C’était un mercredi, et à cette époque, je ne travaillais que le matin. Mais ce jour là, la direction avait prévu une réunion à 15 heures, afin de coordonner les différents services.
J’ai travaillé comme prévu jusqu’à midi. Elle m’attendait sur le parking. Elle était vêtu d’une jupe et d’une joli haut avec une beau décolleté. Nous avons pris ma voiture, et je l’ai invité au restaurant. Nous n’étions pas pressés, nous avons donc déjeuné en prenant tout notre temps. Je ne voulais pas me montrer impoli, mais j’avoue avoir eu du mal à ne pas plonger mon regard dans son décolleté.
En sortant du restaurant, nous avons repris la voiture pour aller nous garer sur un parking situé non loin de mon lieu de travail. Le temps était beau et ensoleillé, nous étions à proximité de bancs publics, je lui ai proposé d’aller faire un tour pour profiter du soleil, ou de flâner sur un banc. Mais elle a refusé, elle préférait rester au calme dans la voiture : « je préfère l’intimité de la voiture » m’a-t-elle lancé avec un sourire enjôleur. Elle a ouvert le toit ouvrant de la voiture, laissant le soleil baigner l’intérieur de la voiture, puis a fait basculer le dossier de son siège, jusqu’à se retrouver pratiquement allongée. Elle m’a regardé avec un grand sourire, avant de m’annoncer : « tu as suffisamment lutté », et de retirer dans la foulée son haut et son soutien-gorge. Ses tétons fièrement dressés étaient un appel au crime, et je me suis littéralement jeté dessus pour les embrasser et les aspirer.
Elle a éclaté de rire : « ce n’est pas du jeu, tu es bien trop habillé ». Mais trop tard, j’étais trop excité. Je suis remonté jusqu’à sa bouche pour me perdre dans un long baiser langoureux, tandis que ma main droite remontait le long de ses cuisses, jusqu’à trouver l’entrée de son paradis. J’ai joué un bon moment avec sa chatte en restant au dessus du tissu, poussant un doigt inquisiteur de plus en plus loin, enfonçant profondément non seulement mon doigt mais aussi le tissu de sa culotte. Puis j’ai fini par écarter sa petite culotte pour pouvoir faufiler mes doigts à l’intérieur de la chatte déjà bien inondée.
Pendant ce temps, je profitais de ma main libre pour ouvrir mon pantalon et dégager mon sexe bien raidi. J’ai fait pointer le bout de ma queue à l’entrée de sa chatte. Elle a de nouveau éclaté de rire : « même pas le temps d’enlever ma culotte ». Effectivement, à peine avait-elle fini sa phrase que je poussais en avant, et mon sexe était comme aspiré par le sien. Je les pénétré profondément, m’insinuant au plus profond d’elle, et sa phrase s’est mué en un grand râle évocateur. Je suis resté quelques secondes immobile avant de commencer de lents mouvements de va-et-vient.
La situation était surréaliste : nous étions sur un parking, à deux mètres de la route, n’importe quel passant aurait pu nous voir, et la circulation continuait en flot incessant de véhicules, augmentant à la fois le risque et l’excitation. Nous avons fait l’amour un long moment, dans cette position, avant de nous retourner, afin qu’elle me chevauche. Elle restait allongée sur moi, pour ne pas être vu. Elle a été secoué de soubresauts à l’arrivée de son orgasme, criant son plaisir dans mes oreilles. Il n’en fallait pas plus pour me faire craquer, et je me suis libéré en inondant son vagin.
Le plaisir avait été très violent pour nous deux, décuplé par la situation et le danger qui en découlait. Nous étions tout les deux épuisés, et dans un état second.
Après ça, ce fut très difficile de rester concentrer pendant la réunion qui a suivi…
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