces !), mais ca commençait à devenir chelou.

Gentleman, j’écarte une oreille de mon casque, je la reveille doucement et lui glisse sous la forme de la vanne :
– Anna, je crois que tu commençais à te croire avec Olivier.
Elle se redresse un peu, fait mine de s’étirer.

Elle n’a pas les yeux assez gonflés pour une personne qui est sensée dormir depuis 20 minutes.

Elle retire rapidement sa main de mon short.
– Pardon, Effectivement, je me suis cru avec mon chéri.

Elle repose sa tête contre mon torse, repose sa main sur ma cuisse (immobile par contre cette fois).
– Ou pas.
Sourire de « Madame Connasse » (selon ses propres termes), elle referme les yeux.

C’est à ce moment là que j’ai commencé à plus trop comprendre, et à me dire qu’elle me faisait du rentre-dedans tout en me chambrant un peu …

– Hein ?
– Non Rien. Attends, donne-moi une minute.

Elle se redresse, sort son portable de sa sac à main, tape un texto rapidement (Ah, la bonne vieille époque du T9 …) range son Nokia puis soulève mon bras, se repose contre ma poitrine et repose ma main sur son épaule.
Très bas sur son épaule. presque sur sa poitrine.

Je reste un peu interdit, et quand je vais pour lui donner des explications, c’est mon mobile qui vibre.
Un texto de Nat :

« T’es adorable mon Lapin, mais arrête de faire le neuneu : On s’est arrangé avec Anna, t’es son jouet pour le Weekend, et c’est pas négociable, si elle me dit que t’as pas été sage, je te prive de galipettes pour un mois ! 😉 « 

Deuxième texto :

« Et, OUI, je vais me taper Olivier ce week-end, et il a pas le choix non plus ! :p « 

Sur le coup, mon cœur s’accélère au delà du raisonnable, et je sens mon visage devenir écarlate.
Bon, c’est cash au moins, et elle sait que si le principe est que c’est ELLE qui fait selon son bon vouloir, ca ne me posera quasi aucun problème, a contrario de la situation où ce serait elle « le jouet » d’un autre.

Je déteste quand Nathalie prévoit exactement comment je vais fonctionner et réfléchir.
(En fait, non, j’adorais ça, et par la suite, elle est devenue bien pote avec mes conquêtes sérieuses, ce qui a facilité les choses !)

Je suis dans un train désert, avec encore une bonne heure de voyage, une très jolie jeune femme de 20 ans qui « roupille » lovée contre moi, et en plus, ma compagne m’a intimé l’ordre de lui obéir en tous points pour le week-end de fête qui s’annonce.

– Miss, je suis pas sur de savoir trop quoi faire …
– Ben Nat t’as expliqué : T’es ma chose pour trois jours.
(Sur le coup, je me suis dit qu’elle devait se raconter pas mal de trucs pour qu’elle sache comment me parler pour le piéger comme ça, excité, docile et un peu gêné, tel un lièvre dans les phares d’un semi-remorque !)

Elle me répond de sa voix chantante, douce et haut perchée (Ce qui détonne violemment avec le propos !), mais sur un ton feutré :

– Mais pour le moment, on est dans un train, te connaissant, ça va te bloquer, et en plus je suis claquée, j’ai envie de me reposer. Donc, ta seule consigne est de mettre ton petit code d’honneur dans ta poche pour les 72h, de diriger ta libido sur moi et de profiter.

Et c’est là qu’Anna déboutonne le décolleté de sa robe pour mieux l’ouvrir.
Sa main reprend ses doux va-et-vient (Ils remontent maintenant franchement vers mon entrejambe), tandis que je profite de la courbure improbable de sa poitrine qui gonfle la dentelle cramoisie.

Je n’ai pas jugé utile de vous le dire, mais une érection est apparue peu à peu.
Sans avoir la queue prêt à éclater, j’ai une franche induration devant cette scène.

Levant la main comme pour chasser une démangeaison, l’air de rien, elle glisse sa main gauche dans son décolleté, et fait passer ses doigts sous la dentelle.

Sa main droite est maintenant franchement sur mon paquet, tandis que je devine son index et majeur gauche faire rouler son téton sous le tissu du soutif.
Elle frotte doucement mon sexe au travers du tissu, et finit par écarter son sein du balconnet pour le libérer à ma vue, que je n’aie aucun doute sur ce qu’elle est en train de faire.

C’est un magnifique globe blanc, au téton rose, à l’aréole large qui je dévore des yeux qu’elle semble prendre beaucoup de plaisir à caresser.
Se redressant, je sens son souffle dans mon cou, et elle me murmure en gloussant : « Je commence à être trempée ! »

Elle se redresse, se lève, puis dégrafe son soutif, le retire de sous sa bretelle spaghetti, puis …
baisse sa culotte.

Elle replie un peu brièvement la lingerie, puis le la tend :
-Tiens, range ça dans tes affaires, mon chéri, tu seras adorable.

Je n’ai rien trouvé à lui répondre, j’ai fourré ses affaires dans mon sac à dos, complètement hypnotisé.
Elle a repris sa place, arrêtant pour le moment ses jeux de mains baladeuses, mais en laissant ses boutons défaits, pour me laisser large vue sur ses seins.

Le contrôleur est passé, poinçonnage des billets, puis nous avons repris nos places.
Elle semblait avoir décidé de se reposer, mais c’était à mon tour de bouillir, excité comme une puce.

J’ai pris sur moi, et nous sommes arrivés à la gare de Besançon-Viotte.

Alors que le controleur nous faisait son petit discours d’entrée en gare, 10 minutes avant la descente, nous nous levons pour prendre nos valises au dessus de nos têtes.
Ma partenaire reboutonne son corsage.
Elle me dit, devant mon regard un peu triste :
– T’inquiète, je compte bien te les remettre sous le nez aussi souvent que je le peux ce weekend.
Elle se hisse sur la pointe des pieds pour chopper sa valise.
Je vois le bord de sa robe remonter sur ses jambes et dévoiler la naissance de ses fesses.
D’une voix tremblante :
– Tu ne veux pas te rhabiller ?
– Ben je suis habillée, me répond-t-elle en souriant et tirant la langue, alors qu’elle se retourne après avoir déposé son chargement sur le siège.
Elle m’embrasse alors fougueusement avant de sortir du compartiment.

C’est notre pote Camille qui est venu nous chercher à la gare en voiture. Valentine, sa copine, dont nous fêtons l’anniversaire ce Weekend-là à une petite maison dans les environs, à Pouilly.

Il est 23h, on charge le coffre, Et Anna monte à l’avant tandis que je monte à l’arrière.
J’espère juste qu’aucun courant d’air ne va faire remonter la robe d’Anna, Camille pourrait se poser des questions, je suppose. (et se rincer l’oeil aussi, mais ca c’est autre chose)

Notre compère est un GROS stressé. C’est lui qui a organisé l’anniversaire, mais on a l’impression qu’il monte une pièce de théâtre !
il nous parle bouffe, sono, activité, et bien sur, logements, dans les chambres d’amis, les gîtes d’à coté, etc.

Rétrospectivement, je me suis dit que cette pestouille d’Anna était très forte :
Initialement, nous devions avoir une chambre par couple, mais du coup il devait redispatcher tout le monde en faisant des piaules de célibataires hommes, et femmes, déplacer des matelas, etc.
En discutant avec lui, elle a tant et si bien manœuvré qu’elle l’a convaincue de nous filer une seule piaule pour les deux et qu’on se partagerait un grand plumard.
(« avec ce qu’on va torcher, Camille, on en aura rien à foutre d’avec qui on dort ! Et puis Greg picole pas trop, donc au moins je sais qu’il ne me gerbera pas sur la tronche ! »[Insérer ici blague nulle sur l’émétophilie])

Arrivé chez eux, on retrouve la fine équipe et la famille de Valou, avec qui on s’installe pour boire le café.
Les discussions vont bon train, et alors que minuit s’approche, tout le monde commence à se diriger vers ses plumes et nous prenons place dans une des chambres d’amis.
Inutile de vous dire qu’Anna s’est montrée parfaitement discrète tandis que nous étions avec tout le monde, mais une fois que Camille nous a montré les lieux et fait la bise avant d’aller se coucher, Anna est revenue à la charge.
Elle a fermé la porte, m’a choppé par le col du t-shirt, m’a embrassé, puis m’a envoyé sous la douche.
De retour, frais et dispo, je suis rentré dans la chambre pour la trouver totalement nue.

Elle était de dos, et je pouvais profiter d’une vue superbe sur son joli cul.
Je me suis lancé alors et lui ai dit, à voix basse pour que personne ne nous entende au cas ou :
– J’aime bien là vue !
– Tu veux la voir de plus près ?
– Ben va donc prendre ta douche, et si tel est ton bon plaisir, je ferai même plus que les reluquer, tes fesses !

Je profitais de l’absence de ma copine de lit pour envoyer un texto à ma douce :
– Coucou ! T’es sur que c’est ce que tu veux, mon ange ? Parce que Miss est chauffée à blanc là !
– Oh que oui ! Et j’espère bien qu’elle me racontera les détails ! (Pas la pression, le Greg, déjà …) Toi de ton coté, l’idée que je me fasse plaisir avec Olivier, ça va ?
– Si tu t’éclates, alors je suis heureux. 🙂
– Amuse toi bien alors ! Moi je vois mon toyboy demain soir !

J’ai eu le temps de me glisser sous les plumes avant qu’Anna revienne dans la chambre, simplement vêtue d’un débardeur et d’une petite culotte de dentelle échancrée.

Elle s’est effondré sur le matelas à coté de moi en grognant.
– Tu veux bien me masser s’il te plait ? Je suis toute endolorie.

Je me suis au boulot consciencieusement, en suivant ses indications, soulageant les points qui la faisaient souffrir, Laissant aussi mes mains courir pour le plaisir de caresser sa peau de pêche, et aussi pour la sentir frissonner de plaisir sous mes mains.
Assez vite, J’ai retiré son haut pour mieux accéder à tout son dos.

Nous nous mettons a parler à voix basse :
– J’ai un jeu intéressant à faire pendant que tu me masses.
– Je t’écoute.
– Bon, je discute suffisamment de choses croustillantes avec ton amoureuse pour avoir une idée de ce que vous faites, mais je vais te poser des questions indiscrètes, et tu devras y répondre honnêtement.
En échange, tu pourras aussi m’en poser.
– D’acc.
Je suis en train de lisser les muscles de sa nuque.
– Tu fantasmais sur moi avant ce soir ?
– Là, je pense que Nathalie a du te dire : Oui, je t’ai toujours trouvé très sexy. Et toi ?
– D’un certain point de vue : T’es séduisant, et si avec Olivier j’ai l’habitude de faire l’amour avec un homme fluet, je n’ai jamais eu l’occasion de m’envoyer en l’air avec un colosse comme toi. [Je fais 1.92m et 100kg]Tu t’es déjà branlé en pensant à moi ?
Je suis en train de détendre ses trapèzes, mais je ralentis momentanément, un peu saisi par le coté cru de la question …
– Quelques fois, je pense. Tu sais, si on devait faire une liste …
Je me suis alors dit qu’à trash, trash et demi :
– Tu aimes qu’on te prenne par le cul ?
petit silence…
– Si c’est fait avec douceur, oui, et c’est même sans doute une des choses que je préfère, ya pas meilleur moyen pour me faire hurler de plaisir.
– Intéressant !
Je suis à califourchon sur elle et mon phallus déjà bien tendu est maintenant raide comme pas possible.
Vu que le renflement frotte entre ses fesses, je pense que ca ne lui a pas échappé.
Je suis sur ses omoplates, elle reprend :
– Bon, je sais que Nat n’aime pas le facial, mais toi, tu préfèrerais tout juter au fond de mon gorge, ou bien m’envoyer toute la sauce à la figure ?
Je halète un peu, j’ai chaud et je tremble comme pas permis.
Tandis que je retire mon T-shirt, je lui réponds :
– Honnêtement, les deux me font tellement fantasmer que je ne sais pas. J’imagine que je vais devoir tester toutes les options, et plusieurs fois pour te répondre. Tu vas pas beaucoup dormir ce WE.

Ayant parcouru son dos à loisir, je suis descendu sur ses fesses.
Sa culotte noire a vite volé au travers de la pièce pour être plus à l’aise, et le temps que j’apprenne qu’elle était bisexuelle, qu’elle avait déjà fait un plan à trois, et qu’elle, elle apprenne que je rêvais de me faire sucer/caresser par une femme chevauchant un Sybian et que j’étais curieux de l’anal sur moi.

Ses jambes étaient écartées, mes mains ont donc fini par s’égarer entre.

ses nymphes étaient repliées sur elles-mêmes, trempées et luisantes. mon majeur et mon index se sont frayés un chemin entre elles, et tandis qu’Anna redressait le bassin en se cambrant, ma langue commençait à lui titiller sa petite griotte …

Mon autre main lui pétrissait les fesses, et je ne tardai pas à l’entendre s’essouffler en accompagnant mes mouvements avec son bassin.

Murmures.

– Retourne toi, s’il te plait.
– Uniquement si tu continues à me lécher.
– Naaaan, sans déc ?

Je m’écarte d’au dessus d’elle, elle se retourne alors tandis que je quitte mon boxer puis je me remets à genoux devant son sexe, et je reprends mes caresses et mes jeux de langue.

Une de mes mains fait des allers-retours entre sa poitrine, son mont de venus et sa fesse, caressant, massant pétrissant doucement, alors que ma bouche aspire toujours son clitoris et le titille de la langue.

Je m’interromps parfois pour la lécher de bas en haut sur l’ensemble de sa fente, ou bien pour suçoter ses petites lèvres gonflées.

De l’autre main, j’ai glissé a nouveau deux doigts en elle.
après quelques allers-retours, je les crochette vers le haut pour caresser, masser et presser la zone rugueuse qui se trouve sous son pubis, ce qui fait redoubler de v******e les à coups de son bassin !

ce genre de traitement, à rythme soutenu, ne tarde pas à avoir l’effet escompté : Elle s’arque-boute violemment en mordant son poignet pour ne pas crier, et je sens quelques menus jets d’un liquide tiède jaillir au creux de ma main et sur mon menton.

Il lui faut un moment pour réussir à reprendre pied, que je mets à profit en passant mes mains sur toutes les parties de son corps mince et bien proportionné.

– T-t-tu vas me le payer, me glisse-t-elle à voix basse avec un sourire perfide. Allonge toi sur dos.

Elle tangue un peu de cette ivresse que l’orgasme fait courir dans nos veines, mais cela ne la décourage pas, décidée à me faire ma fête.

Elle commence par m’embrasser profondément, puis descend sur mon torse, me suçote et me mord les tétons, alors que ces mains montent et descendent le long de mes cotes et mes hanches.

après avoir embrassé mon ventre, longuement, cm par cm (en me rendant fou par la même occasion) elle arrive vers la zone convoitée, et se jette sur mon sexe.

Une de ses mains entoure la hampe de ma queue et accompagne les va et vient, et l’autre enserre mes boules et les masse.

Elle accélère le mouvement et amplifie sa course, ce qui fait que je sens parfois mon gland taper au fond de sa gorge, mais loin de l’écœurer, cela semble la rendre folle de plaisir, et la cadence redouble.

Ça fait déjà un moment que j’ai les couilles pleines à m’en faire mal, et je suis sur le point de venir quand elle arrête net ce traitement.
– Mais t’arrête pas !
– CHUUUT ! Doucement !

Elle tire la langue, goguenarde :
-Et ta gueule : t’es à moi je fais ce que je veux de ta queue !

Elle vient s’agenouiller au pied du lit, et m’intime de venir m’asseoir au bord.
– Ok, niveau taille des nichons, je peux pas test avec ceux de Nat, mais j’ai bien envie de mettre ta bite entre les miens.

Elle joint le geste à la parole et commence à se redresser et se baisser, faisant coulisser mon chibre entre ses deux mamelons.

Elle officie en ne me quittant pas du regard, les yeux dans les yeux, avec une lueur lubrique infinie au fond des prunelles.

C’est à ce moment là que je réalise que je suis en train de me faire baiser à mort par la benjamine de notre petite équipe, la meuf de mon pote Olivier (les deux trois fois ou je me suis caressé en pensant à elle me reviennent enfin à ce moment là), et le tout avec la bénédiction de ma belle !

(Et un peu celle implicite de d’Olivier, mais en même temps il va pouvoir profiter de la colossale poitrine de ma belle, donc il n’a pas à se plaindre !)

Elle ralentit le rythme (pas possible, j’en ai au moins une qui va exploser si ça continue !!!) se redresse, puis me lance :
– J’ai un petit creux, je vais tout m’envoyer dans le gosier …

elle se jette à nouveau sur ma queue et va et vient rapidement avec sa bouche autour de moi.

Mes testicules remontent, mon chibre gonfle à son paroxysme et … Anna sort ma queue de sa bouche pour tout recevoir sur son joli minois au yeux de biches !

Je me retiens de ne pas hurler de plaisir, dans une sensation qui mêle douleur et plaisir, le premier transmuté par le deuxième pour me retourner le cerveau et me pousser au bord de l’évanouissement.

Je n’ai pu décrocher mes yeux du regard d’Anna qui se souille complaisamment de ma semence, et je note au passage, amusé, que j’en envoie également par dessus elle sur le lino, devant la porte.

« Ou pas ! »
(Grosse maline, va !)

je retombe mollement sur le matelas.

Je sens ma copine de couette remonter sur lit, à califourchon sur moi, ses mains sur mes épaules, son menton sur mon plexus et son petit minou sur ma queue.

Sa joue gluante se colle contre mon pectoral.

Au bout d’un moment qui peut être un instant comme une éternité, j’ouvre péniblement les yeux, et constate qu’elle s’est littéralement douchée de mon foutre, son visage est barré de jets blancs qui commencent à devenir transparents.
Et elle a l’air d’adorer ça, parce qu’elle me regarde avec un grand sourire qui se mue même en un petit gloussement.

– C’est absolument fantastique de te faire des trucs hyper trashs, parce que tu les vis à fond et sans retenue.
Mon doudou a plus de mal à se lâcher.

Je commence a redescendre -un peu- sur terre, et constate l’étendue des dégâts.

– Et merde … on en a foutu partout.
– TU en as foutu de partout.

– C’est toi qui tenait la lance à incendie, cocotte.
(Elle glousse)

– t’inquiète, laisse moi faire.

Elle se redresse, et passe un grand coup de langue sur la zone ou était sa joue pour me nettoyer de mon sperme.
Ok, là c’est franchement lubrique au point de me faire avoir des vertiges …

Elle se penche sur mon sexe et me suce copieusement, me faisant m’arque-bouter violemment.

Vu son sourire, elle prend un plaisir pervers !

-ça c’est fait … t’es tout propre.

Elle chope son débardeur et essuie le sperme au sol avec.

– ça aussi.

Elle commence à se retourner vers la porte :

– Hey, putain, déconne pas, tu vas pas sortir à poil de la piaule avec le visage couvert de sperme …

– CHUT ! Greg, c’est plus de 2h du mat’, et la salle de bain et en face.

J’ai rien le temps de rajouter.

elle revient quelques minutes après, m’arrache mon caleçon des mains.

– Pas question que tu te rhabilles, et se jette sur le lit comme une otarie bourrée.

– Mais on va pas dormir à poil !!!! Putain, si Cam’ rentre dans la piaule comme ça ?

– Il ne le fera jamais tu le sais, et tu es le plus lève-tôt de tous. Tu restes à poil, je veux ta queue à dispo si j’ai envie de m’éclater pendant la nuit.

elle éteint la lampe de bureau, et vient coller ses fesses contre ma queue.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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