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Vacance chez mon oncle. Version intégrale !

Vacance chez mon oncle. Version intégrale !



Je n’espérais pas avoir autant de lecteurs et lectrices, tant de commentaires, de compliments ! Toute cette énergie incroyable que vous m’avez offert et qui me donne envie d’écrire encore pour vous !
Les six chapitres cumulés représentent 40.000 lectures ! C’est énorme !

Je vous l’avez annoncé à la fin du dernier chapitre, voici l’histoire en version intégral !
Ainsi vous pourrez la découvrir ou la redécouvrir sans avoir à jongler entre les différents chapitres.

40.000 mercis à tous et autant de bisous 🙂
Je vous aime !
CrazyJoz.

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Vacance chez mon oncle.

Chapitre 1.

Chaque année depuis mes douze ans, mes parents m’envoyaient passer le mois d’août chez mon oncle. Malgré mes dix-huit ans, cette année ne faisait pas exception. Mon oncle vivait dans un petit village paisible de Normandie. N’étant que très rarement à la maison, je profitais la plupart du temps de la maison et de la piscine seul, et si possible nu. Vivant en parfait célibataire, mon oncle avait engagé Maria, sa voisine, quarante-cinq ans et des formes bien généreuses, pour s’occuper un peu de la maison (ménage, linge, etc.). Depuis ma première visite chez mon oncle, je craquais sur la fille de Maria, Jessica, de deux ans mon aîné. Elle était blonde, mince, assez petite mais avec des fesses bien rondes et des seins comparables à deux beaux melons. Elle me faisait bander avant même que je ne connaisse la signification de ce mot !
J’arrivais chez mon oncle le premier dimanche du mois d’août. Connaissant mon faible pour Jessica, il m’annonça aussitôt que la voisine était absente jusqu’à mercredi.
« Ça fait onze mois sans la voir, t’es plus à ça prêt ! »
Et pourtant si, j’étais impatient ! Cette année allait être la bonne, ma décision était prise, je mettrais tout en œuvre pour la séduire.

Attendre jusqu’à mercredi matin fut long, mais elle était enfin là. Le fantasme de mes nuits, elle n’avait pas grandi, mais ses seins étaient encore plus bombés qu’avant et ses fesses semblaient plus fermes. Maria, elle, n’avait pas changé d’un poil depuis l’an dernier.

La fenêtre de ma chambre offrait une vue parfaite sur son jardin. J’entendis de la musique venir de sa terrasse, j’allais enfin pouvoir l’admirer ! Je jetai un rapide coup d’œil, elle bronzait seins nus ! Elle était allongée sur un transat me tournant le dos, la position idéale.
J’observai sa peau brunie par le soleil, ses beaux tétons bien roses, il n’en fallut pas plus pour me provoquer une belle érection. Je retirai mon short et mon boxer pour en sortir mon sexe. Les quinze centimètres de mon érection sortirent du boxer comme un ressort de sa boite.
L’excitation grimpa aussitôt que ma main entama des va-et-vient frénétiques. Je ne tenais jamais très longtemps devant les seins de Jessica, dix minutes tout au plus. Je me masturbais en implorant son nom, c’était si bon de retrouver cette sensation, j’accélérai la cadence en attrapant un mouchoir posé sur le rebord de la table de chevet, je sentais tout mon sperme monter dans mon gland. J’en avais envie depuis si longtemps, j’allais enfin pouvoir éjaculer sur ma belle Jessica ! J’éjaculai bruyamment devant ma fenêtre tandis que la porte de ma chambre s’ouvrit. Merde ! Je n’avais pas verrouillé !

Le panier à linge de Maria tomba au sol.
« Mon Dieu ! Je suis désolé ! cria-t-elle. Je ne savais pas que tu étais là ! »
Paniqué par la situation, je restais figé face à elle. J’étais nu, je cachais mon sexe d’une main et tenais le mouchoir rempli de sperme de l’autre. Maria me fixait étrangement, je savais que j’étais grillé… Elle s’approcha de la fenêtre pour confirmer ce à quoi elle avait pensé. Elle était collée à moi, je sentais son parfum de vanille. Malgré moi, ce parfum, cette situation, cette proximité, je sentais l’excitation remonter en moi.
J’hasardai un regard vers Maria. D’un geste brusque, elle agrippa mon sexe et le serra fortement.
« Sale petit pervers ! Elle te plaît ma fille ? T’aimes ça te branler devant elle ? »
J’étais choqué par cette réaction, par ce contact entre mon sexe durcissant et cette main si chaude, si douce, qui me malaxait le sexe. Je devais être rouge de honte, je n’osais pas lui répondre…
« Mais c’est que tu bandes en plus ! »
Je ne pouvais le nier. Maria ne m’avait jamais intéressé, son âge, son corps bien en chaire et ses deux gros seins tombants… Rien ne m’intéressait chez elle. Pourtant, cette douce main qui glissait sur mon intimité, ce premier contact entre mon sexe et une autre personne… C’en était trop pour moi.
« Ça te plaît que je te touche, sale petit pervers ? »
Je répondis par un timide « oui ». Sa main quitta mon sexe et s’approcha de son visage, je vis ses doigts couverts d’un restant de sperme. Elle regardait le précieux liquide, puis me fixant droit les yeux, elle porta ses doigts à sa bouche.
« Salé, dit-elle, comme ton oncle. »
La révélation me frappa, mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir. En un rapide mouvement, Maria s’était agenouillée et avait repris sa caresse avec plus de vigueur.

Je croyais rêver ! Je fermai les yeux, laissant l’excitation monter de nouveau en moi. Je ne contrôlais plus les petits gémissements qui sortaient de ma bouche. Cette main douce, experte, qui me branlait avec frénésie, je ressentais un divin plaisir à chacun de ses mouvements. J’étais sur le point de jouir une seconde fois, Maria le sentit et d’un coup sec du poignet elle fit exploser mon éjaculation. Mon sperme alla se répandre sur son visage et sur le galbe de ses gros seins qu’offrait son décolleté. Mon cœur battait la chamade, je ne m’étais jamais senti si soulagé, si vide de toute semence… Quel bonheur ! Mon sexe était encore parcouru de spasmes.
Maria se releva et, en me fixant dans les yeux, elle continua le va-et-vient sur mon sexe. Mais malgré cette caresse je ne bandais plus. Je ne pouvais pas faire ça une troisième fois. Elle le comprit et laissa retomber mon sexe mou avec un air de regret. Ses doigts vinrent récupérer le sperme sur son visage, elle suçait ses doigts avec passion, elle dégustait mon sperme.
« Si tu dis rien à ton oncle, je ne dis rien à ma fille. »
J’acquiesçai de la tête, toujours incapable de parler… Maria reprit son panier comme s’il ne s’était rien passé, puis se retournant elle me fixa.
« C’était rapide, j’espère que demain tu seras plus en forme que ça ! »
Elle quitta ma chambre sans attendre ma réponse. Sa phrase ne laissait aucun doute, elle ne comptait pas en rester là ! J’avais raison de croire que ce mois d’août serait différent, mais je ne savais pas encore à quel point…

Chapitre 2.

Je fus réveillé par un chien aboyant dans la rue, mon réveil indiquait dix heures. Encore endormi, je me demandais si je n’avais pas imaginé la scène d’hier… Je revis alors Maria, accroupi face à mon sexe en érection, le branlant frénétiquement pour en extirper la moindre goutte.
J’allumai la lumière de la chambre et regardai le sol, je n’avais pas pensé à nettoyer le sperme tombé sur le parquet. Ce n’était donc pas un rêve. Mon sexe gonfla lorsque je repensai à ses mots « j’espère que demain tu seras plus en forme que ça ! » Que voulait-elle de moi ? Mon cerveau divagua et je me mis à l’imaginer nue sur mon lit, entièrement offerte… Ma première fois… Je voulais offrir ma virginité à Jessica, mais avec ce que Maria avait vu, avais-je vraiment le choix ?
Mon érection devenait de plus en plus grosse. Résolu à calmer la pression, je courus vers les w.c. Le souvenir de Maria léchant mon sperme sur ses doigts me fit jouir en à peine quelques secondes. Je me trouvais assez honteux de cette expérience, il faudra que je sois plus performant quand elle reviendra !

Je descendis prendre mon petit déjeuner, la maison était vide. Un mot de mon oncle m’attendait sur la table.
« James, Maria viendra cette après-midi de 14 à 16, pense à mettre un caleçon.
Je pensais l’inviter à diner un soir avec sa fille, ça pourrait être ton occasion !
On en reparle ce soir.
Arthur. »

Je restai assis dans le canapé jusqu’à 14 h, incapable de penser à autre chose. Un diner avec elles ? Le feu me montait aux joues… J’entendis enfin la porte s’ouvrir.
« C’est Maria ! Arthur, vous êtes là ?
— Il n’y a que moi, répondis-je timidement. »
Maria posa son sac sur la table et vint à ma rencontre, elle m’embrassa sauvagement.
« Salut le voyeur, j’espère que t’es en forme ! »
Sa main droite caressait déjà mon entrejambe.
« Maria, je…
— Tu quoi ? m’interrompit-elle. Interdiction de te défiler. Tu ne voudrais quand même pas que je raconte à tout le village ce que j’ai vu hier, pas vrai ?
— Non…
— Alors c’est réglé. Va dans ta chambre et déshabille-toi. »
Sa voix était autoritaire, j’avais devant moi une personne totalement différente de celle que j’avais connue jusque-là.
Je m’exécutai sans protestation, à la fois craintif et excité de ce qu’il allait se produire.

J’étais nu, assis sur mon lit. J’entendais Maria dans la salle de bain, elle fredonnait paisiblement.
Lorsque je la vis arriver, elle portait une guêpière noire transparente, des collants et des talons hauts. Maria, quarante-cinq ans, quatre-vingts kilos de formes généreuses.
Elle me désigna son entrejambe parfaitement rasé.
« J’ai fait ça pour toi, ma fille m’a dit que c’est ce qu’elle faisait pour ses copains. »
Instinctivement, je me levai du lit pour m’approcher d’elle. Mon sexe bandait comme jamais auparavant.
« Je vois que ça te plait, petit pervers ! »
Sans répondre, j’attrapai ses deux gros seins et les malaxai tendrement, je les fis sortir de la guêpière et pinçai ses tétons durcit par l’excitation.
« Moins fort imbécile, cria-t-elle en me repoussant.
— Désolé…
— Mets-toi à genoux maintenant. »
J’obéis sans opposer de résistance, mon visage se trouvait à hauteur de son vagin, j’enlevai sa culotte transparente et contemplai pour la première fois de ma vie un vagin, quelle merveille ! Je fis glisser mes doigts autour, dessus, entre les lèvres… Je n’avais aucune idée de ce que je devais faire et pourtant, ma main agissait. Je m’hasardai à y glisser un doigt, l’intérieur était doux et chaud, agréable, j’imaginai déjà glisser mon sexe à l’intérieur… J’entrepris d’y mettre un deuxième doigt et de faire quelques mouvements du poignet, d’abord de haut en bas, puis sur les côtés. Un petit liquide visqueux commençait à couler tandis que la respiration de Maria accélérait. Maria me donna un nouvel ordre.
« Bouffe-la-moi. »
Je retirai mes doigts aussitôt, lui arrachant un petit cri. Puis, approchant mon visage, je sentis un léger parfum de vanille, je plaquai mon visage contre ses deux lèvres rougies d’excitations. J’aspirai ce liquide visqueux au gout étrange mais pas désagréable, ma langue fouillait l’intérieur de son vagin. D’une main, je me mis à me branler tandis que de l‘autre j’allai trouver ses fesses rebondies. Je glissai un doigt dans la fente de ses fesses mais elle retira ma main.
« Pas aujourd’hui trésor. »
Ma main alla donc caresser son clitoris, pas aujourd’hui mais peut-être une autre fois, pensai-je.
Ma langue lui procurait du plaisir, je la sentais frémir et vibrer à chaque mouvement, elle émettait maintenant de petits gémissements. Je continuai et très vite, un liquide vint inonder mon visage, surpris, je m’écartai.
« Pas mal pour un débutant, petit pervers ! La prochaine fois, ouvre bien grand la bouche.
— D’accord, dis-je en me relevant.
— à mon tour maintenant ! »
Elle me jeta sur le lit. Les jambes écartées et le sexe pointant vers le plafond, je reprenais mon souffle. Je sentis sa main saisir ma verge, un frisson de plaisir parcourut tout mon corps.
« T’en as envie, pas vrai ? demanda-t-elle en commençant de lents va-et-vient. Je continue ou j’arrête ?
— Continue, murmurais-je.
— Continuez, me reprit-elle en serrant mon sexe, on va imposer quelques règles, d’accord ?
— D’accord… »
Elle mit une pichenette sur mon gland, l’effet était loin d’être désagréable.
« Premièrement, c’est un rappel de ce que je t’ai dit hier, ce qu’il se passe reste entre nous.
— D’accord. »
Seconde pichenette, sur le testicule gauche cette fois-ci.
« Deuxièmement, tu m’appelleras madame, ou mieux encore, maîtresse.
— D’accord… maîtresse. »
Je m’attendais à recevoir une troisième pichenette, au lieu de cela je sentis sa langue glisser le long de mon sexe.
« Troisièmement, ce jouet n’appartient qu’à moi. »
Je me crispai, qu’à elle…
« Mais…
— Aucun « mais » qui tienne ! »
La troisième pichenette arriva sur mon testicule droit. Elle reprit ses mouvements du poignet.
« Si tu ne respectes pas ces trois règles, je parlerai de toi à ma fille, et à ton oncle, puis à chaque personne que je croiserais. Tu n’en as pas envie, pas vrai ?
— Non, maîtresse…
— Bon garçon, tu es à moi, petit pervers. Et puis je te donne du plaisir, non ? »
Elle m’en donnait, bien plus que je ne pouvais l’espérer… Sa langue glissa de nouveau sur ma verge et s’enroula sur mon gland.
« Tu aimes ça pas vrai ? Dis-le !
— Oui, maîtresse… J’aime ça.
— Bien, alors il n’y a aucune raison pour que tu ailles voir ailleurs, on est d’accord ? »
Maria suçota mon gland du bout des lèvres avant d’avaler mon sexe entièrement, ma première fellation.
« Oui maîtresse, j’accepte les trois règles. »
Certainement heureuse de me l’entendre dire, elle mit plus d’entrain à sa fellation, j’étais aux anges, sa langue glissait sur mon pénis. De temps à autre, elle allait lécher mes testicules en continuant une masturbation ferme et rapide. C’était si intense… J’aurais aimé que cela dure des heures, mais, après une dizaine de minutes de ce traitement, je sentis la pression monter dans mon urètre.
« Je vais jouir, maîtresse.
— Ah non ! »
Elle se retira, me laissant sur le bord de l’orgasme… Elle resta là, à quatre pattes sur mon lit, admirant mon gland rouge sang faire de petits sursauts.
« Retiens-toi ! ordonna-t-elle. »
Je fis de gros efforts pour me contenir, mais la pression était trop forte. Dans un dernier spasme, mon sperme se déversa hors de mon sexe.

La respiration haletante, je reprenais mon souffle en fixant le plafond, ça avait été intense, bien plus que la masturbation. Je sentais mon sexe rétrécir, Maria n’allait pas être satisfaite…
« Tu ne m’as pas écouté, gronda-t-elle, tu dois être puni ! Ne bouge pas et garde la bouche ouverte. »
Je m’inquiétais de ce qu’elle voulait me faire, puis je sentis sa langue sur mon bas-ventre, elle léchait le sperme. Mon gland, encore sensible, me procurait des petits sursauts à chaque passage de sa langue dessus. Elle n’en perdait pas une goutte.
Immobile, comme elle l’avait ordonné, je la vis se placer à califourchon sur moi, puis elle approcha son visage de moi. Je vis ses yeux remplis de vices fixer avec convoitise ma bouche gardée ouverte, elle agrippa mon menton pour que je la garde ainsi, elle n’allait pas…
Elle ouvrit sa bouche et laissa se déverser tout mon sperme dans la mienne, c’en était trop pour moi. Je voulus me retirer, mais je ne parvenais pas à la faire bouger. Je paniquai tandis qu’elle bloquait ma mâchoire de sa main. J’étais d’accord pour le reste, mais pas pour ça ! Je me débattais, voulant recracher ce liquide visqueux, mais rien n’y faisait, elle ne lâchait pas son emprise.
« Tu as désobéi, tu es donc puni, c’est comme ça. Tu veux que je te libère ? »
Ne parvenant pas à parler j’acquiesçai de la tête.
« Il n’y a qu’un seul moyen pour ça. Obéis, petit pervers. »
J’aurais dû m’attendre à ce genre de chose… Sa voix et son regard me le disaient, elle prenait un grand plaisir à me torturer ainsi. Parallèlement, je sentais son bassin frotter contre mon sexe, et malgré la situation, une nouvelle érection se profilait.
« Avale, et je t’offre ma petite chatte… Sinon on reste comme ça, jusqu’à ce que ton oncle rentre, s’il le faut. »
Je ne voulais pas que mon oncle me surprenne dans cette situation. Et malgré moi, l’excitation était présente, je voulais sentir mon sexe envahir son intimité…

La pièce était plongée dans le silence, comme si plus rien n’excitait en dehors de ces quatre murs. À contrecœur, j’obéis de nouveau. Un petit bruit de déglutition se fit entendre. Maria me souriait, elle paraissait tellement heureuse.
« Bon choix, mon trésor. »
D’un geste franc, elle fit pénétrer mon sexe dans son vagin. Cette fois le couinement vint de moi. Maria se mit à gesticuler, elle montait et descendait, mon sexe se faisait engloutir. Je voulus agripper ses seins, mais elle me repoussa et maintint mes mains sur le lit.
« Fallait pas me faire attendre… »
Elle m’embrasa de nouveau et accéléra la cadence. Mon gland me donnait des informations contradictoires, je ressentais du plaisir mais aussi un picotement intense dû à la précédente éjaculation.
Je restai là sans rien dire, j’admirai Maria se dandinant sur moi. J’en oubliai sa fille tant je la trouvais rayonnante dans sa guêpière noire, je salivai à la vue de ses seins tremblotants. Ses mouvements furent plus violents encore, j’entendais un petit claquement à chaque fois qu’elle se laissait retomber sur moi, je voulais jouir, encore et encore, jouir indéfiniment pour elle.
« Je… je vais jouir… maîtresse, haletais-je.
— Tu as retenu… la leçon de… de tout à l’heure ? »
J’acquiesçai, craignant qu’elle refasse le même coup, mais elle continua ses mouvements de bassin.
« Très bien… Tu peux… jouir. »
Je lâchai prise et sentis mon gland exploser à l’intérieur de son vagin. Maria libéra mes mains, je la sentis se raidir avant d’être prise de légers spasmes. Elle s’affala sur mon torse tandis que mon sexe faisait encore des troubles-sauts à l’intérieur d’elle. Mes bras l’enlacèrent, elle se laissa faire.

Nous restâmes sur le lit quelques instants, nos deux corps collés l’un à l’autre par notre transpiration. Je sentais son cœur battre contre le mien. J’étais heureux. Elle ne disait rien, mais je voyais un léger sourire sur son visage. Elle brisa le silence.
« Tu préfères quoi ? Te branler en pensant à la fille, ou baiser avec la mère ?
— Je vous préfère, maîtresse.
— Tu apprends vite, c’est bien. En un mois, j’ai le temps de faire ton éducation ! »
Un sourire enfantin inonda mon visage.
« Merci maîtresse, je ne vous décevrais pas.
— Je l’espère bien. Il est l’heure que je m’en aille, je compte sur toi pour nettoyer tout ça. On se voit demain soir.
— Demain soir ?
— Arthur nous a invitées à dîner. Ça promet d’être intéressant. »
Elle m’offrit un dernier baiser avant de partir. Je soupçonnai qu’elle ait une idée derrière la tête…

Chapitre 3.

J’ai passé l’après-midi au centre commercial avec mon oncle Arthur. Il tenait à ce que je sois présentable pour le repas de ce soir. Il avait insisté pour m’offrir une chemise et une boîte de préservatif. « Pour la voisine » m’avait-il dit en faisant un clin d’œil.
Avec mes récentes découvertes sur lui et Maria, je me demandais bien pour qui était ce repas… Arthur voulait bien faire, mais je le jugeai un peu trop envahissant par moment.

Nous passions le reste de l’après-midi à cuisiner le repas, il en profita une nouvelle fois pour me questionner.
« Tu comptes tenter quelque chose pour la voisine ?
— Euh… Je sais pas, elle m’a jamais regardé…
— Tu ne t’es jamais vraiment fait remarquer non plus !
— Et toi ?
— Moi ? Elle est bien trop jeune !
— Idiot, dis-je en rigolant, je parlais de Maria. »
Il posa son couteau pour aller égoutter les légumes.
« Maria est une femme agréable, c’est vrai, mais ce n’est pas elle… Et puis, si nous étions ensemble, ça ferait d’elle ta tante, ce ne serait pas bizarre que tu coures après sa fille ? »
Je sentis le feu me monter aux joues. Si, ce serait bizarre, encore plus avec les relations que nous avons eues ces derniers jours… Et celles que j’espérais continuer à avoir avec elle.

La sonnette s’activa à dix-neuf heures trente. Nos invitées étaient arrivées. Je descendis les marches vêtu d’un pantalon noir et d’une chemise bleue, les cheveux bien coiffés sur le côté.
Arthur faisait la bise à Maria, je les voyais ainsi collés l’un l’autre, j’en éprouvai une forme de jalousie…
Maria portait les mêmes talons aiguilles que la veille, accompagnée d’une robe sombre et élégante, avec un décolleté laissant apparaître le galbe de ses deux gros seins.
Elle colla ses seins sur mon torse et me fit la bise. Enhardi par cette tenue je lui soufflai un léger « bonsoir maîtresse » à l’oreille. Elle me fit un clin d’œil avant de s’écarter.
Jessica était venue, elle portait également une robe, ajusté au corps et de couleur or qui allait parfaitement avec sa chevelure blonde et ses yeux verts. Ses seins en melon étaient aussi mis en valeur par un décolleté.
« Salut James, ça faisait un bail, tu restes longtemps ?
— Tout le mois, comme chaque année. »
Elle sourit et me fit une bise. Mon oncle invita nos magnifiques invités à prendre place à la table de la cuisine.

Maria s’assit à ma gauche, face à mon oncle, et Jessica face à moi. Sitôt assis, je sentis la main de Maria glisser sous la table et venir se plaquer sur ma cuisse. Je voyais de l’excitation dans son regard et j’aimais cela.
Mon oncle ouvrit une bouteille de vin blanc et nos trinquâmes à un été chaud et ensoleillé.
Nous bûmes ainsi plusieurs verres, discutant de banalité, les études, le travail, la vie… Mon oncle me fit un clin d’œil et dévia le sujet vers les relations. J’appris ainsi que Jessica était de nouveau célibataire. La main de Maria caressait ma cuisse tout ce temps, provoquant une forte érection.
Arthur me demanda de l’aider pour apporter les plats. Maria avait son regard joueur, elle connaissait la réaction que ses caresses avaient produite. Elle me défiait du regard, je lisais presque en elle : « vas-tu te lever et exhiber ça devant ma fille ? »
Je reculai ma chaise et me levai l’air de rien, avec cette érection apparente. Mes joues devaient rosir malgré moi quand je surpris Jessica, les yeux fixés sur mon érection. « Vous voulez jouer maîtresse, alors jouons » pensais-je.
Arrivé de l’autre côté de la cuisine, j’hasardai un regard vers elle et la vis sourire, ce jeu lui plaisait assurément.

De retour à table, je retrouvais la main entreprenante de Maria. Cette fois elle ne se contenta pas de me caresser. Je la sentis défaire sans mal ma ceinture et ouvrir ma braguette. Sa main chaude se posa délicatement sur mon sexe en érection. L’air de rien, elle continuait à discuter avec mon oncle. Elle tenait sa fourchette de la main gauche et mon sexe de la main droite, une masturbation lente pour que personne ne remarque les mouvements de son bras.
Je prenais sur moi pour ne rien laisser paraître de la situation, et pour ne pas jouir. La table n’étant pas très grande, les jambes de Jessica se trouveraient arrosées de sperme en cas d’éjaculation, Maria le savait sans aucun doute. Cette fois je n’avais pas d’autre choix que de me retenir, sans quoi nous provoquerions certainement un scandale.

Au milieu du repas, Jessica fit tomber sa fourchette du côté d’Arthur et se pencha instinctivement en dessous de la table pour la récupérer. Je voulus croiser les jambes, mais Maria ne retira pas sa main, espérait-elle que sa fille voit ce qu’il se passait sous la table ? J’en étais convaincu, mais ce n’était pas pour m’aider à conclure avec elle, non, elle voulait marquer son territoire…
Lorsque la tête de Jessica réapparut quelques instant plus tard d’en dessous de la table, ses joues étaient en feu, elle nous dévisagea tour à tour. Je me sentais horriblement mal à l’aise. Maria se contentait de sourire et continuer ses lents mouvements de la main.
« Ça va Jessica, demanda mon oncle, t’es toute rouge d’un coup ! »
Mon cœur se serra dans ma poitrine.
« Ça va, ça doit être à cause du vin. »
Je fus soulagé d’entendre sa réponse.
Maria s’amusa tout le long du repas à m’emmener au bord de l’orgasme, sans pour autant me laisser jouir. C’était une véritable torture. Je voulais jouir, je n’en pouvais plus de cette situation !

La fin du repas sonna la fin des caresses de Maria. Arthur se leva pour débarrasser. Par politesse, Jessica alla l’aider, nous laissant seuls.
« Maria, vous êtes folles !
— ah bon ?
— Jessica nous a vus !
— Et alors ?
— Et si elle en avait parlé ? Vous imaginez le scandale que ça aurait pu être ?
— Ton oncle a eu le même traitement que toi. »
Je fus choqué de l’entendre, le même traitement ? Mais elle ne pouvait pas l’atteindre…
« Jessica ?
— T’es bien innocent mon petit pervers… Elle a été longue à ratt****r sa fourchette, tu ne crois pas ? »
Elle avait été longue en effet, mais je pensais que c’était dû à ce qu’elle avait surpris sous la table.
« Donc votre fille couche avec mon oncle ?
— Apparemment oui. Tant qu’elle ne te touche pas, ça m’est égal. Toi, tu es mon jouet, tâche de t’en rappeler.
— Oui… maîtresse. »
Arthur choisit ce moment pour réapparaître à table.
« Et si tu allais montrer à Jessica les travaux qu’on a faits l’été dernier ?
— Je ne t’imaginais pas bricoleur James, tu me montres ? Je n’ai jamais vu ta chambre… »
Arthur me fit un nouveau clin d’œil. Je ne savais quoi en pensait, il couchait avec elle, malgré mes sentiments…
Maria me jeta un regard noir tandis que je me levai de ma chaise.

Jessica grimpa les marches, me laissant à l’arrière, elle tordait lentement des fesses devant moi.
« Alors, elle est où ta chambre ?
— Dernière porte à droite. »
Elle s’y dirigea directement, ses fesses avaient un effet hypnotique sur moi, je la suivais, les yeux rivés sur elle.
Elle ouvrit la porte et entra. Elle alla aussitôt devant la fenêtre. Je la vis observer dehors, vers chez elle…
« La vue est belle, tu ne trouves pas ?
— À part les arbres et les champs, on ne voit pas grand-chose.
— Ah bon ? dit-elle en me regardant. Pas même une jeune fille allongée sur un transat ? »
Je ne sus quoi répondre, rouge de honte, je baissai la tête.
« Viens ici. »
Elle m’attrapa la main et me poussa avec force devant la fenêtre.
« Alors, tu ne trouves pas que la vue est belle ?
— Si, si elle l’est…
— Elle l’est peut-être plus quand je me promène seins nus, quand je me caresse sur ce transat à côté de la piscine ? »
Elle colla son corps contre mon dos, je sentis sa main se diriger vers mon sexe, toujours en érection. Elle me caressait par-dessus mon pantalon.
« Combien de fois ai-je été l’objet de tes fantasmes, devant cette fenêtre ? Il y a longtemps que je le sais, au début j’ai trouvé ça dégoûtant… »
Elle sortit mon sexe de mon pantalon et entama une lente masturbation.
« Dégoûtant, répéta-t-elle, puis j’ai trouvé cela excitant. C’est ça que tu fais pas vrai ? Devant ta fenêtre, c’est comme ça, de haut en bas, sur cette bite ?
— Oui… Je suis désolé…
— Désolé ? Je ne te crois pas. Tu dois plutôt être ravi en ce moment, depuis le temps que tu te branles devant moi, cette fois je suis là, dans cette chambre, avec toi devant cette fenêtre… ça ne te plait pas ? »
J’avais envie de lui dire que oui, de la prendre ici, sauvagement devant cette fenêtre… Maria me le ferait payer amèrement… Mais même si je résistais aux avances de Jessica, me croirait-elle ?
« Si, ça me plait, mais je ne peux pas…
— À cause de ma mère ? Tu es son nouveau jouet, c’est ça ?
— Son jouet ?
— Ne fais pas l’innocent. »
Elle me masturba plus rapidement.
« Je sais bien comment est ma mère… Je suis habitué. Elle aurait pu cacher ce que j’ai vu sous la table, mais elle ne l’a pas fait. Elle marque son territoire.
— C’est vrai, mais elle a peut-être pensé que tu serais trop occupé pour le remarquer. »
Jessica stoppa ses mouvements. Elle lâcha mon sexe et recula.
« La salope… J’étais persuadé que tu ne le verrais pas, et pourtant elle a osé te le dire.
— Oui, je pense qu’elle me l’a dit pour que je n’aie pas envie de toi.
— Et donc ? Ça a marché ?
— Non… »
Elle se mit au milieu de la chambre et tira sur la braguette de sa robe, en un clin d’œil, elle était nue devant moi.
J’admirai la beauté de ses seins, de sa peau lisse, de ce vagin si parfait… Je fantasmais sur cette situation depuis des années, et pourtant, maintenant que le rêve était réalité, que Jessica se trouvait nue dans ma chambre. Je ressentais une hésitation, je n’osai pas bouger.
« Je te plais ?
— Beaucoup, mais…
— Il n’y a pas de mais. »
Elle se rua sur moi et m’embrassa fougueusement, je la laissais faire.
« De toute façon, même si tu repartais la queue entre les jambes, ma mère ne te croirait pas, alors autant en profiter. »
Elle ma plaqua contre le mur et s’agenouilla. Je sentais la douceur de ses lèvres entrer en contact avec mon gland, elle m’aspirait complètement. J’étais aux anges, résolu à assumer n’importe quel châtiment que Maria voudra m’infliger. J’attrapai la tête de Jessica et enfonçai davantage mon sexe dans sa bouche, elle l’accepta sans effort, je contrôlai le rythme. Je voulais défier Maria en baisant sa fille malgré son interdiction.
Je caressais ses cheveux pendant qu’elle avalait mon sexe, je sentais la pression monter, mais ça m’était égal, l’excitation était telle que j’aurai pu continuer toute la nuit. Dans un dernier coup sec, mes doigts se cramponnèrent à son crâne et je me déversai en elle. Je l’empêchai de se retirer, la contraignant à avaler chaque goutte de sperme que je lui offrais.
Quand enfin je lâchai mon emprise, elle se releva, du sperme dégoulinait de sa bouche, elle me fixa d’un regard noir avant de me gifler.
« Connard ! »
Visiblement, je l’avais énervé. Je me sentis mal quelques instants, je n’aurais pas dû agir ainsi… Quelque chose en moi s’était éveillé, une envie, un désir insatiable de sexe, de faire de Jessica mon jouet, et d’en user comme sa mère usait de moi…
Je restai debout contre la fenêtre, le sexe encore raide. Jessica me dévisageait, elle se pencha et ramassa sa robe.
« Tu vas où ? demandai-je d’une voix froide.
— Je me casse d’ici !
— Pas question. »
J’agrippai son poignet, je la tenais fermement, sans pour autant lui faire mal.
« Lâche-moi ou je crie.
— Je compte bien te faire crier oui. Tu fais ta salope depuis tant d’années, et tu t’étonnes que je te traite comme telle ? C’est peut-être pour ça que tu ne peux pas garder un mec, peut-être qu’ils ne savent pas comment te baiser ?
— Parce que tu crois savoir toi ? Toi le ringard bon qu’à se branler devant une fenêtre ? »
Je la projetai sur le lit et m’installai sur elle. Je reniflai son parfum.
« Tu sens bon.
— Décide-toi, tu veux me baiser ou me renifler ?
— Finalement, tu en as envie toi aussi. »
Je l’embrassai, elle ne se débattait pas. Elle gigotait sous mon corps, elle passa ses jambes par-dessus moi et mit son bassin en position.
« Je veux voir si t’es capable d’assumer. »
Elle avait le même air de défi que sa mère. Je rigolai quelques secondes, puis m’enfonçai en elle d’un geste sec, lui arrachant un petit cri.
« Ah ! Salop.
— Ah ! Salope. »
Je me mis en mouvement sans ménagement. Son vagin était plus étroit que celui de sa mère, je m’enfonçai en elle, admirant ses seins bondissants à chacun de mes coups de reins. Depuis le temps que j’attendais ça !
Je restai dans cette position plusieurs minutes, j’en profitai pour titiller ses tétons, les mordiller, elle réagissait à chacun de mes mouvements en se laissant faire bien sagement. Je ralentis le rythme, ne voulant pas jouir trop tôt.
« T’es déjà fatigué ?
— Oh non ! J’en ai pas encore fini avec toi. »
Je me retirai d’elle et la retourna. Elle se cambra instinctivement, m’offrant une vue incroyable sur sa chatte en feu, dégoulinante de mouille, et son anus… Le fruit défendu que m’avait interdit Maria…
Je m’agenouillai derrière elle et nettoyai son vagin avec de rapides coups de langue, elle commença à gémir. Je sentais la chaleur de ses lèvres sur ma bouche, je m’attardai quelques instants sur son clitoris gonflé, les gémissements se firent plus fort, mais je ne voulais pas la faire jouir tout de suite, je stoppai tout et m’insérai d’un coup sec dans son vagin. Elle protesta entre deux gémissements.
« Ce n’est pas ça que tu veux, salope ?
— Si… mais.
— il n’y a pas de mais. »
Je lui claquai les fesses sur ces mots. Je prenais plaisir à l’utiliser ainsi, à en faire mon objet. J’imaginai Maria en bas, enragée en entendant les gémissements de sa fille, quoi qu’elle fût peut-être préoccupée par ses propres gémissements…
Je claquai de nouveau le cul de Jessica, elle poussait un petit « ah ! » à chaque claque, j’aimais entendre ce cri s’échapper d’elle.
Je la bourrinais avec force, il n’y a pas d’autres mots pour le décrire. Mes testicules tapaient contre les lèvres de son vagin, mon sexe s’engouffrait profondément en elle. Je caressais tendrement ce cul jeune et ferme entre deux fessés.
La vision de son anus me donnait de plus en plus envie, je cédai à la tentation. Je salivai sur mon index et le fis tournoyer autour de son anus. Elle se redressa.
« Non, haletait-elle, pas là… s’il te plait… Pas là.
— Tu n’aimes pas ça ?
— Jamais… essayé…
— C’est l’occasion alors. »
J’enfonçai mon doigt en elle, lui arrachant un cri si fort que je pus affirmer que toute la rue l’avait entendu.
« Enculé ! m’insulta-t-elle.
— Techniquement, murmurais-je à son oreille, ce soir ce sera toi l’enculée. »
Je la sentais réticente, elle tremblait, elle tentait de faire ressortir mon doigt, de s’échapper… Je renonçai bien malgré moi à la sodomiser. Non, c’est non…
Je retirai mon doigt et repris mes occupations dans son vagin.
« Merci, souffla-t-elle.
— Mon plaisir ne doit pas être au détriment du tien… Je ne veux pas te forcer. Je veux beaucoup de choses de toi, je veux t’aimer, te baiser, te faire jouir autant que possible, mais pas te forcer. Si je goûte à ce plaisir, ce sera parce que tu me l’auras offert. »
C’était une limite que je ne voulais pas franchir, je l’aurais définitivement perdue sinon… J’avais beau le penser, je n’étais pas comme Maria, je n’étais pas fait pour diriger et faire subir mes fantasmes aux autres…

Jessica voulut changer de position, elle m’allongea et vint s’installer sur moi.
« Maintenant, je contrôle.
— Prends ce que tu veux chérie. »
Elle s’empala sur mon sexe et entama de lents va-et-vient qu’elle accéléra progressivement. J’attrapai ses fesses, ses seins, je parcourrai et caressai son corps délicatement. Je m’arrêtai enfin sur son visage, à l’instant où j’allais jouir, elle était souriante, rayonnante. Je réalisai alors que je ne l’avais jamais vue heureuse… Nos regards se croisèrent en cet instant de jouissance, elle n’eut besoin d’aucun mot, je compris son regard, j’avais gagné mon pari, elle m’appartenait.

Chapitre 4.

Je me réveillai le lendemain matin, seul et la tête vaseuse. Les souvenirs revenaient lentement à mon esprit, les caresses de Maria, la révélation sur sa fille et mon oncle, Jessica dans ma chambre… Mon sexe se raidit en repensant à la belle Jessica, nue sur mon lit, offerte à mes sévices.
J’allais devoir affronter la colère de Maria maintenant. Je redoutais sa venue, qu’allait-elle me faire subir ? Je devais me montrer fort, lui tenir tête, mais oserais-je le faire ? J’imaginais la douleur qu’elle pouvait me faire subir, et une partie de moi aimait cela. Maria m’avait révélé une part de sexualité que je ne connaissais pas, que j’avais maintenant envie d’explorer… Je ne voulais pas renoncer à Jessica, à la douceur de ses lèvres, la fermeté de ses seins, à cette joie, et cet orgasme procuré par son doux et chaleureux vagin. Non, je ne voulais pas renoncer à elle, mais je ne voulais pas renoncer à Maria pour autant…
Je descendis dans le salon et découvris Arthur, mon oncle, allongé dans le canapé. La soirée avait dû être aussi épuisante pour lui. Je ne me faisais pas d’illusion, malgré ses dires de la veille, lui et Maria entretenaient une relation sexuelle, et il avait aussi couché avec Jessica !
« Arthur ? J’ai besoin de ton aide. »
Je le secouais légèrement. Il pivota pour se mettre sur le dos, j’observai alors une bosse à son entrejambe.
« Pas maintenant Maria, murmura-t-il encore endormi.
— C’est James, aller debout ! »
Il se redressa et prit quelques secondes pour m’observer.
« Ah, James, alors cette soirée ?
— Je suis dans la merde… »

Nerveux, je racontai l’histoire de ces derniers jours à Arthur. Maria semblait tolérer l’aventure entre lui et sa fille, je devais savoir comment obtenir la même chose. Je commençais par la masturbation à la fenêtre, Maria qui me surprit ainsi et fit de moi son jouet, ses règles envers sa fille…
« La mère et la fille, et bah mon salop tu te gènes pas !
— Toi non plus ! Je sais que tu te tapes les deux. »
Arthur eut l’air gêné par cette découverte.
« Je savais qu’elle avait poussé trop loin hier soir… James, je sais qu’elle te plait, mais elle me tourne autour depuis longtemps. Au bout d’un moment… Tu comprends ? »
Je comprenais, mais l’image d’eux ensemble ne me plaisait pas du tout.
« Hier soir, repris-je, tu as couché avec Maria ? Est-ce qu’elle t’a parlé de ton histoire avec sa fille ?
— Oui pour les deux questions.
— Et ça ne l’a pas dérangé ?
— Maria travaille pour moi, elle s’occupe de la maison et de temps à autre on baise ensemble, c’est que du sexe, elle n’a pas à se justifier et moi non plus. Je ne lui ai rien dit sur son comportement avec toi, elle fait de même avec Jessica. Tu vois, c’est un équilibre ! »
Chacun faisait ce qu’il voulait de son côté en dehors de leur liaison. Je devais trouver un moyen de créer cet équilibre.

Arthur partit travailler en début d’après-midi, il était prévu que Maria vienne faire le ménage, je l’attendais avec impatience.
Elle ouvrit la porte à quatorze heures, j’étais assis dans le salon. Je la vis déposer une boite sur la table de la cuisine.
« Bonjour, Maria. »
Elle me jeta un regard noir en s’approchant de moi. Elle m’agrippa par le col de mon t-shirt et fourra sa langue dans ma bouche.
« Tu as désobéi aux règles.
— Je sais. »
Elle me gifla violemment.
« Tu ne t’en excuses même pas ?
— Non. »
Sa main droite se leva de nouveau, mais cette fois-ci je l’en empêchai. J’attrapai sa main gauche et la fis reculer contre le mur, cette fois ce fut moi qui l’embrassai brutalement.
« J’ai baisé ta fille et tu as baisé mon oncle, on est quitte. »
Elle ne se débattait pas, j’en fus surpris. Elle me rendit mon baiser, me mordilla la langue, les lèvres.
« Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça ? demanda-t-elle.
— Pourquoi pas ? J’aime Jessica, je veux l’aimer et la baiser comme je l’entends. Je veux qu’elle m’appartienne, de la même manière que je t’appartiens. »
Je la libérai de mon emprise et reculai de quelques pas. Elle resta appuyée contre le mur, son rouge à lèvres éparpillé sur le visage. Je bandais sous mon jean, je ne pouvais pas le cacher. Maria m’excitait terriblement, je ne voulais pas perdre ça, pas même pour sa fille.
« À genoux ! »
J’obéis aussitôt. Elle retourna devant la table et ouvrit la boite, je l’entendis fouiller à l’intérieur. Elle revint devant moi.
« Lève la tête. »
Je la regardai. Je lus l’excitation dans son regard. Une première gifle arriva, aussitôt suivie d’une seconde. Mes joues étaient en feu, je ne disais rien. Elle recommença de nouveau.
« Tu veux toujours désobéir ?
— Oui, maîtresse… »
Je m’attendais à une nouvelle gifle au lieu de ça elle s’agenouilla et colla son front contre le mien.
« Ça ne peut pas marcher comme ça… Soit tu es à moi, soit à une autre.
— Vous faites bien la même chose avec mon oncle. »
Nous restâmes ainsi quelques secondes. Puis elle m’ordonna de me relever et de me déshabiller. Je m’exécutai aussitôt. Une fois nu, elle vint installer un collier à mon cou, elle me tenait en laisse, réellement cette fois.

Tirant sur la laisse, elle me fit avancer jusqu’à la table. J’aperçus le contenu de la boite, des sex-toys, un martiné, un bandeau pour les yeux, des menottes, un bâillon… L’excitation et la peur se mélangèrent en moi.
« Penche-toi sur la table, les jambes bien écartées. »
J’obéis.
Elle prit ma main droite et la menotta au pied de la table, elle fit de même pour la gauche. Je me retrouvai ainsi dans l’incapacité de bouger. Sa main caressa mon dos, mes fesses, mes testicules… Elle saisit mon sexe et commença à me masturber.
« Qu’est-ce que tu veux ? demanda-t-elle.
— Je veux… être votre soumis, que vous m’éduquiez. Enseignez-moi, maîtresse. Faites de moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez…
— Vraiment tout ? »
Sa voix était sadique, étais-je vraiment prêt à tout ? Je le savais au fond de moi, c’était la seule solution.
« Vraiment tout, confirmai-je, en échange, je ne vous demande qu’une chose.
— Ma fille ?
— Oui, maîtresse. »
Elle cessa la masturbation et me mit plusieurs fessés.
« Et si je ne suis pas d’accord ?
— Si vous refusez, je ne serais plus à vous. Vous ne parlerez de rien à personne, pour que je ne parle de rien moi non plus. Je suis ici pour encore trois semaines, j’en ai rien à foutre que l’épicier me traite de pervers, vous, vous vivez ici, ce sera différent pour vous !
— Du chantage ? »
Elle passa ses doigts sur mon anus, elle tournait autour, comme je l’avais fait la veille sur Jessica.
« De la négociation, répondis-je.
— Je vais te baiser, dit-elle froidement.
— Comme vous le désirez, maîtresse. »
J’avais l’impression de signer un pacte avec le diable, mais je le faisais sans le moindre remords. Si je pouvais la satisfaire, être le jouet qu’elle désirait, alors je pouvais garder Jessica auprès de moi. Voilà la solution, notre équilibre.
Maria sortit un gode-ceinture et le mit à côté de mon visage. Il était long, une vingtaine de centimètres. « Je vais te baiser » avait-elle dit. Je l’entendais retirer ses vêtements, mais dans cette position je ne pouvais la voir. Elle prit le gode et l’agita devant mes yeux.
« As-tu déjà essayé ? Personne n’a jamais visité ton intérieur ?
— Non, maîtresse.
— Bien, je vais marquer mon territoire alors. »
Sa voix était joyeuse, elle commençait à s’amuser de la situation. Une partie de moi était toujours apeurée, mais j’avais fait une promesse, je lui avais demandé de m’enseigner… Je ne pouvais plus reculer.
« Ouvre la bouche. »
J’obéis et la laissa faire glisser son sex-toy contre mes lèvres puis dans ma bouche. Sur le bord d’abord, puis plus profondément ensuite. Je m’étouffai. Elle retira le gode et vint se placer sur mon côté, de manière à ce que je puisse la voir. Elle mit son gode entièrement dans la bouche et s’amusa à le faire entrer et ressortir, l’air de rien.
« Tu vois, c’est facile. Respire lentement par le nez et détends-toi un peu. Tu as confiance en moi, pas vrai ?
— Oui, maîtresse. Je vais essayer au mieux.
— Bien. »
Elle remit son gode dans ma bouche quelques instants.
Elle se plaça derrière moi, je sentis un doigt entrer dans mon anus. La première impression fut désagréable. Je ressentais alors ce qu’avait ressenti Jessica la veille. Une intrusion. Son doigt pivota et fit quelques vas et vient, mon sexe tapait durement contre la table, je n’avais jamais autant été en érection.
Le supplice du gode dans la bouche s’acheva, je le sentis maintenant glisser entre mes fesses.
« Tu es prêt à apprendre ? Tu veux être soumis, tu veux que je t’enseigne ? Je vais t’apprendre comment baiser une femme, mais je vais aussi te montrer ce que ça fait de se faire baiser. Ça te convient ?
— Si vous me laissez continuer à voir Jessica. Je suis prêt.
— En tout cas, t’es bien excité. »
Elle s’empara de mon sexe et reprit une masturbation lente tandis que je sentais son gode frotter contre mon anus. Elle poussa lentement, faisant entrer son gland en moi. J’émis un petit cri. J’eus l’impression de perdre mon souffle.
« Commençons la leçon du jour. Pour une bonne sodomie, il faut que ta partenaire soit relaxée, sinon ça bloque à l’entrée. Tu le sens en toi ?
— Oui maîtresse… je le sens… c’est étrange.
— Bien, maintenant je vais avancer lentement et glisser au plus profond de toi. Comme ça tu sauras ce qu’on ressent dans cette situation. »
Elle planta ses ongles dans mes fesses et fit progresser lentement son sex-toy en moi. Je me sentais étiré, déchiré de l’intérieur. Chaque centimètre supplémentaire de cet engin provoquait de la souffrance en moi, pourtant je ne voulais pas arrêter…
« Maîtresse ? Ça fait cet effet à chaque fois ?
— Ton petit cul est vierge, enfin il l’était. Plus tu vas en prendre et plus tu seras élargie à l’intérieur, tu auras de moins en moins de douleur, et de plus en plus de plaisir. Maintenant, accroche-toi, il reste cinq centimètres. »
Elle enfonça d’un coup sec les derniers centimètres, me faisant hurler de douleur. Je m’affalai sur la table. Ma vision se troubla tandis que je sentis de nouveau l’objet se mouvoir en moi, elle reculait et avançait, des va-et-vient qui accéléraient progressivement. Je me sentais étrange, comme éloigné de mon corps. Je subissais cet assaut de plus en plus sauvage, mais je ressentais de moins en moins les choses. Je compris alors que j’étais au bord de l’évanouissement. Maria prenait plaisir à « me limer le cul » tandis que je sombrais lentement vers l’inconscience.
« Maria, stop… arrêtez… »

J’étais assis sur le canapé, je ne me rappelais pas m’y être assis. Maria était agenouillée, la tête entre mes jambes. Elle me suçait lentement. J’écartai la mèche brune qui cachait son visage. Elle leva les yeux vers moi et retira mon sexe de sa bouche.
« Je t’ai trop poussé pour une première, désolé.
— Ça va mieux maintenant. C’était… c’est plutôt étrange comme sensation. Je vous ai déçu Maria… désolé. »
Elle reprit la fellation sans rien dire. Je me laissai aller entre ses lèvres. Je m’en voulais, je n’avais rien fait de mal, mais je ne pouvais m’empêcher de penser ainsi. Je l’avais déçu…

Arthur entra dans la maison et se figea en nous voyant dans une telle position. C’est Maria qui le remarqua en premier, je sursautai lorsqu’elle lui parla.
« Salut, Arthur.
— Je dérange ? »
Maria me regarda, son regard joueur était de retour…
« Pas du tout, on s’amusait un peu !
— Je vois ça, dit-il en allant dans la cuisine, un gode-ceinture, vraiment ?
— Il fallait bien que je trouve quelque chose pour le punir. Viens donc t’asseoir ! »
Je devenais rouge comme une pivoine, Maria le remarqua, elle sourit avant de reprendre là où elle s’était arrêtée.

Arthur s’assit à côté de moi, il enleva ses chaussures comme si tout était normal.
« Alors James, comment ça va depuis tout à l’heure ? »
Je n’osais pas répondre, c’est à peine si je parvenais à respirer. Maria parla pour moi.
« Il n’a pas très bien supporté.
— Ah, Maria… Tu ne l’as pas casé j’espère ! Ma sœur va se poser des questions si je lui ramène un gamin traumatisé.
— Dit pas de bêtise, il a juste failli tourner de l’œil. Mais regarde, ça va mieux. »
Elle secoua mon sexe en érection, Arthur admira le spectacle.
« Je vois qu’on se ressemble ! rigola-t-il. Je suis un peu jaloux Maria. »
D’un geste rapide et assuré, Maria retira la ceinture d’Arthur et déboutonna son pantalon. Le sexe d’Arthur apparut devant moi, droit comme un poteau. Je ne pus m’empêcher de le regarder à mon tour.
Une belle bite, presque aussi grande que le sex-toy de tout à l’heure, bien large. Maria l’empoigna et le branla aussitôt. Arthur se laissa aller dans le canapé, il plaça ses mains derrière la tête.
« Je veux bien que vous jouiez tous les deux, mais le ménage…
— Ne soit pas rabat-joie Arthur, le coupa Maria, James s’est proposé de le faire pour cette fois. »
Elle me fixa droit dans les yeux, tandis qu’elle avalait mon sexe au plus profond de sa gorge. Visiblement, je n’avais pas le choix…
« Alors James, tu as résolu ton problème ?
— Euh… oui, murmurais-je.
— Il était bien embêté ce matin, entre toi et Jessica, ça le tracassait un peu.
— Toi ça n’a pas l’air de te déranger, répondit-elle, la mère ou la fille, autant prendre les deux. Vous vous ressemblez bien. »
Maria alla s’installer entre les jambes d’Arthur, elle avait un regard féroce.
« Comment c’était hier soir ? Tu m’as regardé droit dans les yeux pendant que ma fille te vidait les couilles. Tu devais être aux anges !
— Elle est douée, comme sa mère. On devrait l’inviter la prochaine fois.
— Peut-être… »
J’imaginais déjà la scène, tous les quatre nus dans la même pièce, s’échangeant nos partenaires…

Maria passa d’un sexe à l’autre pendant plusieurs minutes, elle semblait se régaler, et nous aussi.
« Et si on faisait un jeu, proposa-t-elle.
— Je suis partant, annonça Arthur, tu penses à quoi ?
— Debout tous les deux. »
Nous nous exécutâmes aussitôt. Je me trouvais face à Arthur, nos sexes en érections se touchaient presque. Maria s’agenouilla entre nous deux.
« Celui qui jouit en premier aura une punition. Marché conclu ?
— Prêt à te faire battre James ?
— Prêt à te voir perdre Arthur. »
Maria s’activa et nous branla tous les deux énergiquement, exactement au même rythme. Elle n’en était pas à son coup d’essai. Arthur me regardait, le défi dans le regard. Quant à moi je m’inquiétais de ce que serait la punition…
Mon cœur s’emballait, la respiration d’Arthur également, nous étions tous deux proches de l’orgasme. Maria mit nos deux glands à l’extrémité de ses lèvres, elle voulait récupérer le précieux liquide. Je tentai tant bien que mal de me retenir, mais Arthur avait plus d’expérience que moi dans ce domaine…
Je cédai et expulsai tout le sperme que je pouvais. La bouche de Maria se referma sur mon gland, elle n’en loupa pas une seule goutte. Je m’affalai sur le canapé tandis qu’Arthur éjacula à son tour. La bouche déjà bien pleine, Maria réussit à l’ouvrir tout de même et récupéra le sperme d’Arthur.
Mon oncle s’affala à côté de moi, nous reprenions notre respiration. Maria, les joues légèrement gonflées, s’installa à califourchon sur moi. La punition était pour moi. J’eus un léger haut-le-cœur. J’ai accepté de jouer, et j’ai perdu… Je savais ce qu’il allait se produire maintenant, j’inclinai la tête en arrière et ouvris la bouche.

Chapitre 5.

Mon portable vibra sur la table de chevet, un MMS. Maria faisait du shopping dans une de ses boutiques favorites. J’ouvris la photo. Elle portait une guêpière blanche, ouverte à l’entrejambe. Une seconde photo s’afficha à mon écran, cette fois elle était de dos, la vue de ses fesses charnues me mit en érection, je zoomai pour lire l’inscription sur sa culotte rose : salle de jeu.
J’écrivis un message : belle salle de jeu, dommage qu’elle ne soit pas encore ouverte pour moi.
Des sextos, nous en étions donc arrivés à ce point. Je photographiai mon sexe en érection, message envoyé, j’eus en retour un smiley tirant la langue, accompagné de quelques mots : ce soir, 19 h chez moi.

Je restai couché jusqu’à midi, le facteur m’obligeant à sortir du lit.
« Livraison pour James. »
Je pris le colis sans en demander la provenance, je n’avais pourtant rien commandé dernièrement… Je posai le paquet sur la table de la cuisine et l’ouvris, son contenu était dissimulé sous un voile rouge, une petite carte avait été laissée à mon intention.
« Mets ça avant de venir ce soir. On va s’occuper de cette érection… »
On ? Je me demandai alors qui pouvait être ce « on » ? Maria n’était pas prêteuse, ça avait déjà été compliqué pour qu’elle accepte que je fréquente Jessica… Jessica ? Et si le « on » la concernait ?
Je retirai le voile et découvris un pantalon en cuir noir, une chemise blanche et un bandeau noir. Instinctivement je le mis devant mes yeux, je ne voyais rien au travers. Qu’est-ce qu’elle manigançait encore ?
Un nouveau SMS, décidément c’était la journée ! Maria demandait si j’avais reçu le colis, elle insista sur le fait que je ne devais rien porter d’autre. Je lui confirmai la réception. Je savais qu’il était inutile de poser des questions, elle ne répondrait pas…

Après une bonne douche, j’enfilai la tenue offerte par Maria, le pantalon me moulait les fesses et le sexe. Comme demandé, je ne portais pas de sous-vêtement, je voyais la forme de mon sexe dans la glace. J’espérai qu’elle ne me ferait pas sortir ainsi…
19 h, je suis devant sa porte, le bandeau caché dans la poche de ma chemise. À peine le temps de sonner que la porte s’ouvrit.
« Jessica ? »
Elle se jeta sur moi et m’embrassa passionnément. Je ne m’attendais pas à la voir ce soir. Je lui rendis son baiser en la serrant dans mes bras.
Maria arriva dans son dos, elle nous regardait, je ne saurais dire ce qu’elle pensait à cet instant. Elle tapota sur l’épaule de sa fille.
« Laisse-le au moins respirer ! Va donc chercher tes affaires. »
Je compris alors que nous sortions, tous les trois. J’eus du mal à libérer Jessica, sentir ses seins contre mon torse était une sensation agréable, mais il le fallait.
Aussitôt Jessica partit, Maria me dévisagea de la tête aux pieds.
« Le bandeau ? »
Je le sortis de ma poche. Maria le prit et le posa sur mes yeux.
« Tu vois rien ?
— Rien du tout, maîtresse.
— Bien »
Je sentis ses lèvres frôler les miennes. Elle glissa sa main sur mon entrejambe pour constater que je ne portais rien en dessous.
« Parfait ! »
Elle retira le bandeau et le glissa dans son sac. Je m’attardai sur sa tenue, elle portait un long manteau bleu, impossible de dire ce qu’il se cachait en dessous. Je n’apercevais que ses talons aiguilles et le bas de son collant noir.
Jessica redescendit quelques minutes plus tard, elle portait une robe de soirée vert pomme, mes yeux s’attardèrent sur ses jambes, fines et douces, sa robe s’arrêtait à la limite de ses fesses. Elle me sourit, je ne pus m’empêcher de la déshabiller du regard, une robe courte, un décolleté plongeant montrant le galbe parfait de ses seins… L’excitation montait en moi, je devais pourtant me contenir.

Maria conduisait, Jessica et moi étions assis à l’arrière. Je voulus connaître notre destination, mais Jessica se montra aussi mystérieuse que sa mère. Comprenant que je ne saurais rien avant d’y être, je changeai de sujet et complimentai la tenue de Jessica. Sa main prit la mienne et elle m’embrassa discrètement.
Maria jetait de rapides coups d’œil dans son rétro, visiblement elle n’était pas encore sereine à l’idée de devoir me partager. C’était pourtant elle qui m’avait fait venir ce soir.
Ma main parcourait les jambes de Jessica, je remontais jusqu’au bord de sa robe. Elle voulut serrer les jambes dans un premier temps, puis se décida à les ouvrir légèrement. Mes doigts glissèrent jusqu’à sentir la douceur de son vagin, elle ne portait rien en dessous. Mon sexe durcit aussitôt.
Je la caressais ainsi de longues minutes, laissant mes doigts parcourir son sexe, dessinant de petits cercles sur son clitoris. La position n’était pas idéale dans la voiture, mais elle ne voulait pas s’offrir en spectacle devant Maria…
La voiture ralentit et entra sur un parking, Jessica sursauta et réajusta sa robe, j’en déduisis que nous avions atteint notre destination.

Jessica se colla contre moi tandis que Maria passa devant nous. Il y avait plusieurs voitures sur le parking, mais je ne distinguais rien d’autre. Nous empruntâmes un petit chemin qui traversait un jardin, j’aperçus du coin de l’œil un homme assis sur un banc, une femme était à genoux devant lui. Un peu plus loin, nous croisâmes deux hommes nus, ils s’embrassaient contre une haie.
Enfin, nous quittions le jardin pour arriver devant une maison immense. Un panneau à l’entrée indiquait le nom de la résidence « sex paradise ».

Je sentis une main me pincer les fesses, surpris, je fis volte-face et me trouvai en face d’Arthur, mon oncle.
« Ça te moule plutôt bien ce truc ! me lança-t-il. »
Jessica, tout aussi surprise que moi, l’enlaça chaleureusement avant de revenir à mon bras. Maria quant à elle ne se priva pas de l’embrasser sauvagement.
Arthur agrippa Maria par les hanches et lui rendit son baiser.
« Bon les jeunes, on va saluer les propriétaires. Amusez-vous bien, protégez-vous quand même et ne partez pas sans nous, d’accord ? »
Je découvrais là une nouvelle facette d’Arthur. Il semblait habitué du lieu. Je l’observai s’éloigner, je remarquai plusieurs femmes venant le saluer. Oui, il était bien un habitué.
Jessica me tira par le bras.
« C’est la première fois que tu viens ici ?
— Oui… Et toi ?
— Arthur m’a emmené ici l’an dernier. Tu verras, c’est plus amusant qu’une boite de nuit. Il y a une piscine par là-bas, tu veux aller y faire un tour ? »
Elle me guida au travers des allées, nous croisions de nouveaux couples, certains en pleins ébats sur la pelouse. Une orgie, je me trouvai dans une orgie.
Nous arrivâmes devant l’imposante piscine. Une série de casiers était installée, Jessica en ouvrit un et retira aussitôt sa robe. Elle se tenait là, nue devant moi, et devant toutes les personnes présentes.
« C’est une piscine nudiste. »
Elle s’avança et déboutonna ma chemise. Une fois nus tous les deux, elle mit nos vêtements dans le casier et ferma le cadenas à code.
« 20 et 18, nos âges, facile à se rappeler. »
Je l’attirai contre moi et l’embrassai de nouveau. J’entendis quelques cris de joie venir de la piscine, quelques encouragements à notre encontre. Je me moquai de la présence d’autres personnes. Mes mains parcouraient son corps, ses fesses, ses seins. J’avais une envie insatiable de sexe. Devinant mon envie, elle parvint à écarter ses lèvres.
« Attends qu’on soit dans la piscine. »
Je mis mes mains sous ses fesses et la soulevai. La portant ainsi contre moi, je nous fis entrer dans l’eau, au milieu de tous ces couples, tous ces amants.

Continuant de nous embrasser, nous nous mouvions dans l’eau l’un contre l’autre. Je sentis soudainement une personne s’accrocher à mon dos, une femme.
« Salut vous deux ! Comment ça va Jessica ?
— Aline ! Je savais pas que tu venais ce soir ! »
Je restai figé tandis que Jessica fit la bise à cette fille. Me retournant, je découvris Aline, une jeune femme de vingt-cinq ans, véritable rousse aux cheveux longs, une poitrine ferme et rebondie. Elle me serra contre elle.
« Alors toi, tu dois être James. »
Elle se colla à moi et m’embrassa.
« Houla, je sens que je t’ai interrompu. »
Je me souviens soudainement que nous étions nus, et que j’étais en pleine érection. Je sentis le feu me monter aux joues, je m’écartai.
« Désolé…
— T’inquiète pas, ici c’est souvent tendus. »
Je sentis sa main glisser le long de ma verge. Un homme vint nous rejoindre.
« Adrien ! cria Jessica. Évidemment, jamais l’un sans l’autre ! »
Adrien, un grand blond au corps d’athlète vint lui faire la bise. Il se tourna vers Aline, resté très proche de moi.
« Tu peux le lâcher, ça m’étonnerait qu’il s’enfuît ! »
Aline s’écarta non sans mal de moi.
« Salut James, dit-il en me tendant la main. Moi c’est Adrien. Ne t’inquiète pas pour Aline, elle est très tactile. Mais elle n’est pas méchante, enfin sauf si tu lui demandes. »
Je lui serrai la main, encore abasourdi par cette rencontre. Ils connaissaient tous deux mon prénom…

Jessica vint se blottir contre moi, plaquant ses fesses contre mes hanches, elle fit glisser mon sexe contre son entrejambe. Aline en fit de même pour Adrien. Passant mes bras autour de Jessica, je ne pouvais m’empêcher de caresser discrètement son vagin tout en discutant avec ce couple étranger.
Aline était effectivement très tactile, sa main droite parcourait inlassablement le corps de Jessica. Après plusieurs minutes, Aline nous sauta de nouveau dessus. Cette fois, elle s’arrangea pour éjecter Jessica vers Adrien et vint se caler contre moi. Elle frottait ses hanches contre mon sexe.
« Bah te gêne pas ! lui dit Jessica en rigolant.
— Lui ça n’a pas l’air de le gêner en tout cas, répondit-elle, je le sens tout raide contre moi… »

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